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samedi 30 octobre 2010

Au conseil municipal, les élus votent

UNE DÉCISION EXTRAVAGANTE !!!


Le maire a obtenu des élus quinocéens la décision* d’acheter les murs d’un commerce en « grande difficulté de trésorerie ».
Le premier magistrat a souligné avec solennité qu’il y avait urgence.
Le délégué au commerce et second adjoint au maire, malgré ses demandes réitérées n’a pas pu obtenir le report de cette décision au prochain conseil municipal afin de tirer toutes les conséquences de ce projet.
Le conseil municipal, avec cinq élus représentés, a montré une fois de plus les graves dissensions qui le traverse depuis son élection.
Plusieurs élus, dont Alain Lorant, ont fait la démonstration du mauvais fonctionnement du conseil, depuis ceux des 9 et 14 septembre 2010, aucune commission (celle des finances et des travaux) ne s’est réunie.
A. Lorant a montré, par son questionnement, que ce projet était peu réfléchi et qu’il ouvrait la boite de Pandore.
Ce commerce de journaux et de la Française des jeux, sis quai de la République, a été acheté par le propriétaire actuel : 180 000 €, il y a cinq ans environ.
La municipalité propose l’achat des murs de ce commerce de 50 m² pour une somme de 100 000 €, ce montant repose sur l’estimation immobilière des Domaines.
Cet achat conduit la municipalité à devenir copropriétaire avec toutes les conséquences de ce statut.
Le pavillon abritant le commerce devra connaître des travaux pour installer cette copropriété et il est, d’après le conseiller A. Lorant, dans un état sujet à caution.
Les raisons qui conduisent à cette situation financière ne sont pas récentes et rien n’oblige à croire qu’elles n’existeront pas demain.
Que la municipalité s’ingénie à créer l’ouverture de nouveaux commerces, c’est louable et souhaitable, que ces commerces de proximité redonnent du lien social, c’est imaginable mais ce n’est pas gagné, les manières de vivre ont tellement changé ces dernières années !
Sauver du dépôt de bilan un commerce individuel avec l’argent du contribuable, est-ce légal?
Cette aide très particulière ne va-t-elle pas fausser la concurrence ?
Dans notre ville , le déclin du petit commerce est patent , nombreux sont les commerçants qui vivotent et, si ce genre de montage financier devait voir le jour, il est assez évident que les demandes devraient se multiplier.
Beaucoup de quinocéens font leurs courses au super marché « Carrefour Market », il existe dans ce magasin un énorme rayon Presse, journaux et papeterie.

Au centre-ville de Saint Quay (3 300 habitants), il y a, boulevard du Général De Gaulle, «la maison de la presse », le propriétaire de ce commerce se trouve de facto face à une concurrence féroce , celle d’un grand groupe international de la distribution et demain celle d’un commerce largement aidé par la municipalité.
Le commerçant, sauvé des eaux comme Boudu , devra payer un loyer de 420 € par mois, « La maison de la presse » de Saint Quay paie 1500 € mensuellement pour un commerce ayant le double de surface .
Sur le projet « Saint Quay Portrieux autrement » M Blanc écrivait qu’il fallait revitaliser le commerce dans l’agglomération, en encourageant l’installation de nouveaux commerces ou micro activités.
Qu’il fallait exercer judicieusement le droit de préemption en vue d’inciter l’ouverture de commerces spécialisés, cycles, galeries d’art, bouquinistes spécialisés, activités orientées vers la mer, en particulier bd Foch et le port.
En 31 mois aux affaires, la gestion autoritaire du maire n’a pas contenu les fermetures d’enseignes et la commune, sous sa conduite, confirme sa vocation à devenir une ville dortoir.
Cet investissement est déloyal, le choix de venir au secours de ce commerçant n’est pas clair et on n’a pas fini de parler de cette opération financière.
Il y a quelques mois les gérants de la superette du centre ville ont voulu acheter les murs, faute d’accord avec les banques pour obtenir un emprunt, ils ont du renoncer.
Le maire ne s’est pas précipité pour examiner cette situation.
Aux questions pertinentes d’A. Lorant, le maire a usé et abusé du sarcasme, du mépris pour évacuer les questions gênantes.
Brocarder ses colistiers n’est pas digne , cela n’empêchera pas, à l’approche de la mi- mandat, de montrer le travail insuffisant de cette équipe « autrement », le suivisme de la plupart des élus et l’omnipotence de M Blanc.

*les votes restent toujours difficiles à noter du côté des auditeurs du conseil.
Je pense que le résultat du vote est le suivant.
Sur 17 élus présents et représentés : 2 n’ont pas pris part au vote, 7 ont voté pour, 5 ont voté contre et 3 se sont abstenus.

JOUNENT michel









samedi 23 octobre 2010

L’ART POSTAL
S’EXPOSE
À L’HOTEL DE VILLE !!!



