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mercredi 16 mai 2012

c'est la fin 16/05/2012





LE MUR DU ÇON
est de nouveau franchi dans le ciel de notre municipalité.






M Blanc, le maire de Saint Quay Portrieux, montre une nouvelle fois l'irrespect qu'il porte à ses colistiers.
En cette veille de Fête de l'Ascension, par un arrêté municipal N° 12 DG 08, le maire retire la délégation permanente de signature de sa première adjointe,* responsable entre autre des finances locales.
Cette méthode violente expose sans détour l' autoritarisme de M Blanc.
C'était bien la peine de se répandre dans le bulletin diocésain des Côtes d'Armor sur ses convictions chrétiennes pour traiter aussi vulgairement Mme Martine Poignonnec.
Il est scandaleux de lire dans ce bulletin que le maire, guidé par sa conscience, "tient au respect absolu de la personne, de son droit à la dignité, en lien avec l'intérêt de la collectivité".
En virant avec brutalité sa première adjointe, on mesure l'inanité de ses confessions dans le journal de l'évêché.
La commune n'est plus correctement gérée et, pour garder son siège, le maire est prêt à tous les coups tordus.
On en saura plus lors du prochain conseil municipal qui se tiendra le mercredi 23 Mai 2012 à 18 H 30.
A l'hôtel de ville , l'ambiance est délétère et, pour les agents administratifs, leurs conditions de travail sont devenues calamiteuses.
Comme jamais, grâce à un maire à l'ego surdimensionné, notre commune est devenue la risée du canton .

JOUNENT Michel
* le  prétexte est le suivant:"considérant la dégradation des relations et  une  perte de confiance  réciproque qui nuit  à la gestion et  à la bonne  marche des  affaires municipales", le  maire  retire la délégation  permanente de  signature de  Madame Martine Poignonnec ,  première adjointe.

2 commentaires:

indigné 22410 a dit…

Et s'il ne fallait pas simplement voir dans cette décision l'application d'une vielle maxime chrétienne : "Qui aime bien châtie bien"?

cheik en blanc a dit…

Notre premier magistrat s'est discrédité dans ses fonctions à vouloir diriger notre commune autoritairement, sans concertation avec son Conseil Municipal, au point de ne pas ou plus écouter les légitimes aspirations des élus et des quinoncéens.

On peut même se demander si l'emploi disproportionné des fonds publics utilisés correspond bien aux besoins de notre commune.

Le Conseil Municipal dans sa majorité a confirmé son désaveu, il ne reste olus au Maire que d'en tirer les conséquences.