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mardi 30 novembre 2010

LE JEU DE « MONOPOLY »
ÉRIGÉ EN SYSTÈME
DE GESTION.

A Saint Quay Portrieux, la Municipalité achète, achète à tout va et achète encore.
Des études et des travaux en tout genre !!!
Des études en tout genre : la refonte des quartiers, celui de Saint Quay avec la disparition du minigolf, celui du Portrieux un jour peut-être ?
Des études pour gérer conjointement le port en eau profonde et le port d’échouage par une délégation de service public après avoir jeté celle de l’aire de carénage aux orties.
Des études rocambolesques sur la circulation agaçant les commerçants dans l’incompréhension des dépenses et des réunions tenues.
Une étude de circonstance par rapport à l’insécurité, en promettant la vidéo surveillance.
Des études interminables pour, au bout d’une année de fermeture, ne rien voir venir pour consolider et ré-ouvrir le GR 34 au public à la hauteur du Ker Moor.
Deux études pour reconstruire le cinéma « Arletty » sous l’inspiration de M Blanc en supprimant la partie théâtrale, pourtant promise dans le programme électoral « Autrement ».
Une énième étude par appel d’offre sur la réalisation d’une médiathèque en date du 23 novembre 2010.
Depuis prés de trois ans, c’est la valse des études, à croire que les services techniques sont devenus inexistants et qu’il faille automatiquement s’en remettre à des cabinets d’experts.
A chaque étude, le maire demande à son conseil municipal de l’autoriser à demander des subventions ,à la région ,au département ,à la communauté de commune, au CNC,à la CAF, etc , mais qu’ en est-il de ces demandes ??? Quand aurons-nous enfin un plan de financement lisible et compréhensible pour chacun des travaux réalisés et envisagés par la municipalité ?
Sur les opérations en cours et sur leurs financements , à la différence du jeu de « Monopoly », l’argent utilisé pour ce jeu familial n’est pas de la monnaie de singe, c’est de l’argent « sonnant et trébuchant » provenant essentiellement du contribuable quinocéen.
Il est grand temps devant l’avalanche des sommes engagées que le conseil municipal se montre plus circonspect et qu’il soit plus exigeant sur les modalités des emprunts réalisés.
L’achat des murs d’un commerce en difficulté a jeté un trouble certain parmi les quinocéens.
M le maire place au centre de son projet de lutte contre le déclin de la ville l’ouverture d’un cinéma moderne.
L’enquête demandée par le Sudgoélo à propos du commerce souligne que dans notre ville, 56% des consommateurs sont des retraités, avec l’épisode neigeux que nous connaissons et ses conséquences à circuler difficilement dans les rues de la ville à pied et en voiture, la question de la fréquentation de cette salle est gravement posée hors la saison estivale.
Il devient urgent de savoir comment la municipalité fera face au déficit abyssal du fonctionnement de ce cinéma.
Une salle de cinéma, OUI, mais pas à ce prix, pendant les dix dernières années, la réception de la télé a totalement changé (écran plat de grand format, raccordement ADSL, vidéo à la demande, lecteur de DVD avec la qualité blu-ray ) , il faudra se montrer persuasif et ingénieux pour faire sortir les quinocéens en majorité âgés, le soir dans ce quartier désert.
Après une partie de monopoly, le gagnant et les perdants se retrouvent joyeusement, le hasard des lancers de dés et la malice à maîtriser ce jeu ne laissent aucune séquelle.
A l’inverse, la gestion de la ville n’est pas un jeu, les sommes engagées sont importantes et la mégalomanie de M le maire risque de coûter cher aux quinocéens.
Le mauvais fonctionnement du conseil municipal est inquiétant, toutes les décisions sont prises en petits comités, les commissions (finances et travaux) se réunissent dans l’opacité.
A demi mandat, les quinocéens se posent de multiples questions sur les engagements tenus par cette équipe aujourd’hui désarticulée, au cours de la campagne des municipales 2008.
Elle se voulait être « Autrement » et il faut bien le reconnaître, elle a pleinement réussi sous cette appellation.

JOUNENT michel





dimanche 28 novembre 2010

DE L’ HOTEL DE VILLE AUX PLAGES,

Tout est blanc à Saint Quay Portrieux.



Le sablage des montées permettant de sortir de la ville aurait été la bienvenue !!!
La construction du cinéma absorbe toutes les énergies et les élus ne peuvent pas être au four et au moulin!
D’autant que leurs engagements dans la vie locale, nous le savons, sont des plus minces.

