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lundi 30 septembre 2013

touche pas à ma mairie 30/09/2013

UN USAGE ABUSIF
voire illégal.

L'hôtel de ville de Saint Quay Portrieux, appelé aussi  mairie ou  maison commune appartient à tous  les  Quinocéens et à personne en  particulier.
Son  image et sa  photo  aussi; c'est pourquoi  je trouve déplacé qu'un candidat  au renouvellement du poste de  maire s'arroge  le droit de chapeauter la  page de son blog en construction  ou en dérangement, de la  photo de  l'édifice  communal .
Mon blog s'affiche  sur un fond  marin, sur celui de  M Blanc, on y trouve  une colombe de  la  paix !!! sur  le forum du LEQ,  on n'y trouve  plus rien, sur celui  de  la ville, des belles  images relatant l'activité  de  la  municipalité et sur ceux des différentes associations, des  photos  montrant leurs nombreuses  activités.
Il n 'y a rien à redire sur cette situation médiatique.
Autrement dit, la  photo de l'hôtel de ville n'appartient pas au candidat M Thierry Simelière, pas  plus qu'elle n'appartient aux autres candidats et surtout, faut-il le rappeler, cette photo ne deviendra pas la  propriété du prochain maire. 
Cette prochaine élection municipale  à Saint Quay Portrieux est suffisamment compliquée; inutile,  avant qu'elle ne commence, d' y introduire des motifs susceptibles de contester les résultats  du scrutin  de  mars  2014.


JOUNENT Michel.

Commentaire de Picolet Gilles: 
C'est justement parce qu'il s'agit d'un bâtiment public qu'il peut être utilisé par n'importe qui.
Ce "candidat" n'est pas le premier à utiliser un édifice communal comme fond de photo ou autre.
Cela n'entache en rien l'élection future.
Seriez-vous déjà en train de rechercher un recours éventuel ?
Bien cordialement  

samedi 28 septembre 2013

c'est la fête 28/09/2013

AUTOUR DU MOULIN SAINT MICHEL.

La traditionnelle fête d'accueil des nouveaux habitants de  notre commune  a connu un vif succès  cette année.
Orchestrées de main de  maître  par le  président Henry Hydrio,  de  l'amicale du moulin, des fontaines et des  lavoirs, les festivités  se sont déroulées  dans  un œcuménisme  à faire  pâlir tous  les oiseaux de  mauvais augures .
Deux cochons grillés étaient au  menu, leur dégustation a réuni plusieurs candidats  au poste de maire.
Le maire sortant  nous a  délivré  un compliment , au contenu difficile à saisir.
Avant  de se disputer  dans  les mois à venir,  il est bien évident qu'il faut  aux candidats prendre des forces.
C'est sympa de voir  autour de  la célébration de l'ange Michel, celui qui a terrassé le démon,  une centaine de Quinocéens  passer un bon moment,  de les voir échanger des  propos pacifiques   sur un fond  musical d'excellente qualité.
J'ai même saisi  le dialogue  enflammé de deux Quinocéens  connus de tous.... Émouvant. 
L'un disait  à l'autre.


"Homme  libre, 
toujours tu  chériras  le  maire "

JOUNENT Michel .  

Commentaire de Dunis Gilles:
Méfions nous des images,elles sont parfois trompeuses et ne représentent qu'un instantané,de là à imaginer ce que ce sont dits les deux personnages,il y a un gouffre....mais la photo est très belle tu as encore de beaux jours devant toi Michel..... 
Commentaire du Président du moulin:
"La vie est Belle" lorsque les Quinocéens se donnent la main....  
Commentaire de Roques Denis:
Je vous remercie vivement pour votre article "autour du moulin saint-michel".
Vous avez traité le sujet avec beaucoup d'humour et de gentillesse.
Du coup, je me suis permis de citer un extrait de votre article sur le site de l'amicale du moulin. 
      

vendredi 27 septembre 2013

acte second 27/09/2013

CONFIRMATION...

Le Conseil Général a confirmé par un vote le choix du consortium"Ailes Marines" d'installer  la  base de  maintenance  du futur  parc éolien en baie de Saint Brieuc, à Saint Quay-Portrieux.
Plusieurs conseillers  généraux ont rappelé que  le consortium "Ailes Marines", compte tenu de  l'énormité de  son  investissement,  (près de  2 milliards d' Euros) a pris le  maximum de garanties en choisissant  d'installer  la  maintenance  au port d'Armor de Saint-Quay-Portrieux.
Trois ports étaient en  lice  dans cette course à l'obtention de la construction de la base; il est évident et compréhensible  maintenant que  le choix de Saint Quay est confirmé,  qu'il existe  une certaine amertume chez  les élus et la  population des  ports  non retenus .
C'est toujours ainsi  quand  il faut choisir  un  parmi  plusieurs, cela fait toujours  des déçus.
Le travail effectué par  les élus  du Syndicat Mixte du port qui  ont  porté  le  projet Quinocéen  a fait la  preuve dans cette approbation de son sérieux et de sa solidité.
La construction de la base sera financée par "Ailes Marines"; à terme,  cet aménagement reviendra à la collectivité départementale.
La complexité et l'étendu du  projet  aura,  nul ne  peut en douter,  de  nombreuses retombées économiques  pour les communes bordant   la baie de Saint Brieuc.
Il reste,  pour fixer définitivement  le choix de  la base  à Saint Quay,  encore deux décisions  à réaliser: la prise  de décision définitive "d'Ailes Marines" et,  de  la  part de l'Etat,  son aval sur le respect du cahier  des charges  de cet énorme chantier .

