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vendredi 29 juin 2012

campement et nuisances 30/06/2012





AU SECOURS!!! M BLANC...


Les deux cimetières de Saint Quay Portrieux sont des terrains publics et sacrés.
On y enterre les défunts et on y commémore leurs souvenirs dans le calme et la dignité.
Les familles ornent et fleurissent les tombes dans l'affliction , le silence et le recueillement.
Les heures d'ouverture sont affichées, l'endroit est maintenu généralement dans la propreté, les arbres sont taillés et les pelouses entretenues.
Les chiens y sont interdit de vagabondage.
Grâce à notre maire et à sa désinvolture depuis le lundi 25 juin sur le terrain mitoyen au nouveau cimetière, ce n'est pas vingt caravanes qui ont reçu l'autorisation de stationner un certain temps mais pas loin d'une centaine.
photo  prise  le  29 juin à 15heures
Un chapiteau est dressé, les chiens cavalent et aboient à qui mieux mieux, on peut apercevoir au milieu du campement des pintades picorant, l'eau coule à flot à partir de la bouche d'incendie, les déchets ménagers débordent des quelques containers municipaux, des machines à laver avec des branchement sauvages tournent et le linge sèche un peu partout.
Tard dans la soirée, les riverains sont embêtés par le bruit fait pour désosser des carcasses de voitures.
Je ne préfère pas me prononcer sur l'état sanitaire des nombreux enfants jouant dans ce campement, à première vue en les voyant circuler parmi les immondices, cela ne doit pas être terrible.
Plusieurs quinocéens, j'en ai le témoignage, ont déjà retrouvé ces personnes dans leur propriété, ils indiquent, ces intrus, qu'ils sont disponibles pour faire tous les travaux domestiques possibles.
Travaux bien sûr sans garantie, s'assoyant sur le code du travail et faisant éventuellement une concurrence déloyale aux artisans locaux.
La problématique des gens du voyage n'est pas simple et les textes de loi n'obligent pas les communes de mois de 5 000 habitants comme Saint Quay, à résoudre une partie des problèmes complexes de ces voyageurs.
On rigole bien autour de nous dans les villes de la Communauté de Communes; elles s'étendent sur des surfaces bien plus importantes que la nôtre et les terrains en jachère ne manquent pas; elles se gardent bien de leur faire un tel accueil!
Dans ces villes, il y a des maires présents à tous les instants de la vie communale qui ne s'embarrassent pas de préjugés et de sentimentalisme et pour ne pas déplaire à leurs concitoyens, ils appliquent tout simplement la loi, toute la loi.
A Saint Quay, notre maire a autorisé, sans concertation avec son conseil, ce campement qui ne respecte pas les normes sanitaires et qui, par le nombre de gens présents, ouvre la possibilité de troubles à l'ordre public.
M Blanc est au dessus de tout cela, le respect dû au cimetière et la tranquillité du voisinage, il s'en moque; plus préoccupé par l'organisation, à l'aube de l'ouverture de la saison estivale, de ses vacances en Italie.

JOUNENT Michel

mercredi 27 juin 2012

silence dans les rangs 28/06/2012

A quoi sert le service communication de la mairie ??

Aucun mot ni photo sur les commémorations à la Stèle des vikings, ni de la plaque posée rue de Bir Hakeim, aucune information préalable sur la programmation de ces manifestations du souvenir pour inviter les quinocéens à y participer.
Par contre on s’empresse de se justifier « au nom de la mairie » (je ne pense pas que la majorité des agents ou conseillers en soient informés et l’approuvent) concernant les gens du voyage.
Monsieur le Maire aurait il peur de représailles ??
Quelle belle image de la commune. On voudrait faire fuir les touristes qu’on ne s’y prendrait pas autrement.
On viendra ensuite se plaindre que la fréquentation des vacanciers à Saint Quay est en baisse.
A moins que ce ne soit la nouvelle stratégie de Monsieur le Maire pour promouvoir une  Nouvelle forme de « Camping au village »et d’une étrange façon, redorer le commerce local.
Alors mettons des photos et faisons la promotion dans le guide de l’office du tourisme, dans la presse, le cri de l’ormeau, à la radio …
En attendant Monsieur le Maire lui, est bien loin, il ne se souci guère des affaires de la commune.
On approche du 1er Juillet et toujours aucune information concernant la réouverture du cinéma Arletty. Quelle honte …
Mais souhaite-t-il vraiment sa réouverture ??
Il a su le fermer mais il ne sait plus comment le rouvrir…
Il n’en à cure, il préfère le cinéma italien. Tout un symbole !!!!

ALAIN PROVISTE

mardi 26 juin 2012

campement 26/06/2012

LES GENS DU VOYAGE
SONT DE RETOUR...




En douce, en catimini, en l'absence de toute discussion avec ses collègues du conseil municipal, le maire, avant son départ pour ses vacances à l'italienne, a autorisé un campement des gens du voyage sur un terrain mitoyen au nouveau cimetière.

photo prise  le  lundi  25/06 à 15 h
Comme l'année dernière, il a demandé aux services techniques de construire un accès au terrain en utilisant le tractopelle communal.
Le maire a sans doute établi une convention avec ces voyageurs, son contenu est inconnu des conseillers municipaux.
La commune, avec sa population de moins de 5 000 habitants , inutile de le rappeler encore, est dispensée de mettre à la disposition de ces personnes un terrain aménagé.
Les contacts avec la Communauté de communes sont restés lettre morte pour solutionner en commun ce problème.
Notre maire ne défend pas sérieusement les intérêts de ses concitoyens et dans ce domaine particulier des gens du voyage , les autres municipalités du Sudgoélo ne font aucun effort dans le partage de ce fardeau.
Avec un maire trop souvent absent et inactif au sein du Sudgoélo , elles auraient tort de se gêner.
Et elles ne se gênent pas en pensant qu'après tout c'est à la commune la plus "riche " de faire en toute circonstance preuve de générosité ...financière.
En attendant, avant de partir sous le soleil transalpin, le maire a oublié de donner aux services techniques avant le début de la saison estivale, l'ordre de rendre la ville plus propre surtout du côté du Portrieux et de boucher tous les nids de poule qui parsèment nombre de chaussées de la ville.

