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vendredi 31 janvier 2014

bête et méchant 31/01/2014

JE SUIS TRISTE comme un saule.
Le pourfendeur de tous  les faux culs a fini par rencontrer  celle qui brandit sous  son  linceul sa grande faux d'agronome.
Pas encore  refroidi,  que les éloges de sa  personne et de  tous ses talents  d'écrivains tombent comme  à Gravelotte.
C'est ainsi , les  morts sont toujours des braves types.
Ici à Saint Quay, comme partout  et ailleurs, il ne fait jamais  bon de  mettre  les  pieds dans  le  plat comme  l'a fait  François Cavanna.
Depuis  la création  des  journaux satiriques "Charlie-Hebdo et Hara -Kiri "  et leur  dénonciation  des  tartuffes  et des imposteurs, il n' a pas cessé de subir les foudres de tous  les bien-pensants.
Avec mon blog, j'ai essayé d'emprunter le chemin difficile , celui  de regarder  la  face cachée des événements de  la commune.
Pas toujours facile à Saint Quay, la satire  et  la distanciation avec les événements ne font  pas encore  partie des  mœurs locales, j'en sais quelque chose  en lisant les nombreux commentaires anonymes reçus sur  mon blog.   
C'est pourtant  urgent aujourd'hui  de  prendre de  la distance  quand on aperçoit la bousculade des candidats, la campagne  pour les  municipales à peine commencée,  pour obtenir  un strapontin au conseil.
L'affligeant du moment est de constater, une nouvelle fois, des Quinocéens  s'abandonner à un sauveur venu d'ailleurs.
Mon passage au conseil  municipal m'a définitivement convaincu que cette  mandature  laissera des traces durables parmi la population, celles de la division.
Bon, il y aura bientôt une nouvelle équipe à la  mairie,  un maire  qui chargera son  prédécesseur de tous  les maux  et  un blog,  le  mien, qui continuera à passer  à la  moulinette  l'activité des  prochains élus.
De ce  pas, je vais  me  replonger  dans les romans biographiques de Cavanna, celui du "Rital" en banlieue  parisienne  et celui du STO prisonnier  à Berlin au contact des  "Ruskoffs".


JOUNENT Michel .    

jeudi 30 janvier 2014

c'est au pied du mur 30/01/2014


L'APPLICATION DES NOUVEAUX RYTHMES SCOLAIRES,



une affaire complexe et compliquée pour une ville de notre  dimension.
C'est un dossier déjà bien avancé et il demande encore bien des expertises.
La seule  vérité  connue  à ce jour est  une charge financière supplémentaire et  importante  pour la commune, cela tournera  autour de  30 000 €  par an .
Sa  mise en route pour  la rentrée scolaire, en septembre 2014, reviendra  naturellement  aux nouveaux élus , il faut bien qu'ils commencent à travailler.
Les élus sortants  n'ont pas à imposer à 50 jours du scrutin un quelconque choix éducatif et  les acteurs  pour le réaliser.
Ce sera ma  position lors d'un éventuel prochain  conseil  municipal.
Le  maire  sortant en reportant de  2013 à  2014 l'application  du décret  du  Ministre de  l'éducation nationale  a clairement fait entendre son  peu d'enthousiasme pour  ces nouveaux rythmes scolaires.
Le candidat DST ne cache pas son appartenance à l'UDI, il a d'ailleurs des responsabilités départementales dans ce parti politique qui demande  au niveau national l'abrogation  du décret du  Ministre Peillon.
Si à ce jour  la   position de  M Blanc  a  le  mérite d'être connue , il n'en est pas de  même pour  le candidat  DST.
En effet  sur  le site  de celui qui veut  faire  une OPA  sur la mairie , il est surprenant de lire  que  c'est à l'équipe sortante à voter "théoriquement" la réforme  des nouveaux  rythmes scolaires  pour la commune, les nouveaux arrivants  selon l'auteur de  l'article n'ayant plus qu'à faire éventuellement quelques  retouches  à  la marge.
Quant on  prétend avoir tant de compétences, d'être  immédiatement opérationnel  et que l'on brocarde les sortants en clamant qu'il faut  les remplacer  par une équipe  nouvelle  "tellement  ils sont mauvais" , on ne demande  pas à ces derniers de déblayer  le terrain.
L'école  privée  et catholique de Saint Quay  est en  passe de subir  par l'ouverture de  l'école publique le  mercredi matin une série de  problèmes.
Le centre aéré communal n'étant plus  ouvert le matin , il ne  pourra plus accueillir des enfants du  privé.
Quand à l'éventualité de subventionner l'école  privée par un  financement*  public pour qu'à son tour elle adopte les nouveaux rythmes, cela  n 'est pas  prévu  dans  la convention qui  lie  la commune au fonctionnement de l'école notre Dame de la Ronce.
Ceux qui choisissent de  mettre  leurs enfants dans  le  privé doivent  en assumer toutes les  conséquences.