L’idée de se laisser aller à sa créativité et de prendre des libertés avec l’usage d’une enveloppe est plaisante.
Se servir de ce support pour apposer des textes, des collages, des coloriages et des montages photos est dans ce monde formaté, normalisé, informatisé, un pied de nez à l’ordre convenu.
Cela réveille chez tout un chacun l’idée que nous sommes tous des artistes en puissance.
Choisir que la dominante de cette exposition soit la couleur bleue et la mettre dans tous ses états grâce à « l’art postal » est une proposition séduisante.
La couleur bleue est, d’après l’artiste de Pléguien, l’initiateur de cette collection d’envois artistiques, la couleur aimée par la majorité des humains.
La couleur bleue est porteuse de félicité, elle se rattache à l’azur du ciel.
Paul Eluard, l’immense poète, en a fait un vers admirable :
« La terre est bleue comme une orange », texte métaphorique comparant l’astre céleste à une orange, fruit riche et plein de vie que l’on offrait jadis à Noël.
Plusieurs centaines de réalisations étaient visibles dans cette exposition, de quoi ravir et intéresser les quinocéens dans leur perception de l’usage des lettres, des mots et des images sur un support original pour recevoir et échanger avec les autres.
Je n’ai pas compté les documents exposés mais il y en avait bien 3 à 400…!!!
Parmi toutes ces œuvres, une vingtaine ont frappé mon attention.
Elles sont toutes du même auteur, elles transgressent largement l’objet de cette exposition.
Elles ne sont pas anonymes, elles ont été envoyées sous enveloppe à l’artiste de Pléguien (Prudence !!!).
Elles n’ont que faire du thème rassemblant les créateurs… « La couleur bleue ».
Elles sont polémiques, politiques et partisanes.
Elles insultent le Président de la République et n’épargnent pas son épouse.
A mes interrogations, il m’a été répondu que l’on était dans l’exercice de la liberté d’expression et que je n’étais pas le mieux placé pour m’en offusquer !!!
Devant le portrait officiel du Président, dans la maison commune de tous les habitants de Saint Quay portrieux, il est surprenant de lire des libellés traînant dans la boue le Premier des français.
Pour mémoire, il a été élu dans le cadre d’un processus démocratique.
Je devrais me faire une raison sur cette interprétation de la libre expression, mais voilà, trop c’est trop.
Faire des rapprochements entre l’expulsion des « roms » et les rafles des juifs pendant l’Etat français 1940/44 est ignoble, montrer la photo des bus parisiens stationnés rue Nélaton devant l’entrée du Vel d’Hiv, banalise le martyr des parisiens israélites.
La liberté d’expression …oui, les rapprochements tendancieux entre les événements d’aujourd’hui avec ceux de l’occupation nazie sont insupportables.
Exposer une carte où l’on trouve écrit (façon lettre anonyme) sur le drapeau tricolore que les expulsions des étrangers -en situation irrégulière- ont remplacé les Droits de l’Homme est vulgaire et insensé.
Le jour où tous les gars du Monde auront les mêmes droits et devoirs, c’est-à-dire la police, la justice, les hôpitaux, les acquis sociaux, l'instruction publique etc... de notre pays, ils pourront se donner la main et vivre en bonne harmonie.
Notre pays, moins de 1% de la population mondiale, ne règlera pas le sort de l’humanité et cette exposition de documents agressifs, en faisant d’horribles raccourcis sur la réalité de notre société sont nauséabonds.
Ils n’avaient rien à faire au milieu de ce travail véritablement artistique.
Cet auteur extrémiste avance masqué en s’agrégeant au thème de l’exposition, cette méthode de jouer les sous marins est connue, se fait-elle contre la volonté de l’artiste de Pléguien ?

JOUNENT michel

jeudi 21 octobre 2010

P.L.U

Le plan local d’urbanisme est un document de planification de l’urbanisme au niveau communal.
Il remplace le P.O.S (plan d’occupation des sols) depuis le 13 décembre 2000 par la loi  dîte SRU.
Il a pour objet de justifier et d’expliciter les choix d’aménagement retenus et leur cohérence.
Ce document est une carte de la commune divisée en plusieurs zones.
les zones urbaines –Zone U
• les zones à urbaniser - Zone AU
• les zones agricoles – Zone A
• les zones naturelles – Zone N
C’est aussi un règlement qui décrit pour chaque zone les dispositions réglementaires.
Le P.L.U est élaboré par le conseil municipal.
La décision est notifiée au Préfet, au Président du conseil régional, du conseil général, à la C.C.I, etc… et aux collectivités territoriales limitrophes.
La décision est publiée selon la procédure légale.
La phase des études est mise en place dans une large concertation avec le public.
Deux mois avant l’arrêt du projet, un débat a lieu au conseil municipal.
Le conseil municipal arrête par délibération le projet P.L.U.
Les personnes associées à son élaboration donnent un avis dans la limite de leur compétence.
Ensuite le maire a saisi le Président du Tribunal administratif de Rennes pour la désignation d’un commissaire-enquêteur.
Ce projet modifié, suite à l’enquête, est approuvé par délibération au conseil municipal.
Le P.L.U approuvé est tenu à la disposition du public.
A Saint Quay Portrieux, aprés la phase d’études, le projet de P.L.U a été transmis aux chambres consulaires en Août 2009, ces dernières avaient trois mois pour se prononcer.
En février 2010, le projet a été adressé à la commission des sites avec un délai d’un mois pour faire des remarques.
Le maire a saisi le T.A de Rennes, ce dernier a désigné un commissaire enquêteur, l’enquête publique a eu lieu du 3 juin au 3 juillet 2010.
A cette enquête étaient jointes l’étude de l’assainissement des eaux usées et celle des eaux pluviales.
Le commissaire enquêteur avait un mois pour rendre ses conclusions et à partir de ses observations la municipalité devait finaliser ce plan local de l’urbanisme.
Ensuite, le conseil municipal en réunion votait ce projet, il remplaçait alors le POS en cours.
Ce P.L.U reste opposable.
A ce jour, les conclusions du commissaire enquêteur ne sont pas parvenues à l’hôtel de ville, il ne semble pas que le commissaire ait obtenu les documents demandés.
A un moment ou, du côté de l’esplanade du nouveau port, un projet de déconstruction de la ruine d’un hôtel inachevé est évoquée et que le dépôt d’un permis de construire d’un commerce, de bureaux et de locaux pour associations a été déposé en août 2010,se pose la question de savoir sur quelle organisation de l’urbanisme local doit-on s’appuyer ?
Le POS actuel ou le PLU à venir !!!

Sur la destruction de la ruine, l’adjoint aux affaires portuaires annonçait sans ambages, en juin, que l’automne 2010 verrait la disparition de cette verrue immobilière ; une nouvelle fois, il faudra faire le deuil de nos illusions sur le sérieux des responsables municipaux.

Il se dit que cela ne se fera pas avant Pâques… Pâques ou la Trinité, encore une imprécision à mettre au crédit de cette équipe municipale désemparée.
Le P.L.U en gestation pose une énorme interrogation : comment le maire a pu laisser transformer le front de mer entre la plage du « Châtelet » en passant par le Casino jusqu'au Centre des congrès d’une zone naturelle(zone N) à une zone à urbaniser (zone AU) ???

JOUNENT michel





lundi 18 octobre 2010

EN LONG ET EN LARGE,

A PIED, A VÉLO ET EN VOITURE !!!


