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lundi 31 août 2020

lé Tour di France passera à Rennes... ,le 31 aout 2020

LA DERNIERE "ANERIE" DES BOBOS-ECOLOS.
Ils clament bien fort  dans la  municipalité de Rennes que le tour de France n'est pas le bienvenu dans la capitale bretonne , soi disant ce spectacle sportif pollue et coute aux deniers de la ville.
Cette épreuve populaire est certes dans les mains de grands groupes financiers comme le foot mais il reste gratuit pour des  millions de spectateurs aux bords des routes en  faisant la joie des amoureux de la petite reine et quant   à la  pollution  due  à la caravane publicitaire l'argument est risible, des  pollutions existent dans beaucoup d'autres domaines  sans émouvoir nos élus sectaires .
Ces élus feraient mieux de faire respecter la laïcité  et la sécurité dans l'immense  métropole rennaise.
De plus  ils  pourraient garder au cœur des afficionados du vélo le souvenir intact  des grands champions bretons comme Jean Robic , Louison Bobet et Bernard Hinault ces illustres forçats de la route qui ont soulevé tant d'enthousiasme  chez chacun d'entre nous
JOUNENT Michel.

vendredi 28 août 2020

suffit le retour aux temps anciens , le 28 aout 2020

DEPUIS QUELQUE TEMPS,
le vélo revient à la mode qu'il soit musculaire  ou à assistance électrique.
Son usage dans les agglomérations, dans des communes comme la nôtre  n'est pas simple et parfois dangereux.
La dangerosité c'est à la fois  à cause de certains cyclistes qui se moquent éperdument du code de la route, des automobilistes qui n'envisagent  pas une seule fois  la fragilité des amoureux de "la petite reine"  et surtout du manque d'adaptation  de la voirie pour mettre  le plus possible les vélocipédistes hors des dangers de chauffards toujours trop pressés.
C'est totalement vrai  dans notre petite commune  de  3.5 Km² où il est risqué de pédaler avec une  absence totale de couloir réservé à l'usage du vélo  et de l'absence de la limitation  de la vitesse pour toute la commune à  30 Km/heure pour tous les engins  à moteur.
L'usage du vélo , c'est bon pour le porte monnaie, c'est excellent pour lutter contre la pollution il y en a même qui disent qu'avec ce moyen de déplacement on va sauver la planète, c'est beau de rêver et puis cerise sur le gâteau c'est sans pareil pour se maintenir en bonne santé.
Aussi  je suis scandalisé quand je vois la publicité qui est faite dans  le cadre de la  course de voiliers du "Figaro"  à une curieuse  initiative, celle  de mettre  à disposition de quelques paresseux deux vélos -taxi
Ceci dans l'espace du port d'Armor sponsorisé en grande partie par le Département et  l'agglomération  la SBAA, on se croirait revenu  au temps  joli des colonies où l'on voyait des pauvres hères suer sang et eau  pour transporter le colon ou le militaire  du coin dans  un pousse-pousse et pourquoi pas aussi  pour épargner la  moindre fatigue aux curieux du départ de la "Figaro"  remettre en fonction des chaises à porteur???
Voir un quidam proposé sa force physique  pour transporter  un paresseux  est vraiment un retour au temps d'avant  celui de la noblesse au sang bleu.

JOUNENT Michel.

jeudi 27 août 2020

à propos des "Dix petits nègres" ,le 27 aout 2020

OŪ ET QUAND S'ARRỆTERA LA CONNERIE!!!


Que  dois je faire de mes disques??? portant le label de "Negro Spiritual " de mes enregistrements de la "Mano Nègra " et des  "Nègresses vertes" etc 
Et doit on bruler le bouquin d'Aimé Césaire  et de Verges au titre "Je suis nègre, nègre  je resterai.
Y a en marre de cette inquisition , de cette mauvaise évocation et réécriture  du passé...
JOUNENT Michel.