JOUNENT Michel.

*Subventionner le  privé , c'est rajouter annuellement  20 000 € aux  30 000 €
déjà estimés pour l'école  publique.

Commentaire de "Papa Quinocéen":
Je suis votre blog avec intérêt et m'amuse fréquemment de vos pertinentes remarques. 
Cependant, je me dois de réagir à votre article. Quelle que soit la nouvelle équipe, il m'apparait compliqué pour elle d'organiser la mise en place de cette réforme par le seul fait qu'elle est censée être organisé au plus tard pour le 01 mars 2014. Le premier ministre a d'ailleurs reculé la date limite de déposition des dossiers au 31 mars 2014. Votre analyse m'étonne car quoiqu'il arrive c'est le projet de l’équipe sortante qui sera proposé, ou alors je n'ai rien compris. Les municipales étant le 23 et 30 mars, il m'apparait compliqué pour quelconque équipe de déposer un dossier différent le lundi 31 mars et ainsi abroger tout le travail que l’équipe sortante aura fournie.
Étant parents d'élèves scolarisés aux embruns, nous avons reçu une circulaire des délégués de parents d'élèves, nous indiquant les nouveaux horaires de l'année prochaine qui ont été validés et votés par la mairie et l'inspection académique.
Si je lis correctement vos dires, les 30 000€ de budget supplémentaires seront affectés. Le planning des horaires ayant été décidé, cela ne laissera donc comme unique solution à la future équipe de se débrouiller avec ce qui aura été mis en place et ce quelle que soit l’équipe. 
Je trouve cette réforme très compliquée et je pense que beaucoup d’équipes municipales doivent s’arracher les cheveux pour sa mise en place. Mais j’ai la sensation que le calendrier impose forcément à toute ville qui n’aurait pas encore adoptée la réforme, de passer la patate chaude en cas d’alternance. Et ce que je déplore avant tout, c’est que ce sont les parents et les enfants qui devront subir les affres de cette réforme, et aux contribuables de la payer !

mardi 28 janvier 2014

le déclin irréversible du commerce local ??? 28/01/2014

Force est de constater en toute humilité que

Monsieur Blanc  a raison , archi raison sur la situation du commerce   Quinocéen  quand  il  affirme dans  la  presse ***que sa disparition  est d'origine structurelle.
Depuis  plusieurs années, la bataille des commerçants pour résister aux grandes surfaces est quasiment perdue.
Ceux qui résistent encore mènent un combat difficile, un combat pour la  plupart solitaire.
Au  lieu de se rassembler dans  une  union des commerçants active , au lieu de  mener  en concertation  avec la  municipalité des  opérations commerciales conséquentes, au  lieu  de faire appel au FISAC**  pour moderniser leur  outil de travail , les commerçants ont préféré  se diviser , s'inquiéter sur la venue d'éventuels concurrents  et de se  jalouser entre eux.
La dernière fois que  l'union des commerçants a  montré quelques velléités pour populariser  le commerce local, c'était sous  la  municipalité dirigée par G Lambotte.
Avec "les quatre saisons tonics", association  encore en activité , il y avait un marché de Noël conséquent qui connaissait chaque année un sensible développement; en été,  du côté du Portrieux des animations se tenaient autour d'un artisanat varié.
Au changement de  municipalité en  2008, la nouvelle présidence de  l'association a sonné le glas  de cette dernière.
Le marché de Noël transféré sur un  bord de  mer particulièrement  venté et, ensuite, dans  la gadoue des  jardins du Portrieux, a eu pour conséquence devant sa faible fréquentation sa disparition.
Cette nouvelle  présidence est restée  bouche bée  lors de  l'avantage  fait par le  maire à un commerçant en difficulté  .
Le conseil  municipal,  faut-il encore le rappeler, a acheté  les  murs  d'un commerce pour 100 000 € , commerce aujourd'hui fermé et boutique  à l'état d'abandon.
Le concours du FISAC**  en  passe d'être concrétisé , faute de détermination   des responsables de  l'association,  a été abandonné.
Le très  inquiétant  dans  cette disparition du commerce de  proximité est la disparition  physique des  pas de  porte.
Les  boutiques fermées se dégradent , les  loyers éventuellement demandés sont  déraisonnables  et au  bout du compte  il est alarmant  de constater que nombre de  boutiques  sont transformées en appartements .

C'est le cas  actuellement  pour deux boutiques  Bd  Foch  près de  la  mairie.
Et quand elles  ne sont pas transformées en appartement, elles concourent à la dégradation de  l'image de  marque de notre station balnéaire.
Demain, on rasera  gratis, c'est le  lot de tous les  candidats aux  municipales dans notre ville mais  il n'est pas  interdit  de se souvenir que sur la  lite de DST , deux de ses  candidats*  ont œuvré  ou œuvrent encore pour  participer au  malaise structurel du commerce de  proximité.