JOUNENT Michel

jeudi 26 septembre 2013

argent gaspillé 26/09/2013


UN ATOUT ET UN OBSTACLE POUR BIEN GÉRER LA COMMUNE.
LE CASINO
Chaque année le casino dans le cadre de la loi, abonde  le compte  "recette" de nos finances  locales .
En moyenne, c'est la somme de 1 400 000 € qui tombe annuellement dans  l'escarcelle de la commune.
Il n'est pas  interdit de rappeler  que  les  murs du Casino appartiennent à la ville  et que les gérants  du  Casino  paient un loyer au propriétaire, pour  les utiliser.
Beaucoup de communes riveraines à la nôtre aimeraient connaître  le sort enviable de recevoir annuellement sans beaucoup de contraintes et d'efforts ces sommes "rondelettes ".
Je n'irai pas sur le terrain de savoir si c'est immoral ou non de s'adonner dans cette   battisse agrandie  au jeux de  hasard, si c'est  moral  de voir chaque  matin des simples gens  plein  d'illusions attendre l'ouverture des portes du Casino et  les  mêmes  quelques  instants  plus tard ressortir les  poches  vides.
Il est terrible "le  bandit manchot" et  l'addiction à cette facétieuse  machine me  laisse pantois.
Je  n'ai plus  l'âge de refaire  le monde et si des  milliers de  personnes jugent plaisant  de se faire  "plumer" ce n'est plus de  mon ressort et mon jugement  sur  l'immoralité  de cette  pompe à finances et bien  je  le  remets dans  ma besace.
Une fois survolé l'atout que représente le versement de ces sommes  importantes, autour de  28 % du compte recette, il faut bien reconnaître  que cette  manne évite   et conduit facilement  les élus et le  maire à gérer la commune  à "la  petite semaine".
Le maire , M Blanc, a  multiplié les erreurs de gestion  et sans sourciller,  il a dépensé  sans résultat des sommes  importantes .
Dans  n'importe quelle ville , pour les  mêmes erreurs,  il aurait fallu  procéder  à des  emprunts  et endetter  la ville , il aurait  fallu sûrement aussi augmenter les impôts  locaux.
Et bien, l'incompétence du maire  et de ceux qui l'ont suivi n'a eu  aucune conséquence  sur  la fiscalité  locale; les  trois taux d'imposition votés par le conseil sont restés pratiquement  les  mêmes  pendant cette  mandature.
Sans les ressources fournies par le casino, comment aurait été  financé le surcoût  de  400 000 €  provoqué  par  l'arrêt des travaux et les  modifications apportées à l'aire de carénage, comment aurait été financé les  200 000 €  de la  première étude refusée pour transformer de fond en comble  le cinéma,  comment aurait-on financé les  100 000 € de  l'achat inutile d'une boutique sur  le quai de la République , comment aurait-on financé  toutes  les études  des  projets  aujourd'hui en "carafe " comme  le carrefour des   Prés Mario , les  plans de circulation et celui  de  sa signalétique???
Pendant cette  mandature "Autrement" le  maire  aura bien fait  joujou; sans  les ressources apportées sur  un  plat d'argent par le casino, il est assez évident  que  la gestion financière de  la commune  aurait connu  beaucoup  plus de rigueur .
L'augmentation éventuel des  impôts, comme  l'épée de Damoclès au dessus de  la tête des élus du conseil municipal, aurait conduit ces derniers à  se conduire différemment.
A Saint-Quay-Portrieux, l'argent facile du casino  obstrue et empêche   la réflexion des élus sur le long terme. 

JOUNENT Michel

mercredi 25 septembre 2013

en parcourant la presse 25/09/2013


LE FANFARON...