JOUNENT michel






jeudi 25 novembre 2010

À Saint Quay,
LA MUNICIPALITE N’EN FINIT PAS
DE FAIRE SON CINÉMA !!!
Lors de la dernière ouverture au public de la salle Arletty avant sa transformation, M le maire affichait crânement le début des travaux pour le début novembre 2010.
A part l’enlèvement des radiateurs, rien n’avance et mon ami G.Dunis emportera sans coup férir son pari sur la promesse de gascon de mettre la salle en service début juillet 2011.
Sur l’achat des murs de la maison de la presse du port, il est nécessaire de rappeler la couardise de certains conseillers.
Une majorité d’élus appelait au report du vote au prochain conseil municipal du 15 décembre 2010, elle demandait un supplément d’information.
Deux maires adjoints ont montré la souplesse exceptionnelle de leur échine après l’injonction du maire à se compter à l’issu d’un vote ; l’adjointe au maire a oublié sa curiosité et a voté comme un seul homme avec le maire, le second adjoint, lui, est sorti temporairement du conseil réuni et, avec le mandat d’une conseillère absente , il a regardé passer le vote d’une délibération singulière.
Singulière parce qu’une fois la délibération votée, transmise à la préfecture pour la vérification de la légalité , le maire a changé le montant du loyer annuel demandé au commerçant.
Par voix de presse il a fait savoir qu’il passait de 5 000 € HT à 6 000 € HT le loyer annuel , on peut encore , mais est-ce nécessaire, de s’étonner du peu de respect que le premier magistrat a pour ses colistiers .
Cette délibération N° 10-117 autorise notre maire à déposer un dossier de subvention au titre du FISAC.
Boum ... Badaboum !!! Cette demande au FISAC (fond d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce) doit être faite auprès de la CCI des Côtes d’Armor.
En l’occurrence, c’est ce qui a été fait, la municipalité a présenté le projet et demandé une subvention.
La réponse, je la connais, c’est une demande non éligible pour plusieurs raisons.
La principale est que « le projet ne doit pas induire de distorsion de concurrence ». Ce n’était pas à l’évidence le cas !!! Donc pas de subvention.
C’était couru d’avance, il ne suffit pas d’être péremptoire pour voir les organismes distribuant les subventions pliés aux desideratas de notre maire.
Inutile de rappeler que les temps sont durs, que les collectivités territoriales vont connaître le régime de «l’eau et du pain sec».
Cela promet pour les demandes multiples de subventions en cours d’autant que ces organismes bailleurs de fonds n’aiment pas être mis devant le fait accompli.
La communication municipale devait bouleverser les rapports entre les élus et la population avec son blog municipal, cette information a le rythme d’un escargot unijambiste et il faut beaucoup de curiosité pour connaître et comprendre l’activité des élus.
Et puis les renseignements que donnent les élus à la presse sont sujets à caution, en témoigne l’incendie du FJT.
Faire savoir que ce feu est le fruit d’un acte maladroit ou imprudent revient à prendre les locataires de cet immeuble pour des « oufs ».
Il n’y a pas de squatters dans cet appartement maintenant sinistré mais « les visiteurs du soir » qui viennent régler quelques comptes.
Ces derniers temps, ils ont fait plusieurs descentes dans ce studio sans y séjourner, et en particulier ils l’ont ravagé , hier encore ils sont passés bruyamment pour contempler leur sale travail .
Alors ouvrez les yeux Mme Kervoelen , si, dès les premières frasques de ce locataire bruyant vous aviez mis les haut là, si vous aviez écouté les multiples plaintes, jamais les dégâts n’auraient pris cet importance.
Mme Kervoelen , en août 2010, vous avez procédé à une consultation pour changer l’appellation de cette résidence , vous sembliez opter pour le nom d’un îlot des roches de Saint Quay , trois mois après, le nouveau nom n’est toujours pas changé.
C’est bien dommage, c’était l’un des éléments pour dépasser la mauvaise réputation de ce foyer de jeunes travailleurs où il y a belle lurette que l’essentiel des locataires n’ a vraiment plus grand chose de jeune travailleur.
Au bout de trois années aux affaires municipales, le boulet de la démagogie électorale est dur à traîner pour les élus de la liste « Autrement ».
En attendant, citoyens quinocéens, visitez l’exposition de l’aménagement de Saint Quay à l’hôtel de ville et sortez vos mouchoirs sur le sort du minigolf, condamné à faire place aux bagnoles.

JOUNENT michel

lundi 22 novembre 2010

INCENDIE VOLONTAIRE
AU FOYER DES JEUNES TRAVAILLEURS.


Dimanche soir, vers 22 heures, une locataire du foyer a appelé les pompiers, un incendie ravageait un studio situé au rez–de- chaussée.
Une fumée noire et acre s’est répandue dans les couloirs, le gardien et plusieurs locataires ont alerté l’ensemble des résidants, ces derniers ont quitté avec inquiétude leurs appartements durant l’intervention des secours.

Depuis la fin du printemps 2010, un locataire, soi disant saisonnier, posait d’énormes problèmes à son voisinage.
Dès son arrivée, il a fait, de par ses fréquentations, un enfer à ses voisins immédiats.
Sur les trente cinq logements du foyer, une trentaine est occupée par des gens paisibles aspirant à la tranquillité.
Chaque année, hélas, il y a des trublions qui jettent la pagaille et participent à la mauvaise réputation de cet ensemble de studios.
Rodéo de scooters, musiques assourdissantes, parties de ballons à des heures tardives, porte du hall d’entrée défoncée, bouteilles de verres cassées et canettes de boissons abandonnées et, pour chapeauter le tout, l’exercice d’un commerce illicite.
Les personnes gênées par ces nuisances ont multiplié les démarches auprés de l'élue et de la responsable administrative du CCAS … sans succès…
Ce locataire avait par intermittence, semble t’il, une seconde résidence, un endroit où l’on est logé et nourri au frais du contribuable.
Pendant une de ces absences , des « amis » enfin des ex-amis ont détruit son appartement et répandu sur l’ensemble des pièces de la farine… blanche sans doute pour évoquer le travail illicite précédemment évoqué.
De la farine ce dimanche soir, ces faux amis sont passés à un rappel encore plus sévère en mettant le feu au logement.
Un incendie au rez-de-chaussée peut avoir, compte tenu de la configuration de l’ensemble immobilier, des conséquences dramatiques, je pense au foyer Sonacotra de Dijon.
Mme l’élue en responsabilité du CCAS et de l’attribution des logements pour les deux foyers de Saint Quay, les plaintes n’ont pas manqué pour vous signaler ce mauvais coucheur et malgré cela ces plaignants sont restés avec pour seule réponse leur détresse.
C’est désarmant.
Il est urgent que la sélection qui conduit à l’attribution des logements soit mieux encadrée et que, par des choix plus judicieux, la tranquillité et la réputation des foyers soient assurées.
À noter, après ce sinistre, la célérité des services techniques pour mettre les décombres à l’abri d’autres dégradations, bravo « le petit personnel » bravo les sans grades !!!