JOUNENT Michel

*Hervé Huc en tant qu'ancien Président de  l'association des commerçants.
 Jean Paul Alaux propriétaire de  l'ex bar tabac  de  la rue de  la Victoire. 
**FISAC: fond d'intervention pour les services ,l'artisanat et le commerce .
*** extrait du Télégramme du 27/01/2014:  S'il est vrai, qu'à la base, le problème est conjoncturel, force est de constater qu'aujourd'hui, depuis que les commerces du Portrieux et du centre-ville tirent le rideau les uns après les autres, « le problème est devenu structurel », indique le maire, Dominique Blanc, qui déplore cette situation. « Nous étions sur le point d'obtenir une subvention Fisac (*). Malheureusement, l'union des commerçants n'ayant projeté aucune animation, la subvention en question n'a pu être obtenue, ce que je regrette. »    

dimanche 26 janvier 2014

solidarité 26/01/2014

FÊTE DE L’ÉPIPHANIE,


pour les "ceusses" qui ont des fins de  mois qui sonnent clairs et creux,
Les  CCAS* du Sudgoélo ont organisé un après-midi  placé sous le signe de la solidarité.
C'est sous l'égide de tout le  mouvement caritatif des villes de  l'intercommunalité (Resto du cœur, Secours populaire et Secours catholique) que l'organisation  de ce  rassemblement a pu se faire cette année comme, d'ailleurs, il le faisait les années précédentes.
Dans la salle  particulièrement spacieuse et agréable du Centre des congrès,  familles, enfants et les laissés sur le bord de  la route ont tiré les rois  en partageant d'excellentes  galettes.
A chaque table, reines et rois ont reçu la marque éphémère  de  leur titre, des superbes couronnes en carton, certes,  mais bien  plus brillantes que les vraies.
Un orchestre a ensuite chauffé la salle  pour la joie des enfants, des moins jeunes et de tous ceux que  la musique égaie et rend  heureux .
Un bel après  midi offert  par des bénévoles que  l'on  ne  remerciera jamais assez, dans ce  monde  miné  par  l'indifférence envers son  prochain.
C'est réjouissant  de constater toute cette abnégation vers  les  plus démunis.
Cette année, les élus  du CCAS ont eu la surprise  de constater pour la première fois  la présence de M Blanc, surprise doublée par l'écoute d'un discours.
Qu'est ce qu'il ne ferait pas à la veille  des  prochaines  municipales pour construire une seconde candidature???
Quant aux candidats  grégaires  à l'écharpe  multicolore au prochain conseil municipal, il ne semble  pas que  le partage des  soucis majeurs d'une  partie de la  population ne les  concerne; ils  préfèrent parfaire, dans  le cadre  de leur campagne électorale, leur connaissance des vestiges des  lavoirs.
Chez ces  gens  là, apparemment on ne  mélange pas  les torchons et les serviettes, on préfère sans doute la volupté  d'écouter la musique  liturgique.

JOUNENT Michel.

* CCAS: Centre  communal  d'action sociale.

vendredi 24 janvier 2014

payer pour se faire entendre 24/01/2014

Selon que vous serez puissant ou misérable,
les jugements de cour vous rendront blanc  ou noir...
Il ne fait pas bon à Saint Quay, lorsque  l'on fait partie  de  la  majorité  du conseil municipal  de réclamer l'application  du  code général des collectivités territoriales.
Personne  n'ignore que  le  maire  est absent plus que de raison  de  la commune.
Personne  n'ignore qu'il a enlevé les délégations à ses  adjoints  de  la  première  mouture du conseil  et qu'il a refusé d'en accorder  aux  adjoints élus en  octobre  2012.
Personne  n'ignore que  la vie démocratique du conseil  s'est éteinte au fur et à mesure  que  le  maire s'est retranché dans ses certitudes et son goût à ne rien partager avec ses collègues élus comme  lui par la grâce du suffrage  universel.
C'est au moins  pour ces trois raisons que  17  élus sur  23 ont demandé en respectant les textes, la  mise  à l'ordre du jour  de  la question de  revoir le  montant  de ses  indemnités  mensuelles.
Malgré les alertes du Préfet lui signalant  qu'il ne  pouvait pas  ignorer les   trois demandes écrites  de la  majorité des  membres du conseil  et  qu'il risquait à l'évidence un recours  devant la  justice administrative, les 17  élus  ont dû l'assigner en référé  devant le TA de Rennes.
Les 17 élus ont obtenu sous couvert d'une astreinte de  15 jours avec des  pénalités, l'obligation faite au maire  de  mettre  à l'ordre du jour leur demande  de révision  de ses  indemnités .
Les 17 élus,  forts de la décision  résultant  des attendus du référé, n'ont pas jugé primordial  d'aller  plus en avant, ils se sont désistés de  leur  requête  sur  le fond.
Dans  les attendus du référé , les juges du TA  ont  fixé  les  frais irrépétibles dûs aux mandants  à 1 euro ???
Les  17 élus , pour  obtenir  le respect du CGCT  ont engagé  2169.23 €  et ils  ont par la suite sollicité par le vote au conseil,  une délibération permettant le remboursement  de cette somme.
Des  milliers et des  milliers de délibérations arrivent en permanence à la Préfecture, elles sont vérifiées (dans quelles conditions et avec quelle célérité??? )  par le service de  la  légalité de la chose votée.
La  Préfecture  s'est appuyée sur les attendus du référé pour demander avec succès  l'annulation de la délibération  défrayant les élus .
Qui  l'a invité  à relier la délibération accordant  le dédommagement des frais engagés aux  attendus du référé?
La réponse est dans  la question.
La démonstration est faite  à Saint Quay que le  maire peut se  permettre  des écarts avec  les textes  et les  usages  et quand on arrive en   bout de  ligne,  c'est toujours aux personnes désintéressées pour participer  à la gestion de  la commune  de faire  les frais de sa dévastatrice  politique  municipale.
Comme par exemple: l'achat inutile pour  100 000 € de  murs de la  maison de la presse  du  Portrieux  et  l'oubli  du paiement des  loyers, dans  un degré moindre la croquignolesque  histoire des calendriers 2014 des  pompiers du Sudgoélo et maintenant la  poursuite de sa  hargne contre  la  majorité du Conseil Municipal.

