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lundi 1 novembre 2010

SUR LES JONGLERIES
DE M BLANC.


Pour sauver l’existence d’un commerce de journaux il y avait urgence, selon Mme Poignonnec et M Tanon ; le conseil municipal a voté l’achat des murs de cette maison de la presse situé quai de la République.
OUI, cet achat est surprenant et ouvre à la multiplication de demandes provenant de commerçants en difficulté.
OUI, les critères de ce choix sont arbitraires
OUI, le marchand de journaux a envisagé l’obtention de la licence de buraliste du café tabac-taxi de la rue de la Victoire qui cessait son activité.
OUI, malgré l’intervention de G. Lambotte auprès de la direction régionale des Douanes Françaises, cette dernière n’a pas accepté la demande, le prétexte était la trop grande proximité du tabac de la rue Clemenceau.
OUI, le syndicat des buralistes est consulté par les Douanes sur les transferts de licence.
OUI, il y avait un autre candidat au transfert de cette licence.
OUI, l’imprimeur E. Marion a connu de sérieuses difficultés de gestion, elles l’ont conduit à déposer le bilan, au grand regret de ses clients.
OUI, E. Marion n’était plus en odeur de sainteté auprès du maire et sa démission du conseil municipal n’a rien arrangé.
OUI, E. Marion était le meilleur élu de la liste « autrement » et cela montrait la grande estime que la population avait pour lui.
HELAS pour lui, il n’était pas propriétaire des murs de son commerce et là-dessus on ne peut pas faire un procés d’intention rétroactif à notre maire, le bon samaritain.

JOUNENT Michel



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