Dans l'interview de M Blanc , couvrant une page entière de  "La Presse d'Armor", ce dernier  confirme  une idée constante, il  ne répond jamais aux  questions posées , surtout quand  elles sont  pertinentes.
Une nouvelle fois,  par ses  singulières réponses,  les  penchants  narcissiques  de M Blanc sont mis en évidence.
Son  rôle dans  la  multiplication des conflits au sein du conseil  est passé sous silence.
Il est, selon ses dires,  entouré  de vilains autochtones,  sans  parler qu'il aura été  pendant toute cette  mandature  la victime d'une multitude de complots et de trahisons.
Son passage aux affaires communales est maintenant, depuis presque 6 années, un vrai roman de gare.
Comme  le ridicule  n'a  pas de limite chez M Blanc, il nous raconte que "c'est son   look  parisien qui dérange". C'est  à pleurer tellement  l'argument est fallacieux.
Dans cet interview, plusieurs  réponses faites à la  journaliste ne résistent pas,  en les analysant,  à leur  peu de sérieux.
Le  maire serait  soi disant en  relation avec  les hautes  autorités  de  la capitale  pour faire avancer des dossiers , comme  par exemple  celui  permettant la  poursuite du classement  de  la commune en station  touristique.
Le  maintien important  de ce  classement  repose essentiellement sur des  investissements privés, (augmentation du parc  hôtelier , rénovation du parc  locatif , développement du commerce de  proximité, etc); aujourd'hui,  la  situation est inquiétante pour  le  maintien de ce classement.
Ce sujet est  ancien  et la date butoir du dépôt de ce  dossier est la fin 2013, il  n'est toujours pas abordé au sein du conseil.
Sur le cinéma et l'appui du CNC  pour sa restructuration, il est difficile encore d'imaginer  que cette recherche se  poursuit   depuis  2008.
Sur  l'aménagement urbain du quartier  du quartier du Casino, le maire  ose   affirmer que de  la  priorité  donnée initialement aux  piétons est passée à celle des "bagnoles".
Venant d'une  personne qui use et abuse de  sa voiture pour faire  le  moindre  pas  en ville est proprement ridicule. et  je ne parle  pas  de ses stationnements en  infraction.
Le  projet du maire était de fractionner le Bd Général De Gaulle  en faisant passer  la circulation des voitures et des poids lourds le  long des vieilles battisses de  la rue des Sablons et de  la rue du Commandant Malbert.
Opposer la circulation continue, tout au  long de  l'année,  des véhicules à  une circulation  plus aisée des  piétons  sur une petite   partie de  l'année  est original  et c'est dommage que M  Blanc n 'ait pas  pris du temps sur ses séjours  parisiens  pour convaincre les  riverains  devant supporter  les désagréments de cet éventuel itinéraire de  circulation.
Quant  à l'évocation  dans cet interview de  l'arrivée de  la  base de  maintenance des éoliennes, notre  maire  est stupéfiant; il parle de cela comme si il y était pour quelque chose .
Ce  premier  pas  pour choisir  le  port d'Armor ne doit rien  aux hautes  autorités  parisiennes et aux relations  de M Blanc , il est le résultat  du travail des élus du Syndicat mixte du port.
Un point c'est tout, il n'y a pas de dossier sur cette construction à la  mairie et les connaissances sur ce sujet par M Blanc  se résument   à ce qu'il lit dans  la  presse .
Justifier  à quelques mois des  prochaines élections municipales  qu'un maire  peut résider la  moitié de  l'année  hors de  la commune sans nuire  à la bonne gestion de  la commune   est grotesque.
La commune reste  l'échelon administratif où la  population est au  plus près de ses représentants, ce contact de tous  les jours est nécessaire et doit perdurer dans une commune de  3 000 habitants.
Maintenant que  l'on sait  que  notre  maire  à plein d'activités annexes, qu'il écrit, qu'il lit, qu'il conseille  financièrement  un grand groupe religieux , qu'il participe  à des  mécénats, il est urgent  de  lui faire comprendre que ses aller-retour  sur Paris nuisent gravement à la recherche de son bonheur et qu'il n'est pas raisonnable   de  la  part de ses derniers supporter de  l'empêcher de se réaliser en trouvant le bonheur sur terre.
M Blanc, cela sera d'autant plus facile de rester  à l'année sur  Paris quand vous saurez que dans  le fond, les Quinocéens n'aspirent après  les  deux  mandats que nous venons de vivre  qu'à une seule chose: l'élection d'un maire du cru , accessible, disponible en dirigeant humainement et démocratiquement  le conseil municipal.


JOUNENT Michel

lundi 23 septembre 2013

histoire de fou 23/09/2013

AU SECOURS DELPIERRE ...
Les Quinocéens sont devenus fous!!!