JOUNENT Michel

lundi 25 juin 2012

Italia 26/06/2012

Après les vacances  italiennes  de  notre  maire...



E PERICOLOSO SPORGERSI

ce qui traduit de la langue de Dante signifie à peu près ceci:


"CELUI QUI PART EN VACANCES EN ITALIE
RISQUE FORT AU RETOUR DE TROUVER QUELQ'UN DANS SON LIT"

Je vous l'accorde, la traduction est un peu libérale mais bon, les jours pluvieux il faut savoir s'amuser un peu.

DUNIS Gilles.

dimanche 24 juin 2012

la porte de sortie 25/06/2012

LA MUNICIPALITÉ
DE SAINT QUAY PORTRIEUX
est sans avenir avec Dominique Blanc.


Maire depuis mars 2008, il est fortement controversé et jamais la commune n'a connu un tel marasme.
Il est aujourd'hui, pour une bonne partie de la population, le responsable de tous les problèmes communaux et seule sa démission, demain, permettra de les résoudre.
Les nuages s'accumulent sur la commune et au lieu de se remettre sérieusement en question, au lieu de se reprendre sur sa manière de diriger son équipe, le maire part en vacance loin de Saint Quay ....en Italie.
La remise en service du cinéma peut attendre, l'image désastreuse de la commune ne l'émeut pas, le dossier extrêmement complexe de l'installation d'une base de maintenance des éoliennes marines ne semble pas retenir sa responsabilité de premier magistrat.
La direction municipale est dévastée, il n'y a plus de travail collectif et les élus ne sont plus associés aux prises de décisions.
On peut raisonnablement se poser la question sur l'utilité d'élire 23 conseillers municipaux???
Après l'éviction brutale de la première adjointe Mme Poignonnec , le maire a octroyé au Directeur Général des Services par l'arrêté N°12 DG 09, soi disant pour le fonctionnement courant des services, une longue série de délégations de signatures qui en fait un maire bis.
Ce cadre administratif, le sixième de la mandature, est devenu en moins de six mois "l'éminence grise" de M Blanc.
Le renforcement anormal de son rôle à la tête de la direction municipale n'est pas une bonne chose pour la démocratie et cela bafoue le rôle dirigeant du conseil municipal.
On ne peut pas s'empêcher, après ces quatre années de gestion "Autrement", de constater qu'il ne reste pas grand chose des promesses électorales de M Blanc, qu'il a trompé son électorat, que ses plus fidèles soutiens déchantent, que six élus dont l'opportuniste M Barbey ont rendu leur tablier avec fracas, que quatre adjoints s'opposent à l'autoritarisme du maire et que son comité de soutien pour asseoir son élection a fondu comme neige au soleil.
La synthèse du programme"Autrement"comportait 5 points, chacun peut maintenant aux deux /tiers du mandat en mesurer l'exécution.

Un objectif: insuffler une dynamique nouvelle.
Trois moyens: accueillir, aménager et animer.
Une méthode: un schéma directeur.
Un comportement: écoute, dialogue et participation.
Une gestion financière sérieuse.

A moins d'être complètement de mauvaise foi, il saute aux yeux, en traversant la ville, que la dynamique nouvelle portée par M Blanc à fait long feu, que la démographie locale stagne, que les aménagements sont contestés, que l'animation trouve son paroxysme seulement à l'hôtel de ville, que le schéma directeur n'existe que dans l'esprit du maire, que son plan de circulation est tombé aux oubliettes avec sa nouvelle signalétique.
Sur le comportement du maire vis à vis de la population, il faudrait déjà qu'il soit présent dans notre ville, il faudrait aussi qu'il accepte pour dialoguer... la contradiction et qu'il apprenne que diriger une municipalité n'est pas une entreprise comme les autres.
Et sur la gestion financière sérieuse, inutile de rappeler le coût de l'arrêt des travaux de l'aire de carénage, l'achat inutile des murs d'un commerce et la reconstruction du cinéma pour une somme dépassant l'entendement et dont la gestion est pour l'instant ruineuse.
Au prochain conseil municipal, M Blanc va encore botter en touche et trouver un bouc émissaire pour expliquer la situation conflictuelle de la municipalité et de ces conséquences sur la ville.
Monsieur Dominique Blanc a perdu toute crédibilité pour gérer la municipalité et toutes les combines pour se sortir de sa situation de minoritaire au milieu du conseil municipal n'aboutiront pas .
Il est encore possible pour le maire de se sortir de cette impasse d'une manière honorable; qu'il la saisisse pour son bien et celui de tous les quinocéens.

JOUNENT Michel

jeudi 21 juin 2012

élection partielle 21/06/2012


CRIS ET CHUCHOTEMENTS!!!