JOUNENT michel


samedi 20 novembre 2010

annus horribilis...20/11/2010

2010 "ANNUS HORRIBILIS "
pour les commerçants quinocéens.

Malgré la désignation d’un conseiller municipal en charge du commerce local.
Malgré l’incitation à préempter judicieusement des boutiques fermées depuis longtemps.
Malgré la prétention d’aider à l’ouverture de commerces spécialisés (cycles, galeries d’art, bouquinistes, activités orientées vers la mer).
Malgré la volonté de faire revivre le boulevard Foch.
Malgré une démagogie électorale éhontée qui a trompé beaucoup d’électeurs, le déclin de la commune se poursuit.
Malgré les nombreuses gesticulations de l’équipe « Autrement » qui font sourire pour certaines , la morosité persiste et le maire à la tête de la municipalité n’arrive pas à juguler la disparition des enseignes.
Il y a bien l’opération de sauvetage de la presse du port…des requins prédateurs et du vautour attendant l’agonie de ce commerçant.
La solution d’acheter les murs de ce commerce pose beaucoup de questions et elle ne fera pas venir la clientèle pour autant, mieux, elle exerce une publicité négative.
Pourquoi aider ce commerce et pas un autre ?
En ville, deux « bar–restaurant–hôtel » sont en redressement judiciaire, cela devient très inquiétant, il s’agit de l’Hôtel Saint Quay et de l’Hôtel du Gerbot d’Avoine*, ces deux établissements étaient hier encore les fleurons de notre ville , aujourd’hui c’est le spectre de leur fermeture qui avance.
On aimerait bien connaître la position du maire et de son équipe pour aider comme le libraire du port, ces deux établissements.
Le boulevard Foch devait renaître de ses cendres, il n’a jamais été aussi triste et cela ne semble pas émouvoir les élus.
Le boulevard Foch et son prolongement par la rue de la Victoire ont connu ces derniers mois tous les méfaits répertoriés de notre ville, véhicules abîmés, bacs à fleurs saccagés, cabine téléphonique détruite , tags , voiture emboutissant un bac à fleurs, incendies d’automobiles, trottoirs au nettoyage incertain et pour clore ce tableau peu ragoûtant l’agression du pharmacien avec le vol de son véhicule….elles sont loin les promesses du futur maire et de son « projet de développer une véritable dynamique de prévention et de lutte contre tous les actes d’incivilité et de délinquance qui perturbent la vie des quinocéens ».
A un conseil municipal, il a été voté la délibération d’installer de la vidéo surveillance, où en est cette décision ?
La démagogie peut faire illusion, elle peut faire gagner une élection mais à l’approche du demi mandat ,elle ne trompe plus  personne!!!
La population ne comprend pas les raisons du long délai  pour rendre  praticable le GR 34 à la hauteur du Ker Moor et l’absence d’information sur les difficultés rencontrées.
La population ne comprend pas que le maire éminent cadre de l’assurance , ne règle pas mieux et plus vite les problèmes rencontrés avec les assureurs du Centre des congrès après l’incendie du pavillon des gardiens, à ce train là "les océaniques" se tiendront sur la plage dans le cadre du fameux « son et lumière » de la mi- août.
Déclin et morosité…Morosité et déclin, le premier nourrit la seconde et vice versa.
Le commerce de proximité connaît une confrontation sans pitié avec la grande distribution, notre commune n’échappe pas à cette bataille du pot de terre contre le pot de fer.
Le petit commerce doit se remettre en cause et répondre par son inventivité à ce défit mortifère.
Une association de commerçants représentative, avec le concours d’élus actifs est le seul moyen d’éviter que notre ville  ne devienne pas une cité fantôme.


*procédure de redressement judiciaire par un jugement du tribunal de commerce de Saint Brieuc en date du 10 novembre 2010

JOUNENT michel






mercredi 17 novembre 2010

projet de circulation 17/11/2010

DES MAUX ET DES MOTS !!!