Il est possible pour tout quinocéen circulant en ville de voir de ses propres yeux le travail, les chantiers en cours et les promesses déjà oubliées de la municipalité dirigée par M Blanc.
Cette promenade doit permettre de mesurer l’engagement de nos élus en n’oubliant pas qu’ils sont les élus de toute la population.
Dans le programme de «Saint Quay Portrieux autrement » chacun se souvient de l’affirmation « qu’après une information préalable, le passage des responsables municipaux sera assuré » dans les quartiers.
On le sait, le conseil est affaibli et les responsables restants ne se bousculent pas pour aller à la rencontre des quinocéens, mieux, ils rasent les murs, quel courage !!!
*En commençant par le nouveau port, la destruction de la structure inachevée d’un hôtel reste d’actualité pour l’automne, la construction d’un atelier à l’usage du personnel du port de plaisance est envisagée dans l’espace précédemment occupé par le chantier Rouxel.
Le bâtiment occuperait une surface de 225 m², avec une hauteur maximum de 4 mètres et il serait dissimulé par les arbres.
En bout du quai Gourvelot, à la hauteur du ponton 10, une construction pourrait abriter une annexe de l’atelier du port et des locaux pour les clubs de plongée.
Le permis de construire un nouveau magasin à l’enseigne du « Comptoir de la mer » est déposé et cela se ferait dans le cadre de l’aménagement de l’esplanade du port en eau profonde par le syndicat mixte du port d’Armor (55 % conseil général et 45 %St Quay Px).
Voir disparaître cet horrible bâtiment (l’hôtel) est une bonne nouvelle.
*En continuant notre visite municipale, en empruntant le GR 34, les nouvelles sont nettement moins bonnes : face à l’île de la comtesse, une passerelle provisoire en bois rend praticable le sentier mais les dégâts sont là et ne manqueront pas de croître l’hiver venant.
Au pied du « Ker Moor », à chaque grande marée, la falaise continue à s’effondrer… jusqu’ où ?
C’est un dossier tenu secret par notre Maire… Pourquoi ?
Les rustines posées sur d’autres parties du sentier sont sans doute nécessaires mais la fermeture du chemin de ronde sur sa partie la plus remarquable provoque la tristesse des quinocéens et de tous les randonneurs.
*La piscine a vu sa profondeur rehaussée, les travaux continuent pour améliorer le bassin et son environnement, c’est excellent pour les sportifs.
*Le CLJ, j’en ai parlé souvent : un investissement considérable pour une courte utilisation de deux mois par an et surtout une très faible fréquentation pour le reste de l’année.
*Le Centre des congrès : la déception est inouïe devant ce bâtiment inutilisable depuis près de six mois et le constat est amer devant l’inefficacité de notre maire, pourtant spécialiste de l’assurance, à régler ce dossier.
*Du côté des impasses Beaudrit (celle de M Ciné st Ké) et des Grèves Gicquel (celle de M le maire) , là pas de problème, les travaux avancent et l’effacement du réseau aérien est pour bientôt , il faudra faire la fête en sortant les tambours et les vuvuzelas pour souligner ce choix judicieux .
*A Kertugal, le lavoir fait partie du domaine communal, l’entretien de ce lieu de mémoire est à la charge de la commune, malgré les courriers, la municipalité ne fait pas preuve de beaucoup de zèle pour prendre à bras le corps le désir des riverains de rendre plaisant le lavoir de Porcuro.
*Aux prés Mario, après avoir proposé un feu tricolore, on est passé à un rond point à quatre puis six branches , le coût, le financement comme le dessin du rond point ont varié au fil du temps , aujourd’hui les riverains refusent de céder du terrain .
Ici comme ailleurs, on tourne en rond.
*Après l’abandon de la caserne unique des sapeurs-pompiers sur la communauté de commune du « Sudgoélo », il était convenu que la caserne de Saint Quay serait restaurée ainsi que les services techniques attenants.
Après ce choix communautaire, Binic a vu la construction de l’antenne de secours du SDIS et la sortie de terre de ses nouveaux services techniques, à Saint Quay, il faudra continuer à espérer pour l’éventuel début des travaux.
*Un établissement de thalassothérapie en centre ville était une promesse importante de M Blanc, il avait, à l’entendre, consacré beaucoup de temps, avant d’être élu, à ce projet et il fait souvent référence à Pléneuf Val André.
Il est connu que cette réalisation va bientôt ouvrir, elle a nécessité de longues années d’études, plusieurs municipalités ont traité ce dossier et tout en n’étant pas de même sensibilité politique, les différentes équipes ont œuvré pour le succès de ce projet.
Ce n’est pas le style de M Blanc de poursuivre le travail de son prédécesseur !!! Il est plutôt dans la négation du travail de  l'ex-municipalité.
*L’aire de carénage et de réparation , à l’approche de l’hiver, redevient un port à sec, un lieu d’hivernage, un dépôt-vente, etc… ce n’était vraiment pas l’objet de cette construction mais, voilà, le nouveau maire est passé par là, il a loué l’installation portuaire aux chantiers locaux et sa régie municipale n’est pas très active pour rentabiliser l’investissement public.
Il y aurait bien d’autres observations à répertorier en faisant cette promenade en long et en large dans notre commune.
Nous approchons du mi-mandat, chacun pourra se faire alors une juste opinion des promesses énoncées pendant la campagne des municipales.
Le maire et son équipe rabougrie connaissent bien des vicissitudes, dans la préparation du budget 2011, il ne sera pas étonnant que la partie fonctionnement progresse sensiblement.
Le chapitre concernant le poste de Directeur général des services est loin d’être clos.
Depuis l’arrivée de M Blanc, deux directeurs se sont suivis, on en attend un troisième, deux intérimaires se sont intercalés et l’incidence de la mise à disposition du dernier au centre de gestion aura des conséquences sur les finances locales .
La démonstration est faite par ce turnover des DGS que travailler avec le maire est très compliqué.
Reste aux quinocéens à consulter les documents comptables de la commune, cela ne sera pas simple compte tenu de la gestion communale opaque de notre maire.

JOUNENT michel





vendredi 15 octobre 2010

UN CONSEIL MUNICIPAL,
DES CONSEILLERS MUNICIPAUX ...
POUR QUOI FAIRE ?


