DIFFAMATION...
VOUS AVEZ DIT DIFFAMATION
M BLANC !!!
M BLANC !!!
QUELLE DIFFAMATION ???
M
Blanc, son Directeur Général des
Services et les membres du conseil municipal savaient
depuis le 16 février 2012 que le
maire ne pouvait plus intenter d' actions en
justice sans l'autorisation
majoritaire des membres de son conseil municipal.
La presse (les correspondants et les "
journalistes") a pu entendre et lire le retrait d'une partie des délégations du maire lors du CM du
16 février 2012 et la confirmation de ce retrait par le CM du
28 mars 2012.
M
Blanc s'est assis sur ces décisions de retrait de ses délégations et son DGS
garant de la gestion des ressources
(financières,humaines et matérielles )
et de l'organisation de la
collectivité, lui aussi, malgré ses connaissances du CGCT !!!
M
Blanc, échaudé par la mise au panier par
le Procureur de la République de Saint Brieuc de sa plainte en avril 2010 contre la LEQ et de moi même rédacteur d'un article,
a contourné ce risque en procédant à deux citations directes (une plainte
en référé et une autre sur le fond ).
Pour
cela, il a choisi une "pointure et un ténor " du barreau de Nantes; un
avocat connu pour la défense de causes bien
singulières, Mtre Choucq.
Il
m'a fallu attendre 23 mois pour
m'entendre dire que sa
plainte était irrecevable .
La presse en général, les deux quotidiens et
l'hebdomadaire relatant l'activité
de notre commune n'ont pas forcé leur réflexion, voire leurs investigations pour
connaître le faux du vrai dans l'article
incriminé...
La parole de M Blanc devenant pour ces
professionnels de l'information"
parole d'évangile", cette attitude est particulièrement désagréable et
déroutante à mon encontre .
Le
ton de l'article était certes
comminatoire mais au lendemain de
l'élection du 9 septembre 2012 renforçant l'opposition au maire , l'ambiance
en mairie était des plus détestable; M
Blanc s'est alors réfugié dans un autisme
coupable; oubliant la
démocratie locale, il a dirigé la commune
en s'appuyant seulement sur son DGS.
Tout
cela au détriment de la population
Quinocéenne qui, d'ailleurs, l'a bien compris en le renvoyant sèchement à sa
demeure parisienne lors des dernières élections municipales .
La
déculottée qu'il a reçue en mars 2014 a été d'une rare violence surtout pour un maire sortant.
La
présence, au côté du maire, du ténor du
barreau nantais a été efficace!!! lors du référé à Nantes, il a
obtenu le retrait de
l'article incriminé le 18
décembre 2012, deux mois après sa
parution le 6 octobre 2012
sur mon blog: quelle performance !!!
L'instruction
de l'affaire s'est faite le 8 avril 2013
au tribunal correctionnel de Nantes; M Blanc soi-disant diffamé, atteint dans
son honneur et déconsidéré dans sa réputation de maire, était absent à l'audience.
M
Blanc n' a jamais
marqué de sa présence les audiences en première instance et en
appel.
A Nantes, le 18/04/2013, il avait sollicité le témoignage du conseiller municipal , le fidèle parmi les fidèles, le Nantais M Tanon.
A Nantes, le 18/04/2013, il avait sollicité le témoignage du conseiller municipal , le fidèle parmi les fidèles, le Nantais M Tanon.
Le
post écrit par le conseiller Michel Rocfort se décomposait en quatre chapitres.
Le
tribunal dans ses attendus du 6/06/2013
a écrit ceci:
- sur le contentieux avec la société SCOBAT, le tribunal m'a accordé l'excuse de bonne foi.
- Sur le recours à un cabinet d'avocats, la SCP Marion-Leroux-Sibilotte-English, le tribunal indique que je rapporte la preuve du fait allégué.
- sur la notification à la société Eurovia du marché d'aménagement du quartier de Saint Quay, le tribunal indique que je n'ai pas agi de bonne foi en ignorant qu'il n'y avait pas eu de nouvelle délibération ou annulant celle du 26 /01/2012 et que par conséquent M Blanc pouvait signer un marché de travaux avec la société Eurovia.
- Sur l'acquisition par la commune du local du quai de la République , le tribunal indique que la relaxe s'impose.
Le
tribunal, malgré les pièces
administratives présentées, a curieusement ignoré sur l'aménagement du quartier
de Saint Quay que le conseil municipal, dans sa séance du 20 septembre
2012 en sauvant de la destruction
le Minigolf, a profondément modifié la
philosophie et le contenu du projet
initial voté le 26 janvier
2012.
Je passe sur la décision du TA de Rennes
indiquant que la délibération du
26/01/2012 n'était qu'un acte
préparatoire et du courrier du
Préfet au maire indiquant que cette délibération n'était pas décisionnelle.
Dès la réception de ces deux citations directes
avec mon avocat , nous avons fait valoir
l'exception de nullité pour le dépôt de ces plaintes ... en vain... jusqu'au
dépôt de l'appel et de son audience à la Cour d'appel de Rennes.
Monsieur
Blanc s'estimant sans doute inattaquable dans sa gestion municipale, a cru, en choisissant un avocat de renom, faire taire le
lanceur d'alerte que je suis .
Après
ce délibéré énonçant que sa plainte est
irrecevable, il ne lui reste plus qu'à méditer sur les deux derniers vers de la fable "les animaux malades de la
peste " de Jean de la Fontaine.
"
Selon que vous serez puissant ou misérable ,
les
jugements de la cour vous rendront blanc
ou noir".
Et
dans le cas qui
m'occupe, c'est moi qui suis devenu blanc.
L'auteur
de l'article Michel Rocfort ne
l'est pas moins... blanc.
JOUNENT
Michel .
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