A croire l’équipe municipale emmenée par M Blanc, il fallait revoir de fond en comble le plan de circulation de notre commune.
Les élus de la liste « Autrement » ont superbement ignoré le travail et la réflexion des précédentes municipalités sur ce sujet.
Le maire n’a pas une grande confiance en ses colistiers, il fait appel systématiquement à des bureaux d’études et en l’occurrence sur ce problème bien particulier de la circulation automobile à St Quay, il s’est adressé à des personnes bien loin de la réalité quinocéenne.
Exposé en mairie, tous les quinocéens curieux de l’usage des deniers communaux ont pu visionner un plan de circulation ahurissant.
Sur des cahiers mis à la disposition des visiteurs, des remarques circonstanciées ont mis en évidence que l’on ne pouvait pas faire, écrire et dessiner n’importe quoi !!!
Des rencontres avec les commerçants (3) et l’exposition à la mairie ont conduit à jeter cette étude dans la poubelle des gabegies municipales.
Il faut vraiment être étranger à la commune ou bien comme M Le maire être rarement piéton en ville pour cautionner une telle conception de la circulation dans notre cité...
L’adjoint au maire, en charge de l’urbanisme dresse dans « La presse d’Armor », une bonne analyse sur les difficultés rencontrées pour modifier la circulation à Saint Quay.
Selon B.Oliver, le plan de circulation a rencontré au moins quatre obstacles, ils ont rendu les modifications délicates.
1. la manière dont la ville s’est construite.
2. l’attitude des habitants
3. la réaction des commerçants.
4. la vision de la municipalité dans sa stratégie de tout faire pour valoriser le commerce.
Le conseil municipal a adopté ce plan de circulation le 29/10/2010 par 9 voix et 8 abstentions.
Une décision obtenue à la hussarde au terme de discussions confuses et surtout par une assemblée municipale faite de 12 présents et 5 représentés.
Les représentés sont ils d’accord avec leurs mandataires, c’est une question ?
En lisant l’interview de B Oliver, il n’est pas interdit de penser à l’aune des changements à venir que l’on  aurait pu se passer de cette étude , du temps perdu et l’argent consacré à cette dernière.
Autour de l’église les commerçants font de la résistance et non sans raison ils marquent leurs refus de se voir imposer les derniers choix de ce plan de circulation.
Le maire, un jour nous dit qu’il veut clarifier les entrées en ville en les rendant plus attrayantes pour donner envie de rentrer dans la ville et favoriser le commerce et puis à l’issu du conseil municipal il fait approuver la mise en sens unique de l’axe adjudant Cadot – maréchal Joffre en sortie de ville.
Un jour, il supprime les « zig zag » cassant la vitesse de la rue Paul de Foucaud et maintenant il envisage des « zig zag » boulevard du littoral pour réduire la vitesse sur cette voie.
Dans le programme « Saint Quay Portrieux Autrement » le maire proposait de faire disparaître de la ville , les maux « Déclin et morosité » en faisant réaliser un schéma d’urbanisme et un projet de circulation cohérent pour accéder aux pôles touristiques et commerciaux de proximité.
C’est beau de se gargariser de mots mais pour apercevoir encore des PÔLES commerciaux de proximité à St Quay, il faut vraiment avoir un esprit inventif.
Les maux qui conduisent au déclin de la ville persistent et l’aventure de l’achat « des murs » par la ville d’un marchand de journaux en est l’illustration.
Les mots, les bons mots du maire en déclarant à « la Presse d’Armor » qu’il volait au secours d’un commerçant victime d’un requin et d’un vautour n’ont pas laissé de marbre le tenant de bar qualifié de charognard, il y aura une suite à cette caricature .
Faute de réalisations, notre maire a demi mandat semble se reconvertir vers le comique.
Chaque semaine les lecteurs de la presse régionale se régalent de la vie mouvementée du conseil municipal et des trouvailles de son animateur pour combattre la morosité.

JOUNENT michel





dimanche 14 novembre 2010

UNE EXPOSITION EN MAIRIE
DE SAINT QUAY PORTRIEUX.



Un artiste de Pléguien a appelé, il y a quelques mois, les quinocéens à lui adresser des enveloppes et des cartes postales personnalisées.
Pendant six jours, au mois d’octobre 2010, à l’initiative de Mme Quéré Isabelle, maire adjointe en charge de la culture, s’est tenue une exposition dans le hall d’entrée ainsi que dans la salle du conseil municipal de l’hôtel de ville.
Venant de partout et d’ailleurs par leur travail, les artistes de l’art postal ont montré leur créativité.
À l’évidence, ces créateurs avaient tous les âges.
Le thème général de cette démonstration de talents était de mettre la couleur bleue dans tous ses états.
L’ensemble des exposants s’est bien inscrit dans les variations de cette couleur.
Hélas, pour moi, ancien combattant, je ne peux admettre qu’au détour des panneaux d’exposition , j’ai pu voir une vingtaine de réalisations étrangères au thème choisi.
Des propos partisans et insultants remplissaient des cartes sur un fond de drapeaux tricolores.
Je considère ces réalisations comme un outrage au drapeau tricolore.
Depuis le 26 juillet 2010, un décret publié au journal officiel prévoit une amende de 1 500 € pour un outrage au drapeau français, le texte concerne le fait de détruire, détériorer ou d’utiliser de manière dégradante le drapeau tricolore dans un lieu ouvert au public, le texte précise également que l’auteur peut être puni pour une exposition dans un lieu privé et le fait de diffuser ou faire diffuser l’enregistrement d’images relatives à ces faits.
Ces cartes, bien évidemment, je ne m’en ferai pas le propagandiste, mais chacun peut, en consultant le blog municipal , connaître le site de l’artiste de Pléguien et visionner les cartes* en question dont je conteste le contenu.
*Ces cartes sont signées Eric B……n dans les archives du blog.

PS : J’ai fait parvenir les photos de ces « cartes postales » en question à mon Président départemental de mon association de Saint Brieuc, également au Président national à Paris et au Secrétaire d’Etat aux Anciens Combattants, rue de Bellechasse à Paris.

COULANGEON jean françois

jeudi 11 novembre 2010

la ménagerie et le contribuable 11/11/2010

LE REQUIN,
LE VAUTOUR
ET LE COCHON DE PAYEUR...
le contribuable quinocéen!!!


