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samedi 30 avril 2011

le 1er Mai 2011

UN PEU D'HISTOIRE RÉCENTE....



En France, il est devenu habituel d'offrir un brun de muguet le jour du 1er Mai.
Le muguet, c'est dans notre pays le symbole du printemps.
L'administration fiscale permet aux particuliers et aux organisations syndicales et politiques de vendre sans formalité ni taxe du muguet sur la voie publique.
En avril 1919, le Sénat ratifie la journée de huit heures et fait du 1er Mai une journée chômée.
En avril 1941, le régime de Vichy instaure le 1er Mai comme "La fête du travail et de la concorde sociale "
En 1947, le 1er Mai devient jour férié , chômé et payé.
En 1948, ce jour chômé et payé prend l'appellation de "Fête du travail ".
Des manifestations syndicales de plus ou moins grande ampleur ont lieu chaque année dans la plupart des villes de notre pays.
Le muguet est une plante des régions tempérées, ses clochettes sont très odorantes, cette plante serait originaire du Japon.
En Breton, on appellerait le muguet :louzaouenn-an-haňv.... à vérifier !!!
Mais en français, cette plante hautement symbolique est magnifiquement chantée par un authentique titi parisien : Francis Lemarque, les paroles sont de lui et la musique est celle de compositeurs russes, tout un programme...
 
                    
JOUNENT michel

jeudi 28 avril 2011

casino et minigolf...28/04/2011

DES COMMENTAIRES TENDANCIEUX ET FANTAISISTES sur le LEQ,
 à propos du minigolf et du casino!!!





Le casino apporte 30% des recettes de la ville.
Le parking actuel du casino sous le nouveau CLJ est constitué de 43 places.
Dans l'aménagement voté par le conseil municipal, notre maire propose le déplacement de ces 43 places en lieu et place du minigolf, l'ancien emplacement devenant une promenade arborée pour piétons.
Cette opération ne résulte pas d'une demande de la direction du casino.
Il faut souligner que dans cette période de crise économique, le casino de Saint Quay Portrieux n'a pas connu de baisse significative de son activité et sa récente rénovation ne doit pas être étrangère à son bon classement par la presse des établissement de jeux.
Le casino, dans sa première mouture, date de 1929, il fait parti des premières réalisations du maire bâtisseur Alfred Delpierre, le minigolf semble être une réalisation des années 1950.(sans certitude )

La partie du casino qui abrite les machines à sous montre encore les caractéristiques de la première construction, celle où les étages abritaient la thalassothérapie, un établissement unique dans la région.
Depuis, ce bâtiment a beaucoup évolué, des toitures originales en ardoises ont été réalisées et la partie restaurant a connu de nombreuses transformations.
Ce premier casino a été construit sur un terrain communal, les murs appartiennent à la ville et le casino est le locataire de la commune.
A côté du casino, dans les années trente, sur un terrain communal, des constructions en bois se sont multipliées; ensuite, un bar-restaurant en maçonnerie "le Saint Quay bar" a été réalisé.
Il a connu une complète rénovation dans le début des années 2000, il a changé de propriétaire et la ville n'est pas tombée d'accord sur le montant d'un dédommagement pour en devenir propriétaire.
Le propriétaire du casino voulait, de son côté, toujours dans le début des années 2000, augmenter le nombre de ses machines à sous et la quantité des tables de jeux.
Pour cela, il fallait plaider un dossier de demande d'autorisation devant une commission ad hoc au Ministère de l'Intérieur à Paris.
Le propriétaire du casino a obtenu l'autorisation de développer son activité grâce à la plaidoirie décisive de G Lambotte, maire en exercice.
A partir de là, le propriétaire du casino de Saint Quay, propriétaire aussi des casinos de Quiberon, de Pornic et des Sables d'or, en acceptant la proposition de vente du restaurant mitoyen, est devenu propriétaire du Saint Quay Bar.
Les conditions étaient requises pour construire un établissement répondant aux textes réglementaires avec, en particulier, des entrées différenciées pour accéder aux salles de jeux et au restaurant, c'était d'autant plus nécessaire que du côté des jeux, une pièce d'identité est aujourd'hui obligatoire.
Le restaurant, avec sa mezzanine, est tournée vers la mer et offre une belle terrasse abritée du vent.
Le rôle de la mairie dans cette construction du nouveau casino a été d'insérer le mieux possible son architecture dans le paysage urbain quinocéen .
Cela semble avoir réussi et les remarques hostiles et négatives ne se font plus entendre.
Tous ces travaux ont été financés par le propriétaire du casino, il a signé un bail emphytéotique avec la mairie de 50 ans; cette durée atteinte, la mairie deviendra propriétaire de l'immeuble entier, le loyer de l'ensemble a été revu à la hausse.
Alors, quand je lis en commentaire sur le LEQ que cela a été une erreur de transformer le casino, qu'il aurait fallu plutôt construire un nouveau casino sur l'emplacement du minigolf et déplacer le minigolf à la place du casino, je me pose une simple question:
qui aurait financé ces opérations: destruction du golf, construction du nouveau casino, destruction de l'ancien casino et construction d'un nouveau golf?
LA MAIRIE !!!
Depuis quand une collectivité territoriale finance la construction d'un casino?
Le propriétaire du casino ... quel intérêt d'investir énormément plus pour avoir un restaurant en bordure du boulevard sans le plaisir d'offrir le spectacle de la mer.
Ce n'est pas parce que notre maire a des idées farfelues qu'il faut avancer des âneries.
La destruction du premier casino "Delpierre " provoquerait à l'évidence les mêmes réactions que pour le minigolf arboré, de l'animosité et de l'incompréhension; on ne touche pas au patrimoine de notre ville.
Enfin, une autre baliverne a balayé d'un revers de main celle de lier l'avenir du casino avec le classement de la commune en station balnéaire, le seul effet d'un déclassement serait la diminution des indemnités des élus.
Rédacteurs, commentateurs anonymes et administrateurs du LEQ, inutile de faire la course avec notre maire, dans le domaine des idées extravagantes , dispendieuses et à dormir debout, il aura toujours plusieurs longueurs d'avance.
                   