samedi 22 août 2020

toujours sur le Gerbot d'avoine; le 22 août 2020



C'EST BEAUCOUP EXAGÉRÉ ...
que dire la reconstruction du "Gerbot d'avoine" passionne les habitants de Saint Quay.
Elle intéresse et inquiète  surtout les riverains  de  sa prochaine extension, le projet  en effet prévoit la construction  ambitieuse  d'un hôtel ( 4 étoiles) paré de deux restaurants, d'un SPA , d'un important parking souterrain et d'un espace balnéo.  
Les réponses apportées par le promoteur à plusieurs résidents  quinocéens lors d'une réunion d'information  n'ont pas à ce jour produit d'éléments tranchants quant  à la fiabilité de ce projet , projet  inutile de le rappeler est un investissement privé et qui reçoit  à juste titre  l'aval et le soutien sans détour  de la  municipalité.
A cette réunion, la  situation économique du pays  suite  à la pandémie du Covid-19 n' a pas été  évoquée... curieux , de  plus quelles seront  pour notre commune les conséquences d'un Brexit  dont on ne voit toujours pas  l'issue  sur la pêche et la plaisance (contrôle des frontières???) avec la Grande Bretagne, c'est vraiment doublement curieux!!!
Une chose retient mon attention, l'hôtel appartient toujours au même propriétaire qui continue à en assumer les charges (impôts, assurances etc ) si le promoteur était si sûr d'aller jusqu'au bout de ce projet; le Gerbot aurait changer de main et le  propriétaire actuel cesserait de se faire du mauvais sang pour la suite...
Si le promoteur est toujours à le recherche d'un groupe hôtelier qui gèrera  les quatre activités  contenues dans ce complexe, il est curieux que l'on cherche un spécialistes de  l'hôtellerie une fois la construction entérinée  par son permis de construire et que l'on ne  l'est pas associé  de suite au projet.
Une question n'est pas venue  lors de cette réunion d'information  celle de  l'environnement  immédiat  de ce projet, comment peut-on envisager une construction aussi prestigieuse  à l'ombre de la "résidence de iles "  (+ de  25 mètres de  haut) construction réalisée sous d'autre condition d'urbanistique il est vrai le siècle dernier mais toujours aussi  et particulièrement disgracieuse et comment maintenir  l'entrée de cet ensemble hôtelier à une dizaine de  mètres d'une bâtisse délabrée, un temps squattée l'ex hôtel de la grève .
On peut rajouter à cet environnement "dégueux" les deux boutiques du Bd du Général De Gaulle  faisant face à l'entrée du Gerbot  ,installées elles aussi  au rez de chaussée de bâtiments en tristes états.
Je suis résolument  pour la reconstruction de cet hôtel-restaurant, mais pour l'instant trop de paramètres restent dans le flou et demandent à être approfondis  mais comme c'est un investissement privé la seule chose que  peuvent demander les quinocéens les  plus curieux ; quels seront les travaux à la charge de  commune  pour rendre  le carrefour du Gerbot d'Avoine libéré de ses  taudis  et surtout pour donner aux piétons  le long de l'hôtel un trottoir  suffisamment large permettant des déplacements en toute sécurité avec  poussettes ou chaises roulantes.

JOUNENT Michel.