L’affaire de l’achat des murs d’un commerce de presse en difficulté n’est pas prête de s’éteindre.
Sur les conseils d’un bureau d’études de Saint Brieuc « Cible et stratégie », encore un, on a appris que le « mitage d’une ligne de commerce affecterait durablement l’attractivité commerciale du quai de la République ».
Utiliser le nom mitage en secteur urbain est inapproprié, mais venant d’un bureau d’études, cela fait toujours de l’effet pour vendre au plus cher ses travaux en utilisant un langage abscons !!!
La position du maire est fragile, il a de plus imposé son point de vue aux forceps.
Dix sept élus présents ou représentés et seulement sept élus ont voté pour la délibération N° 10/117.
Le petit commerce est une aventure personnelle, elle se fait aujourd’hui dans des conditions particulièrement difficiles.
Ces dernières années, les bouleversements dans le commerce de proximité sont inouïs et l’accélération de l’utilisation de l’Internet n’arrange rien.
Le marchand de journaux du port d’échouage est situé dans un quartier quasiment à l’abandon, les rues sont sales, les commerces végètent.
L’ancienne propriétaire de ce commerce de presse pratiquait le portage des journaux à domicile, c’était important pour la clientèle âgée de cette partie du Portrieux.
Cela ne semble plus être le cas à ce jour et sans aucun doute la rentabilité de cette boutique en est affectée.
Le maire, à la veille des municipales, s’était présenté comme un dirigeant régional d’une Banque–Assurance de renommée internationale, c’est bien dommage qu’il n’ait pas mis ses compétences à conseiller le marchand de journaux pour renégocier les emprunts usuraires , la presse rapporte que les taux de ces emprunts oscillent entre 12 et 13 %.
Des solutions pour faire baisser ces taux démentiels devaient être possible, l’argent emprunté aujourd’hui n’a jamais connu des taux aussi bas.
Taxer la ou les banques qui conduisent ce commerçant à une situation inéquitable de REQUIN est surprenant pour une personne qui a fait carrière et qui s’en vante dans ce secteur important de l’économie.
La schizophrénie est partout, nous le savons.
Notre maire se réclame d’un certain humanisme , j’ai l’impression qu’en engageant les finances locales au secours du « malheureux marchand de journaux », il est sur le chemin de la rédemption après son long périple de faire de l’argent avec l’argent .
Dans ce quartier, le restaurant « La bienvenue » a mis la clé sous la porte ; depuis la fin octobre, l’hôtel-restaurant « Le Saint-Quay » est en redressement judiciaire , de nombreux autres commerces vivotent, PIQ l’imprimeur local a déposé le bilan et jamais, jusqu'à maintenant, les quinocéens n’ont pu constater la promptitude des élus « Autrement » à se saisir des problèmes des commerçants.
Le choix d’acheter les murs de ce « malheureux » commerçant par la municipalité est une décision arbitraire, les élus n’étaient pas en possession de toutes les informations pour délibérer.
La meilleure des preuves de l’opacité de cette délibération est l’attitude du maire-adjoint, délégué au commerce… il s’est dérobé au moment du vote.
L’union des commerçants est faiblement représentative, son communiqué de presse sur le sujet de l’achat des murs est désarmant , il dénonce les méthodes du maire, il regrette l’absence de concertation, il parle de distorsion de concurrence entre les commerçants , mais une fois dit, les commerçants indiquent qu’ils s’abstiendront d’accroître les difficultés du marchand de journaux.
Avec une pareille prise de position, le maire peut dormir sur ces deux oreilles.
Ce communiqué de presse bien singulier est à l’image de la personne qui conseille les commerçants, il s’était déjà proclamé conseiller d’élus municipaux en conflit avec M.Blanc, ces derniers ensuite ont démissionné, en matière de conseil …c’est un orfèvre.
Et si ma mémoire est bonne, je l’entends encore me faire l’article de ce marchand de journaux du port …un tableau peint au vitriol.
Je croyais naïvement que le maire élu par la majorité de la population devenait le maire de tous les quinocéens et bien, je me trompais.
En qualifiant un commerçant de VAUTOUR , il dépasse largement le cadre de ses prérogatives.
Si l’on accepte la concurrence, si l’on accepte qu’une activité commerciale est à l’image de son propriétaire alors, il ne faut pas s’étonner que des commerces naissent, vivent et meurent .
Faire un procès d’intention au buraliste du port d’Armor sur ses velléités à développer son commerce est très grave.
Le commerce à Saint Quay Portrieux ne fonctionne pas encore sous une forme administrée… M Blanc.

Il est grand temps dans notre commune de hiérarchiser les projets, les remises en état, la place du social, la bonne gestion des deniers publics et surtout, redonner au conseil municipal toutes ses prérogatives.

JOUNENT michel

mercredi 10 novembre 2010

RETOUR SUR LE CENTRE VILLE….


Dans une chronique du 5 octobre 2010 évoquant le centre ville, j’ai décrit l’état de vétusté de l’ensemble immobilier appartenant à une association religieuse hormis la maison de retraite « Jeanne d’arc ».
J’ai souligné que les deux établissements scolaires ne s’inscrivaient pas du tout, par leur état et leur architecture, dans une quelconque harmonie avec les bâtiments principaux.
Depuis longtemps, ces bâtiments religieux sont inoccupés, ils continuent à se dégrader et la vente de l’un deux est particulièrement difficile.
En parlant de l’école « Notre dame de la ronce », j’ai écrit qu’elle était dans un état délabré, je parlais bien évidemment de l’aspect visuel qui s’en dégage.


Ses façades couleur bleue délavée, ses toits moussus en tôle de fibro-ciment, son grillage avant d’être retiré pendait tristement sur le haut mur de clôture de l’école, le qualificatif délabré est sans doute excessif , mais l’aspect extérieur dégradé aurait sans doute mieux convenu.
Le directeur de l’école s’est ému de mon propos, il m’a invité à visiter les lieux.
Qu’il soit rassuré, je n’ai aucun jugement de valeur à porter sur ce qui se passe dans cette école et cette émotion me paraît très excessive.
Je confirme que cette construction date des années 1960, que le temps a passé et qu’il y a quelques années, des mises aux normes de l’établissement ont été demandées par la municipalité en place.

JOUNENT michel


mardi 9 novembre 2010

SUR LE CENTRE DE LOISIRS DES JEUNES.