JOUNENT michel

mercredi 27 avril 2011

parasites...27/04/2011

CINQ MOIS APRÈS LE DÉBUT DES TRAVAUX,




Un commando hyper spécialisé intervient sur le site du cinéma Dominique Blanc.
A coup de pulvérisation de xylophéne et avec l'utilisation de chalumeau style "lance flamme", ces hommes équipés de vêtements protecteurs vont éradiquer :
La Mérule.
Et comme aurait pu le dire notre " M Cinéma" le conseiller Néant, mieux vaut tard que jamais.



JOUNENT michel

lundi 25 avril 2011

le bazar...26/04/2011

EN VILLE,
LE BAZAR CONTINUE!!!



La mairie accorde des permis de construire, c'est son rôle et elle se doit de vérifier, dès le début des travaux, leurs réalisations en accord avec le permis.
Dans la rue du Général Castelnau, une rue typique de Saint Quay , on y circule sur une voie unique, étroite, sinueuse et ceinturée de hauts murs, les autorités municipales ont accordé un permis de construire un pavillon en août 2010.
Les travaux ont été menés rapidement , ils ont provoqué inquiétude et étonnement chez les riverains et en particulier par le rétrécissement de la chaussée.
Ils se sont déplacés en mairie, ils ont essayé en vain d'attirer l'attention du "responsable" à la voirie, l'adjoint au maire M Oliver.
Ce dernier les a renvoyés auprès de notre omnipotent premier magistrat , car aujourd'hui tout passe par lui... Explosée l'équipe municipale!!!
Devant les interrogations que posent cette construction, M Blanc a fait savoir au conseil municipal du 21 avril 2011 qu'il avait produit un arrêté ordonnant l'arrêt des travaux.
C'est le début d'une affaire qui va s'inscrire dans le temps, si il doit y avoir démolition de l'empiétement sur la chaussée , la commune, par le maire, dans le cadre de ses délégations, va devoir faire appel à la justice et tout cela parce que depuis trente mois, il n'y a plus personne de valeur pour maîtriser le secteur si important des travaux sur  la commune.               
M le maire n'aime pas qu'on lui fasse de l'ombre au sein de son équipe"Autrement".
Il y a bien eu en début d'année 2010 la promotion du conseiller Néant pour s'occuper de la voirie, de sa propreté et plus si nécessaire.
On allait voir ce qu'on allait voir, on n' a pas vu grand chose , on se souvient juste de l'avoir entendu dire au conseil municipal qu'il s'abstenait dans l'achat de la librairie du port.
Depuis, il est vrai qu'il a pris du galon, il est devenu "Monsieur Cinéma", responsable entre autre de la réparation du projecteur 35mm de la plus belle salle de projection de Bretagne, Le cinéma Dominique Blanc.
En attendant l'inauguration, il incarne"Le mécano de la Général " en quelque sorte un Buster Keaton local.
La ville est depuis peu ravagée par des engins de travaux publics, les chaussées sont défoncées et en cette période de beau temps ce n'est pas du goût des commerçants et des touristes.
La poussière est partout et avec en plus le bruit, c'est quand même singulier de programmer de tels travaux pendant les congés scolaires de Pâques.
Le summum est atteint rue des marronniers où les riverains sont exaspérés par l'attente de la réfection de l'enrobé de la chaussée après les travaux d'assainissements.
Ils vivent calfeutrés chez eux, les plantations sont abîmées par la poussière, la rue avec la sécheresse actuelle est devenue "une spéciale" du Paris-dakar si chère à l'ami du maire, l'écolo bobo Yann Arthus- Bertrand.
Au dernier conseil municipal, on a eu aussi la confirmation que l'aire de carénage était devenue la "chose" des quatre chantiers navals (3 tagarins et un quinocéen ).
Le chantier de réparation Pacalet déménage et le loueur de voiliers quitte cette surface de travail.
Ces 725 m² sont repris par le chantier "Rouxel" dans le cadre d'une Autorisation d'Occupation Temporaire (AOT ); pour cela, il a demandé le déménagement du voilier en adjudication judiciaire actuellement sur l'emprise nouvellement louée.
Ce voilier sera déplacé sur la partie déjà bien réduite en self-service et cela au frais de la régie municipale.
La boucle est bouclée, un investissement public est passé sous la coupe de quatre chantiers privés dont le seul souci est de faire du profit , on est bien loin du projet initial:
CELUI DE RENDRE UN SERVICE AU PUBLIC PAR UN INVESTISSEMENT PUBLIC.
Et il n'est pas étonnant de constater, vu les tarifs pratiqués par les chantiers pour le grutage et le carénage que beaucoup de quinocéens se retrouvent sur l'aire en self service du Port du légué géré par la CCI des Côtes d'Armor.
Notre maire semble avoir pris ces quartiers d'été, les beaux jours y sont sans doute pour quelque chose, il va pouvoir se pencher sur les dossiers chauds qui scandalisent un grand nombre de quinocéens, l'aménagement des jardins du Portrieux, l'espace autour du casino et son cinéma de plus en plus coûteux.
Dans le programme "Autrement " on ne lit nulle part que la partie théâtre du cinéma-théâtre serait supprimée, que le minigolf serait rasé et au mieux transféré au dessus de la piscine pour devenir mini-minigolf, que la rue Martouret serait transformée en parking, et que du côté du port, les voitures et les poids lourds passeraient au pied des constructions.
Il est grand temps de revenir les pieds sur terre M le maire , n'est pas Delpierre qui veut; les temps ont changé et il n'y a plus, même si la ville est encore riche, les moyens financiers pour financer vos transformations radicales dont l'utilité sera, au mieux, de deux mois par an.