La ville bruisse, la ville chuchote et les informations les plus contradictoires circulent sur le devenir de la municipalité dirigée par M Blanc.
Le maire, en grand champion de "l'intox ", lance en pâture des bouteillons pour entendre le bruit qu'ils font lorsqu'ils retombent.
Notre maire ne sait pas comment se sortir du mauvais pas dans lequel il s'est mis.
Un maire "normal" attaché à la démocratie et servant sans calcul l'intérêt général aurait depuis longtemps dû démissionner !!!
Monsieur Blanc ne semble pas ou ne veut pas encore mesurer le rapport de force maintenant établi en sa défaveur au sein du conseil municipal.
Il est mis, sur l'essentiel, en minorité; il ne détient plus que les pouvoirs attribués par la loi.
Ils sont importants... et en particulier, il est chargé sous le contrôle administratif du Préfet du département à l'exercice des pouvoirs de police dans les conditions prévues par la loi:
de la publication et l'exercice des lois et règlements.
de l'exécution des mesures de sécurité générale.
des fonctions spéciales qui lui sont attribuées par les lois.
Pouvoirs importants certes, mais ils ne permettent pas sans une majorité stable au sein de son conseil de conduire la commune à fonctionner correctement pour le bien de tous.
Selon des informations dignes de foi, le prochain conseil municipal se tiendra le 12 juillet 2012, celui prévu en juin étant abandonné; ce sera l'occasion pour Monsieur Dominique Blanc, maire de Saint Quay Portrieux, de clarifier sa position et de tirer la leçon du "flop" de son appel solennel demandant la démission du groupe d'élus majoritaires.
Il est anormal que la commune vive au rythme des rumeurs les plus farfelues, que les problèmes et projets en cours voient leur réalisation et leur concrétisation soumis au bon vouloir d'un maire au caractère autoritaire et trop souvent absent.
Le maire de notre commune s'accroche à son siège et pour lui tous les coups sont permis pour aller jusqu'à la fin de son mandat prévu pour 2014, et sans doute 2015 vu le dernier changement de gouvernement.
La majorité du conseil municipal ne veut plus de M Blanc comme maire de la commune. Alors que faire??? Il faut trouver une solution à cette situation inédite pour la ville.
Elle est ubuesque si l'on est optimiste et lamentable si, comme beaucoup de quinocéens, on broie du noir depuis maintenant plusieurs années en évoquant ce bazar.
On peut répertorier trois possibilités pour le trimestre ou les jours à venir:
au sein du groupe minoritaire deux élus démissionnent et automatiquement s'ajoutant aux six élus démissionnaires de mars 2009, le tiers des partants du conseil étant atteint, une élection partielle est nécessaire.
Le maire démissionne de son poste de maire tout en restant conseiller municipal, une élection partielle est nécessaire pour compléter le conseil, condition obligatoire pour réélire un nouveau maire et les adjoints ou confirmer l'ancien maire M Blanc.
Le Préfet propose d'une manière exceptionnelle une élection partielle en soutenant qu'une fois au complet, le nouveau conseil municipal trouvera en lui même, la ou les solutions pour remettre la municipalité en ordre de marche.
Ces trois possibilités annoncent de nouveaux conflits si D Blanc s'acharne à garder son poste.
Au prochain conseil municipal, Monsieur le maire devra abandonner sa posture, il n'est plus crédible et son entêtement devient de plus en plus préjudiciable au devenir de la ville.
La réouverture rapide du cinéma dans des conditions économiques acceptables pour notre commune de moins de 3300 habitants, l'aménagement du quartier du casino avec le maintien du minigolf , la possibilité d'installer une base de maintenance pour les éoliennes marines, la rénovation du quartier du Portrieux, la modernisation de la station d'épuration et la rénovation du réseau d'assainissement méritent entre autre une équipe stable, sérieuse et dévouée pour servir la ville.
Ce n'est pas le cas actuellement; aussi, le 12 juillet, M Blanc, inutile de raconter des histoires à l'auditoire pour essayer de sauver votre poste de maire, l'heure est grave pour Saint Quay Portrieux et les quinocéens ont besoin de savoir.

JOUNENT Michel

mercredi 20 juin 2012

lettre ouverte 20/06/2012

LETTRE OUVERTE A MONSIEUR BLANC...

d'un cinéphile plouhatin





Monsieur Dominique Blanc,


Depuis son ouverture, le cinéma Arletty rencontre un succès indéniable grâce à l’apport des habitants des communes circonvoisines ; soit environ 60 % des entrées effectuées depuis le mois d’octobre 2011.
C’est bien la preuve que l’aura du cinéma dépasse largement le cadre de votre commune.
Le travail des élus municipaux qui ont œuvré pour la réhabilitation du cinéma est donc largement récompensé.
Malheureusement, depuis près d’un mois, le cinéma "Arletty" est fermé pour des raisons aux consonances ambigües et synonymes de règlement de compte entre les élus du conseil municipal.
Vous avez exprimé votre détermination à rouvrir le cinéma "Arletty" face à un parterre de quinocéens et d’habitants avoisinants lors de la manifestation organisée fin mai pour soutenir, non pas une partie du conseil municipal, mais le maintien d’un cinéma avec des projections de qualité à Saint-Quay-Portrieux.
Vous aviez promis de nous tenir informés.
Près d’un mois plus tard, force est de constater que la mairie de Saint-Quay-Portrieux reste pour le moins muette sur le sujet, la presse donnant plus l’impression de ne pas comprendre grand-chose tant la situation semble inextricable.
Plus d’un millier de cartes d’abonnement dont le crédit n’est certainement pas épuisé pour la totalité d’entre elles sont détenues par celles et ceux qui ont cru à ce projet ambitieux.
Continuez ainsi à les laisser dans l’expectative vous expose à perdre définitivement leur confiance et leur envie de revenir dans le cinéma de la discorde.
Début juillet, il vous faudra procéder au remboursement des places encore valides des possesseurs de cartes d’abonnement ; à cette date, c’est bien la patience des usagers qui sera définitivement épuisée !

Monsieur le maire, je vous prie d’agréer mes sentiments les meilleurs.

22 580 Plouha, le 18 juin 2012

Monsieur Gilles Desfrançois


lundi 18 juin 2012

Bir Hakeim 18 /06/ 2012





11 JUIN 1942...11 JUIN 2012


Saint Quay Portrieux honore ce lundi 18 juin les glorieux soldats de la première brigade française libre commandée par le général Koenig, par l'inauguration d'une plaque commémorative rue Bir Hakeim.
Il apparaît qu'au lendemain de la second guerre mondiale, un habitant de Kertugal Robert Gaudin*, ayant combattu sur ce champ de bataille en Libye a demandé à la municipalité de débaptiser sa ruelle d'habitation alors appelée "rue des vieilles pierres" et de lui donner le nom de cette glorieuse page de l'armée française, enfin de retour dans le conflit de la 2éme guerre mondiale
Déjà 70 ans.
En mai 1942, l'offensive allemande a pour but la prise du canal de Suez, pendant 16 jours du 26 mai au 11 juin 1942, la première brigade française libre sous le commandement du général Koenig résista aux attaques italiennes et allemandes.




Ce répit permit aux forces britanniques de se replier et de triompher par la suite sur le champ de bataille d' El Alamein.
Après une défense héroïque, la garnison de Bir Hakeim échappait le 11 juin 1942 à la faveur de la nuit à l'assaut final des troupes de l'axe.