Au dernier conseil municipal, le maire s’est répandu en remarques acerbes sur mes écrits concernant le coût de cette extension de 65 m² du bâtiment dit « La rotonde ».
Sur le peu de réalisation de cette municipalité, il est toujours difficile de cerner le montant des sommes engagées.
Il y a beaucoup d’opacité, beaucoup d’imprécisions et surtout beaucoup de difficultés pour obtenir des documents administratifs concernant les sommes engagées et les subventions obtenues.
Sur le CLJ , dans un premier temps sur les travaux de restructuration , on évoque une enveloppe de 500 000 € et puis le temps passant, au moment de l’inauguration en juillet 2010, l’investissement budgété de 435 000 € TTC est ramené à 365 000 € TTC.
Les subventions s’élèvent d’une manière confuse à 130 000 €, sur le bulletin municipal on additionne des concours financiers sollicités du Conseil régional (50 000 €) et des subventions apparemment obtenues du Conseil général ( 40 000 € ) de la CAF des Côtes d’Armor (28 750 € ) et du Sudgoélo ( 10 000 €).
Il est très difficile de s’y retrouver dans ce méli-mélo.

On mélange un peu trop facilement des subventions sollicitées, espérées et des subventions réellement obtenues.
Ce n’est pourtant pas le bout du monde de présenter un plan de financement abouti et compréhensible par tout un chacun… d’expliquer aux quinocéens comment sera couvert la partie revenant à la municipalité ( emprunt ou auto financement ) et quel seront le montant et les délais de récupération d’une partie de la TVA.
Des élus se comptant sur les doigts d’une main essaient encore d’accéder aux documents officiels de la municipalité sans beaucoup de résultats, à l’extérieur du conseil, c’est le parcours du combattant pour consulter les documents comptables, aussi M. le maire, c’est un peu déplacé de tancer un quinocéen curieux de l’usage des deniers publics.
Toujours à propos du CLJ, il est maintenant notoire de constater que cette transformation est extrêmement coûteuse compte-tenu de son usage tout au long de l’année.
C’est un local ouvert deux mois durant l’été , puis 4 heures les samedis après midi, hors vacances scolaires pour une dizaine d’enfants de 12 à 17 ans accompagnés d’une éducatrice.
A souligner que nombre d’activités organisées pour ces jeunes se font à l’extérieur du CLJ : exemple la fréquentation de la patinoire de Saint Brieuc.

OUI, il serait intéressant de connaître les dépenses de fonctionnement de cet espace de rencontre.

JOUNENT michel.

samedi 6 novembre 2010

UN CONSEIL MUNICIPAL Á LA DÉRIVE !!!


Dans l’organigramme du conseil municipal, il y a, paraît-il un délégué au commerce ?
C’est le maire-adjoint en charge des affaires portuaires, entend-t-on.
Il reste très discret sur son travail, sans doute la vice-présidence du Sudgoélo absorbe tout son temps d’élu indemnisé.
Sur sa discrétion , lors de la venue de la Commissaire européenne chargée de la pêche accompagnée du Ministre français de l’agriculture et de la pêche, il avait superbement snobé la visite et il avait laissé « Dominique » virevoltant parmi les huiles européennes , nationales , préfectorales, départementales et de la communauté de commune du Sudgoélo.
Ce jour là, je l’ai aperçu, installé dans son véhicule de l’autre côté du port d’Armor regardant de loin les visites d’un bateau de pêche hauturier et la criée.
Surprenant pour un élu responsable aux affaires portuaires !
Depuis 2008, avec l’arrivée de l’équipe « Autrement », des commerces ont continué à disparaître en ville, le déclin de l’activité commerciale de proximité se poursuit, des boutiques fermées ont été transformées en logement.
L’aide apportée aux éventuels repreneurs pour faire, durant la période estivale, des commerces originaux, n’existe pas, le fameux exercice judicieux du droit de préemption est oublié.
On n’a rien vu en presque 3 années !!! Et la boutique abandonnée devant la mairie est toujours abandonnée.
Avec le plan de circulation, aujourd’hui ramené à très peu de modifications, on a assisté à un dialogue de sourds entre les commerçants et les élus.
Le commerce quinocéen est submergé par la grande distribution et l’installation prochaine, sur la ZA des islandais, d’un magasin alimentaire « low cost », ne va rien arranger.
Cette décision de donner l’autorisation d’ouvrir ce magasin n’est pas étrangère à la communauté de commune Sudgoélo où « vice-présidentialise » notre élu quinocéen.
Défendre le petit commerce et ouvrir les portes à la grande distribution, cherchez l’erreur…
Mais pour en revenir au travail du délégué au commerce, on reste pantois devant son attitude au cours du conseil municipal du 29/10/2010.
Sur la délibération de savoir s’il fallait acheter ou non les murs d’un commerce de vente de journaux en grave situation financière, il s’est retiré du vote en entraînant Mlle Thoraval absente qui s’était fait représenter.
Le délégué au commerce venait de découvrir le dossier.
Ah, il y a eu bien sûr du « Dominique »… pour reporter le vote au prochain conseil de décembre, mais devant l’insistance du maire à se compter, G.Brezellec s’est rendu en rase campagne en se soustrayant au vote, trois autres élus se sont aussi surpassés, Néant, Girardet et Le Chevoir en s’abstenant.
On présente un dossier non discuté en commission des finances, la dépense de 100 000 € HT est imprécise sur son financement, le loyer demandé au commerçant est de 5 000 € HT, manifestement trop faible puisque depuis, le premier magistrat m’a rapporté qu’il passait à 6 000 € et malgré le peu d’explication sur cet achat, il y a des élus volontaires pour assumer des responsabilités municipales qui trouvent le moyen de s’abstenir.
Chapeau ces élus !!! Le conseil municipal n’est pas la cour de récréation du patronage local ni l’endroit où l’on jette des chaussettes sur des bouffons.
Ce vote est une guignolade, de plus, les élus continuent à se disqualifier, l’attitude toujours équivoque du second maire adjoint à l’encontre de « Dominique » persiste.
Le violent réquisitoire de G Brezellec contre le maire en Mars 2009, lu par un conseiller municipal, est toujours en filigrane dans les rapports entre ces deux personnes.