                    
JOUNENT michel

dimanche 24 avril 2011

l'enrochement... 25/04/2011

DU CÔTÉ DE LA GRÈVE NOIRE...

La reprise des enrochements au droit de la cale n 'est toujours pas réalisée.
Après avoir signalé au maire par courrier le 15/09/2009 la dégradation de la digue constituée de rochers, M Blanc a fait la réponse suivante le 1er octobre 2009: l'intervention visant à reprofiler le cordon d'enrochement est programmé et se fera dans les semaines à venir.
Le 27 septembre 2010, sur " le blog de Michel " j'ai réalisé un articulet pour souligner qu'une année était passée et que la promesse de consolider l'enrochement n'était pas tenue.
Aujourd'hui 25 avril 2011, je constate après les tempêtes d'hiver et les vents de "nordet" l'aggravation de la situation, les rochers continuent à dévaler la pente , se fracassent et réduisent l'accès à la cale de mise à l'eau.
Nous attendons toujours la tenue de vos promesses M le Maire.
                                                                                                                                                                                                         
                   
COULANGEON jean françois

vendredi 22 avril 2011

conseil municipal.21/04/2011

COMME CARTHAGE, LE MINIGOLF SERA DÉTRUIT!!!

Malgré la pétition signée par 700 personnes , le saccage aura lieu.
Notre maire, ce grand démocrate, a cependant partiellement écouté les quinocéens, il ne déplacera pas le minigolf vers le parc de la Duchesse Anne mais il le fera reconstruire sur la plate forme surplombant la piscine marine.
Ce déplacement sera une originalité sous le rond point Delpierre.
L'ancien maire Delpierre n'occupe pas une place bien importante dans la mémoire quinocéenne, il va retrouver une nouvelle notoriété par cette présence insolite face à la mer , aux embruns et au vent.
Toujours avec l'aplomb qu'on lui connaît, M Blanc a expliqué que le nouveau minigolf sera protégé par des panneaux et, comme c'est un bout en train, il a justifié la présence de ces protections pour empêcher le saut des joueurs de golf dans la piscine pour récupérer les balles perdues!!!
Après le "street golf ", on aura bientôt le "beach golf ", on est en pleine "branchitude " à Saint Quay Portrieux !!!
On ne s'ennuie jamais les soirs du conseil municipal de notre station balnéaire.
Adieux aux arbres du minigolf, adieux aux souvenirs, adieu à cette attraction familiale en centre ville et place à la bagnole...
M le maire, vous allez demain décevoir votre ami "le photographe-écolo yann Arthus -Bertrand," il vous le pardonnera sans doute quand il se souviendra qu'il a pendant 10 ans couvert la honteuse course Paris-Dakar.

600 signatures soi disant et la municipalité construit un cinéma haut de gamme à un coût exorbitant. 1 000 000 € pour commencer + les retards (mérule )+ la refection du parking jb Barat .

700 signatures pour sauvegarder une attraction qui a fait la joie de plusieurs générations de quinocéens et la municipalité s'asseoit dessus , elle s'apprête à signer l'arrêt de mort de ce petit trésor arboré à l'abri du casino.
Au dernier conseil, ils n'étaient que douze présents et les absents n'étaient pas des moindres, trois adjoints manquaient à l'appel; au cours de la séance, deux élus ont quitté la séance.
Le malaise est perceptible dans cette assemblée municipale.
Ce n'est pas facile de travailler avec M Blanc, la preuve nous en a été apportée par lui même, il nous a présenté un nouveau Directeur Général des Services.
Depuis son arrivée , le maire a "usé" quatre DGS , et le cinquième est là pour 6 mois.
Il faut souhaiter bon courage à ce nouvel arrivant, en espérant que cette succession de cadres durant ces 37 mois de gestion "Autrement " ne jette pas le discrédit sur notre commune.
Sur l'affaire de l'achat des murs de la librairie du port, la mairie n'est toujours pas propriétaire du lieu, selon notre maire, la levée d'une ou des hypothèques tardent à cause du personnel insuffisant aux bureaux des hypothèques du département!!!
Et aussi à cause de votre serviteur qui, en demandant l'annulation de la délibération du 29/10/2010 au tribunal administratif de Rennes, a perturbé l'établissement de ce dossier complexe a cru  pouvoir dire  le  premier  magistrat.
Le procès sur le fond dira si oui ou non j'ai défendu l'intérêt général, à suivre...
Le spectacle "son et lumière" est délégué à un association subventionnée , dirigée par M Le Tallec et Mme Quéré attend les propositions de ce dernier.
Le spectacle de "son et lumière" abandonné l'an passé était le fruit du travail de la commission extra municipale de la culture et de M Le Tallec en particulier.
Il est très difficile d'imaginer comment cette initiative présentée hier comme grandiose finira t-elle?
Le coeur n'y est plus et les orthodoxes détenteurs de l'histoire quinocéenne ont su se faire entendre .
Pour en terminer avec "le cinéma Dominique Blanc", notre maire a déclaré qu'il avait examiné en commission trois candidatures de directeurs et que son choix s'était porté sur le plus compétent, on attend encore la composition de cette commission!!!
Quant à l'offre d'appel à candidature pour faire le choix d'un délégataire de service public , le maire ne semble pas avoir la mémoire des dates .
Encore un conseil municipal insipide où tout est réglé d'avance et où la moindre interrogation d'un élu est balayée par notre grand démocrate de maire.