Sur un peu plus de 3 723 hommes formant les FFL, 2 619 rejoindront les forces britanniques.
Cette brigade sous les ordres du général Koenig était composée des troupes suivantes :
2 bataillons de la Légion étrangère composés notamment de 300 républicains espagnols.
1 bataillon de marche de l'Oubangui-Chari
1 bataillon du Pacifique avec des volontaires de Polynésie française, de Nouvelle-Calédonie et des Nouvelles-Hébrides.
1 bataillon de fusiliers-marins.           
1 bataillon d'infanterie de marine.
1 régiment d'artillerie
1 compagnie Nord-africaine.              
1 compagnie du génie.
1 compagnie de transmission.
1 compagnie du train auto.
1 service de santé.
1mission britannique de liaison.
La bataille d' El Alamein qui suivit la défense du point d'eau de Bir Hakeim marqua une fois pour toute l'arrêt de l'armée allemande vers Le Caire.
A l'issue de la bataille, le général De Gaulle envoya au général Koenig le message suivant:

"Sachez et dites à vos troupes que toute la France vous regarde et que vous êtes son orgueil".

JOUNENT Michel

PS: il est navrant qu'au cours de cette cérémonie, le  maire  n'a pas ou  oublié  d'évoquer le nom de ce quinocéen Robert Gaudin (1920-1989) valeureux combattant de cette terrible bataille.
*Robert Gaudin est fait  prisonnier  à Bir Hakeim, il est transféré en  Italie à Bergame puis  envoyé en Allemagne  pour travailler dans  une ferme, aprés  une tentative d'évasion il devra travailler dans  une  mine de charbon, il  poursuivra sa carrière  militaire en  Indochine et au Sénégal ... après  l'armée, il s'installera  à Kertugal au  8 bis de  la rue , maintenant baptisée "Bir Hakeim" sous  la mandature  de M Richet, Député- maire de Saint Quay Portrieux de  1965 à 1977

l'argent 18/06/2012

AU LENDEMAIN
DES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES ...


Il n'est pas interdit de faire encore fonctionner ses neurones et de répondre à la question centrale qui reste toujours la même quelques soient les gouvernements...
Où trouver de l'argent !!!
A Saint Quay Portrieux , c'est en parti réglé, les machines à sous du casino font un quart du budget municipal, est ce que cela durera ???
Quand on regarde les résultats électoraux du Sudgoélo, il n'est pas sûr que parmi les communes formant la communauté de communes qu'un sentiment de partage ne soit pas en train de se former sur cette manne  provenant  du casino!!!
En attendant sur les secrets pour trouver de l'argent et comme rien ne change dans ce bas monde , je me permets de proposer à mes lecteurs un extrait de la conversation entre deux serviteurs du roi Louis XIV , c'était... il y a quatre siècles .

JOUNENT Michel

mercredi 13 juin 2012

le carnage 13/06/2012



OUI, IL FAUT S'INDIGNER!!!




Sortie tout droit de la cogitation d'un maire qui n'aime pas sa commune, la transformation des abords de la plage du casino défigure l'image tranquille de notre station balnéaire.
Du macadam à la tonne, des parkings pour plus de bagnoles et encore ce n'est que la première tranche des travaux.
Si demain le conseil municipal ne met pas un terme à ce massacre urbain, s'il ne revoit pas de fond en comble la suite des travaux à venir et surtout s'il n'empêche pas la destruction du minigolf avec sa partie arborée, alors autant habiter sur les abords d'une rocade, d'une nationale ou sur le périphérique parisien.
On ne verra bientôt plus la mer dans cette partie du Bd du Général De Gaulle avec ces nombreux stationnements et comme rien n'est fait pour réglementer la fréquentation des camping-cars ... cela promet...
Sur le trottoir élargi, des parterres floraux sont prévus le long du stationnement des automobiles, ils ne devraient pas survivre au comportement désinvolte des automobilistes et les bancs situés auparavant près des barrières "Delpierre" seront adossés au stationnement... fini le plaisir de regarder, assis face à la mer, les ondines et les jeux d'enfants.
La rue de l'Yser ramenée à une largeur de 3.5 mètres est transformée en voie de dégagement du Boulevard , tant pis pour la tranquillité des riverains.

La prochaine activité des riverains de cette rue sera de trouver la bonne formule pour rentrer sans dommage dans leur propriété et puis, ils pourront, à l'occasion, faire la police pour empêcher le stationnement sauvage.
De loin la transformation de ces deux chaussées enlève totalement le charme de ce quartier, elle est disproportionnée pour une fréquentation touristique de quelques mois par an .
De près, ces travaux sont un énorme pied de nez aux habitants du quartier abandonné du Portrieux et ceux résidant à Kertugal.
De l'allée de la grève Gicquel à ce boulevard, les travaux de voirie en voie de réalisation ont tous un seul but : rendre plus carrossable et rapide la route qui mène le maire à l'hôtel de ville... je blague!!!
Mais où je ne ris plus, c'est en voyant l'énormité des sommes englouties.
L'urgence et l'opportunité de ces travaux restent à démontrer et leurs impacts pour lutter contre le déclin de la commune le sont encore moins.

JOUNENT Michel

mardi 12 juin 2012

les jardins du port 12/06/2012

LE SUPER BARNUM DU PORTRIEUX DES ANNEES 50...
par Cheik en blanc




Comment-se-fait-il que chaque année au Portrieux l'on installe certainement le plus ancien des barnums existants dans la commune (le bleu et blanc) ?
Celui-ci se trouve dans le prolongement de l'entrée principale de la ville, face au port, et donne plutôt une image d'abandon et de pauvreté, d'autant plus qu'en face il y a l'ancienne librairie du port, achetée par la commune, elle aussi dans un triste état.
Pourtant, un barnum correct, ce n'est pas aussi onéreux que la réfection de la rue privée de notre maire, avec trottoirs, lampadaires, etc ....
Il est certain que les habitants apprécieraient eux aussi quelques petits concerts d'été dans les jardins sans pour cela dépasser les limites sonores.
Seulement voilà : bien que des sommes importantes soient prévues et votées au budget animations, aucune subvention n'a été versée pour les concerts du port.
C'est regrettable et scandaleux!!!
Quelle belle image pour la commune que le maire avance toujours comme étant une station balnéaire !
Quel contraste saisissant
entre le quartier du casino et celui du port.

lundi 11 juin 2012

Roland Garros 12/06/2012



DROITS ET DEVOIRS....




Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits....
C'est le fondement de notre constitution mais cela devient différent pour les hommes et femmes qui ont décidé, dans une démocratie représentative, de servir l'intérêt général.
Quand l'ambition légitime d'une femme ou d'un homme rencontre, à l'issu d'une élection démocratique, l'honneur de représenter ses concitoyens pour participer au fonctionnement d'un exécutif local comme la municipalité de Saint Quay Portrieux, il ou elle se retrouve à avoir plus de devoirs que de droits.
Dans une localité comme la nôtre avec ses 2 912 électeurs inscrits, ses trois bureaux de vote réunis dans un même endroit, les consultations électorales sont la fois des moments forts pour la vie démocratique de la cité et aussi un moment idéal pour rencontrer nos élus.
Notre maire Dominique Blanc n'a pas le contact facile; il fréquente très peu les deux marchés hebdomadaires, sans compter qu'il passe la moitié de son temps à Paris et, à chaque élection, il est maintenant notoire qu'il donne de son temps avec parcimonie pour présider les trois bureaux de votes.
Ce dimanche 10 juin 2012 , il a montré à quel point la tenue du bureau de vote l'ennuyait: deux petites heures à l'ouverture et une demi-heure avant la fermeture des opérations de votes.
Avec pour réponse à ceux qui s'inquiétaient de son absence la mise en cause d'une agent administrative coupable selon lui d'avoir oublié d'informer les élus "inquiets".
Cela devient une habitude chez les élus minoritaires de faire une fixation sur le personnel communal.
Bref , ce dimanche 10 juin , il y avait à la télé la retransmission des internationaux de tennis de France et il faut vraiment avoir l'esprit "biscornu" comme moi pour voir un lien entre l'absence du maire et ces interminables sets de tennis.

JOUNENT Michel

dimanche 10 juin 2012

coups tordus 10/06/2012



Commune dans la tourmente
mais surtout
tempête sous les crânes!!!




En se plongeant dans le grand livre de l'Histoire contemporaine de Saint Quay Portrieux, rares sont les quinocéens qui vous diront avoir connu un tel bazar dans la vie municipale.
Le maire, en mauvais capitaine, ridiculise, par ses agissements, la commune et réussit seulement à faire vendre du papier.
La presse régionale et locale font leurs choux gras sur notre municipalité désemparée.
Il n'y a qu'un responsable à cette descente aux enfers, M Blanc qui, faute de courage, impose une sorte de cohabitation locale .
Il nous dit, espiègle, en nous faisant un pied de nez:
" j'y suis et j'y reste..." enfin pour l'instant, même si je suis régulièrement mis en minorité les soirs de conseils municipaux.
Et pour la suite... après lui... la tourmente , la tempête ou le déluge sur Saint Quay, il n'en a cure et il nous regardera demain avec beaucoup de condescendance de son habitat parisien.
Sans remonter jusqu' à la nuit des temps dans notre une ville de 3 300 habitants, une seule liste se présentait aux élections municipales.
Et bon an mal an, les maires organisaient le travail des élus pour servir au mieux la commune, ils étaient connus de la population et ne ménageaient pas leur disponibilité pour maintenir le standing de la station balnéaire.

Ce fut le cas jusqu'en 1995; pour briguer la direction et l'avenir de la commune de mandature en mandature, un certain nombre de quinocéens ont donné du temps et de la compétence pour le meilleur souvent , et le pire parfois.
En 2001, deux listes se sont présentées à l'élection municipale; en 2008, trois listes se sont disputées la direction de la municipalité.
C'est beaucoup trop pour une commune où il n'y a pas de réel enjeu idéologique.
Hélas, avec cette équipe "Autrement " et les désordres qui la traverse, dans notre commune des vocations naissent et se multiplient, les candidatures se font jour pour remplacer les élus les plus défaillants ou ceux qui ont quitté dès mars 2009 la municipalité.
Une élection partielle semble de plus en plus vraisemblable et notre maire, en bon spécialiste des coups tordus, nous mijote un tour à sa façon.
Avec l'été qui approche et la venue des résidents secondaires inscrits sur les listes électorales quinocéennes, il n'est pas interdit d'imaginer que la saison estivale sera chaude.

JOUNENT Michel

vendredi 8 juin 2012

ça suffit 09/06/2012




SAINT  QUAY PORTRIEUX 
n’a plus de temps à perdre.
Par Rocfort  Michel





St Quay est une commune qui tombe.
Au déclin démographique et économique s’ajoute aujourd’hui une grave crise de gouvernance.
Après un conseil municipal surréaliste, le maire appelle la municipalité à la démission, mais dans des conditions telles qu’elles rendent celle-ci improbable.
En dépit de cette nouvelle fourberie, le sentiment de la population est pourtant qu’il faut en finir avec cette mandature de scandales, de procès, d’intolérance, d’excommunications, de coteries…
Notre maire cherche en permanence une nouvelle victime qui lui donne l’occasion de se sentir finalement irresponsable.
Au fond, il y a un profond mépris pour la ville, une inélégance certaine de comportement.
Quand vont-ils partir ?le temps de cette municipalité n’en finit plus de finir ; c’est du temps perdu.
Le maire espère visiblement se survivre en prolongeant la comédie de son oxymorique minorité-majorité.
Avec un plaisir évident, le maire s’exhibe lors de manifestations de rue où la violence des propos dépasse l’entendement.
Il se complait dans ses passions mauvaises.
Sa rivalité obsessionnelle avec son second adjoint relève de la névrose.
Sans forcer le pessimisme, il apparaît que toutes les conditions sont réunies pour une dissolution.
Aucune autre solution n’est possible.
Le conseil est hors d’état de régler les affaires communales.
Cette situation n’est imputable qu’au conseil lui-même.
Tous les signaux ont été donnés.
Vulgairement dit : « ça suffit ! ». Les autorités de tutelle ne peuvent plus fermer les yeux sur ce déni de démocratie d’une extrême gravité.
Leur crédibilité est ici engagée. Et après ? Il reste que cette mandature il faut l’achever.
Le délai est très court. Il n’y a plus qu’un seul budget à voter.
Il ne s’agit plus de se faire élire pour un titre ou pour toucher des indemnités.
Les nouveaux élus devront très vite se positionner sur toute une série de problèmes graves aujourd’hui en suspens ; l’aménagement de l’esplanade du casino dont on mesure déjà les effets catastrophiques : le centre-ville transformé en parc à bagnoles entouré d’un glacis à l’esthétisme funéraire, la qualité de vie des riverains ouvertement bafouée, aucun souci des normes environnementales ni des nouveaux modes de transport.
Arriveront-ils à temps pour sauver le mini-golf ?une gestion pérenne et financièrement équilibrée du cinéma sera-t-elle enfin trouvée ?
La candidature de St Quay comme site de maintenance sera-t-elle efficacement défendue ?
Le problème de l’assainissement sera-t-il enfin sérieusement traité ?
Sauront-ils poser les jalons d’une politique culturelle ambitieuse ?
Rationaliser la dépense publique ? changer enfin radicalement le mode de gouvernance, en faisant preuve d’humilité, de pédagogie, et surtout de compétence .
Avis aux amateurs.
Nul ne le conteste, l’image de la ville est désastreuse.
Il y a urgence et nous refusons de boire le calice jusqu’à la lie.