samedi 15 août 2020

de l'argent jeté par la fenêtre, le 15 aout 2020


A MALIN, MALIN ET DEMI...suite
En attendant depuis la décision d'acheter le bâtiment appelé  "le coin des malins" par l'agglomération  du "Sudgoëlo" en avril 2013 , le seul malin dans cette transaction a été le vendeur qui a récupéré 300 000 € d'une boutique sans avenir commercial.
Depuis plus de sept années , ces  300 000 euros ont fait des petits (clôture du lieu, frais d'enregistrement ,transformation  provisoire pour en faire "un studio de cinéma" impôts de toutes sortes , EDF , eau etc ). 
Ce ratage économique est le fruit de demandes singulières et de promesses non tenues par le ministre de la Défense ( 6 mai 2012-17 mai 2017 ) et aussi président du Conseil régional de Bretagne ( 12/2015-6/2017 )  puis qu'il a pu obtenir le cumul de ces deux responsabilités... 
Merci et bravo le copinage de Monsieur Hollande.
Monsieur Le Drian personnage politique omniprésent dans de  multiples occupations politiques depuis des lustres a  demandé  aux élus du Sudgoëlo de trouver  éventuellement  un local pour loger des "gendarmes maritimes".
En deux temps et trois mouvements, la chose s'était concrétisée, un bâtiment en bon état  le fameux "coin des malins" avec plusieurs logements déjà offrant du confort, un  endroit éloigné rendant le casernement paisible bref un lieu quasiment idéal pour loger ces  militaires avait été trouvé sur la commune de Tréveneuc, elle qui souvent faisait remarquer  qu'on l'oubliait dans l'agglo Sudgoëlo.
Et puis patatras M le Ministre de la Défense et Président du conseil régional de Bretagne  change d'avis , abriter des gendarmes  à Tréveneuc ne le concerne  plus.
Résultat cet investissement  de 300 000 € reste inutile  et montre la désinvolture  de  plusieurs décideurs.
300 000 € augmentés depuis  plus de sept années  ne sont quand  même pas une petite somme.
Sept ans et plus  de réflexion cela peut faire un beau titre de film mais au niveau du travail des élus et de leurs responsabilités cela ne fait pas très sérieux pour l'usage des deniers publics.
Cet achat de  2013 a connu  dans  un premier temps au niveau de notre commune les maires Blanc et Simelière  dans le cadre du Sudgoëlo et à partir du 1er janvier 2017 de  T Simelière dans  le cadre de la nouvelle agglomération  la SBAA.
IL est plus que temps que cette propriété serve à quelque chose sinon qu'elle soit revendue pour retrouver  une partie de la mise et que l'on fasse mieux que l'achat d'une boutique de presse par M Blanc , sa revente  par M Simelière avait conduit à la perte d'environ 40 000 euros pour la commune et laisse enfin d'histoire la création d'une énième agence  immobilière.
Pour terminer  quand  les élus seront-ils  pécuniairement responsables de leurs investissements hasardeux et douteux ???
A un moment  à la rentrée de septembre où la situation économique va se tendre considérablement  où les collectivités territoriales vont devoir avec les dents chercher le moindre euro il serait bon que notre maire jamais  à court d'idée, maintenant en titre de vice président de SBAA trouve un terme à ce scandale... 
Ce n'est pas le cas du maire de Tréveneuc sans titre à la SBAA, qui a beau alerter en vain sa population depuis trop longtemps reste et  demeure scandalisé devant cette situation de gabegie inouïe.

JOUNENT Michel.


mercredi 12 août 2020

on attend des explications de la part de nos élus de SBAA, le 12 aout 2020


Saint-Brieuc : 
des milliers de tonnes d’ammonitrates transitent par le port du Légué.


Le port du Légué à Saint-Brieuc voit débarquer chaque année plusieurs milliers de tonnes d'ammonitrates. 


Au moins 5000 tonnes de nitrates d'ammonium transitent chaque année par le port de commerce de Saint-Brieuc
À Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), au moins 5000 tonnes transitent par le port du Légué chaque année avant d’être acheminés par la route vers des entreprises agroalimentaires costarmoricaines.

Au lendemain de la catastrophe qu’a connu la capitale du Liban, les associations de défense de l’environnement montent au créneau pour rappeler les dangers des ammonitrates.

Ainsi, un cargo y a débarqué un chargement de 3000 tonnes courant juillet. Un autre navire y est attendu avant la fin de l’été.
Des opérations de déchargement très encadrées et des conditions de stockage qui n’ont heureusement rien à voir avec celles qui ont été constatées à Beyrouth : les sacs ne sont guère entreposés que quelques heures sur les quais et jamais à l’intérieur des hangars.
Et les quantités sont sans commune mesure avec celles d’autres ports français comme celui de Saint-Malo où transitent 40 à 60 000 tonnes par an
Un risque industriel pris très au sérieux.
Le site du Légué est néanmoins classé par la Préfecture comme présentant un risque industriel :
En cas d’explosion, les effets sur l’homme sont mortels dans un rayon de 590 mètres autour du quai de déchargement des ammonitrates.
Des défenseurs de l’environnement s’en préoccupent de longue date. L’association Sauvons la baie de saint-Brieuc s’est créée en début d’année notamment pour alerter la population sur ces risques. Son président André Ollivro estime qu’une explosion pourrait même souffler le barrage du Gouët.
Yves-Marie Le Lay, président de Sauvegarde du Trégor Goëlo, a écrit au préfet pour lui demander de « saisir l’occasion de cet événement tragique pour engager une réflexion critique sur les modes agricoles intensifs porteurs de tant de risques pour la population, avec en contrepartie des propositions d’une agriculture qui retrouverait le lien avec le sol, donc moins polluante, plus soucieuse de la santé et de la préservation de la biodiversité , et qui rendrait caduc le stockage dangereux d’ammonium de nitrates au port du Légué ».
Enfin, l’association Robin des Bois rappelle que la préfecture maritime a porté assistance à un cargo battant pavillon libérien en décembre dernier. En raison d’une avarie, le navire avait été hébergé une dizaine de jours dans la baie de Saint-Brieuc avec à son bord 4000 tonnes d’ammonitrates.
Article paru dans le journal hebdomadaire "Le Pentièvre" du  6 aout 2020.
Le Légué est le port de commerce entre autre de Saint Brieuc commune principale de l'agglomération SBAA et notre maire est vice président  de cette dernière en charge  de la politique de la mer, des ports, et de la plaisance.  