JOUNENT michel


mercredi 20 avril 2011

son et lumière...20/04/2011

SON ET LUMIÈRE.





Qu'est devenue la grandiose initiative "La mer m'enchante" de Mme Quéré, l'adjointe à la culture de notre municipalité ?
Fin 2009, la commission extra municipale de la culture (ouverte à tous les citoyens ) a pris la décision importante d'organiser un spectacle populaire.
Le but retenu était de combler "le manque de lien " entre les personnes: habitants permanents , résidants secondaires et population de passage.
Il était proposé de rassembler le 14 août 2010 vers 22 heures , plusieurs milliers de spectateurs sur la plage du casino devant l'établissement de jeux , de voir et d'entendre sur une scène dressée en bord de mer des chanteurs et des danseurs folkloriques.
Pendant une heure , des bénévoles devaient évoquer par des chants et des danses, le passé lointain, le passé proche et l'actualité quinocéenne.
Ce spectacle sonore et lumineux se devait se terminer par un feu d'artifice et par une "Fête vénitienne " sur la mer avec, à la manoeuvre, l'association des pêcheurs plaisanciers de Saint Quay Portrieux .
Tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes , le 28 mai 2010, le sieur Le Tallec, en grand maître de cérémonie, déclarait que l'affaire était sur les rails et qu'il n'y avait aucun souci à se faire .
Pour réaliser ce spectacle "Son et Lumière", un metteur en scène avait été recruté, une pointure!!! un certain M Quéré , le conseil municipal avait voté une subvention de 5 000 € pour engager l'affaire , à cela étaient ajoutés 1 500 € trouvés en dehors de la commune.
On avançait un budget total pour ce spectacle de 25 000 €.
Et puis , patatras , le 1er juin 2010, plus de son , plus de lumière , le spectacle était suspendu.
Des intégristes* du premier cercle d'amis du maire ont fait connaître leur répulsion à entendre et à voir galvaudée l'histoire quinocéenne.
On ne raconte pas Saint Quay de la sorte , on ne raconte pas le glorieux passé de la pêche à la morue partant du Portrieux par des chansonnettes insipides et par des danses quelconques.
Il fallait se pencher et revoir sérieusement le contenu de ce spectacle "Son et lumière", et surtout avec doigté , élaborer quelque chose de plus noble et de plus respectable.
Bref , exit pour l'année 2010 et rendez vous pour la mi-aoùt 2011.
Il reste quatre mois d'ici le 15 août et rien ne transpire du côté de la pétulante adjointe à la culture, Mme Quéré .
Est- ce encore d'actualité et le spectacle aura t-il lieu ?
Je ne peux croire que les sommes dépensées lors de cette première préparation avortée soient à fonds perdus.
Ce serait fouler au pied l'affirmation définitive et sans appel de M Blanc.
Un Euro dépensé sera enfin un Euro utile.

JOUNENT michel

*On peut lire dans "la presse d'Armor " de cette semaine un texte écrit au vitriol par l'un des détenteurs autoproclamé de la mémoire de la ville et membre démissionnaire de la commission extra municipale de la culture.
Cela en dit long sur ce monsieur qui en est encore à évoquer le droit du sang sur le droit du sol, autrement dit:
Quinocéens de souche , vous avez le droit à la parole ...les autres circulez et silence dans les rangs!!! 

lundi 18 avril 2011

deux poids, deux mesures...18/04/2011

DEUX POIDS, DEUX MESURES!!!



Au cours de l'hiver, des rues sans importance, desservant quelques riverains le plus souvent résidants secondaires, sont refaites à neuf.
On y a supprimé l'alimentation aérienne électrique et téléphonique, remplacé les lampadaires, revu l'assainissement.
Dès que les beaux jours reviennent , c'est reparti pour répandre des gravillons et du bitume dans de nombreuses rues , gravillons qui, dans les jours suivants, sont ramassés par la balayeuse....curieux!!!
Et comme on s'est bien ennuyé à Saint Quay Portrieux pendant la mauvaise saison, dès les vacances scolaires de Pâques, le maire, en chef d'orchestre organise des travaux importants.
On défonce la chaussée pour la pose de nouveaux câbles électriques transportant la haute tension.
C'est évident , dans le département , les entreprises spécialisées dans ce genre de travaux ont beaucoup de difficultés à programmer les chantiers pour gêner le moins possible les intérêts de chaque commune.
Mais il y a des municipalités qui savent se faire entendre et d'autres pas .
La 16 ème semaine de l' année va voir des commerçants consternés, ce n'est déjà pas facile commercialement pour eux, ils vont devoir subir les nuisances provoquées par l'éventration des chaussées , bravo la municipalité!!!
Les élus de notre commune sont tous plus formidables les uns que les autres :
Ils reconnaissent, au bout de deux ans, qu'il ne fallait pas interrompre les travaux de construction de l'aire de carénage.
Ils n'éprouvent aucune émotion particulière devant l'effondrement des falaises et la fermeture depuis 16 mois du GR34 devant le Ker Moor.
Ils regardent avec désarroi la fermeture depuis près d'un an du Centre des Congrès et ils s' interrogent peu sur le montant du remboursement des dégâts par l'assureur.
Ils n'ont rien compris sur l'achat des murs d'un commerce au Portrieux et rien compris à cette affaire de "subprime à la quinocéenne ".
Ils suivent de très loin les travaux de l'héritier local du Baron Hausmann : notre maire "dit" l'architecte du Saint Quay 2020
Ils assistent en spectateur à la pléthore d'embauches de cadres et se désintéressent de leurs conséquences sur les finances locales.
Depuis 37 mois:
Un Directeur Général des Services débarqué en début de mandat.
Une DGS intérimaire recrutée.
Un DGS embauché et ensuite, 18 mois plus tard, débarqué et mis à la disposition du centre de gestion du 22.
Une DGS actuellement en poste au titre incertain.
Une responsable des jardins !!!
Une responsable du CLJ le samedi après-midi.
Un directeur de la communication.
Un directeur du cinéma pour six mois renouvelables pour la programmation des films et, pour l'instant, spécialiste en mycologie.
Et j'en oublie...
A Saint Quay Portrieux, le déclin se poursuit, les commerces d'alimentation restants ne vont pas tarder à recevoir de plein fouet les effets de l'ouverture d'un magasin "low cost" sur la ZA des islandais .
Pour le commerce de proximité, la situation devient très délicate, il est grand temps que nos élus se bougent , tiennent les promesses contenues dans le programme "Autrement" et surtout cessent de croire aveuglément que notre ville renaîtra à partir de la construction du splendide et coûteux cinéma D.Blanc.