Ce conflit latent perdure et c’est bien triste pour la ville de Saint Quay Portrieux.


JOUNENT michel

mercredi 3 novembre 2010

LE DOIGT DANS L’ENGRENAGE…


Au conseil municipal du 29 octobre 2010, la main sur le cœur, le maire et deux de ses fidèles colistiers nous ont dit qu’il y avait urgence à voler au secours d’un commerce en difficulté.
Il fallait aider un service de proximité, un marchand de journaux et un point Loto, en lui achetant les murs de son commerce.
Pour un montant de 100 000 € et pour un loyer de 5 000 € par an , ces sommes dépassent l’entendement , elles relèvent de l’arbitraire et faussent la concurrence.
Quant à la qualification de service de proximité, il se dresse en ville des contestataires à cette vision du commerce.
Les candidats à recevoir une aide municipale pour se sortir d’une gestion délicate se font déjà connaître.
Le maire et son adjoint, le délégué au commerce G. Brezellec , vont devoir ouvrir un guichet à l’Hôtel de ville pour recevoir les demandeurs de fonds publics.
A écouter M. Tanon et Mme Poignonnec, aider le propriétaire de la boutique de la presse ne souffre d’aucun retard.
Le tribunal de commerce de Saint Brieuc, par un jugement en date du 27 octobre 2010, a ouvert une procédure de redressement judiciaire pour le restaurant-hôtel- traiteur du Bd Foch, le tribunal a désigné un mandataire judiciaire pour recevoir les titres de créances.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation de ce commerçant est plus que difficile.
Dans leur grande sagesse , les élus, et le maire en tête, qui ont voté l’aide au commerçant du Portrieux, vont venir au secours de ce restaurateur-hôtelier de Saint Quay.
Lui, il n’est pas dans une fausse-vraie difficulté de trésorerie, il a la tête sous l’eau avec le poids des exigences du mandataire judiciaire.
Deux poids, deux mesures, ce n’est pas envisageable Monsieur le premier magistrat.
M le Maire et M le « Ponce Pilate » délégué au commerce, on attend de vous une réponse appropriée et rapide pour empêcher la fin de cette activité intra-muros.

JOUNENT michel

mardi 2 novembre 2010

100 000 euros jetés à la mer.


Après la décision intempestive du conseil municipal du 29 octobre 2010 de voter la délibération "aide au service de proximité - achat des murs d’un commerce », il me vient à l’esprit, dans le cadre de l’ouverture prochaine du cinéma rebâti « Arletty », de participer à la programmation de cette salle en souhaitant la projection d’un excellent film US de 1969.
D’ailleurs, toutes les décisions du maire et de ses conseillers muets s’identifient, d’une manière générale, à des titres de film.
Ce n’est pas étonnant, son engouement à faire fonctionner une salle de projection exceptionnelle avec l’argent du contribuable nous fait découvrir le maire sous un jour nouveau, c’est un cinéphile averti !!!
Ce film « Prends l’oseille et tire toi » reflète bien ce choix de la municipalité à l’adresse de ce marchand de journaux malheureux en affaire.
Affirmer sans vergogne qu’un commerce de presse est un service absolument nécessaire au quartier du port dépasse l’entendement.
Cette boutique, avant sa cession au propriétaire actuel, avait une rentabilité satisfaisante.
L’ensemble mobilier (logements et boutique) a été acheté autour de 300 000 €.
Si aujourd’hui ce commerce est en difficulté, il est évident que le propriétaire porte une large part de responsabilité, à cela s’ajoute des changements importants dans la manière de consommer des quinocéens et à la place d’Internet.
Une fois les dettes effacées de ce commerçant par la rentrée d’argent résultant de l’achat des « murs » de son commerce par la ville, la situation commerciale et le niveau de la clientèle n’ont aucune raison objective d’évoluer.
Un dépôt de la presse quotidienne existe à la superette voisine, au tabac du nouveau port, il y a le dépôt de « La presse d’Armor », Ouest France est distribuée par portage de nuit et on peut aussi s’abonner à tous les organes de presse, cette boutique fermée ne bouleversera pas grand chose à la vie du quartier, d’autant que le point « La Française des jeux » trouvera immédiatement preneur.
L’achat des murs conduit à la copropriété , la création d’une entrée différente pour accéder aux logements, renseignement pris, n’est pas évidente et qui assumera le coût de ces travaux ?
Et puis tout le monde est conscient que le comptable de ce commerce ne pourra que conseiller à son client, une fois ses dettes réglées, la prudence de déposer le bilan.
Cette décision d’achat des murs par la ville est une mauvaise publicité pour ce commerçant.
Cet achat est un scandale !!!
L’attitude des conseillers qui se sont abstenus et ceux qui n’ont pas pris part au vote en est un autre.
Le dossier de cet achat n’a pas été discuté en commission des finances et sa présentation parcellaire au conseil a dévalorisé pour longtemps le rôle des conseillers municipaux.
Cette affaire fera date à Saint Quay Portrieux, elle rappelle le film italien :
« Petits arrangements entre amis ».
C’est une affaire sérieuse et déjà j’entends au moins deux commerçants qui veulent connaître le même traitement de notre maire omnipotent.
Les mois à venir risquent de rappeler à M Blanc que « la vie municipale n’est pas un long fleuve tranquille ».