dimanche 9 août 2020

pour essayer de comprendre le "merdier "libanais,le 9 août 2020


Liban : les religions au pouvoir

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L’État libanais est laïque dans la mesure où il n’a pas de religion propre. Mais il s’appuie fortement sur les communautés religieuses. Une organisation liée à l’histoire, qui, au final, fragilise à la fois l’État, les communautés et les citoyens, estime Hiam Mouannès, maître de conférences en droit public.
Vu de France, le modèle de l’État libanais peut paraître difficile à comprendre. Les mandats et fonctions étatiques et publics sont répartis entre les communautés religieuses. Le président de la République est ainsi forcément chrétien maronite, le Premier ministre, musulman sunnite, le président de la Chambre des députés, musulman chiite, le vice-président du Parlement, chrétien grec-orthodoxe.
Chacune des dix-huit confessions reconnues par la loi dispose d’un certain nombre de postes réservés dans l’armée et la fonction publique. À la sortie de l’école de la magistrature par exemple, les affectations dépendent à la fois du rang des diplômés et de leur religion. Tel poste est fléché pour un chiite, tel autre pour un maronite ou un sunnite, etc. Les communautés sont en outre équitablement représentées au gouvernement et même au Conseil constitutionnel.
Les sièges de députés eux-mêmes sont répartis à égalité entre chrétiens et musulmans et proportionnellement entre les communautés de chacune des deux catégories. À ce titre, l’électeur d’une circonscription ne peut choisir qu’entre des candidats appartenant à une communauté donnée, qu’elle soit la sienne ou non.
Un compromis historique
Impossible d’appréhender ce modèle très particulier sans revenir sur l’histoire du Liban. Le régime du double caïmacamat (1842 à 1860) a ainsi été établi suite à des pourparlers entre la Sublime Porte et les puissances européennes en vue de faire cesser les massacres des chrétiens par les druzes et de permettre à la communauté chrétienne d’être dirigée par un prince chrétien. L’oppression subie par les chrétiens tout au long de l’histoire du Liban (leur statut de dhimmi dans les années 1850 ; le massacre de 1860) et l’intervention des puissances européennes pour contrer l’Empire ottoman sur place, contribueront à faire reposer le système politique libanais sur une représentation confessionnelle.
Après le partage du Proche-Orient entre la France et le Royaume-Uni au lendemain de la Première Guerre mondiale, les différentes communautés religieuses participent activement, sous l’égide de la France, à la rédaction de la Constitution de 1926. Le Liban accède définitivement à l’indépendance en 1943. Demeure cependant un tiraillement permanent entre les deux grandes communautés : les chrétiens se fiant toujours à la protection occidentale et particulièrement française, les musulmans se sentant plus proches de leur appartenance à la Umma islamiyya qu’à la nation libanaise.
C’est un pacte non écrit, établi en  1943 entre deux hommes d’État (Béchara El Khoury, chrétien maronite et président de la République, et Riad El Solh, musulman sunnite et Premier ministre), qui établira le socle du Liban actuel. Ce pacte national scelle « l’entente » entre les deux communautés chrétienne et musulmane sur deux renonciations réciproques. Plus question de se tourner vers des appuis ou des appartenances extérieurs, décident-ils de concert. L’État libanais, tel qu’ils le définissent alors, est laïque, mais se construit en s’appuyant sur les communautés religieuses, qui, de fait, partagent à égalité (et proportionnellement à l’intérieur de chaque communauté) toutes les fonctions d’autorité ainsi que les postes de la fonction publique et juridictionnelle.