mercredi 6 juin 2012

nouvelles extravagances 7/06/2012






DIFFICILE DE DESCENDRE PLUS BAS!!!







L'interview de Dominique Blanc à "La presse d'Armor" amoncelle les inexactitudes.
Il est ahurissant de lire les propos d'un maire qui fuit à ce point là ses responsabilités.
Son dernier fumigène, pour toujours mieux enfumer ses concitoyens, est l'évocation d'avoir commis "une erreur de naïveté" en 2008.
Pourtant, cette même année 2008, droit dans ses bottes, il affirmait se sentir bien dans la ville, aimer y vivre et bien ressentir la morosité habitant les esprits et les coeurs des quinocéens.
Fort de son expérience professionnelle qui l'avait conduit à élaborer des stratégies gagnantes et à planifier des projets complexes, il s'est lancé dans le défi de sortir la ville de sa morosité , de son déclin en mettant un terme à la gestion faite d'amateurisme et d'opacité du maire sortant G Lambotte???
Pour ce faire, cet expert en sociologie et champion du dialogue a fait appel à un vaste rassemblement de bonnes volontés et des compétences.
Ce rassemblement autour de sa personne , la liste "Autrement ", n'est pas le fruit du hasard mais bien la volonté d'un futur maire qui veut s'entourer des meilleurs, ses colistiers ne sont pas sortis d'une pochette surprise.
Des gens dévoués à l'intérêt général , disponibles et capables de s'entendre le temps d'une mandature ne sont pas légion dans notre commune et c'est assez normal pour une ville de notre dimension.
Le socle de sa liste faisait partie des candidats de la liste de G Brezellec battue aux municipales en 2001.
La blague de faire croire que les 2/3 de ses colistiers lui ont été imposé n'est pas sérieuse.
L'heure n'est plus à l'invention de complots, de cabales et de coups tordus mais devant la dégradation de l'image de marque de la commune, l'heure est plutôt de dire la vérité sur la gestion calamiteuse de M Blanc et de ses conséquences à court terme
On peut travestir la réalité, on peut reprocher tout et son contraire à ses colistiers, on peut s'exonérer de beaucoup de choses mais arrivera fatalement le temps du bilan..
C'est à mon sens ce que fait déjà la majorité du conseil.
Ces élus, au contact de la population, ont pris la mesure du rejet de M Blanc et de ses errements municipaux.

Le culot du maire est sans borne, il ose encore affirmer qu'il n'est pas autoritaire, que sa gestion est transparente et que les documents administratifs sont à la disposition des élus et de la population.
Sa mauvaise foi est difficile à contrer tellement c'est énorme.
C'est un adepte, il en existe encore pour penser que plus un mensonge est gros, plus il est cru.
Et son affichage d'être un homme tranquille et calme devant l'adversité est d'un ridicule achevé.
Allez dire cela à Mme Poignonnec, la première adjointe aux finances débarquée avec goujaterie de son poste.
Allez dire cela à W Abbest viré de son poste de quatrième adjoint aux travaux et menacé par voie de justice de perdre sa place au sein du conseil municipal .
Allez dire cela aux 5 DGS dont 2 virés avec perte et fracas.
Allez dire cela à plusieurs agents techniques maintenant mis au placard pour avoir mis en évidence certaines entorses au bon fonctionnement de leur service.
Le dialogue avec les élus majoritaires n'existe pas, on en est aux échanges de noms d'oiseaux , les portes claquent et la tension virile entre plusieurs élus est palpable.
NON!!! M Blanc, votre soi-disant expérience pour gérer les difficultés, les tensions , les jalousies comme les coups tordus n'est d'aucune utilité dans la municipalité de saint Quay Portrieux,.
Bien au contraire, cette expérience est facteur de divisions et de conflits, sur ces sujets vous n'avez pas votre pareil.
Pour terminer sur cet interview complaisant , les propositions avancées pour inverser la tendance du déclin de la ville ne sont plus entre les mains du maire.
Il se berce encore de certaines illusions et il finira bien par comprendre qu'il est le principal responsable de la tourmente qui balaie depuis trop longtemps notre commune.
Il finira aussi par comprendre que c'est la majorité en démocratie qui dirige, quelqu'en soit l'origine du naufrage de cette liste "Autrement".
On apprend aussi dans cet interview qu'il reconnaît son échec sur l'affaire du sauvetage d'un commerce de proximité au Portrieux.
Il n'a pas sur ce sujet fait beaucoup d'effort pour saisir la complexité de cette affaire et surtout il a méprisé plusieurs conseillers qui le mettaient en garde du fiasco à venir.
100 000 €, c'est une somme et dire que cet achat de murs en mauvais état ne se dévaluera pas est une absurdité de plus venant du maire.
Le procès est en cours au TA de Rennes sur cette affaire, il viendra à la fin de l'année, ma demande, que je maintiens, est l'annulation de la délibération municipale et le remboursement par le commerçant des 100 000 €.
Sur l'aménagement du quai de la République, autre absurdité, l'idée de faire passer la circulation au pied des habitations est une invention du maire, matérialisée par un bureau d'études (un de plus).
Sur cette affaire, il n' y a pas eu de compromis mais simplement le retour au bon sens demandé fermement par le comité de quartier du Portrieux entre autre et les quinocéens en grand nombre.
Enfin, sur le sujet des éoliennes en mer , lire que le maire se bat personnellement sur ce dossier relève de la galéjade.
Il a oublié de répondre présent à une conférence en Préfecture de Saint Brieuc sur l'énergie en Bretagne en présence du ministre et Président de région, des Préfets de région , des représentants du projet et des représentants des communes concernées, cela en dit long sur l'engagement de M Blanc sur l'éventualité de l'installation de la base de maintenance des éoliennes marines au nouveau port.
Puisque M Blanc nous dit qu'il aime vivre à Saint Quay Portrieux, qu'il nous explique, lui le champion de la transparence sur sa gestion municipale, sa frénésie d'aller et retour sur Paris, alors qu'il y a tant de problèmes à régler sur la commune.
La lecture de l'interview de M Blanc montre une nouvelle fois son double langage et plus personne ne croit que c'est à cause de son erreur de naïveté commise en 2008 que la municipalité est dans "la panade".
Ici comme ailleurs des blogueurs s'intéressent à l'activité de leur municipalité.
Le blog de la ville, avec beaucoup de lenteur, expose l'activité de la municipalité , les commentaires y sont rares.
Mon blog: celui de Michel, je combat avec pugnacité la démagogie de M Blanc, sa gestion dépensière et son autoritarisme .
Je ne publie que des commentaires signés ou sous pseudo dont je connais l'identité.
La LEQ , blog d'une association loi 1901, n'est pas reconnue par le maire, ce dernier la traitait hier encore de syndicat politique, j'ai participé à son lancement.
Depuis le début de l'année , il est présidé par un démissionnaire de l'équipe "Autrement".
Son Président fondateur a pour l'instant disparu de la vie municipale .
En 2001, le président actuel , à la pensée variable, appuyait la candidature de G Lambotte.
Hier, ce nouveau président n'avait pas de mot assez dur pour dénoncer l'autoritarisme de M Blanc.
Depuis, il a changé d'optique, il vitupère contre ses anciens colistiers.
La LEQ fait la part belle depuis un certain temps à un fanatique.
Ce résident secondaire habite à l'année dans les environs d'Aix en Provence, il a fait du maire son idole.
Non content d'être son porte-coton et de lui lécher les bottes , il pourchasse par le verbe les élus majoritaires du conseil municipal.
On est impatient en ville que l'été arrive , on est quelques uns à saliver à l'idée de voir en chair et en os cet inquisiteur de la plus belle espèce.