JOUNENT michel



samedi 16 avril 2011

Pour une nouvelle appelation...16/04

DU PASSÉ , FAISONS TABLE RASE !!!

Après sa restructuration, il ne restera plus de l'ancienne salle que son apparence extérieure.
A l'intérieur , plus rien ne subsistera de l'ancien cinéma, sa partie théâtrale ne sera plus qu'un souvenir.
Je l'ai écrit maintes fois , le nom du cinéma est celui d'une actrice au passé peu glorieux pendant l'occupation.
Sa seule défense, au moment de l'épuration, a été de déclarer avec sa gouaille légendaire:
"Si mon coeur est français, mon cul, lui, est international".
Tout le monde encore apprécie son talent d'actrice en revoyant ses films, en écoutant ses disques.
Mais notre ville honore, en donnant à des noms de rues  des événements intervenus lors de la dernière guerre, le nom de ses enfants morts au combat, morts de persécutions, elle célèbre aussi les militaires résistants.
On se rappelle la victoire de la 1ere brigade française  libre , en donnant le nom de    Bir-Hakeim.
On a donné le nom du Général de Gaulle à un boulevard pour célébrer son appel au sursaut national.
On a célébré le nom du Général Leclerc, le libérateur de Paris.
.On passe avec respect devant la  plaque rappelant  le  courage l'adjudant-chef Cadot fusillé par  un occupant "barbare".
On a inscrit sur le monument aux morts le nom des quinocéens morts au champ d'honneur.
On a érigé une stèle pour commémorer le martyr des jeunes du bateau "le Vicking", ils voulaient rejoindre le France libre en Angleterre.
Il n'est pas interdit, au moment de la réalisation d'un nouveau cinéma, de lui trouver un nom plus en phase avec le sacrifice et le courage des personnes précédemment nommées.
Le cinéma, nous le savons, est le "joujou" de notre maire, aussi, je lui propose le nom d'une actrice à mettre au frontispice  du cinéma.
Elle est excellente au théâtre*, émouvante au cinéma*, et ne souffre d'aucune compromission compte tenu de sa jeunesse.
Ce nom est celui de la talentueuse comédienne:
Dominique Blanc.
Cela aurait de l'allure si, de plus, elle était invitée à l'inauguration de la nouvelle salle de projection.

*elle est entre autre Phédre au théâtre ,elle  tourne dans  la Reine  Margot, dans  Indochine au cinéma , elle est Mme de Maintenon à la télé et elle a  interprété des centaines d'autres rôles.
JOUNENT michel

jeudi 14 avril 2011

la mérule...14/04/2011

 MÉRULE, VOUS AVEZ DIT MÉRULE !!!


Le 7 décembre 2010, la mairie annonçait en grande pompe huit mois de travaux en perspective pour restructurer le cinéma.

On indiquait aussi que, chaque semaine, les entreprises intervenantes se réuniraient autour du maître d'oeuvre et du directeur technique de la ville.
Cinq mois plus tard , suite à l'effondrement de l'escalier menant à la partie haute de la salle , on découvre que le bois formant les marches a subi les attaques d'un champignon lignivore.
Il s'attaque aux bois , cartons et livres.
Il se développe dans l'obscurité, l'humidité et l'absence d'aération; le cinéma est fermé depuis 2004.
La mérule se déplace facilement, l'homme, le vent et les animaux sont des vecteurs pour transporter les spores de ce champignon consommateur de cellulose.
En Bretagne, elle est extrêmement fréquente et toute attaque de ce champignon , non comestible, est à signaler à la mairie ou à la Préfecture.
L'éradication de ce champignon est réglementée et seules des sociétés spécialisées peuvent intervenir.
Le traitement est toujours difficile et il faut aussi se débarrasser des matériaux en contact de cette lèpre.
Traiter la cage d'escalier, refaire un escalier et exécuter un traitement curatif plus général occasionneront un surcoût non négligeable au million d'euros annoncé HT.
Pour l'adjointe à la culture, cette présence, ce sont des aléas; pour le second adjoint, on ne pouvait pas savoir avant le "désossage" de l'ancienne structure; en attendant, une personne a failli se rompre les os quand l'escalier s'est dérobé sous elle .
C'est un peu court,
 madame et monsieur les adjoints.
Depuis cinq mois, dans un bâtiment fermé depuis 7 ans, dans une région où la mérule fait des ravages , aucune expertise sur la présence de ce parasite n'a été réalisée ; par contre, du côté du mini-golf, on sait, au niveau municipal, déclancher une analyse phytosanitaire pour justifier l'abattage prochain des arbres.
La mairie achète sur le quai de la République les murs d'un commerce, l'affaire n'est toujours pas réglée , apparemment, scinder une hypothèque relève d'un casse tête chinois, elle ferait bien de ce côté de se montrer plus circonspect en faisant examiner les lieux par des spécialistes de la mérule, cela éviterait éventuellement des surprises désagréables.
D'une manière générale, les notaires et les marchands de biens exigent, sans que cela ne soit encore obligatoire, la présentation par le vendeur d'une expertise sur la présence éventuelle de la mérule.
Les mauvaises surprises, les aléas se multiplient à Saint Quay Portrieux.