Chaque  jour, des  informations recoupées confirment que cinq listes  pour les  prochaines  municipales 2014 sont en préparation.
Après cette calamiteuse  mandature, des  ambitions  personnelles voient plus que de raison le  jour .
C'est inouï ce que  notre maire  en conflit permanent avec son conseil et la  plupart du temps absent de sa commune peut susciter de vocation  pour le remplacer.
Au bout de six années de gestion "Autrement", la  population Quinocéenne est profondément divisée.
Elle est divisée  sur la  personne du  maire, elle est divisée  sur  l'activité des élus, elle est divisée  sur  l'attitude des élus démissionnaires de  mars  2009, elle est divisée sur  les nouveaux élus de septembre 2012, elle est divisée sur  l'aménagement  urbain du quartier du casino, elle s'est divisée  sur la coûteuse réalisation du cinéma "Arletty",  elle est outrée de  l'abandon des quartiers du Portrieux et de Kertugal et elle est scandalisée par les 100 000 € dépensés  inutilement pour acheter  une boutique à l'abandon.
Comme cela ne suffisait pas de se diviser à Saint Quay, voilà que se forment  cinq  équipes pour gagner  les  municipales de 2014.
Dans  une ville de  notre importance ( 3093 habitants ), de  plus  parmi les  plus vieillissantes du département,  le bon sens aurait voulu  que  cette bataille pour élire l'équipe qui dirigera  la  commune  pour les six ans à venir se fasse  entre  les conseillers sortants défendant leur bilan (avec ou sans le maire ) et  une nouvelle équipe  qui aspire à faire  mieux en corrigeant les défauts  constatés.
C'est bien  le contraire qui se  prépare; les rancœurs s'exacerbent, les jalousies se multiplient, les règlements de comptes sont en  marche et la  mémoire de certains  fait défaut.
Ah  la  mémoire, c'est triste de  perdre  la  mémoire et on reste interdit devant cette cruelle expérience de  la vie.
A Saint Quay, ne nous  y trompons  pas,  cet  oubli qui se dessine chez certains candidats  s'appelle tout simplement de  la  malhonnête  intellectuelle.
Et puis, je  ne  peux  pas  m'empêcher  à l'aune  des informations  collectées   qu'il ne faut pas pour un  certain candidat  faire  le combat de trop.
Cinq listes  (115 candidats  dont  58 femmes ) de quoi encore renforcer le discrédit et le ridicule  qui entoure  notre commune depuis de nombreuses années.

JOUNENT Michel.

NB: je ne  publie pas sur  mon blog les commentaires signés courageusement "ANONYME"

samedi 21 septembre 2013

c'est parti pour 27 cantons 20/09/2013

POURQUOI FAIRE SIMPLE...
alors qu'il est si facile  de faire compliqué.

Le  projet  de découpage  des Côtes d'Armor en 27 cantons au  lieu de 52 fera  l'objet d'un débat consultatif avant le  21 octobre au Conseil Général.
Le Préfet des Côtes d'Armor a consulté les  parlementaires, le Président du Conseil Général et le maire de Saint Brieuc avant d'adresser son rapport de synthèse au ministère de  l'intérieur.
Le  Président du Conseil Général estime que ce  nouveau découpage équilibrera le territoire parce qu'il  s'appuie sur  les  intercommunalités???
Chaque nouveau canton sera représenté  obligatoirement  par  un homme et  une femme!!!
Espérons  que cet homme et cette femme resteront d'accord sur tout ???
Les cantons d’Étables sur  mer  et de Plouha ne feront plus qu'un; ce nouveau canton  portera le  nom de  la ville la  plus  peuplée, autrement dit les Quinocéens feront partie du canton de Plouha.
Ce nouveau  canton  réunit  les Communautés de Communes  du Sudgoélo et de Plouha-Lanvollon, trois villes de la communauté de Communes de  Plouha-Lanvollon, par contre,   iront  rejoindre  le canton de Guingamp (Pommerit le Vicomte, le Merzer et Goudelin ).
Ce nouveau découpage, pour  moi,  précède  le re-dimensionnement   des  intercommunalités.  
Et Quid  du schéma de cohérence  du pays de Saint Brieuc qui portera  ses limites   dans  la  moitié du nouveau  canton  de  Plouha.


JOUNENT Michel

jeudi 19 septembre 2013

une ire mal placée 19/09/2013



LA COLÈRE EST TOUJOURS 

MAUVAISE CONSEILLÈRE!!!
                                