JOUNENT Michel

lundi 4 juin 2012

la combinazione 5/06/2012




INUTILE DE SE VOILER LA FACE...



L'annonce théâtrale du maire proposant solennellement la démission du conseil municipal était bidon.
Le maire est en poste et il fera tout pour le demeurer.
A plusieurs reprises, j'ai appelé à la démission du conseil... je rassure mes lecteurs, j'étais dans la provocation .
Il faudrait vraiment méconnaître le caractère de M Blanc pour envisager un seul instant chez lui l'envie de se jeter dans l'inconnu en faisant disparaître la liste "Autrement".
Contrairement à ses affirmations, il ne prend pas ses responsabilités pour éclairer les quinocéens: au contraire, il entretient la confusion autour de sa gestion autoritaire.
Si on le suit dans sa proposition de démission de l'ensemble du conseil municipal , il n'est plus le maire de Saint Quay Portrieux.
Le maire somme les opposants majoritaires de faire preuve de "courage" en démissionnant et lui, avec ses minoritaires, suivront!!!
On est de nouveau dans "la combinazione " si chère au maire.
Les majoritaires, à juste titre, connaissent trop bien Dominique Blanc pour tomber dans un piége aussi grossier, ils savent par expérience qu'il arrive au maire d'oublier ses engagements.
Le plus suspect dans cette organisation de la démission du conseil est de demander aux élus majoritaires de partir les premiers.
Puis que le maire accepte de ne plus être le maire de Saint Quay, qu'il prenne son courage à deux mains en démissionnant le premier avec son bloc minoritaire.
Ce serait la belle démonstration d'un esprit démocratique , on en est pas encore là avec notre autocrate quinopharisien .
On est vraiment dans l'impasse et quelque soit la suite de ce méli-mélo, le devenir de la commune se présente de plus en plus mal, la renommée de la ville en a pris un sacré coup et les conséquences financières de cette gestion dite "Autrement" restent hélas à découvrir.

JOUNENT Michel


dimanche 3 juin 2012

dépot de bilan 4/06/2012



Dominique Blanc,
maire de notre ville
est au bord du gouffre!!!


Sa stratégie de gérer la ville "Autrement" a du plomb dans l'aile.
Ses derniers soutiens hurlent leur désespoir.
Sans faire le point exact de ses 50 mois de gestion, je me propose d'en rappeler quelques étapes en disant aux quinocéens :
Vous avez aimé sa décision d'arrêter les travaux de l'aire de carénage, sa décision de modifier le projet initial , le paiement de pénalités et l'emprunt supplémentaire de
400 000 € pour parachever cette construction.
Vous n'avez pas pris beaucoup d'intérêt à l'achat de "La maison aux pigeons" en juillet 2008 et sa revente immédiate en septembre 2008.
Vous avez sans doute ignoré les retards pris sur les travaux de la plage de la Comtesse et la perte d'une partie des subventions européennes.
Vous avez suivi avec bonheur les travaux pour établir un nouveau plan de circulation et depuis, vous cherchez désespérément son application .
Vous avez entendu parler qu'une nouvelle signalétique urbaine allait être mise en place dans le même style que les villes de la communauté de commune, le bon de commande du matériel est depuis longtemps sur le bureau du maire, il attend sa signature.
Vous savez tout sur le cinéma, cette belle réalisation est le bébé du maire et son domaine réservé.
Le coût du projet a doublé en trois ans, il n'y a pas eu d'études de marché, le maire a occulté une éventuelle réalisation communautaire et il ne s'est pas beaucoup penché sur la recherche d'un mode de gestion efficace et le moins déficitaire possible.
Il a surtout oublié qu'une municipalité n'a pas la vocation à gérer un service commercial devant trouver son équilibre financier par la seule fréquentation de ses usagers.
Vous avez cru M Blanc quand il a voulu sauver un commerce de proximité tenu par un commerçant en difficulté, vous l'avez peut être cru quand il a dit, le coeur sur la main, que ce sauvetage se ferait en achetant les murs du commerce contre un loyer annuel de 6 500 €.
Aujourd'hui, l'achat des murs contre 100 000 € a bien eu lieu, alors que ce commerce a cessé d'exister, que les loyers ne sont pas honorés et que l'état de la boutique vidée de son mobilier présente un triste aspect.
Notre grand stratège a montré ses limites pour endiguer sérieusement le déclin du commerce de proximité.
L'image de ce déclin est particulièrement visible au croisement des rues du Commerce, de la Victoire , de la Comtesse et du Bd Foch.
Le CLJ, pour une occupation de 2 mois par an, a été agrandi; le reste de l'année, pendant la période scolaire, il est ouvert le samedi après midi.
10 jeunes s'y retrouvent régulièrement dont deux de Saint Quay, ils sont encadrés par une monitrice rémunérée.
Ce bâtiment rénové représente une dépense de 360 000 €, ces deux salles ne sont pas allouées aux associations quinocéennes qui, depuis la fermeture des mimosas et du FJT, sont de plus en plus à l'étroit dans les autres dépendances municipales.
Vous savez tous que M Blanc a décidé, à moins qu'il ne démissionne avant, de faire raser le minigolf et de transformer la circulation et le stationnement dans le quartier du Casino.
En voyant la réalisation de la première partie des travaux face à la plage du Casino, on comprend facilement que l'objet de ce chamboulement est de faire la part belle aux bagnoles, au train où vont les choses elles auront bientôt le droit de stationner sur le sable de la plage.

