Mon blog n'est pas un appendice de la station radio RMC.
En ne publiant pas
automatiquement les commentaires de M Bruhat, Picolet et Rault, c'est le signe que je ne veux pas
pasticher "Les grandes gueules" de cette radio de bateleurs de
foire.
Je n'ai que faire des leçons de
bonne conduite de ces personnes qui
n'ont de lien avec Saint Quay que des
souvenirs estivaux ou la réception de
leur taxe d'habitation.
Ils aiment tellement notre
commune qu'ils habitent à demeure... ailleurs.
La lecture de
mon blog n'est pas obligatoire et
je ne demande à personne d'être en
permanence d'accord avec sa lecture.
Qu'ils montrent à leur tour leur probité intellectuelle en passant du rôle de commentateur à
celui de rédacteur de post portant
comme je le fais sur la gestion communale... en général.
Les sieurs Bruhat et Picolet sont les deux faces de la même mauvaise pièce de théâtre; celle de personnes prétentieuses qui s'ennuient
dans leurs contrées perdues.
Quant au Rault qui sur son compte face book me présente comme le snipper de l'autorité
municipale, je ne ferai qu'une réponse, de nouveau la publication de son
commentaire du 16/02/2015 sur mon blog où il
employait en particulier le terme désobligeant d' abject à l'encontre du maire actuel. Commentaire de Rault Julien:
Placer l'évolution du chômage sous un angle politicien est évidemment abject. Mais les chiffres de Monsieur Simelière sont-ils faux ? Le Maire ne prenant pas la peine de citer ses sources, il est facile de spéculer sur les chiffres.
Les données de l'insee (1) sont indiscutables, mais calculer des taux d'évolution sur des données en pourcentage n'est complètement juste que si la population active est restée la même entre 2012 et 2014 . J'ai donc regardé l'évolution du nombre de demandeurs d'emploi entre septembre 2012 et septembre 2014 (2). etc...Définition d'abject : Qui inspire le dégoût, le mépris, par sa bassesse, sa dégradation morale .
Rault, C'est plutôt le servant de la Grosse Bertha.
Dans une commune où au lendemain des événements de janvier 2015, on a défilé le visage grave derrière le maire pour exprimer sa solidarité aux victimes et le droit à la liberté d'expression, il est singulier qu'une opération de bas étage veuille m'empécher d'écrire ma vérité .
Elle se verifiera ou pas avec le temps .
L'ancien maire a essayé de me faire taire , il a fait chou... Blanc.
Le nouveau est plus fort et plus intelligent, il couvre pour cela tout le terrain de l'information communale et il ne supporte que très peu... la contradiction.
- avec le blog municipal où il apparaît quotidiennement souriant et serrant des mains, blog au demeurant bien fait.
- avec son délégué porte paroles qui pour 200 € par mois mène sur un blog une espèce de propagande délirante s'emparant de tous les sujets d'ici et d'ailleurs, avec en plus l'espoir qu'il finira par saturer la blogosphère locale . C'est vrai qu'avec son conseiller maritime il va vite saturer.
- et puis , il y a les correspondants des journaux locaux qui ne font que retranscrire la parole municipale, sans jamais la moindre interrogation. Jamais sur ces journaux, un quelconque questionnement sur la véracité de l'action communale qui jusqu'à maintenant se résume à inaugurer les réalisations de la précédente équipe municipale et celle de la C de C Sudgoélo.
JOUNENT Michel qui n'est pas prêt de rendre les armes , je suis plutôt dans l'instant à tenir le propos de Cambronne, le 18 juin 1815, dans la plaine de Waterloo, à l'adresse de mes détracteurs.
NB: sur "le blog de Michel", j'accepte les blâmes signés mais je ne publie pas les injures.
Commentaire de Jean Michel Forest:
J'ai entendu dire que Cambronne ne se souvenait
pas avoir dit le mot de Cambronne ce jour-là, ni d'ailleurs la fameuse phrase
"La garde meurt mais ne se rend pas ».
A propos de la bataille de Waterloo ( 18 juin 1815 ), je me permets de signaler cet excellent ouvrage :
Waterloo. Acteurs, historiens, écrivains
Édition de Loris Chavanette. Préface de Patrice Gueniffey
Collection Folio classique (n° 5920), Gallimard .