Elle devient ridicule  quand  elle s'expose  à froid dans une  lettre  ouverte aux élus Quinocéens.
Elle devient grotesque  quand ce même "coup de gueule" paraît dans  "La  presse d'Armor ".
Dans  ce  brûlot écrit par l'ex-trésorier de  Sport Nautique de Saint Quay Portrieux, ce dernier  n'a pas assez de  mots violents  pour fustiger le comportement  majoritaire du conseil municipal.
On y trouve de tout dans cet  interview;  beaucoup d'approximations et  l'usage de  propos  qui n'aideront pas  à sortir  SNSQP de  l'impasse  financière dans  laquelle elle se trouve .
L'association date de 2003 et les questions sur la clarté de sa gestion ne datent pas  du dernier  conseil municipal .
En janvier  2009, le conseiller Tanon qui fait partie de ceux  qui ont voté le  5 septembre la subvention de  10 000 € déclarait dans  les questions diverses  d'une  fin de conseil  municipal: "les archives de Sport Nautique sont perdues avant  2007"; il disait aussi, en  parlant du vieux gréement,  que celui-ci a "coûté à la ville de Saint Quay Portrieux  de  4 à 12 fois plus que  les autres bateaux du même type de  la baie de Saint Brieuc"; enfin,  parmi un texte que l'on peut retrouver sur le site de  la commune, on peut lire "que  les  intérêts de  la ville n'ont pas été  pris en compte" par  l'association.
Sur  la comptabilité, certes,  il y a  un expert-comptable qui réalise un bilan à partir des éléments que lui a fourni l'association mais  ce  n'est pas  pour autant  que cet expert s'est livré à un audit  du club.
Trois élus, issus de  l'élection complémentaire  de septembre  2012, totalement gagnés à l'idée qu'il fallait  continuer  à subventionner  l'association, ont réalisé en quelque sorte  cet  audit.
-Rencontres avec des responsables, travail sur les documents comptables, demandes de  budget  prévisionnels, questions sur  les espaces  loués et  mis  à la disposition du club et  perspectives depuis  l'existence du  pôle nautique communautaire, etc...  
Cela  n' a pas été très concluant, ces  trois élus se sont divisés en ne votant pas  la subvention de  10 000 €.
Quant à la  leçon donnée par l'ex-trésorier aux conseillers  municipaux Quinocéens de  prendre exemple sur  la compétence "rare" des deux salariés de  l'association, qu'il sache que  personne n'est irremplaçable  et que, dans notre ville, il existe des élus responsables de l'usage fait des deniers  publics.
Aucun élu ne veut le naufrage et  la disparition  d'un club pratiquant les sports  nautiques à Saint Quay,  pas  plus que la disparition  d'une quelconque association.
Toutes  les subventions demandées l'ont été  sans  beaucoup  de  modification; la nouveauté,  pour cette année  2013, est cependant de taille; les élus  maintenant au complet au sein du conseil municipal veulent  l'application réelle de  la charte  de  juillet  2010 fixant  entre  la commune et les associations une double exigence:  celle de  la transparence et de  la justification  de  l'utilisation des fonds publics dans  le respect de  l'autonomie des associations.
Sur  mon blog, on peut retrouver en date du 29 janvier 2013 ( les subventions au monde associatif ) un exposé sur ce  relationnel entre  la ville et ses associations.
Examiner les demandes de subventions , suivre  l'usage des fonds  publics formant des aides  directes, mesurer   la quantité des aides  indirectes , (occupation de  locaux   publics, des  prêts de  matériel et des  interventions  du personnel communal ) n'est pas, comme  on peut aussi  le  lire  dans  une tribune  libre de "La  presse d'Armor", l'expression  de la suspicion , la  marque du   mépris et une sanction de  la  part d'un nombre d'élus; au contraire,  cet  intérêt porté à la distribution  et  l'usage des subventions est  la  manifestation du retour de la  démocratie dans notre  municipalité.
Ces  propos acerbes  sont  infondés , surtout  quand  ils viennent d'une  personne salariée  pendant des années (6 je crois ) au Cercle  Informatique Quinocéen.
Son  salaire aidé, est-il besoin de  le rappeler, était constitué en partie par la subvention communale allouée systématiquement au regard du travail effectué.
Alors, de  grâce, l'approche des prochaines  municipales  n'autorise  pas à dire  n'importe quoi  et surtout à faire  passer  les hommes et femmes  qui font bénévolement  leur travail  d'élus pour des irresponsables.


JOUNENT Michel

Commentaire de Dunis Gilles:
Tout a fait d 'accord avec toi,,j'espère que la prochaine équipe surveillera tout cela de près,les subventions sont de l' argent public et de ce fait elles doivent rendre compte aux contribuables de la manière dont elles ont dépensé nos subsides, et ceci ds la plus grande transparence.

lundi 16 septembre 2013

l'éternel donneur de leçon 16/09/2013


  SUR LA  SÉCURITÉ  ROUTIÈRE...

