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mercredi 22 septembre 2010

SUR FRANCE-INTER,
nous avons tous écouté le jeu
« d’Emile Franc »,

Un jeu culturel fait de questions-réponses et, pour le gagnant, une petite somme d’argent ……et cela se terminait par le fameux « à demain si vous le voulez bien. »
Depuis le changement de monnaie, le jeu est devenu celui "des mille euros"
A Saint Quay , il se passe toujours quelque chose, en témoigne la presse et en particulier « La Presse d’Armor » qui, chaque semaine, obtient de fameux tirages en racontant les aventures municipales, notre bon maire qui n’est jamais en panne d’imagination a créé un nouveau jeu ..
C’est un jeu où l’on ne gagne rien mais le contribuable y laisse des plumes.
C’est le jeu des deux mille euros.
Dès que notre édile sèche sur un point du code des collectivités territoriales, il saisit le tribunal administratif.
Il aurait pu demander à son directeur général des services de lui faire la lecture de ce code, mais voilà, le courant ne passant plus, il lui a montré la sortie (deux directeurs + une intérim, en trente mois) aussi, cherchant à tout prix une réponse favorable dans le code pour éjecter son quatrième adjoint du conseil, il a appelé à la rescousse un cabinet d’avocats de la rue Saint Dominique (Paris 75007).
Pour deux mille euros, on n’a pas grand chose.
Ces fameux avocats parisiens se sont pris les pieds dans le tapis, ils n’ont pas déposé dans les délais convenus la plainte, elle a été jugée irrecevable !!!
Ni une, ni deux, notre maire insatisfait veut comprendre le code des collectivités territoriales et, bien qu’il n’ait rien contre son adjoint W.Abbest, trouver enfin une justification pour le limoger.
Elu au suffrage universel, bien élu, W Abbest pour deux mille euros, se verrait renvoyer dans ses foyers ? On rêve et l’intéressé, lui, cauchemarde.
Ce recours à un tribunal administratif en première instance à Rennes et en appel à Nantes coûtera certainement plus de deux mille euros.
Cette affaire ternit l’image de notre commune et surtout montre un conseil municipal désemparé avec des élus qui, par leur mutisme sur ce mauvais coup porté à la démocratie locale , montrent un aspect peu reluisant.
Deux mille euros c’est vraiment n’importe quoi, et tout cela pour lire et comprendre un article du code de collectivités territoriales.
Le conseil, et surtout son maire, feraient mieux de se pencher sur les vrais problèmes et montrer en travaillant que les promesses électorales étaient autre chose que démagogiques.



JOUNENT michel

1 commentaire:

Anonyme a dit…

CONSEIL MUNICIPAL

Il est bien difficile de s'y reconnaître dans cet embrouillamini de chiffres annoncés en Conseil Municipal :

CENTRE DES CONGRES
Je voudrais bien savoir le nom de la compagnie qui assure l'immeuble. Un coût des travaux est estimé à 500.000 € HT, mais quelle lenteur dans la prise de décisions : aucune des deux parties n'a pris de disposition pour faire l'avance des 20.000 € nécessaires pour la protection des parties abimées ; la facture s'alourdit de jour en jour !

CINEMA
De 650.000 € HT nous passons à
1.000.000 € HT pour 193 places, montant auquel il faudra ajouter les équipements (ex : 1 projecteur = 100.000 HT). Entre les subventions accordées, celles en attente et celle que l'on ne verra jamais, j'avoue que l'on s'y perd ...

ROND POINT
Montant du projet initial 180.000 € HT qui passe à 350.000 € HT, puis retour à la version "feux" (qui a été proposée il y a un an en Conseil Municipal) !

CHEMIN DES DOUANIERS
Fermé par suite d'importants éboulements ; on évoque toujours pas sa remise en état

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