Allez demander à un élu les dates et les modalités de restauration du GR34 et du Centre des congrès !!!
Allez demander les projets de la municipalité à un élu pour faire face aux problèmes que posent le réseau d’assainissement par sa vétusté et l’usine de retraitement des eaux usées largement dépassée au niveau technologique et maintenant en sous capacité !!!
Allez demander à un conseiller si vous réussissez à en croiser un en ville, le pourquoi de l’abandon de la rue qui permet aux poids lourds venant de la criée de quitter la commune !!!
Cette voie, la rue de Geniet est dans un état lamentable.
A l’inverse, la rue Paul de Foucaud a été rénovée pour rendre agréable l’entrée en ville, on a supprimé la circulation faite de chicanes par une succession de dos d’âne, pourquoi pas ??? Mais il était dit qu’un fleurissement approprié la rendrait plaisante.
Le résultat est peu probant , sur une dizaine de barrières, des jardinières sans charme n’ont pas fait de cette entrée une grande réussite et des mauvaises langues rapportent que la faux vengeresse de la responsable des finances est passée par là.
Il y a maintenant, nous le savons, à l’hôtel de ville, une personne qui se soucie des finances locales.
Malgré le calicot au fronton apposé sur le mur de l’Hôtel de ville et la publicité faite sur le blog municipal, le plan de circulation dans le cadre du schéma directeur avance à la vitesse d’un limaçon.
Les quinocéens sont, par leurs remarques écrites, très sceptiques quand à une éventuelle amélioration à circuler et stationner en ville.
Les commerçants, à travers leur association, ont marqué leur dépit sur la convocation à la dernière réunion avec le maire.
Ils sont en effet nombreux, après les vacances estivales, à être partis en congé en ce mois d’octobre.
Par exemple, pour l’achat du pain, j’ai assisté le lundi 11 octobre, à une singulière situation du fait de l’absence de coordination entre commerçants.
Il y a deux boutiques boulangerie-pâtisserie au Portrieux, deux boutiques sur le Bd Foch , une Bd du général De Gaulle et une Place d’Armes ; ce lundi-là, il n’y avait que « la boulangerie de la mer » d’ouverte, une seule boutique artisanale, c’est peu pour la ville.
Chaque municipalité et cela depuis longtemps, a essayé d’inventer un plan de circulation optimale pour Saint Quay mais, nous le savons, c’est la quadrature du cercle.
Après une succession d’invention en tout genre , la prudence a voulu que ces études précédentes soient remisées au plus vite sur les étagères les plus hautes des archives municipales et notre maire ne fera pas mieux .
Notre ville, c’est au pire deux mois d’été où la population se démultiplie par 10, en juin et septembre ; selon le temps, la ville connaît le week-end une fréquentation importante mais, le reste du temps, la commune sombre dans une grande somnolence, son commerce est moribond et à partir de 18 heures , elle se vide de toute circulation.
Alors est-ce important de consacrer une telle étude pour un si court laps de temps (2 mois par an) ?
Il y a de vrais problémes à Saint Quay et nos élus ne semblent pas s’en préoccuper.
Le centre ville montre une concentration immobilière importante appartenant à une congrégation religieuse, elle sclérose le devenir de la commune, elle montre une image dégradée et forme un obstacle à la relance économique de notre commune
C’est un dossier difficile à faire avancer, il est aussi compliqué que l’aménagement du terre plein du nouveau port.
Il nécessite du temps et certainement plus qu’un seul mandat.
« C’est au pied du mur que l’on voit le maçon » ; du côté de nos élus, il ne semble pas qu’ils aient la fibre laborieuse, mais plutôt ces femmes et ces hommes ont l’échine souple et ne se posent pas beaucoup de questions sur la gestion de la ville.
Ils préfèrent s’amuser avec la carte de la ville et chambouler les itinéraires de circulation.
En attendant, le sentier des douaniers à la hauteur de l’hôtel « Ker Moor » est fermé et, dix mois après l’effondrement du site, il n’est pas interdit de se souvenir du ravage par la tempête du mur de soutènement du musoir de la plage de la Comtesse , sa réparation avait été traitée d’une autre manière par l’ancienne municipalité.
Il n’est pas déraisonnable de relier cette situation à l’omnipotence de notre maire sur tous les dossiers et non à son omniprésence.
Le conseil municipal fait preuve d’un silence soumis et résigné.
Il est quand même inadmissible de constater que le Centre des congrès, récemment rénové, ne conduise pas plus d’élus à faire savoir leur mécontentement face au retard de sa réouverture.
Une question simple est posée, celle de savoir ce qu’il s’est passé autour de ce sinistre…
Pourquoi les systèmes de sécurité n’ont-ils pas été plus efficaces pour détecter cet incendie ravageur ; n’y aurait-il pas un souci par rapport à l’assureur de ce bâtiment ?
Bon an , mal an, le centre des congrès restait jusqu’à ce jour le lieu de la vie culturelle , associative et familiale de la ville ; avec sa fermeture, la commune s’est endormie encore plus et, même revêtu d’un bel habit de chevalier, notre maire ne semble pas apte à réveiller la belle qu’est Saint Quay Portrieux et à la sortir de sa léthargie.

JOUNENT michel

lundi 11 octobre 2010

LA MUNICIPALITÉ,
ET SON MAIRE EN TÊTE, DEÇOIVENT !!!