Qui attire un chat noir dans ce conseil municipal?

Le directeur fraîchement engagé pour la programmation et le suivi du chantier pour six mois renouvelables , pour tenir la prochaine date d'ouverture, n'a plus qu'a se munir d'un panier pour ramasser ces champignons avant qu'ils ne deviennent hallucinogènes.

JOUNENT michel



mardi 12 avril 2011

budget annexe...12/04

C'ÉTAIT BIEN LA PEINE...
de provoquer la peur et la polémique autour de l'aire de carénage, la restructuration du cinéma revient comme un boomerang à la tête des détracteurs de l' indispensable équipement subventionné à 75 %.

Il est certain que la ville aura, d'ici quelques mois , une salle de projection magnifique mais à quel prix et surtout à quel coût d'usage pour le contribuable?
Les quinocéens passeront devant un cinéma ultra moderne, avec une projection numérique, un son idoine et puis surtout en hiver... du chauffage.
Tout comme l'aire de carénage, le cinéma, au nom d'une actrice qui vécut couchée pendant l'occupation , est concerné par un budget annexe.
Le cinéma et l'aire de carénage sont des équipements commerciaux et industriels, leurs gestions doivent se trouver en équilibre par le seul produit des recettes de leurs utilisateurs.
Sur l'aire de carénage , construction traitée de pharaonique par les colistiers du futur maire M Blanc , l'investissement initial était de 3 066 756 €, la charge revenant à la ville était de 780 936 € (25 %)
Le délégataire de service public retenu devait, par le contrat signé, une redevance qui couvrait les annuités de remboursement de l'emprunt réalisé par la commune pour cette construction.
Si le maire actuel n'avait pas arrêté les travaux et si les élus n'avaient pas modifié la dimension de l'aire dans l'intérêt d'un chantier en particulier, et des autres en général, il n' y aurait pas eu besoin d'emprunter 400 000 € supplémentaires et le budget annexe se serait trouvé rapidement en équilibre.
Aujourd'hui , il a fallu "bidouiller" pour équilibrer le budget annexe de l'aire de travail en le fusionnant avec le budget annexe du port d'échouage.
On ne peut pas taire que les tarifs pratiqués pour le mouillage d'un bateau étaient très bas, mais est-ce une raison de pénaliser une population populaire pour réparer l'amateurisme des décisions municipales prises sur l'aire de carénage?
C'est singulier d'aligner les tarifs sur ceux les plus élevés de la région comme les ports de Binic ou de Dahouet .
Le cinéma en restructuration est contenu dans une enveloppe de 1 000 000 € HT et subventionné à 50 %.
Les subventions sont espérées et tant que les travaux ne seront pas terminés, bien malin qui pourra détenir une telle certitude , d'autant que des rumeurs , des bruits, des informations d'origines sérieuses laissent entendre que des imprévus sont apparus dans la réalisation des travaux.
Au train où vont les choses et si les subventions sont obtenues, la municipalité est en passe d'investir une somme au moins égale , voir supérieure à celle engagée pour l'aire de carénage.
Le carénage est obligatoire sur un espace prévu à cet effet, il y a mille bateaux au port d'Armor, cinq cents au port d'échouage , des centaines de bateaux à Binic et beaucoup dans des mouillages comme à Saint Marc , anse de Treveneuc.
Une aire de carénage , avec un nombre important de bateaux "captifs" fait qu' une gestion équilibrée est raisonnablement possible.
Pour le cinéma , il n' y a aucune obligation à le fréquenter; depuis sa fermeture, faute de clients, bien des habitudes ont été prises , la population âgée de notre commune a continué à vieillir et la TV, avec des centaines de chaînes thématiques, avec une qualité d'image et de son extraordinaires en Haute Définition, changent la donne.
Cette restructuration repose sur un pari!!!
Redonner vie à la commune , arrêter son déclin, c'est un pari osé, c'est aussi un pari risqué pour les finances locales car, sur cette réouverture, pèse l'absolue nécessité d'équilibrer le budget annexe.
Cette salle sera magnifique au milieu d'un petit parking et d'un environnement désert par l' absence de bar ou de restaurant hormis la buvette construite sur la scène de l'ex.théâtre.
Pendant les vacances scolaires ou estivales, les jours de mauvais temps , les matinées feront recette , mais une fois terminé le surcroît de population, à quel prix sera le ticket pour équilibrer le budget annexe et surtout quel sera le niveau minimum de spectateurs pour annuler une projection prévue?
Imaginer le devenir de cette salle en cinéma d'"Art et d'essais" est aussi un pari audacieux.
Mais le plus choquant , c'est la charge que la municipalité fait déjà peser sur ce budget annexe par le recrutement d'un directeur hautement qualifié.
Passons sur la manière de le recruter, mais il est difficile de passer sous silence la disproportion entre la dimension de la salle (190 places ) et le titre ronflant du directeur par le descriptif de l'emploi, par la mission assignée à ce responsable et le profil recherché au travers de l'offre d'emploi éditée par le centre de gestion des Côtes d'Armor.
Comme tout pari, on ne gagne pas à tous les coups, mais il est vrai qu' avec l'argent du contribuable on prend souvent des risques dépassant l'entendement.

JOUNENT michel

samedi 9 avril 2011

opacité et secret... 09/04

DANS L'OPACITÉ ET TOUJOURS DANS LE SECRET...