Notre maître d'école , Dominique Blanc, continue sur son blog à donner des  leçons.
"Oyez, oyez Quinocéens,  faites ce que je vous dis  et fermez  les yeux  sur  mon interprétation du code de  la route".
Dès le début du mandat, j'ai surpris le maire, après l'avoir entendu condamner au cours d'un conseil municipal les incivilités en tout genre des automobilistes locaux, en  stationnement très  dangereux sur  le bas de  la rue de  la Victoire.
Dernièrement des Quinocéens et, au demeurant des élus, ont pu constater que  le  maire  remontait le bas de la rue Clemenceau  en contre sens.
Et que dire du comportement du maire  qui stationne  sans sourciller sur  un stationnement réservé aux handicapés??? 
Honteux pour  un premier  magistrat.
Toujours au sujet de  la sécurité routière, depuis des  lustres,  la rue des trois Frères Salaun est considérée comme une voie à la circulation dangereuse, c'est aussi une départementale (la D9) qui mène  à Lanvollon.
Le Maire  nous  informe qu'au bout de six années d'études, enfin, cette rue va être sécurisée et que  tous ces  retards pour la rendre  plus sûre  sont dus aux exigences du Conseil Général et à l'expression contraire des riverains.
Ces six années d'attente sont consécutives à l'absence d'un élu en responsabilité  aux travaux et un  dossier interdit d'être suivi par les élus , un point c'est tout!!!
Sur  le fameux carrefour des Prés Mario où les accidents sont d'une grande  rareté, les variations du maire  sur  la définition de ce  lieu de  croisement  sont pathétiques et là aussi, toujours en l'absence d'un élu maîtrisant le sujet, cela  a conduit à cet enlisement.
Les  jardins du Port font partie  du quartier historique de  la commune; pendant toute cette mandature, ce quartier a été abandonné et ils ne seront pas reconstruits  d'ici  2014.
Après  la  proposition insensée du maire  qui conduisait à  déplacer  la voie de circulation le  long de vieilles constructions, le comité de quartier a fait une contre position intéressante et  pertinente , tout cela est resté "lettres  mortes".
Notre maire  n'aime pas l'expression  populaire à Saint Quay Portrieux; il préfère réfléchir  à Paris en consultant son carnet d'adresses.
Les  moyens financiers  ne  manquent pas dans  notre ville; aussi l'annonce  sur  le site de  la commune  que de nombreux   travaux se feront pendant la  préparation des élections  municipales  2014 ne peut  pas  être  une surprise; c'est la grosse ficelle que  les  maires sortants en difficulté utilisent pour  faire oublier  toutes  leurs  promesses  non tenues.
Photos du maire et promesses en nombre  se retrouvent dans  la  presse qui suit les  affaires de  la commune; c'est fou ce que cette  presse  cajole  notre  maire!!!
Pas  un article où cette  presse  s'interroge  sur  la situation  archi -minoritaire du maire  au sein de son conseil, pas un article où elle ne  pose  la question de  l'achat inutile  d'une boutique pour  100 000 €, pas  un article sur  l'absence totale de  démocratie dans la gestion communale, pas un article pour comprendre  l'irrationalité des élus face à l'accaparement peu ordinaire du pouvoir communal  par un seul homme.
Les  prochaines élections municipales  s'annoncent folkloriques; quatre  ou cinq  listes  seraient en formation, une telle  perspective ne sonne pas le début de la  lutte  prochaine contre  le déclin de la commune mais le triomphe  des ambitions  personnelles.
Vu le nombre de candidats  qui se bousculent  pour former  des listes, pour  la  première fois, à Saint Quay,  le risque de  politisation de cette élection municipale, compte tenu de  la situation économique du pays,  est réel.
On ne va  pas s'ennuyer  d'ici  la fin  mars  2014.


JOUNENT Michel.

vendredi 13 septembre 2013

gestion fantaisiste 13/09/2013

CHANTAGE ET MENACES...




L'équipe dirigeante de Sport Nautique  de Saint Quay Portrieux menace,  par voie de  presse,  les conseillers  municipaux d'être responsables  de  la disparition du club.
Les dirigeants de cette association clament à tout va qu'ils sont des *bénévoles et qu'ils sont  les victimes dans  le déficit actuel du club,  du fait que  l'école  de voile  à rejoint le Pôle nautique communautaire.
Rien de  plus fantaisiste, cette association arrive en bout de course et  ses dirigeants  sont incapables  de faire  une analyse  objective  des problèmes rencontrés .
Cette association revendique 180 adhérents, seul une dizaine  sont des Quinocéens, les tarifs appliqués  pour  pratiquer  la voile  sont dérisoires,  le recouvrement  des adhésions est singulier, des aides sont apportées par  le syndicat mixte du nouveau port pour payer  le  loyer d'un des  deux locaux de  l'association , le vieux gréement  est entretenu par la commune, des  places sur les  pontons pour des "Habitables "  sont mis  à la disposition  des  membres de  l'association, etc.
Trois élus animés de  la  meilleure volonté pour comprendre l'association  ont usé  leur  patience  devant la  mauvaise volonté rencontrée des dirigeants à ouvrir leur comptabilité.
Ils étaient acquis, tout acquis à la survie de  l'association ; ils ont rencontré les dirigeants  non sans difficulté pour envisager  l'avenir, le résultat est maintenant connu: deux d'entre eux  se sont abstenus  lors du dernier vote au conseil et  un a voté contre la demande de subvention.
Certes  le vote contre cette subvention semble  étroit  mais  parmi ceux qui ont voté pour la subvention,  plusieurs l'ont fait  seulement  pour éviter le clash que nous connaissons maintenant .
Une  majorité d'élus a compris que  l'équipe dirigeante actuelle est plus  préoccupée de son avenir dans  le club que  l'avenir  de  l'association.
La distribution  des subventions aux associations  se fait dans  la clarté  et quand  les sommes distribuées sont importantes, l'élu chargé du secteur où s'exerce  l'activité  de  l'association  se doit de la  suivre  et de  connaître ses soucis voire ses  problèmes.
La  maire adjointe chargée  du sport  pendant quatre années et demi , avant sa démission,  n' a pas fait preuve  de beaucoup de diligence  pour s'imprégner des  problèmes de la SNSQP, le  moins que  l'on puisse dire  à l'image  de toutes ses autres activités en tant qu'adjointe avec délégations, elle aura fait beaucoup de vent , de bruit  et procédé inutilement au ridicule   lancer  de chaussettes.
Du côté du maire , il n'aura pas cessé de  jouer un   double jeu; un jour il donne raison aux élus   sur leur  demande d'explications et de  justificatifs , un autre  jour,  il comprend la colère "tout a fait fondée" d'un  dirigeant  de  la SNSQP.
Les  élus, dans  la  période économique que nous connaissons, avec pour beaucoup de Quinocéens  des  impôts sur  le revenu  en  augmentation , avec des taxes d'habitation elles aussi en hausse, avec des pensions de  retraites subissant l'inflation, ont bien le droit et surtout le devoir de gérer au mieux les deniers  publics afin de  maintenir à son niveau actuel  la fiscalité locale  .
Ah , si monsieur  le  maire n 'avait pas acheté une boutique  pour  100 000 € qui ne sert à rien sur le quai de  la République  et s'il avait perçu les  18 mois de  loyer  du vendeur, la ville aurait reçu 9750 € HT soit grosso modo  la subvention demandée par SNSQP.
Mais voilà, à l'approche des élections  municipales, que se soit  chez M Blanc ou chez Mme Quéré, l'important pour eux , c'est de  passer la  main dans  le sens du poil .
Qu'est-ce qu'ils  ne ferraient pas  ces deux élus pour espérer se faire réélire en  mars  2014  au  prochain conseil  municipal!!!