L’équipe « Saint Quay Portrieux autrement » est à bout de souffle.
Déjà de nombreux électeurs de cette liste se disent déçus et regrettent leur choix.
Ils sont choqués par la gestion dispendieuse de la ville et de l’appel systématique à des bureaux d’études.
En trente mois, les quinocéens ont constaté un gaspillage important des deniers publics, par exemple :
Le renvoi de deux DGS (directeur général des services), l’embauche entre les deux d’une intérimaire et depuis peu, à leur place, une personne au statut indéfini.
Le dernier DGS a été mis à la disposition du centre gestion, son salaire est assuré par la mairie pendant plusieurs années (au moins 3) augmenté des charges demandées par le centre de gestion.
Le CLJ : au bout de deux années d’hésitation, la municipalité a fait agrandir le bâtiment dit « La rotonde », le financement n’est toujours pas connu et son usage hors période estivale est extravagant, il est ouvert 4 heures par semaine pour une dizaine d’adolescents, encadrés par une monitrice.
Les 500 000 € mis dans cette extension paraissent disproportionnés pour un accueil si faible.
Six mois après l’incendie ravageur du Centre des congrès, il est insupportable pour l’activité économique, sociale et culturelle de la ville, que la rénovation des lieux mette tant de temps.
Le domaine de l’assurance, selon notre maire, était là où il avait excellé durant sa carrière professionnelle.
C’est décevant de le voir contrarié par des ex-collègues dans la résolution de ce sinistre.
Les études en tout genre se sont multipliées depuis l’élection de la nouvelle municipalité, il faudra bien un jour faire l’addition de toutes ces prestations et établir si leurs utilisations ont été pertinentes.
Une étude retient encore un peu l’attention des quinocéens, celle du plan de circulation. Les commerçants, à lire la presse, n’étaient qu’une vingtaine à la dernière réunion avec le maire et son deuxième adjoint.
Exposé par trois fois, ce plan ennuie les commerçants, quand enfin les quinocéens auront la parole, que deviendra cette gesticulation ?
Après moult moutures, il y a de fortes probabilités que cette gigantesque entreprise accouche seulement de légères modifications, encore beaucoup de temps et d’argent dépensés pour pas grand chose !!!
Les projets en cours à Saint Quay se multiplient, Cinéma, Schéma directeur, etc, ils nécessitent des sommes importantes, par contre le GR 34 qui a besoin de beaucoup d’investissement public pour sa remise en état , lui , en manque.
L’équipe municipale est essoufflée, elle est diminuée en nombre, les commissions municipales sont amorphes et le maire monopolise tous les pouvoirs.
C’est l’avis de beaucoup de citoyens de notre ville.
Le reste du mandat ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices, il y aura peut être une élection partielle, une remise en cause du mandat du maire mais c’est loin d’être acquis.
Il est difficile de lire dans le marc de café et les acteurs possibles de la vie municipale sont souvent imprévisibles.
En ville, des quinocéens s’apprêtent déjà à servir l’intérêt général ou leur propre ambition.
Certaines et certains pensent que les prochaines élections verront sortir les sortants.
Il suffit d’attendre dans l’ombre, de rassembler tranquillement les futurs candidats aux postes de conseillers municipaux.
Un aréopage se met en place, ces personnes imaginaient jusqu'à présent que le boulevard qui mène à l’hôtel de ville serait bordé de mimosas.
En rassemblant les nostalgiques de l’équipe de G. Lambotte , de convier les gentils de l’équipe de JP.Alaux , d’appeler les déçus ou démissionnaires de l’équipe de D. Blanc et de choisir comme tête de liste une personne ayant une expérience d’adjointe ... une hypothèse !!!, il est assez évident que les choses se présentaient pour le mieux pour emporter la prochaine direction municipale.
Les blogs locaux, dans cette partie de poker menteur, ont joué jusqu’à maintenant le rôle de dire tout haut ce que pensait un certain nombre de quinocéens tout bas.
« A l'écoute Saint Quay Portrieux » s’est vite sabordé faute de rédacteur et de pugnacité à dénoncer les errements de M. Blanc.
L’association loi 1901, le LEQ a su développer avec peu de rédacteur une information différente sur la réalité de la gestion municipale, hélas, son administrateur a perdu son sang froid lors des plaintes en justice déposées par le maire, une adjointe et un conseiller municipal et il a provoqué mon départ de ce lieu de réflexion.
Je pensais pouvoir lui garder sans probléme mon amitié, mais les insultes et les attaques personnelles que j’ai pu lire sur le LEQ me conduisent à réviser mon jugement.
Il est clair que le document que j’ai réalisé sur l’aire de carénage avec G. Lambotte dérange , la parution dans « La Presse d’Armor » et dans « Ouest-France » des interviews de l’ancien maire à brusquement changé la donne et modifié les plans des futurs candidats à la Mairie.
Il suffit d’écouter sur les marchés, aux commémorations et aux festivités, les personnes s’adressant à l’ancien maire , ils sont pour la plupart à regretter l’ancienne municipalité.
La rumeur n’a pas échappé aux couards qui ont trouvé refuge dans l’association du LEQ… Lambotte serait de nouveau candidat, il prépare une liste et moi même je serais son sherpa, son homme à tout faire.
Les insultes que j’ai reçues sont à la hauteur de l’obstacle que représente cette possibilité et je ressens avec peine l’exploitation de la crédulité de JF Villeneuve par « ses nouveaux amis ».

A mon quinécéros préféré, en revisitant Boris Vian.

J’suis snob…je suis snob
J’m’appelle michel, mais on dit Bob
Je fais du ch’val tous les matins car j’adore l’odeur du crottin
C’est dans les p’tits détails comme ça
Que l’on est snob ou pas
J'suis snob....etc

JOUNENT michel







samedi 9 octobre 2010

la bétise anonyme.... 9/10/2010

SALUT
A TOI
DAME BÊTISE.


Mais dis-le moi, comment fais-tu ?
Pour avoir tant d’amants,
Et tant de fiancés,
Tant de représentants
Et tant de prisonniers
Pour tisser de tes mains
Tant de malentendus
Et fair’ croire aux crétins
Que nous sommes vaincus                                 
Paroles et musique de jacques Brel : extrait de l’air de la bêtise