JOUNENT Michel .  

mercredi 22 janvier 2014

encore 67 jours 22/01/2014

Il est évident  que c'est à lui seul à dresser un état  entre les  promesses tenues dans son  programme et ce qui a été effectivement réalisé.
Qu'il se représente ou pas, c'est une question d'honnêteté  intellectuelle.
Le maire  est le représentant  du conseil municipal  et son expression.
Chaque élu par contre , à Saint Quay Portrieux, n'a aucune autorisation   à le faire  et  sa voix, faut-il le rappeler, ne compte  que  pour une  sur  vingt trois.
Le maire  a  monopolisé le pouvoir et défini  à lui seul l'ordre du jour et le fonctionnement  de tous les conseils  municipaux.
Je trouve choquant  que  l'on puisse rendre un élu , moi  ou un autre ,le responsable de tout ce qui ne fonctionne  pas dans  la commune.
La consultation  des  procès verbaux avec  leur vérité  objective  devrait,  chez les détracteurs de ceux qui s'opposent au  maire,  les conduire à un  peu de retenue.
Cela  ne  me viendrait pas à l'esprit de demander des comptes et  un bilan  aux six démissionnaires  de  mars 2009.
L'exemple de Barbey-Chariou m'en empêche; il a, dans  un  premier temps ,voté  un maximum de délégations au  maire et quand  il a  compris qu'il avait participé au recul  de  la démocratie  au sein du conseil, il a  opté en démissionnant pour la solution théâtrale  du "courage  fuyons".
J'ai participé à l'élection complémentaire de septembre  2012  à visage découvert, j'étais connu pour  ma  participation à la  LEQ  et mon expression sur  mon blog,"Le blog de Michel".
Le très bon résultat obtenu  lors de cette élection complémentaire  pour  la  liste  opposée au maire  aurait dû conduire ce dernier  à un compromis salvateur  pour la gestion de  la commune, il a  préféré  l'épreuve de force.
M D Blanc,  enfermé dans  l'idée que son siège  de  maire  lui appartenait pour six ans,  a  poursuivi l'entreprise  de descente  aux enfers du conseil  municipal.
Les graves dysfonctionnements constatés jusqu'à cette élection complémentaire et organisés par  le maire,  ont hélas continué.
Mais malgré ce constat  désolant , les nouveaux élus  ont obtenu, comme  ils le  proposaient dans  leur mini programme, le maintien à  sa  place du minigolf dans sa surface actuelle.
Ils ont obtenu aussi  la  mise en oeuvre d'un mode de  gestion du cinéma  préservant les finances  de  la commune en votant  pour une DSP .
Ils  ont aussi su construire des  majorités d'idées pour faire avancer les  projets en cours.
Après le maintien du minigolf, dix sept élus  ont fait la démonstration  de  leur esprit de responsabilité; ils  ont pris en compte  l'avancement des travaux , les études déjà réalisées , l'enveloppe budgétaire votée.  
Malgré  l'hostilité du maire à donner à un ou à des élus des responsabilités  dans la révision de ce projet, les choses avancent .
Certes,  pas assez vite; les travaux  prévus sur  huit mois  dureront plus de deux années et tout cela par la non acceptation du résultat électoral de septembre  2012.
Maintenant à l'adresse  de ceux qui voient en moi une  personne  qui pense  plus  à "démolir qu'à construire", qu'ils fassent une  lecture assidue des compte-rendus des  conseils  municipaux  et ils  mesureront Oh combien ils  ont un esprit tordu.
Je  ne  comprends  pas,  sans doute n'étant pas suffisamment intelligent, pourquoi mon  blog, "Le blog de Michel" a tant de succès , pourquoi  il est de  plus en  plus consulté  et  pourquoi certains en font  leur  lecture estivale pour découvrir en tant que futur candidat au  poste  de  maire ce qui s'est  passé dans  notre commune depuis des années.
Il ne fait pas bon à Saint Quay d'être  un  lanceur d'alerte et de   rapporter  les dérives   monarchiques  de  notre  maire .
Pour les  obtus de tout poil, j'ai voté aussi :
·     l'aménagement du carrefour des Près-Mario.
· l'effacement des réseaux aériens d'alimentation de téléphone et d'électricité dans de nombreuses rues.
·    l'aménagement des  places Sainte-Anne et Saint-Roch.
·  le réaménagement de  la  partie  haute de  la  plage du Châtelet et la consolidation  de  la falaise attenante.
·  la réparation de toutes  les casses dues aux tempêtes sur  les  plages (Casino et Comtesse )
·      j'ai voté aussi l'achat de nombreux  matériels.
·    j'ai participé aux commissions des travaux portant sur la reconstruction de  l'usine d'assainissement, sur  la DSP du casino qui vient  à terme , à l'étude  pour remplacer  le  matériel   des deux aires de jeux pour enfants.
·     j'ai voté la construction de ces deux nouvelles aires de  jeux pour enfants.
·   Sur les  14 mariages  célèbrés en  2013 , j'en ai fait 6  dont un avec  l'adjoint Michel Rocfort dans  le cadre du mariage  pour tous.
J'ai enfin  mesuré l'efficacité et le  professionnalisme  du personnel administratif et compris leurs difficiles conditions psychologiques  de travail, le respect aux  personnes étant le cadet des soucis du maire comme  le  montre le passage de six DGS pendant cette mandature.
J'ai annoncé depuis bien des  mois que  je ne me représenterai pas aux  prochaines municipales mais cette fin d'activité au service de tous  ne  m'empêchera  pas   de dénoncer à ma  manière et avec  mon style , les tartuffes en course pour devenir conseiller municipal et  l'opération  insensée  visant  à l'achat de  l'ancienne  maison de retraite de l'association  religieuse"Jeanne d'Arc".