Le maire a recruté un directeur pour la salle de cinéma "Arletty "
Ce recrutement est envisagé pour une période de six mois renouvelable.
Comme un amiral commandant son futur navire , le nouveau recruté prend possession du bâtiment avant la fin des travaux de restructuration et de son inauguration pour l'été.
Ce directeur contractuel (cadre A ou B ? ) a un travail considérable devant lui: promotion de l'établissement, développement de la clientèle , organisation de la programmation et des événements cinématographiques trimestriels.
On se souvient qu'il y a eu deux projets pour reconstruire cette salle fermée pour sa non conformité aux normes de sécurité et surtout par l'absence de clientèle.
un projet refusé par la direction des monuments classés.
un projet plus onéreux, accepté , respectant des éléments de ce cinéma classé ???
Le directeur nouvellement recruté est là provisoirement !!! en attendant le résultat de l'appel à candidature d'un délégataire de service public (DSP ).
Cet appel à candidature a été déposé bien tardivement , sa publication dans la presse est en date du 17 janvier 2011 et les candidatures devaient parvenir en mairie avant le 25 février 2011.
La question de savoir quel sera le mode définitif de gestion de ce cinéma est posée.
D'un côté, un manager au CV "gros comme le bras "pour diriger cet équipement en régie municipale et, de l'autre, un délégataire encore inconnu à qui l'on demande de se rémunérer par les résultats de l'exploitation et qui devra, de plus, verser une redevance mensuelle de 1 500 euros à la mairie.
Dans ce recrutement, il est choquant de constater le peu de curiosité des élus, leur renoncement à débattre les délibérations proposées par le maire et par son petit cercle de fidèles.
La délibération N° 10-03-16 l'autorisant à créer un poste de directeur de cinéma devait être suivie d'un appel à candidature par titres , mutations ou concours, cela n'a pas été le cas.
En moins de 15 jours , le maire a réalisé ce recrutement et le hasard faisant bien les choses, cette personne a exactement le profil du candidat recherché .
Il réside à 250 mètres de la mairie et à 500 mètres du cinéma, il est immédiatement disponible et, quand on s'intéresse à son profil et à ses activités sur le réseau social "Face book", on s'aperçoit qu'il a toutes les qualités que le maire demandait dans une offre d'emploi N° 002211018746 publiée par le centre de Gestion des Côtes d'Armor en date du 13/01/2011 , valable jusqu'au 13/02/20011 pour un poste à pourvoir le 15/02/ 2011.
Cette annonce est la démonstration que le candidat retenu était bel et bien déjà choisi et que la délibération votée par onze voix pour, contre quatre et une abstention, n'était qu'une parodie de vote et la régularisation du choix du maire et de son adjointe à la culture.
Notre conseil municipal n'est qu'une chambre d'enregistrement et, hélas, ce n'est pas propre à notre commune; partout le copinage triomphe!!!
            
                      
Il est grand temps d'oublier les phrases sentencieuses de notre maire écrivant dans son programme pour les municipales 2008 " à la connotation moralisatrice dont celle ci: "aujourd'hui, il n'est pas concevable que les élus gèrent leur commune en décidant seuls , sans concertation en amont avec leurs administrés...."
  
   On vit un moment de grande effervescence à Saint Quay Portrieux , à l'approche des vacances pascales, on blanchit les trottoirs de la rue principale , on s'active du côté du Centre des congrès pour sa réouverture prochaine et on ne sait toujours pas le montant de la participation de l'assureur sur les    700 000 euros nécessaires à la réalisation des travaux.
Le GR34 lui, ne sera toujours pas accessible à la hauteur de l'hôtel Ker Moor pour les vacances scolaires, peu importe, on pourra toujours aller constater que la ruine du nouveau port est détruite et que les travaux ont fait découvrir que construire sur ce sol fait de remblais ne sera pas simple pour le futur bâtiment de la coopérative maritime.


JOUNENT michel

mercredi 6 avril 2011

golf...06/04

APRÈS LES ARBRES MALADES
 DU MINIGOLF...