Nous y sommes, la fanfare des biens pensants tambourine l’air de la calomnie avec frénésie.
Qu’un rond de cuir, en mal de reconnaissance, prenne du plaisir à lire un billet diffamatoire, il faut bien passer le temps…
Hier, je le faisais encore sourire, c’était le temps où j’ai largement contribué au succès du LEQ , le sens général des billets du blog allait dans la dénonciation de l’activité municipale, des errements du Maire et des promesses déjà abandonnées.
C’était l’époque où un large boulevard s’ouvrait de nouveau pour les ambitions de certains, aux municipales.
Quant à l’auteur de la fable, pour moins que cela , j’ai dû me rendre à la Gendarmerie pour justifier l’usage du diabolo, du Oula oup, du jeu de carte « la crapette » et aussi expliquer un article co-rédigé par une ancienne adjointe de G.Lambotte, elle y mettait en doute les diplômes du Maire Blanc.
C’est une seconde nature chez mes détracteurs de vouloir se faire plus gros que le bœuf.
L’administrateur du blog LEQ est prêt à toutes les génuflexions pour sauvegarder son blog.
De plus, et cela est vraiment marrant, combien de fois l’ai-je entendu dire et se répandre sur le couple Le Cacheur …. en mal bien sûr !
A lire Le Cacheur, ce héros courtelinesque, je serais un délateur, un inquisiteur et une sorte de Torquemada, on rentre dans un délire d’après repas bien arrosé.
Que l’on me critique, que l’on me trouve insupportable , que l’on ne supporte pas mon caractère, etc … c’est le droit de tout un chacun et le plus facile pour ces gens là serait de ne pas me lire.
Que l’on m’assimile à un oiseau, cela peut être drôle, je le conçois.
Que se soit un perroquet du… Gabon parce que j’ai le teint basané , que je sois parisien, que je me balade avec des dictionnaires sous le bras, que je parle aux goélands, etc… pourquoi pas !!!
Mais quand je découvre dans ce pamphlet que je me restaure le dimanche d’une assiette de crottin chez l’ancien maire dit le « dindon », les bras m’en tombent et les dictionnaires aussi et quand je vérifie que cet élégant conteur est un directeur d’une agence intergouvernementale de la francophonie, je comprends mieux l’état désastreux de notre pays et du rayonnement de sa langue dans le monde.
Passer tant de temps pour salir, cela a bien un sens et c’est surtout l’expression minable de la jalousie.
J’ai toujours dénoncé les gâchis d’argent dans cette commune, sur l’aire de carénage avec le CLJ et, maintenant le cinéma, il y a du travail pour faire la démonstration de cette gestion ruineuse.
Sur l’aire de carénage les quinocéens ne se sont pas bousculés, les Petterson et les Le Cacheur sont restés silencieux, chez ces gens là, on ne met pas les mains dans le cambouis.
J’ai été au bout de ma logique, j’ai, avec l’ancien maire, rassemblé les pièces de ce puzzle très complexe et j’ai aussi constaté que l’on ne jouait pas dans la même division avec des élus actuels et ceux du mandat passé.
C’est un jeu permanent à Saint Quay de dénoncer anonymement, de colporter des ragots, et de caricaturer, hier G. Lambotte était un mammifère , un élan avec des grands bois, aujourd’hui c’est un dindon, moi un perruchon, le maire Blanc une autruche ,le propriétaire de mon logement un canari "grippe sou"!!!
Le zoo de Trégomeur n’a qu’à bien se tenir.
Alors j’aurais dû taire le nom de ce spécialiste de la langue française que nenni, il mérite d’être connu aussi pour sa passion de l’ornithologie , il ne lui manque plus qu'à mettre dans sa volière un corbeau et une poule mouillée.
A moi tout seul, je serais la Sainte inquisition, après m’avoir taxé d’être la plume de G. Lambotte, cela devient vraiment difficile de saisir la finesse de vos bêtises, M Le Cacheur !

Ah !!! Elle est belle la petite bourgeoisie locale.
Les bourgeois, c’est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient bête
Les bourgeois c’est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient…
Les bourgeois, extrait : paroles de jacques Brel, musique de j. Corti


PS : je me suis posé la question de savoir si le quinocéros avait une ou deux cornes, avec ses pérégrinations lointaines je pense qu’il en à deux !!!

JOUNENT michel



mercredi 6 octobre 2010

radio corbeau 06/10/2010

DEBUT JUILLET 2011, ouverture du cinéma.


C’est juré, c’est promis et dès à présent il faut imaginer sa programmation.
Il y aura des films actuels en 3D, il y aura des films de Claude Chabrol qui a si bien dépeint la petite bourgeoisie provinciale avec tous ses travers, il y aura des dessins animés pour les jeunes et les moins jeunes et puis des films où Jean Gabin dira du michel Audiard.
Mais après l’article du LEQ rédigé anonymement dans un premier temps, il est évident qu’il faut protéger ses arrières.
Un couple vous invite amicalement à un souper, avec eux, vous partagez quelques goûts littéraires, la coupe du monde de foot venant, vous êtes sollicité pour trouver un écran de télé et puis patatras, je me retrouve ridiculisé dans un billet anthropomorphique sous les traits d’un volatile par l’homme du couple.
Pourquoi s’abaisser,  Petterson-Bernard andré, à salir en utilisant un pseudo ? La franchise n’est pas encore interdite à Saint Quay.

Mais comme  si cela ne suffisait pas, l’administrateur du LEQ participe, en publiant le billet soi disant humoristique, à ridiculiser l’ancien maire.
Venant de l’administrateur, là, on baigne dans la vulgarité ; l’ancien maire l’a reçu plusieurs fois à son domicile, verre à la main, il ne semblait pas y avoir de problèmes entre les deux hommes !
Ensuite, JF.Villeneuve a invité l’ancien maire à son domicile.
Les masques sont tombés et « E la nave va ».
En attendant le jour de grâce qui verra la réouverture du cinéma Arletty, je propose à la programmation un film "couleur locale".

JOUNENT michel



mardi 5 octobre 2010

Trois hameaux.05/010/2010

CENTRE VILLE.


Le Portrieux, Saint Quay, Kertugal, trois hameaux, trois quartiers qui, au fil de l’histoire locale par un développement de l’urbanisme, se sont rejoints.
Ils forment l’entité communale, la collectivité territoriale nommée Saint Quay Portrieux.
Pour ceux, récemment quinocéens, la remontée du port vers les hauteurs de kertugal ou à l’inverse la descente du Romeur en passant par les Prés Mario vers l’aire de carénage n’offre aucune interrogation sur la continuité territoriale de notre ville.
Il n’y a pas de différence perceptible et de frontière à franchir pour accéder aux différents lieux fondateurs de notre commune.
Avec le temps, la découverte des gens, la compréhension de leur mentalité, de leur histoire personnelle et de l’histoire d’un passé récent, mon affirmation n’est pas aussi tranchée.
Des barrières entre les habitants persistent, une arriération culturelle demeure.
On évoque encore l’école du diable, on parle aussi de l’école du bon dieu.
Les mentalités, en profondeur, ne changent que très lentement à Saint Quay.
Les autres villes de la communauté de commune « Sudgoélo » sont passées par une histoire différente, leur construction s’est déroulée autour d’un centre ville.
Le centre ville quinocéen est improbable, la construction de l’Hôtel de ville entre le Portrieux et Kertugal n’a vraiment pas apporté de grands changements.