 JOUNENT Michel .
une vue tout juste bonne pour des  logements sociaux

lundi 20 janvier 2014

A examiner après les municipales 20/01/2014






Après 7 ans de réflexion 
et sans beaucoup de réussite dans la volonté de  se défaire  des bâtiments inutilisés depuis  1996, l'association"Jeanne d'Arc" fait du lobbying auprès  du maire sortant et des candidats pour la fonction, pour vendre les bâtiments de  l'ancienne maison de retraite.
Il s'agit, dans  l'optique  du président de  l'association "Jeanne d'Arc", de reproduire  l'opération qui a conduit à la construction de la nouvelle et  moderne Maison de retraite "La résidence Jeanne d'Arc".
Autrement dit: la ville achète et met gratuitement à disposition un terrain et des bâtiments et par un bail à un constructeur, lui confie la  réalisation en  l'occurrence de  logements sociaux.
A la fin du  bail, par exemple de cinquante ans,  la ville devient  propriétaire du bâtiment à caractère social.
La  parcelle en vente est de  2256 m² ,elle n'est qu'une  partie  des parcelles cadastrées  C 1569 et C 1613 représentant à elles deux 5942 m².

L'expertise des bâtiments et de la chapelle n'est pas professionnellement réalisée et elle reste  jusqu’à  maintenant seulement visuelle. 
Avant  de  proposer au  prochain conseil  municipal le vote  d'un partenariat  avec  l'association"Jeanne d 'Arc", il eut été prudent, élégant et constructif,  parce qu' il s'agit de remettre  le centre ville  dans  l'attractivité d'une station balnéaire, de  prendre  l'angle avec " la société HLM BSB ou la société d' HLM Armor Habitat  pour connaître la viabilité  d'un tel  projet.
Pour  ma  part  et  n'ayant d'autre  jugement que celui  du regard, il est totalement rédhibitoire d'envisager un habitat social dans  un tel enchevêtrement de bâtiments abîmés  par le temps.

