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dimanche 19 février 2017

sur la guerre d'Algérie,20 février 2017

Le télé*-évangéliste Macron a de nouveau frappé   en répandant  et fait savoir son ignorance sur la guerre  d'Algérie.
De 1954 à 1962 deux millions de conscrits ont débarqué sur le sol algérien, ce ne  fut  par joli joli, tout le monde en est d'accord.
Envoyé dans  un premier temps  par des gouvernements socialistes la guerre se termina sous la direction  du Général De Gaulle, pas de la  meilleure manière  mais  dans la cadre de la décolonisation généralisée dans le  monde et dans l'époque d'alors il n' y avait pas  beaucoup de solutions  miracles.
Sur la décolonisation en Afrique, il  fallut attendre Nelson Mandela en Afrique du sud pour trouver une solution viable réinstaurant une entente entre des  populations largement installées dans la confrontation  par le funeste apartheid .
La guerre d'Algérie, 55 ans  après les accords d'Evian est maintenant l'affaire des  historiens et pas des  bateleurs de foire.
Et pour ceux qui veulent se replonger dans cette  malheureuse histoire algérienne  où les cicatrices  ne sont pas encore refermées, qu'ils lisent ou relisent le dernier bouquin du prix Nobel de Littérature Albert Camus  "le premier homme "; cet immense  écrivain, né algérien, s'est fait le chantre  de la défense des pied-noirs en s'opposant en particulier à la caricature  du pied-noir  exploiteur.
Une nouvelle fois, un candidat aux présidentielles 2017, par la recherche de voix, fait dans  la démagogie et se prend de nouveau les  pieds dans le tapis par ses contradictions idéologiques  liées à sa formation d'ex-banquier d'affaires et de son ex-fonction de ministre d'un gouvernement socialiste  présidé par F Hollande.
  
JOUNENT Michel. 

* Macron, le candidat de BFM-TV. 

Commentaire de Picolet Gilles:
François Mitterrand et l'Algérie :
Le "Grand Satan" du Socialisme a été l'un des plus vifs partisans de la guerre en Algérie, comme le soulignent ces deux citations :
« La rébellion algérienne ne peut trouver qu'une forme terminale : 
la guerre. », 
« L'Algérie, c'est la France. »
De plus, en tant que Garde des Sceaux, il a donné son accord pour les nombreuses sentences de mort prononcées par les tribunaux d'Alger.
Sous son ministère, quarante-cinq militants algériens sont condamnés à mort de manière souvent expéditive.
En instituant la loi de mars 1956, qui donnait tous pouvoirs aux militaires en matière de justice sur le sol algérien, François Mitterrand a créé les conditions légales de la torture en Algérie.
Macron crache dans la soupe ou ne connait-il pas l'Histoire ?
Enfin, comment un homme politique français, qui brigue la plus haute fonction, peut-il critiquer la France depuis l'étranger.
Il devrait être frappé "d'indignité Nationale" !! 

1 commentaire:

Gilles PICOLET a dit…

François Mitterrand et l'Algérie :

Le "Grand Satan" du Socialisme a été l'un des plus vifs partisans de la guerre en Algérie, comme le soulignent ces deux citations :
« La rébellion algérienne ne peut trouver qu'une forme terminale : la guerre. »,
« L'Algérie, c'est la France. »

De plus, en tant que Garde des Sceaux, il a donné son accord pour les nombreuses sentences de mort prononcées par les tribunaux d'Alger. Sous son ministère, quarante-cinq militants algériens sont condamnés à mort de manière souvent expéditive.
En instituant la loi de mars 1956, qui donnait tous pouvoirs aux militaires en matière de justice sur le sol algérien, François Mitterrand a créé les conditions légales de la torture en Algérie.

Macron crache dans la soupe ou ne connait-il pas l'Histoire ?

Enfin, comment un homme politique français, qui brigue la plus haute fonction, peut-il critiquer la France depuis l'étranger.
Il devrait être frappé "d'indignité Nationale" !!