Ce que l’on appelle le centre est bien particulier, au devant de l’office du tourisme le stationnement des cars scolaires, des « Tibus » rendent la circulation dangereuse pour les autres véhicules et mettent les enfants en danger.
Les clients du marchand de journaux et de la boulangerie sont souvent des automobilistes, ils perturbent sérieusement la circulation autour de la place.
Le haut mât qui trône au milieu du square porte un éclairage du style « dock portuaire », il n’éclaire pas la chaussée mais les étages des habitations riveraines.
Ce rond point ne donne pas une image et un usage satisfaisant à ce lieu de grand passage de piétons et d’automobiles.
Le centre ville, c’est aussi un ensemble immobilier vieillissant et détérioré, et plus particulièrement dans le périmètre délimité par la rue Jeanne d’Arc, l’office de tourisme, le presbytère, la place de Verdun et la rue Suffren , il y a matière à s’interroger sur le devenir de ce parc immobilier.
La maison de retraite « Jeanne d’Arc » est la vitrine de notre ville, elle est reconnue pour la qualité de ses prestations, la construction doit s’agrandir pour l’accueil des personnes touchées par la maladie d’Alzheimer, cette construction est à sortir de cette interrogation.
L’école privée « Notre dame de la ronce » est dans un état délabré, sa couleur extérieure est de mauvais goût et sa façade entre l’office de tourisme et la bibliothèque est extravagante par ses couleurs.
La bibliothèque et l’antenne de la gendarmerie détonnent à proximité du presbytère.


Le collège « Stella maris » concentre le mauvais goût par son extension en béton, son escalier métallique de secours, son préfabriqué au centre de la cour de récréation et ses classes vieillottes.

L’ensemble des bâtiments religieux est très dégradé, il est quasiment inhabité, une partie est en vente depuis longtemps et ne trouve pas acquéreur.

La chapelle et son clocher, eux aussi, souffrent des affres du temps.

Ces bâtiments appartiennent à une association religieuse, ce patrimoine immobilier, depuis des années, est inhabité, il vieillit mal et se déprécie.

La nouvelle municipalité a de grands projets pour la ville avec « Saint Quay Portrieux 2020 », elle se proposait, après une étude de plus de deux années avant d’être élue, de réaliser dans une partie de cet ensemble immobilier une thalassothérapie.
De ce côté, on est partagé aujourd’hui « entre le plouf et le flop », mais cette fameuse étude a t-elle vraiment existé ???

Ah !!! Si l’on avait un maire présent, un conseil municipal au service de la population, des conseillers municipaux se souciant de l’intérêt général, ce probléme de trouver une solution à l’ usage à ces bâtiments, voir à libérer du terrain par démolition, serait la préoccupation n°1 de cette municipalité, afin de créer un véritable centre ville, commercial, attractif et redonnant vitalité à notre ville.

Pour l’instant, le maire, tout seul dans l’Hôtel de ville, abandonné par son deuxième adjoint, se démène pour se sortir de son plan de circulation, cela ne va pas être facile devant la bronca des commerçants.
Un véritable centre ville, ce n’est pas le bout du Monde M Blanc !!!

JOUNENT michel

lundi 4 octobre 2010

COMPARAISON N’EST PAS RAISON !!!



On en lit de sévères sur le blog du LEQ.
Un chroniqueur anonyme, c’est plus facile, fait, avec l’aire de carénage, un singulier rapprochement.
Et en ajoutant « gate » à « carénage », il pousse la drôlerie à nous faire un parallèle avec l’affaire du « Watergate ».
Sous l’anonymat, on peut se livrer à toutes les outrances.
L’affaire du Watergate est une affaire criminelle, pour avoir fait espionner le candidat démocrate, le Président républicain des USA a dû démissionner dans l’opprobre de ses concitoyens.
Les deux journalistes, à l’origine de la découverte de cette forfaiture, l’ont fait à visage découvert.
Pour revenir de ce côté de l’Atlantique, les changements apportés à l’aire de carénage par le maire et son conseil municipal sont légaux.
L’arrêt des travaux, la reprise de ceux-ci , les modifications de l’emprise, les travaux supplémentaires et le changement de gestion ont été voté et ratifié à l’unanimité par le conseil municipal au complet ( 23 membres ).
M Blanc n’est pas, et ne sera pas le premier maire, à jeter en ce cas d’espéce de l’argent à la mer.
La mise en demeure de la Chambre régionale des comptes de Bretagne n’avait rien d’infamant, elle procédait après la saisine du Préfet au contrôle de la légalité.
C’est le rôle de la CRC ; depuis, les lois sur la décentralisation de mars 1982, elle a contrôlé le budget annexe de cette activité débutante.
Depuis peu, un citoyen anonyme fait sien du document sérieux et circonstancié que j’ai réalisé avec le maire sortant.
Il est vraiment dommage que sa sagacité à constater le mauvais usage des deniers publics ne lui soit pas venu plus tôt !
Au lendemain de l’emprunt de 400 000 €, sur 15 ans, j’ai été le seul à demander des éclaircissements sur cet usage de sa délégation de signature qui autorisait le maire à contracter cet emprunt sans en discuter avec ses colistiers.
Mon courrier, du début août 2009, ayant reçu une réponse insatisfaisante, j’ai réécrit sous couvert de « libre expression quinocéenne » en tant que secrétaire de l’association, pour demander copie de l’avis de la CRC de Bretagne et surtout devant la difficulté à obtenir les documents accessibles à tous citoyens ,de faire intervenir la CADA.
Le 9 octobre 2009, un courrier essentiellement rédigé par moi-même a été adressé à la Préfecture des Côtes d’Armor, le Préfet a confirmé, le 27 novembre 2009 , la loi de décentralisation de 1982, la suppression de tutelle de l’état sur les actes des collectivités territoriales avec le droit de ces dernières à disposer d’une liberté pleine et entière d’appréciation sur l’opportunité de recourir à l’emprunt.
le 6 janvier 2010, nous avons reçu Villeneuve et moi, l’avis rendu de la CRC en date du 29 avril 2009, le maire, dans ce courrier, indiquait que "l’emprunt de 400 000 € correspondait au besoin de financement complémentaire entre le coût des travaux et les subventions obtenues".
Fin de l’année 2009, j’ai rédigé sous le regard de Jf Villeneuve, le contenu d’un tract, nous nous proposions de le distribuer pendant les vacances scolaires.
Le conseil d’administration du LEQ a jugé trop compliqué le contenu du tract, de plus, ces administrateurs ont affirmé que les quinocéens n’avaient que peu d’intérêt pour cette histoire de carénage, deux valeureux membres du conseil ont alors suggéré la rédaction d’ un tract sur les impôts…on l’attend encore.
A partir du constat qu’il se disait des choses et leurs contraires sur l’aire et que le sujet était complexe, j’ai , en rencontrant la personne la plus compétente et la plus incline à démêler le vrai du faux, réalisé avec Gérard Lambotte un document qui tient la route.
« Vérité sur l’aire de carénage et de réparation navale ».
Quinze mois après cet emprunt de 400 000 €, c’est amusant de lire la hardiesse d’un analyste, au sommet de ses certitudes basées sur le travail des autres.
Les chiffres des opérations de grutage, les bilans des sociétés utilisant cette surface ne seront jamais accessibles, les comparaisons avec Paimpol et le Légué sont impossibles à réaliser, les 3 aires n’ont pas la même activité, à Saint Quay, sauf cas de force majeur, les chalutiers y sont interdits.
Une fois leur contrat de location obtenu, les chantiers font ce qu’ils veulent sur leur AOT, ils ont la loi pour eux.
Dès la casse du projet, de sa logique et de son fonctionnement, on aurait pu, en étant plus nombreux et actifs, limiter ce gâchis. Chacun sait que cela n’a pas été le cas.
Les combattants de la vingt cinquième heure arrivent, le maire ne doit pas être rassuré !!!
Une chose me fait profondément sourire, c’est d’entendre, de lire « qu’il était joli le temps passé » et de ressortir les peintres qui ne reconnaîtraient pas les lieux ou, au 19ème siècle, ils ont disposé leur chevalet à Saint Quay.
Monet : à Rouen. Au Havre, Sisley, Pissaro, Signac. A Argenteuil, Cézanne dans le midi. Bernard à Pont Aven, et tous les autre seraient dans le même ressenti.
A chaque fois, avec cette vision passéiste, on essaie de nous tirer les larmes aux yeux en nous racontant des balivernes sur la campagne, le bord de mer et la montagne en France.
Notre pays est l’un des plus visité au monde et tous les gens censés savent que le maximum est fait pour que notre pays reste le plus attractif.
En entendant des gens du cru, j’ai l’impression qu’ils regrettent le temps où l’on identifiait la Bretagne à Bécassine.