JOUNENT Michel .

PS: tous  les élus, sauf le  maire, sont des bénévoles , il est le seul à recevoir chaque  mois des indemnités    

mardi 10 septembre 2013

le culte de sa personne 10/09/2013

                JUSQU’ À L' ÉCŒUREMENT





Ils sont formidables les correspondants locaux des  journaux qui couvrent l'actualité de notre commune; il n'y a pas une réunion d'association,  une activité sportive ou culturelle voire musicale où la retransmission de ces événements ne se résument qu'à la parution de la photo du maire.
Cela prend depuis quelques mois la dimension d'un véritable culte de la personnalité.
La dithyrambe faite à l'encontre de notre maire devient bien suspecte à la veille des élections municipales.
Par contre, le bénévolat des organisateurs est peu mis en valeur et  leur identification passée sous silence; ils n'ont pas le droit, eux, à être reconnus par l'objectif des appareils photos.
Cela donne l'impression de la part des correspondants de la presse qu'ils sont  d'une étrange soumission devant le maire.
Aussi, il n'est pas interdit de rappeler qu'il existe une législation précise sur les mois précédant l'élection municipale prévue les 23 et 30 mars 2014.

Depuis le dimanche 1er septembre, « les campagnes de promotion publicitaire des réalisations ou de la gestion d’une collectivité » sont interdites sur le territoire des collectivités intéressées par le scrutin (Article L52-1 du Code électoral). L’équipe sortante ne peut donc pas profiter des moyens de la collectivité pour sa campagne.
Interdictions : un champ très large
Cette interdiction est très large. Elle porte non seulement sur actions menées par la commune, mais aussi sur celles menées par l’équipe majoritaire d’une autre collectivité dont le candidat fait partie. Par exemple, l’action d’une intercommunalité ou d’une région. Quasiment tous les supports de communication sont concernés, des supports papiers classiques (brochures, plaquettes, etc.) aux blogs et sites internet, en passant par les discours, les cartes de vœux, etc.
Communication « ordinaire » et informations objectives.
Toute communication institutionnelle est-elle pour autant interdite ? Non. A condition de ne rien changer à la communication habituelle de la collectivité. Ainsi, le bilan traditionnel de la politique culturelle  est-il possible, s’il ne met pas en avant de façon inhabituelle l’action du maire sortant et candidat dans ce domaine.
Présenter un bilan est autorisé. Présenter un bilan avantageux ne l’est pas. L’information doit être objective. En revanche, le maire peut présenter un bilan avantageux de son action, à condition que ce bilan soit pris en charge  financièrement par le candidat et inscrit sur son compte de campagne.
Durant cette même période, le candidat ne peut pas faire de publicité électorale dans la presse, même sans contrepartie financière. En revanche, il peut s’exprimer librement dans la presse, à condition de ne pas porter atteinte à la probité ou l’honnêteté d’un autre candidat.

extraits du "courrier des maires et des élus  locaux" du  1/09/2013 concernant  la communication sur les élections municipales du 23 et  30 mars  2014

