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lundi 4 janvier 2016

la fusion des communes 4/01/2016

EN FRANCE, en ce début d'année 2016
la division du pays est passée de  22 à 13 régions,
et plus de  900 communes  se sont regroupées .
En fusionnant, elles donnent aujourd'hui naissance à 257 communes nouvelles .
Pendant les trois années à venir , ces nouvelles collectivités territoriales ne subiront pas  les baisses de dotation globale de fonctionnement  que connaît depuis  plusieurs années  l'ensemble des communes de France.
Ces regroupements  de communes  doivent conduire  à la  mutualisation des moyens  administratifs , techniques  et humains  et  par conséquent   devraient normalement conduire  à la réduction de leurs  dépenses de fonctionnement .
Enfin c'est l'objet des  préconisations gouvernementales, elles ne sont pas encore   suffisamment comprises, hélas,  des  populations et surtout de leurs élus.
Au temps de l'Internet , du téléphone avec la 4G, des vidéo-conférences et des transports automobiles, il devient de  plus en plus inquiétant que perdure "l'esprit clocher" qui s'oppose à ces fusions . 
A Saint Quay Portrieux , notre commune qui, selon notre maire, est résolument tournée vers  l'avenir, où en est,  ou  où en sont  les  projets  de fusion avec la ou les communes  limitrophes???
Pour  l'instant, les secrets sont bien gardés et l'esprit  de coopération avec les communes  voisines semble bien malade.
On a pu le constater  lors de l'agrandissement de  l'intercommunalité  et son évolution forcée, en  voulant de manière autoritaire la faire passer de  15 000 habitants  à 150 000 habitants que des  montagnes d'incompréhension ont vu le jour.
Alors bien sûr,  on peut au niveau municipal entendre de la part du maire  de beaux discours mais,  tant que  l'engagement des autres élus sera aussi faible et que  leur  présence sur le terrain sera aussi transparent, les choses et les actes menant à la  mutualisation des  moyens resteront un combat  perdu d'avance.

JOUNENT Michel. 

Commentaire du Duke:
Mon cher Michel, meilleurs vœux à toi ainsi qu'à tous tes lecteurs.
Concernant une éventuelle fusion avec telle ou telle commune, ne t'inquiètes surtout pas, le Sieur Simeliere, ne pourra envisagé cela qu'avec une ou des communes qu'il suppose maîtriser, ce n'est plus le cas.
Ce n'est pas un personnage qui pense "intérêt général", ce gentil monarque pensant surtout à sa carrière personnelle, ne fera pas l'erreur de perdre la face en fusionnant avec l'un de ses voisins, qu'il ne maitrise plus. Tréveneuc, son plus fidèle allié en Sud-Goelo, lui tourne le dos (dangereux), il a bien essayé une offensive auprès d'étables, pensant dominer Mr Losq, peine perdue il s'est fait rembarrer.
Ne parlons pas de Plourhan, il est en terrain miné.
Ne reste plus aucunes solutions pour envisager une fusion. Et c'est la tout le drame d'une commune comme Saint-Quay, qui depuis des lustres, considère qu'elle est au-dessus des autres, sauf qu'aujourd'hui cette charmante station classée a besoin des petites communes limitrophes pour espérer exister demain, faute de foncier.
Avec un maire aussi éclairé que celui d'aujourd'hui, il est fort à parier que le déclin Quinocéen constaté il y a quelques années, validé dernièrement dans la presse, se perpétuera pendant encore quelques années.
Jusqu'à ce qu'un nouveau maire comprenne enfin, que pour créer une dynamique dans une commune il faut attirer des familles avec enfants, et ne pas seulement privilégier des familles avec un gros compte en banque.
C'est cela la mixité, et généralement elle est porteuse de richesses beaucoup plus significatives pour une commune.
J'ai malheureusement le sentiment que Saint-Quay continuera à suivre les visions de ces hommes, qu'ils élisent parce qu’ils portent un titre, alors qu'ils sont en décalage total avec la réalité d'une commune. Saint-Quay restera Saint-Quay, dommage la commune va louper le grand bouleversement que la loi NOTRE va imposer à tous, et restera donc un petit village (même pas rebelle) entouré par des communes nouvelles qui sont appelées à se développer dans la continuité des fusions des intercommunalités.       

1 commentaire:

le DUKE a dit…

Mon cher Michel, meilleurs vœux à toi ainsi qu'à tous tes lecteurs.
Concernant une éventuelle fusion avec telle ou telle commune, ne t'inquiètes surtout pas, le Sieur Simeliere, ne pourra envisagé cela qu'avec une ou des communes qu'il suppose maîtriser, ce n'est plus le cas.
Ce n'est pas un personnage qui pense "intérêt général", ce gentil monarque pensant surtout à sa carrière personnelle, ne fera pas l'erreur de perdre la face en fusionnant avec l'un de ses voisins, qu'il ne maitrise plus. Tréveneuc, son plus fidèle allié en Sud-Goelo, lui tourne le dos (dangereux), il a bien essayé une offensive auprès d'étables, pensant dominer Mr Losq, peine perdue il s'est fait rembarrer.
Ne parlons pas de Plourhan, il est en terrain miné.
Ne reste plus aucunes solutions pour envisager une fusion. Et c'est la tout le drame d'une commune comme Saint-Quay, qui depuis des lustres, considère qu'elle est au-dessus des autres, sauf qu'aujourd'hui cette charmante station classée a besoin des petites communes limitrophes pour espérer exister demain, faute de foncier.
Avec un maire aussi éclairé que celui d'aujourd'hui, il est fort à parier que le déclin Quinocéen constaté il y a quelques années, validé dernièrement dans la presse, se perpétuera pendant encore quelques années.
Jusqu'à ce qu'un nouveau maire comprenne enfin, que pour créer une dynamique dans une commune il faut attirer des familles avec enfants, et ne pas seulement privilégier des familles avec un gros compte en banque.
C'est cela la mixité, et généralement elle est porteuse de richesses beaucoup plus significatives pour une commune.
J'ai malheureusement le sentiment que Saint-Quay continuera à suivre les visions de ces hommes, qu'ils élisent parce qu’ils portent un titre, alors qu'ils sont en décalage total avec la réalité d'une commune. Saint-Quay restera Saint-Quay, dommage la commune va louper le grand bouleversement que la loi NOTRE va imposer à tous, et restera donc un petit village (même pas rebelle) entouré par des communes nouvelles qui sont appelées à se développer dans la continuité des fusions des intercommunalités.