Sans  parler de  la  présence  immédiate et bruyante des cours de récréation des  deux écoles catholiques ( 100 enfants à l'école de  la ronce  et  150 au collège Stella Maris).
L'argument massue du maire est que la signature d'un tel partenariat ne   serait pas  pour l'instant une charge  pour la commune , les  700 000 € n'étant à débourser  par la commune que si  le  projet devait prendre  corps .
Sous  la  précédente mandature, G Lambotte avait pris des contacts avec des  investisseurs   pour construire sur  l'ensemble  des terrains, hormis les  parcelles  occupées par les sœurs.
A cette  époque  la construction de  l'aire de carénage  était classée  comme  prioritaire  par  l'équipe de G Lambotte.
Cela  n'empêchait pas  cependant de  lire  dans  la  presse "le Télégramme du 24/11/2007", les  propos du candidat Simeliere , qui, sollicité par G Lambotte  pour devenir  en cas de victoire électorale, premier adjoint à St Quay  déclarait" j'ai accepté car son équipe  à un projet autour de  l'urbanisme et de  la culture,  Saint Quay est une  petite ville en  plein développement ".
J'ai  évoqué au cours du dernier  conseil  municipal  l'aspect électoraliste de la  proposition du maire  en questions diverses.
Je  maintiens que  ce  problème, avant d'apparaître  comme sujet  à traiter en  public, méritait autre chose  qu'une communication sibylline.
Et  puis  est-il besoin de rappeler ce que  disait en  2007 M Blanc  à propos de  l'aire  de carénage et  de la DSP pour  la gérer???

"Nous sommes donc convaincus qu'il faut attendre le  9 mars  2008, date des  prochaines élections  municipales, avant de  prendre une décision aussi irréversible et  lourde de conséquences financières et peut être ultérieurement  fiscales pour  les contribuables et d'engager une  large concertation. Ce serait une façon  de donner  enfin la  parole aux Quinocéens". ( tract daté du  02/22/2007 de  la campagne électorale  de D Blanc)
     Horizon !!! des  logements sociaux à construire , côté nord.
ou de  la fameuse  balnéothérapie de M Blanc.

JOUNENT Michel.
  
Cliquez sur  les documents  numérisés pour  une  meilleure  lecture . 

vendredi 17 janvier 2014

bientôt la place d'armes 17/01/2014

CRIME DE LÈSE MAJESTÉ...

Pour avoir   égratigné  la stature et le CV politique du chef de file  de la  liste " c'est le temps d'une équipe nouvelle", je me retrouve  voué aux gémonies.
Pour faire court maintenant, je  l'appellerai DST (Docteur Simeliere Thierry) cela  m'évitera de  me faire taper sur  les doigts au sujet de  l'orthographe de son  patronyme.
Patronyme martyrisé sur  les  journaux Ouest-France, le télégramme, la  presse d'Armor et sur  le griffon bulletin  municipal de Saint Brieuc, il ne faut pas, dans  la dernière syllabe du nom du candidat, mettre  sur l'avant dernier e un accent grave.
C'est promis, juré, je ne le ferai  plus... mea-culpa et  je  me frappe  la  poitrine.
Monsieur  DST estime qu'en vilipendant depuis  plusieurs années   Monsieur le Maire, j'ai déshonoré la réputation de  Saint Quay Portrieux  et, en passant, ma fonction d'élu.
En ai-je fait  plus  que JF Villeneuve, Erwan Barbey-Chariou, S Salaun, Bertrand Burlot sur  la LEQ à l'encontre de M Blanc???
En ai-je fait  de trop  sur  mon blog quand  j'ai  publié une vidéo ou M Gilles Dunis, transformé en chanteur, pastiche un chansonnier en brocardant  le  maire  pour  son supposé goût à l'argent???
La suite de  la campagne   dira qui a  porté le  plus haut l' honneur d'être élu.
Le terme gratifiant que  j'emploie au sujet  de l'activité de quatrième adjoint à la culture de Saint Brieuc, aujourd'hui candidat  à la  mairie de SQP, est à  mettre  au compte de  sa très personnelle  campagne électorale et à sa  mise en scène.
J'invite  mes  lecteurs à consulter le dictionnaire sur la définition de cet adjectif, ils  jugeront alors si son emploi est excessif.
Monsieur le candidat, déjà  bien énervé, ne dit rien sur d'autres éléments de  mon post comme le centre commercial "les Champs", sur  son activité d'adjoint aux finances  et il oublie d'expliquer pourquoi  sa  liste n'est pas complètement vierge  de  personnes ayant participé aux histoires de  la  municipalité. Dommage ...
Reste l'histoire  du premier adjoint A Cadec et sa  position sur la  ligne de départ pour les postes d'adjoints, je fais amende honorable; la  prochaine fois,  je ferai plus attention en  parcourant Wikipédia.
A Cadec  a dû attendre  que  des affaires  se dénouent  à la  mairie de Saint Brieuc  pour devenir premier adjoint en septembre 2003 , encore  une fois mea-culpa (2003 au  lieu de  2001).

Il n'a pas  fallu attendre bien longtemps pour que  le candidat soi disant rassembleur et au dessus de la  mêlée  montre son vrai visage:  celui de  la menace.

Mon blog reste ouvert  à tous  les commentaires du  moment  qu'ils soient signés et qu'ils soient corrects dans  leur rédaction.
Inutile alors de  demander leur  parution sur  mon  blog par des  injonctions , elle se fera sans problème.