JOUNENT Michel 

dimanche 8 septembre 2013

la retraite est en route 8/09/2013

LE ROI... EST DE PLUS EN PLUS
Sur des  points cruciaux à l'ordre du jour du conseil  municipal du 5 septembre 2013, le  maire  a dû battre en retraite.
Une nouvelle fois, les élus  ont pu mesurer  au cours des débats qu'ils sont  toujours  plus éloignés  de  l'organisation politique  de  la cité.
Le  maire décide de tout en catimini; l'établissement de l'ordre du jour du conseil  est devenu au fil des mois son domaine réservé.
La demande de documents administratifs  pour  qu'un élu se fasse une  opinion sérieuse sur  les affaires en cours est devenue impossible.
La gestion communale, normalement, est conduite dans  l'intérêt de  la  population et  la transparence des  décisions  prises  par les élus doit être totale.
Dans notre commune, depuis longtemps, ce n'est plus  le cas; M Blanc enfermé dans son bureau, au sens propre et figuré, prive tous les élus de la moindre responsabilité et de  la  moindre  initiative.
La vie démocratique de  la commune est devenue une caricature  et la dérive autoritaire du maire conduit aux  spectacles désolants que sont devenus  les conseils  municipaux.
Au début du conseil, les élus  et le  public  ont entendu le  maire nous exposer sa satisfaction de  la  probable attribution de  la base de  maintenance des éoliennes  marines à Saint Quay Portrieux, comme  le ridicule ne tue  pas, M Blanc  n' a pu s'empêcher  de déclarer que ce succès était  le  résultat d'un travail collectif.
Travail collectif certes,  mais  où le  maire  a brillé par son absence, il n'y a  pas de dossier" base de  maintenance " à l'hôtel de ville de  notre commune.
Le  maire comptait, en s'appuyant sur  un échange de courriers  avec  le Préfet des Côtes d'Armor, obtenir de  la  part des élus  l'annulation de  la délibération 16/05/2013-33 décidant le remboursement de  la somme de 2169.23 €  au  conseiller  Lorant, porteur de  la  plainte au TA de Rennes.
Cette somme représente  les frais d'avocats engagés auprès du TA de Rennes  pour faire valoir le droit des élus à apporter un point spécifique  à l'ordre du jour d'un conseil municipal lorsque cette demande est le fait d'une  majorité d'élus.
Maintenant , c'est au maire de saisir la justice administrative  pour régler  ce  problème dont  il porte  l'entière responsabilité.
Le casino, propriété de  la ville,  est exploité  dans  le cadre d'une délégation de service public.
La DSP arrive à son  terme le 31 décembre  2014.
Le maire précipite brusquement  l'étude de ce renouvellement et surtout  prive  le conseil d'une réflexion générale sur ce que pourrait devenir  le casino dans  les vingt ans  à venir.
Et puis et surtout, en quoi cette mandature qui arrive  à sa fin , en lambeaux et largement déconsidérée, peut s'arroger  le droit  de  préparer le renouvellement de  la DSP ???
Ce renouvellement sera  l'affaire de  la nouvelle équipe, elle aura  neuf mois  pour  prendre  à bras  le corps ce dossier  qui, dans  les conditions actuelles, rapportera  de  27 à 30 millions d'euros à la ville   sur  la durée de la délégation (18 ans ??? ).
Sur  l'attribution exceptionnelle d'une subvention à l'association  Sport Nautique de Saint Quay Portrieux, depuis des  mois, les élus  vont de surprises en surprises.
Les rapports avec cette association  se sont largement détériorés, son avenir avec son  fonctionnement actuel est des  plus  incertains, cela  a conduit   une  majorité d'élus à refuser de voter la subvention exceptionnelle demandée ( en  2012, la subvention versée par la commune a atteint  pour  mémoire  67 000 € ).
Le budget administratif du cinéma n'a pas été voté le  2 juillet 2013; depuis,  la Chambre régionale des comptes  de Rennes a  rendu son avis sur cette situation.
Avec  cet avis, le  maire comptait bien faire revenir la  majorité du conseil sur ce vote du  2 juillet   et il comptait aussi procéder  à l'affectation des résultats du compte administratif  2012.
Il n'en sera rien en mars  2013: trois adjoints*  ont adressé au doyen des  juges d'instruction de Saint Brieuc une   plainte avec  constitution de  partie  civile au sujet d'une délibération N° 12-12/06-12 transmise au Préfet dans un contenu différent  de celle votée.
Maintenant concernant cette plainte, une juge d'instruction est chargée de faire  apparaître  la vérité; il est hors de question,  selon  moi, d'interférer dans  la suite du conflit (maire et ses  3 adjoints* ) et  de voter  le compte administratif.
L'ensemble des autres  points  à l'ordre du jour  a été voté  et on verra bientôt fleurir  à la veille des  prochaines municipales  une  multitude de chantiers de voiries et de gros  œuvres.
Cette  méthode de mettre la ville  sens  dessus dessous dans  les six  mois précédant la fin de la mandature ne trompera  personne et surtout  ne fera pas  oublier qu' a part  la réfection rapide de la rue de sa  résidence , beaucoup de rues  sont restées à l'abandon faute de considération  et de travail du maire envers sa  population.

*Rocfort, Lorant et Jounent.


JOUNENT Michel, élu depuis  une année dans  le cadre du suffrage universel   par  748 Quinocéens,  dit sans ambages  par l'attitude antidémocratique de M Blanc  que leur passage par  l'isoloir n 'a servi à rien. 
Le vote de ces  748 personnes  a été  jeté aux  orties.
Cette année restera  pour beaucoup une année noire et une grave atteinte  à la vie  démocratique de notre commune.