L'initiation au"street golf " sonne le glas de ce lieu de loisirs et de détente!!!
Il ne sera plus nécessaire d'avoir un lieu approprié pour pratiquer le golf ou le minigolf.
Adieu les Ajoncs d'or de Lantic et place aux bagnoles à Saint Quay!!!
Finit les règles du jeu, on les invente au fur et à mesure en pratiquant le"street golf ou golf des rues" , il se joue n'importe où!!!
Il faut des balles molles pour ne pas casser les pare-brises, les vitres et ne pas toucher les passants à la tête.
Il faut bien sûr un"club" ou fer de taille variant du N° 5 à 9.
Et c'est parti pour viser les poubelles , les bouches d'égouts et les statues... L'entraînement de ce loisir se fait dans les squares, dans les chantiers ou parkings voir dans les impasses.
Une fois en jambe, la rue est offerte aux adeptes de cette activité urbaine.
Le "street golf" brise les conventions et l'acronyme "Gentlemen only, ladies forbidden" est remisé au placard des idées de petits bourgeois.
Le "street golf "accepte la gente féminine et la gente masculine.
La démonstration de ce nouveau sport ( il est d'origine allemande et date des années 90 ) sur le parking du casino, n'est pas le fruit du hasard , la responsable de la culture à l 'hôtel de ville , l'adjointe au maire sait faire jouer ses amitiés et, dès qu'il s'agit d'être dans la bobo attitude , elle n'a pas son pareil.
Après le lancer de chaussettes, les faisous et les disous, après les courses de patins à roulettes , après les grimpettes sur un mini mur d'escalade , on invite les jeunes et les moins jeunes à envahir l'espace public pour pratiquer l'"urban golf ".
Ce ne sera pas triste de voir les pratiquants de ce sport d'outre-Rhin sur le Boulevard du Général De Gaulle ou sur la pelouse de la Mairie.
Attention, il est recommandé de transporter ses clubs dans un sac ou dans une housse , la police n'aime pas la vision des fers de golf ou des battes de base Ball , elle en imagine sans mal un autre usage.
Beaucoup d'activités, à l'initiative de Mme l'adjointe à la culture, qui sont plus farfelues les unes que les autres; il y avait pourtant une promesse intéressante contenue dans le programme "Autrement," celle de jumeler notre ville avec une commune d'un pays étranger.
Trois années que la municipalité est en place et pas la moindre avancée sur le sujet....où sont les problèmes???
C'était pourtant une excellente idée, un jumelage.
C'était le moyen idéal de rencontrer des hommes et femmes dans leurs différences , de procéder à des échanges culturels, sportifs et d'intéresser les populations dans toutes les tranches d'ages .
Dès qu'il s'agit de produire du travail et de mettre en place un collectif largement ouvert à toute la population quinocéenne pour réaliser ce moyen d' échange , force est de constater que c'est difficile à Saint Quay..... une promesse de plus remisée au placard.
A l'inverse, autour du cinéma , rien n'est interdit, au dernier conseil municipal notre maire qui porte une attention particulière "à son joujou " , a reçu le feu vert de son conseil pour créer un emploi de directeur.
Apparemment c'est chose faite depuis le début du mois d'avril, le candidat est choisi , il a sans doute toutes les qualités requises, il est résidant de notre ville.
Une question : trois mois avant l'ouverture de la salle, pourquoi cette précipitation ???
Une question qui restera sans réponse mais on peut toujours remarquer qu'en consultant le réseau social "face book", parmi les amis de Mme l'adjointe, on y trouve le futur directeur du cinéma .... curieux, on trouve aussi comme ami l'association de "Street golf" en représentation dans notre commune.
La consultation du site "face book" de Mme la cinquième adjointe , ouvert à tout un chacun , est à consulter et annonce l'état d'esprit de ses prochaines initiatives.
Elle a beaucoup d'amis notre élue !!!

JOUNENT michel

lundi 4 avril 2011

port d'armor...04/04/2011

GASPILLAGE ET INCOMPÉTENCE!!!


Le 15 mars 2011, dans le cadre de l'aménagement de l'esplanade du nouveau port et avant la destruction complète de l'hôtel inachevé, des bungalows et un container ont été installés.
Il s'agit, pendant une période provisoire, d'accueillir l'atelier du port et les clubs de plongées sous-marines.
Tout le monde savait que cette installation se faisait sur une AOT (autorisation d'occupation temporaire ) autrement dit sur un terrain loué à l'entreprise Celtarmor.
Comme le "Titanic " lancé à pleine vapeur contre un iceberg funeste, aucune réaction des responsables du syndicat mixte du Port d'Armor.
Le 29 mars 2011, à la suite des demandes de l'usine de décorticage de mollusques , "branle bas de combat" les bungalows et le container sont déplacés par grutage.
Alimentations en eau et électrique à refaire, outillages et matériel à reconditionner dans les locaux.
Ils étaient en face de l'usine , ils sont maintenant une centaine de mètres plus loin!!!
Pendant ces quinze jours, on a pu mesurer, comme dans beaucoup d'autres endroits , que l'on n'est pas particulièrement regardant sur l'usage des deniers publics et puis, surtout, au sein de ce syndicat mixte ( 45 % pour la ville de Saint Quay Portrieux, 55 % pour le Département ) que l'avis de la municipalité ne compte pas pour grand chose, elle est pourtant sur place.
                   


JOUNENT michel

samedi 2 avril 2011

minigolf...02/04

QUAND ON VEUT NOYER SON CHIEN,
ON DIT QU'IL A LA GALE!!

Quand on veut faire disparaître de la mémoire des quinocéens le minigolf arboré pour faire à la place un parking...
Quand on veut annihiler toute contestation parmi la population...
On sort du chapeau un bilan phytosanitaire complet des plantations présentes sur le site.
C'est imparable ... qui s'opposera à l'abattage des arbres mal en point, qui s'opposera à la sécurisation du lieu? Personne.
Le minigolf est fréquenté pendant la saison estivale, ses alentours aussi et, avec la proximité du casino, c'est une exigence de ne prendre aucun risque, c'est bien normal.
Selon l'expertise sur les 26 arbres implantés, 16 sont en très mauvais état: vieillissement , racines abîmées par les travaux de voirie , troncs pourris, etc ...
Après un élagage de circonstance , le minigolf apparaîtra comme une succession de cratères lunaires et l'endroit devenu sans charme sera prêt à connaître le sort que la municipalité lui réserve , un espace macadamisé pour bagnoles.
Il faut étendre l'examen des arbres à toute la ville, il faut, sans retard, sécuriser les passants et être sans pitié pour tous les feuillus malades.
Malade de l'agression des gaz d'échappement, malade de champignons de toutes espèces, malade de leur entretien insuffisant par les services municipaux, c'est quand même étonnant que ce bilan sur la santé des arbres sorte au moment où une large partie de la population refuse la destruction du minigolf et de ses plantations .
Ah !!! si l'on avait un élu , par exemple un adjoint aux travaux quotidiennement sur le terrain, on n'aurait pas délaissé un site représentant un danger sérieux pour les piétons et accessoirement pour les véhicules.
Cet élu actif n'aurait pas manqué, depuis trois ans, de signaler la dégradation du patrimoine arboré de notre commune.
Notre station balnéaire au charme indiscutable construite au fil du temps ne sera bientôt plus qu'un lointain souvenir, à marche forcée, notre maire impose les transformations grandioses de son schéma directeur.
Pour les cinéphiles , on est entre "Mon oncle et Play Time " de Jacques Tati.

JOUNENT michel