A propos du commentaire de Jean Michel Forest par Octave:
« Il doit être intéressant aussi de lire « Comment les Français ont gagné Waterloo » de Stephen Clarke, présenté récemment à « La Grande Librairie » où cet auteur anglais s'étonne qu'en France on célèbre plus ce qui fut notre plus grande défaite (avec Azaincourt peut-être?) que notre plus grande victoire (Austerlitz probablement) mais il est vrai que les français préfèrent Poulidor à Anquetil, Jeanne d'Arc à Du Guesclin etc....
Commentaire d'Octave:
« Bravo pour Michel que l'on retrouve avec la verve que l'on aime. Certes son ton change des minauderies mondaines que l'on lit par ailleurs, là où quelques grands humanistes autoproclamés et politologues de plage, dissertent, pompeux et auto satisfaits de géopolitique mondiale, reprenant, en termes à peine différents, ce qu'ils viennent de lire dans leur quotidien d'opinion préféré. Ils pensent peut-être ainsi apporter un éclairage plus large aux pauvres lecteurs des journaux locaux que nous sommes supposés être.
On se croirait parfois sur le plateau d'une émission de débats télévisés et puis on repose les pieds sur terre, ce n'était qu'un mauvais pastiche avec de mauvais acteurs.
A propos de la bataille de Waterloo ( 18 juin 1815 ), je me permets de signaler cet excellent ouvrage :
Waterloo. Acteurs, historiens, écrivains
Édition de Loris Chavanette. Préface de Patrice Gueniffey
Collection Folio classique (n° 5920), Gallimard .
A propos du commentaire de Jean Michel Forest par Octave:
« Il doit être intéressant aussi de lire « Comment les Français ont gagné Waterloo » de Stephen Clarke, présenté récemment à « La Grande Librairie » où cet auteur anglais s'étonne qu'en France on célèbre plus ce qui fut notre plus grande défaite (avec Azaincourt peut-être?) que notre plus grande victoire (Austerlitz probablement) mais il est vrai que les français préfèrent Poulidor à Anquetil, Jeanne d'Arc à Du Guesclin etc....
Commentaire d'Octave:
« Bravo pour Michel que l'on retrouve avec la verve que l'on aime. Certes son ton change des minauderies mondaines que l'on lit par ailleurs, là où quelques grands humanistes autoproclamés et politologues de plage, dissertent, pompeux et auto satisfaits de géopolitique mondiale, reprenant, en termes à peine différents, ce qu'ils viennent de lire dans leur quotidien d'opinion préféré. Ils pensent peut-être ainsi apporter un éclairage plus large aux pauvres lecteurs des journaux locaux que nous sommes supposés être.
On se croirait parfois sur le plateau d'une émission de débats télévisés et puis on repose les pieds sur terre, ce n'était qu'un mauvais pastiche avec de mauvais acteurs.
J'ai entendu dire que Cambronne ne se souvenait pas avoir dit le mot de Cambronne ce jour-là, ni d'ailleurs la fameuse phrase "La garde meurt mais ne se rend pas ».
RépondreSupprimerA propos de la bataille de Waterloo ( 18 juin 1815 ), je me permets de signaler cet excellent ouvrage :
Waterloo. Acteurs, historiens, écrivains
Édition de Loris Chavanette. Préface de Patrice Gueniffey
Collection Folio classique (n° 5920), Gallimard .
Pour Monsieur Forest :
RépondreSupprimer« Il doit être intéressant aussi de lire « Comment les Français ont gagné Waterloo » de Stephen Clarke, présenté récemment à « La Grande Librairie » où cet auteur anglais s'étonne qu'en France on célèbre plus ce qui fut notre plus grande défaite (avec Azaincourt peut-être?) que notre plus grande victoire (Austerlitz probablement) mais il est vrai que les français préfèrent Poulidor à Anquetil, Jeanne d'Arc à Du Guesclin etc....
Octave »
« Bravo pour Michel que l'on retrouve avec la verve que l'on aime. Certes son ton change des minauderies mondaines que l'on lit par ailleurs, là où quelques grands humanistes autoproclamés et politologues de plage, dissertent, pompeux et auto satisfaits de géopolitique mondiale, reprenant, en termes à peine différents, ce qu'ils viennent de lire dans leur quotidien d'opinion préféré. Ils pensent peut-être ainsi apporter un éclairage plus large aux pauvres lecteurs des journaux locaux que nous sommes supposés être.
RépondreSupprimerOn se croirait parfois sur le plateau d'une émission de débats télévisés et puis on repose les pieds sur terre, ce n'était qu'un mauvais pastiche avec de mauvais acteurs.
Octave »