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mardi 9 novembre 2010

SUR LE CENTRE DE LOISIRS DES JEUNES.

Au dernier conseil municipal, le maire s’est répandu en remarques acerbes sur mes écrits concernant le coût de cette extension de 65 m² du bâtiment dit « La rotonde ».
Sur le peu de réalisation de cette municipalité, il est toujours difficile de cerner le montant des sommes engagées.
Il y a beaucoup d’opacité, beaucoup d’imprécisions et surtout beaucoup de difficultés pour obtenir des documents administratifs concernant les sommes engagées et les subventions obtenues.
Sur le CLJ , dans un premier temps sur les travaux de restructuration , on évoque une enveloppe de 500 000 € et puis le temps passant, au moment de l’inauguration en juillet 2010, l’investissement budgété de 435 000 € TTC est ramené à 365 000 € TTC.
Les subventions s’élèvent d’une manière confuse à 130 000 €, sur le bulletin municipal on additionne des concours financiers sollicités du Conseil régional (50 000 €) et des subventions apparemment obtenues du Conseil général ( 40 000 € ) de la CAF des Côtes d’Armor (28 750 € ) et du Sudgoélo ( 10 000 €).
Il est très difficile de s’y retrouver dans ce méli-mélo.

On mélange un peu trop facilement des subventions sollicitées, espérées et des subventions réellement obtenues.
Ce n’est pourtant pas le bout du monde de présenter un plan de financement abouti et compréhensible par tout un chacun… d’expliquer aux quinocéens comment sera couvert la partie revenant à la municipalité ( emprunt ou auto financement ) et quel seront le montant et les délais de récupération d’une partie de la TVA.
Des élus se comptant sur les doigts d’une main essaient encore d’accéder aux documents officiels de la municipalité sans beaucoup de résultats, à l’extérieur du conseil, c’est le parcours du combattant pour consulter les documents comptables, aussi M. le maire, c’est un peu déplacé de tancer un quinocéen curieux de l’usage des deniers publics.
Toujours à propos du CLJ, il est maintenant notoire de constater que cette transformation est extrêmement coûteuse compte-tenu de son usage tout au long de l’année.
C’est un local ouvert deux mois durant l’été , puis 4 heures les samedis après midi, hors vacances scolaires pour une dizaine d’enfants de 12 à 17 ans accompagnés d’une éducatrice.
A souligner que nombre d’activités organisées pour ces jeunes se font à l’extérieur du CLJ : exemple la fréquentation de la patinoire de Saint Brieuc.

OUI, il serait intéressant de connaître les dépenses de fonctionnement de cet espace de rencontre.

JOUNENT michel.

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