JOUNENT michel

samedi 2 octobre 2010

le joujou 02/10/2010

LE JOUJOU DU MAIRE…



Des informations concordantes
conduisent à penser que les travaux de restructuration du cinéma vont rapidement commencer.
Ce projet est entouré de tous les secrets, les promesses qui visaient à prendre les quinocéens pour des gens adultes sont oubliées.
Aucun élu ne connaît la moindre parcelle de ce dossier.
Le plan de financement relève du secret défense, un peu à l’image de la réalisation du CLJ.
On attend encore la, ou les raisons, de l’abandon de la partie théâtrale.
M le maire met dans cette réalisation une énergie que l’on ne lui connaissait pas.
Coûte que coûte, à marche forcée, sans attendre l’obtention réelle des subventions, les travaux sont annoncés et il se fait fort de tenir son pari d’ouvrir la première séance pour juillet 2011.
Ce dossier a été largement sous estimé pendant la campagne électorale de 2008.
Il s’est dit beaucoup d’approximations sur le sujet et certains écrits du futur maire en 2007 sont totalement mensongers.
Sur son blog, support de sa campagne électorale, on peut encore vérifier l’énormité des propositions de M Blanc et en particulier celle là :
« Le cinéma sera réouvert et exploité rapidement pour revenir dans sa configuration initiale, c’est à dire un théâtre municipal afin d’affirmer sa vocation multiculturelle ».
Cette phrase en dit long sur l’incompétence de l’équipe « autrement » quand elle a étudié ce problème.
Le cinéma est fermé depuis 2004.
Le fond de commerce appartenait depuis le 30 juin 1993 à la SARL « Glozel » représentée par M Goter.
Des commissions de sécurité de l’arrondissement de Saint Brieuc ont visité régulièrement le cinéma théâtre « Arletty ».
le 29 juin 1994
le 3 juin 1997
le 6 juin 2000 avec la recommandation de débarrasser les loges en sous sol.
le 26 mai 2003, la commission a prescrit neuf recommandations dont la dernière qui demandait de déposer un dossier de déclassement en 4 ème catégorie, cette commission a émis un avis défavorable à la poursuite de l’exploitation de l’établissement.
Le maire en poste a notifié le procés verbal à l’exploitant.
De 1993 jusqu'à la cession de ce fond de commerce à la ville de Saint Quay Portrieux, aucun travail sérieux n’a été entrepris pour maintenir le cinéma dans un état de sécurité acceptable pour les spectateurs.
Cette cession a été décidée par le conseil municipal du 3 mai 2005 par un vote à l’unanimité des 17 élus présents ou représentés.
L’acte notarial indiquait, en mai 2005, la vente du fond de commerce pour une somme de 11 000 € (5 000 € pour les éléments incorporels et 6 000 € pour le matériel , mobilier et agencement) auxquels s’ajoutaient les frais d’actes.
En novembre 2006, l’Hôtel de ville de Saint Quay Portrieux a sollicité la société Norisko construction (35 770 Vern sur sèche) pour établir un diagnostic sur l’état de ce cinéma « Arletty ».
Le document réalisé, suite à cette expertise, est constitué de 42 pages, on y trouve une description assez alarmante de l’état de cette salle de projection.
Ce document rappelle que l’examen s’est fait sur les parties visibles et accessibles ; le diagnostic parasitaire du bois , sur le repérage de l’amiante et la présence du plomb ne faisait pas partie de la prestation de contrôle technique.
Je me suis procuré l’ensemble des documents , commission de contrôle départementale, acte de cession du fond de commerce, diagnostic sur l’état du cinéma , l’équipe « autrement », en préparant ses propositions sur la réouverture du cinéma, pouvait en faire autant .
Cela aurait évité à cette équipe et son leader de raconter n’importe quoi et de mentir sur la possibilité d’ouvrir de nouveau cette salle de projection rapidement.
Le maire arrivera bien par financer ce cinéma, (emprunt ou auto financement), mais ce qu’il va devoir chercher avec obstination, ce sont les spectateurs pour cette salle moderne.
M Blanc devra faire des prodiges pour la gestion du cinéma,( DSP, Régie municipale ou cinéma associatif ) et pour équilibrer ces budgets de fonctionnement, il sera alors difficile de raconter n’importe quoi.




JOUNENT michel