PS : si le loyer demandait par la municipalité est de 5 000 € annuel(420 € mensuel), les murs ont une valeur de 50 000 €.
Si les murs sont vendus 100 000 €, le loyer annuel est 10 000 € soit 833 € mensuel.
Ces loyers et ces montants de reprises des murs correspondent à un usage reconnu par les spécialistes et ne correspondent  pas avec les chiffres annoncés par le maire.

JOUNENT michel




lundi 1 novembre 2010

UNE GABEGIE DE PLUS !!!

Le plan de circulation…


Le maire a, pendant de long mois, tiré des plans sur la comète en prétendant inventer un plan de circulation.
Et à l’entendre….pour faire un bon plan de circulation s’inscrivant dans le schéma directeur « Saint Quay Portrieux 2020 », il faut d’abord solliciter un bureau d’études , ensuite il faut passer sous silence le travail des anciennes municipalités et en particulier la dernière et, pour terminer, une énorme prétention à détenir la science infuse sur tous les sujets.
Des élus ont essayé de réaliser la quadrature du cercle en solutionnant la circulation complexe de notre commune.
Avant l’arrivée de M Blanc, il était convenu que les améliorations étaient difficiles à trouver et surtout à faire accepter.
M Blanc, à la tête de la municipalité, a fait réaliser une étude importante, suivie d’une exposition cartographique à l’hôtel de ville avec, bien sûr, une mise à disposition de cahiers pour recevoir les doléances des visiteurs.
Plusieurs réunions avec les commerçants se sont tenues, elles ont dégagé de nombreuses incompréhensions.
Un adjoint au maire devait faire la synthèse des centaines d’observations annotées sur les cahiers, il s’est fait représenter au dernier conseil municipal et on n’a rien appris sur son travail.
Sur le plan de la ville en mairie, avant les vacances d’été, les quinocéens ont découvert des propositions rocambolesques :
un axe allant du centre Saint Quay vers le port par le bd Foch et la rue de la Victoire en modifiant les sens de circulation de la moitié du bd Foch.
un axe allant du port vers Saint Quay, rue Bocuze, rue des lavandes, rue du Président Le Sénécal, rue Paul Déroulède, rue des châtelets, rue de Dol.
une pénétrante rendant la plus grande partie de la rue Martouret en sens unique.
une sortie de ville en utilisant la rue du Bel air jusqu’au futur rond point des prés Mario.
une voie utilisant la rue de Dol mise en double sens pour rejoindre le port par l’avenue de la comtesse, en passant par la rue du général Castelneau.
un double sens de la rue A. Malraux.
une sortie de ville en rendant la rue de l’adjudant Cadot et la rue Joffre en sens unique.
un sens unique rue du commerce et rue de la comtesse.
A l’issue de ce conseil municipal du 29 /10/2010, tout est à peu prés abandonné !!!
Les commerçants ont rejeté l’ensemble de l’étude et le conseil a adopté de très minimes changements.
La mise en sens unique de la rue Joffre et de l’adjudant Cadot, pour faire une sortie de ville, déplaît considérablement aux commerçants situés autour de l’église.
Le bas de la rue Clémenceau sera mis tout le long de l’année en sens unique vers le port, entre la rue des lilas et le quai de la République.
Les rues du Commerce et de la Comtesse restent en double sens.
Des petites rues du Portrieux sont mises en sens unique, Pasteur et Lilas entre autres.
La fin des discussions sur le plan de circulation ouvre la promesse de refaire la signalétique de la ville, vu l’état obsolète de celle en place, cela devrait être une bonne nouvelle.
Une nouvelle fois, devant ce projet porté exclusivement par le maire, les auditeurs du conseil municipal ont constaté l’attitude grégaire des conseillers.
Le droit d’expression leur semble aujourd’hui interdit !!!
En résumé, des mois d’études, de réunions inutiles, une pseudo concertation, beaucoup d’énergie et de temps dépensés pour rien ou si peu et surtout beaucoup d’argent jeté à la mer.
Cela devient une triste habitude avec cette municipalité dirigée par M Blanc :
Aire de carénage, multiplication des directeurs généraux des services, études multiples en tout genre et aujourd’hui un investissement dans les murs d’un commerce en difficulté et demain le cinéma avec sa gestion incertaine.

JOUNENT michel




SUR LES JONGLERIES
DE M BLANC.


Pour sauver l’existence d’un commerce de journaux il y avait urgence, selon Mme Poignonnec et M Tanon ; le conseil municipal a voté l’achat des murs de cette maison de la presse situé quai de la République.
OUI, cet achat est surprenant et ouvre à la multiplication de demandes provenant de commerçants en difficulté.
OUI, les critères de ce choix sont arbitraires
OUI, le marchand de journaux a envisagé l’obtention de la licence de buraliste du café tabac-taxi de la rue de la Victoire qui cessait son activité.
OUI, malgré l’intervention de G. Lambotte auprès de la direction régionale des Douanes Françaises, cette dernière n’a pas accepté la demande, le prétexte était la trop grande proximité du tabac de la rue Clemenceau.
OUI, le syndicat des buralistes est consulté par les Douanes sur les transferts de licence.
OUI, il y avait un autre candidat au transfert de cette licence.
OUI, l’imprimeur E. Marion a connu de sérieuses difficultés de gestion, elles l’ont conduit à déposer le bilan, au grand regret de ses clients.
OUI, E. Marion n’était plus en odeur de sainteté auprès du maire et sa démission du conseil municipal n’a rien arrangé.
OUI, E. Marion était le meilleur élu de la liste « autrement » et cela montrait la grande estime que la population avait pour lui.
HELAS pour lui, il n’était pas propriétaire des murs de son commerce et là-dessus on ne peut pas faire un procés d’intention rétroactif à notre maire, le bon samaritain.

JOUNENT Michel