Il y a  50 ans, la verdure faisait  partie du  paysage 
Dans cette transformation radicale de la partie basse du bd du général De Gaulle , la sécurité due aux cyclistes est complètement oubliée et ce sera une folie de pédaler sur cette partie du boulevard.
Alors, certains esprits chagrin vont me dire, après cet inventaire à la "Prévert", vous voyez tout en noir monsieur le scribouillard et comme toujours vous mordez le trait!!!
Holà mes détracteurs, M Blanc à la modestie reconnue a fait des choix importants pour le bien être de la commune, il a fait réaliser l'assainissement , l'éclairage moderne, les trottoirs et l'enrobé de l'Allée, en impasse, de la grève Gicquel.
J'imagine que cela n'a pas dû être facile pour lui de commencer par sa rue d'habitation alors que la sortie principale de la ville utilisée par les poids lourds pour desservir la zone portuaire , la rue Geniet est abandonnée depuis quatre années de gestion "Autrement".
Tout s'écroule autour du maire, son autorité sur ses colistiers n'existe plus, son appel solennel à démissionner avec son conseil n'est pas entendu, il devient urgent de mettre un terme à son calvaire et à celui de ses 5 ou 6 fidèles restants.
Le prochain conseil municipal devrait avoir à l'ordre du jour un seul point à examiner:

La démission collective des 17 conseillers municipaux.

JOUNENT Michel

vendredi 1 juin 2012

démission du conseil 01/06/2012

MAINTENANT QUE LE MOT DÉMISSION
N'EST PLUS TABOU!!!



M le maire, Dominique Blanc, n'a plus qu'une alternative.
Soit il part dans le style: "Les adieux de Fontainebleau" entouré de son quarteron de fidèles.
Soit il subit son départ dans le style : "L'exil vers Sainte Hélène" avec, pour seul compagnon d'infortune, la réprobation d'une grande partie de la population .
Tout est devenu un sac d'embrouille à Saint Quay, les quinocéens se divisent sur tous les sujets et un bon nombre d'électeurs de la liste "Autrement" regrette leur vote de 2008.
Le maire reconnaît le mauvais fonctionnement du conseil municipal, il admet dans cette affaire avoir commis quelques erreurs mais, pour lui, l'essentiel de cette situation est le fait des autres, c'est toujours les autres avec notre bon maire.
Les autres, pour faire bonne mesure, il les qualifie à la fois de traîtres ou de revanchards.
Il charge son ex-ami Georges de tous les péchés de la terre, il claironne que ce garçon est déloyal , qu'il passe son temps à monter des cabales et à préparer des mauvais coups.
On est de plus en plus en droit, après la déclaration solennel de M Blanc et de ses propos sur M Brezellec, de savoir ce qui s'est passé entre décembre 2008 (perte de la délégation de signature et des indemnités de G Brezellec et de W Abbest ) et de l'arrêté, quelques mois plus tard, redonnant les moyens de plein exercice de sa fonction d'adjoint au seul G Brezellec.
Il a un côté masochiste notre premier magistrat!!!
Après une telle exécution publique du second adjoint , il est vraisemblable et même certain que les vingt deux mois restant avant les prochaines élections municipales vont être très rudes, voir violents .
Rudes pour travailler au sein du conseil, rudes pour l'administration communale et encore plus rudes pour la population quinocéenne qui ne comprend plus grand chose à ces luttes intestines entre des personnes soi disant élues pour rendre toujours meilleure notre existence dans la commune de Saint Quay Portrieux.
La proposition venant du maire de mettre un terme à cette mandature et de retourner aux urnes est la seule et unique solution pour empêcher la ville de sombrer dans la désorganisation et le gaspillage des deniers publics.
C'est au maire de donner l'exemple, c'est lui qui possède le sésame pour mettre fin à cette pantalonnade.
Mais là encore , il essaie encore de manoeuvrer en oubliant l'essentiel, il est minoritaire au sein de la municipalité.
La majorité du conseil a maintenant plus d'un tour dans son sac pour lui faire comprendre que son pouvoir personnel dans cette mairie touche à sa fin.
Sa frénésie à prendre ses contradicteurs pour des imbéciles a fait son temps.
Pour que le conseil municipal démissionne dans son ensemble et pour éviter un coup de Jarnac d'un maire aux abois, il suffit de réaliser une lettre type à envoyer au Maire et au Préfet.
De la signer dans un même lieu et dans un même temps devant un agent-cadre de la mairie, et de demander à ce dernier de poster immédiatement et devant témoin les 17 démissions (avec AR).
Tout retard mis à la demande du maire proposant la démission complète du conseil ouvrira de bien sombres perspectives pour notre commune.
Quatre années de désordre communal, cela suffit largement !!!

Il est venu le temps de trancher ce noeud gordien.

JOUNENT Michel