JOUNENT Michel, élu en  2012 malgré son  mauvais goût à vilipender pendant quatre ans  le  maire de SQP.   

jeudi 16 janvier 2014

en relisant "le griffon". 16/01/2014

PERMETTEZ-MOI, MONSIEUR!!! 
le chef de  file de  la  liste "C'est le temps  d'une équipe nouvelle"
de relever quelques inexactitudes sur le  CV de votre  carrière politique briochine!!!
En période électorale, derrière  les  mots, les effets d'annonces et la mise en scène "chébran" de votre  campagne pour les  municipales, il y a  une  réalité nettement  plus ordinaire.
Elle est éloignée et souvent moins  clinquante que  la somme des   propos tenus sur  les estrades  des réunions publiques ou lors des mini réunions  chez  l' habitant.    
Il existe  à Saint Brieuc une  parution municipale "Le griffon"; on y découvre  des  articles  qui ne confirment pas  toutes les allégations  du sémillant candidat au  poste de  maire de Saint Quay Portrieux.



Au Centre des Congrès,  le 9 janvier 2014,  j'ai entendu et vérifié sur la bande  vidéo de son site que  M Simelière rapportait  qu'il était  le N° 2 de  la  liste  de Bruno Joncour en 2001; ce  n'est pas exact.
Le  N° 2  était Alain Cadec** , une fois élu maire,  Bruno Joncour l'a d'ailleurs désigné  comme  premier adjoint.
T Simelière occupant de son côté le poste très gratifiant  de quatrième adjoint à la culture.
J'ai entendu aussi  T Simelière affirmer qu'il était passé de  la culture aux finances durant un couple d'années.
Ce  mandat,  nous  le savons  par  la gêne  provoquée  par de  nombreuses  consultations électorales,  a été  prolongé d'une année.
C'est seulement à moins d'une année de  la fin du mandat, en avril  2007,  que T Simelière  s'est vu confier la délégation d'adjoint aux finances.

Adjoint aux finances,  tout en gardant le  poste d'adjoint à la culture  et  tout
cela dans  le cadre d'un réaménagement consécutif à la démission de  l'adjointe  aux finances.
Un question se  pose: dans  les quelques  mois  précédant la fin de  la  mandature, qui a vraiment orienté et concocté   le budget  primitif  2008 ??? Joncour , Cadec , Simelière ou les services financiers de  la commune??? sans doute  un peu tout  le  monde.
Cette interrogation enlève de  la superbe à celui qui s'est présenté  le  9 janvier 2014 comme quelqu'un d'aguerri à  la gestion d'un budget  municipal  dix fois  plus élevé que celui de notre  petite commune.
Monsieur Simelière a des idées  pour relancer le commerce de  proximité.
A Saint Brieuc, il est resté,  il me semble, solidaire de  l'équipe  menée par B Joncour dans  la réalisation de  la galerie  marchande  "les champs ".
Jolies boutiques dans cette galerie, le "turnover" des commerçants y est  important, elle  n'est pas très écologique  avec l' éclairage permanent  des allées où circulent les  piétons ; sa réalisation a eu des effets  collatéraux; l'ancienne rue  marchande de la ville connaît un marasme  sans nom; on ne compte plus les boutiques vides et en vente.
B Joncour, candidat aux  municipales de 2001, était contre la construction de  cette galerie marchande, il  l'a inaugurée avec son conseil en  2009.
Comme quoi il faut toujours se  méfier  des  promesses démagogiques et sur le petit commerce,  il existe  à Saint Quay des  phénomènes difficilement  réversibles pour espérer la résurrection d'un commerce de  proximité. 
On lit beaucoup d'articles dans  la  presse régionale sur  les talents des jeunes pousses  composant la  liste de celui  qui est si brillant dans tous  les domaines.
Le  12 janvier 2014, dans  le quotidien "Ouest -France", on peut y  lire une série d'affirmations du docteur sur les qualités des membres de sa  liste avec en plus la certitude qu'
"aucun  d'entre nous n'est impliqué dans  les histoires  de  l'équipe sortante "
Monsieur  Simelière, vous m'aviez  invité cordialement à prendre  un café, réitérez votre  invitation et  je vous expliquerai,  documents  à l'appui, avec des courriers  et des coupures de  presse,  qu'il existe au sein de votre  équipe un* de vos colistiers  qui, un an après son élection sur  la  liste de M Blanc, en démissionnant  avec fracas de son poste de conseiller  municipal, a donné le départ du bazar dominant  pendant 6 ans la vie du  conseil  municipal.
Avant de se prononcer en mars 2014 sur le devenir de notre commune, il n'est pas interdit de se  pencher sur  les archives du journal municipal briochin, vous y découvrirez que  Bruno Joncour  s'est très bien sorti  du départ obligé du docteur Simelière. 
Son départ est même  oublié depuis  longtemps; en témoigne son échec cuisant à l'élection cantonale de  2011.