Arabie Saoudite et Iran

Plusieurs crises et guerres dont les enjeux dépassaient le Liban (dont la guerre de 1975-1990) ont ensuite fragilisé l’État et l’entente entre les communautés religieuses.
Les accords de Taëf conclus en Arabie saoudite en 1990 ont refondu la Constitution libanaise et retiré au président la République (chrétien) l’essentiel de ses pouvoirs au profit du Conseil des ministres. L’accord de Doha de 2008 a ensuite assis un étrange concept de « tiers de blocage », donnant à une minorité de dix ministres sur trente un droit de veto au sein du gouvernement pour les sujets dits fondamentaux.
Ces réformes ont entravé la décision politique et renforcé les influences des puissances régionales et internationales, les sunnites étant actuellement soutenus par l’Arabie saoudite, les chiites par l’Iran.
De fait, les blocages institutionnels sont incessants. Le Parlement actuellement élu l’a été en 2009 pour quatre ans. Depuis lors, il a à trois reprises autoprorogé son mandat sans que de nouvelles élections soient organisées… Pendant deux ans et demi (de mai 2014 à octobre 2016), le Liban a connu une vacance présidentielle, les parlementaires ne parvenant pas à s’entendre sur un candidat consensuel.
Les gouvernements successifs eux-mêmes peinent à prendre des décisions au quotidien. Le haut degré de corruption et le mauvais état – voire l’absence – des infrastructures publiques essentielles sont directement liés à la faiblesse du pouvoir central.  
La démission du Premier ministre
Aujourd’hui, à côté de l’armée officielle du Liban, une ancienne milice, celle chiite du Hezbollah, dispose encore de son arsenal militaire, l’État étant incapable de la désarmer (en raison probablement des rapports de force régionaux et internationaux en faveur de la Syrie, de l’Iran et de la Russie).
La démission du Premier ministre Saad Hariri, « lue » depuis Ryad le 4 novembre 2017, puis la suspension de cette démission le 22 novembre 2017 à son retour au Liban, à la demande du président Michel Aoun, démontre cette prise en otage du Liban dans les règlements de compte entre les deux axes sunnite/chiite - Arabie saoudite/Iran.
La nation libanaise existe indiscutablement. Elle s’affirme contre vents et marées au-delà des appartenances religieuses ; l’armée libanaise, composée de toutes les confessions, est engagée résolument contre le groupement terroriste autoproclamé « État islamique en Irak et au Levant » (Daech) et remporte des victoires inestimables sur le sol libanais. Aux yeux de l’État, les Libanais demeurent cependant davantage des fidèles que des citoyens.
 
Article ecrit  en 2017 par l'Université de Toulouse 1 Capitole

jeudi 6 août 2020

Encore de la COM, le 6 août 2020


TOUT N'EST PAS DISPARU DANS NOTRE ANCIEN PROTECTORAT (1920/46), LE LIBAN...
Ce soir à Beyrouth la capitale  d'un Etat  totalement corrompu et moribond , des boites de nuit offriront quelques moyens visuels et  plus pour se détendre et reserveront sans doute une table à notre sauveur de  l'Humanité accompagné de son porte coton  Le Drian !!!
Le long du canal de  l'Ourq des migrants s'installent dans des conditions épouvantables , dans  le département du Nord  les mêmes immigrés veulent vainement  rejoindre la Grande Bretagne et nos élus ne reglent pas grand chose par rapport  à ce flot de misères.
Qui peut croire que la France  va régler les problémes  de ce pays dirigé par  un multiculturalisme  religieux* qui l'a lui même mis en route en 1920.
J'espere que notre Président "Jupiterien " fera un petit coucou à son ancien copain Carlos Gohn.

JOUNENT Michel . 
* 26 religions officiellement reconnues au Liban.