JOUNENT Michel.
cliquez sur les deux extraits du "griffon " pour  mieux les  lire.
*     Il s'agit du webmaster du site SQP2014.
** Alain Cadec: wikipédia. Mandats électifs (extraits)
Conseiller municipal
  • 18 juin 1995 - 18 mars 2001 : conseiller municipal de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor)
  • 18 mars 2001 - 16 mars 2008 : conseiller municipal de Saint-Brieuc et premier adjoint au maire
  • 16 mars 2008 - 14 juillet 2009 : premier adjoint au maire de Saint-Brieuc
Intercommunalité
  • 20 avril 2001 - 14 juillet 2009 : vice-président de la communauté d'agglomération de st brieuc.
Commentaire de Bruhat Bernard:
Est-ce que tout cela a vraiment de l'importance ? 1er ou 4 ème adjoint. Ou est le problème ? Il faut regarder devant soi, apprécier le programme des listes, et vérifier qu'il n'y a pas de félons professionnels sur les listes, qui démissionnent à tout bout de champ sur un coup de tête, qui pourrissent les mandatures et qui, au bout du compte trahissent la confiance des électeurs. 
En tout cas je note la retenue de Monsieur Simelière vis à vis de Dominique Blanc. Peut-être est-ce la conséquence de l'accord national UDI/MODEM ? Attendons la suite !.... 

mercredi 15 janvier 2014

vieillissement de la population quinocéenne 15/01/2014

LA DÉMONSTRATION PAR LES CHIFFRES...

La Bretagne, entre 1982 et  2011, a vu sa population augmenter de  20%.
Cette croissance  n'est pas  uniforme, elle se concentre sur la moitié de son territoire et surtout  à l'Est de  la région ( autour de Rennes ).
C'est dans les Côtes d' Armor que cette croissance démographique s'est accélérée le plus rapidement; en revanche, les grandes villes comme Saint Brieuc  connaissent   le contraire  et perdent des  habitants.
Cette croissance de  la  population est visible le  long des  principaux axes routiers et dans  les  parties un peu éloignées du bord de  mer .
Les villes côtières connaissent une certaine stagnation.
Dans  l'espace  inter communautaire du Sudgoélo, c'est notre ville qui aligne les chiffres  les  plus faibles dans l'évolution de  la  population.
Lantic:+70 %                                     Plourhan :+ 64.76 %
Tréveneuc:+ 29.38 %                     Saint Quay Portrieux:+ 5.14 %
Binic:+ 43.54 %                                Etables sur mer:+ 48.90 %
Notre commune  est dans la Communauté de Communes la  plus  petite en surface, ses réserves foncières sont quasiment inexistantes.
La très faible augmentation ( 5% ) de  la  population sur trente ans  est l'accumulation  de  plusieurs raisons.
Elles  ont un  point en  commun : le conservatisme, la frilosité  et le  peu d'imagination  des  municipalités successives.
La moitié de l'habitat Quinocéen  est constitué  de résidences secondaires, les  propriétaires de ces  maisons  ou appartements  ne veulent que rien ne bouge dans  la commune.
C'est dans ces habitations que  l'on retrouve le  parc  locatif de tourisme qui,   selon  l'office du tourisme, n'est  plus  à la  hauteur...
Cette situation nuit d'ailleurs  à la réputation de  la ville et peut conduire  à la  perte du label "station classée  de tourisme".
L'immobilier à Saint Quay Portrieux est hors de  prix; il existe même une bulle spéculative autour des transactions, des biens restent sans acheteur durant plusieurs années .
Si le chemin des  douaniers fait la réputation de  la commune, il est difficile d'en dire  autant de  l'ensemble architectural qui compose l'habitat Quinocéen. 
D'un côté des constructions totalement anachroniques pour  une station de charme  et de  l'autre des constructions plus  ou moins abandonnées comme  les bâtiments  en centre ville de  l'association Jeanne d'Arc.

                        Ah !!! qu'il ne revienne  pas le temps du béton ??? c'est moche...
Deux espaces  existent, les 9 100 m² de  l'association religieuse et les  11 000 m²  de Kerbeaurieux, ils seront un jour  prochain en vente.  
Ces réserves foncières  devraient être au centre  de  la réflexion  de  la  prochaine municipalité  pour  y faire construire des  logements pour primo accédants.
Il faut regarder de  plus près  ce qu'ont réalisé les communes de  Pléneuf-Val-André, Erquy et les Sables d'or de la commune de Fréhel pour retrouver  leur  lustre d'antan et  devenir si attractives aujourd'hui.
Ces  municipalités ont vu grand et juste  et elles ont exclu les solutions bricolées comme celles  qui sont  hélas  le  lot de  notre commune.

JOUNENT Michel


PS : J'ai découvert que  le chef de file de  la  liste" c'est le temps  d'une équipe nouvelle" est en train de devenir à son tour   " Monsieur petites blagues", ses twitts  pour  l'instant acidulés à mon adresse  sont dignes des histoires de Toto.