Le blog de Michel n'est pas
le support médiatique de
l'opposition au maire de Saint Quay Portrieux.
Un seul élu de cette opposition vient régulièrement proposer l'analyse de son dernier conseil
municipal; il le fait en totale liberté et reste
maître de ses propos.
En quelque sorte, il apporte
une ouverture à la vie municipale.*
Une opposition atone, c'est tout le contraire de la démocratie.
Et la démocratie, il n'est pas
inutile de le rappeler, est faite
d'une majorité et d'une
ou plusieurs minorités.
Dans un interview récent dans "La Presse d'Armor", un interview marqué par la
partialité, le maire de Saint
Quay ne peut pas s'empêcher, en médecin
qu'il reste, de proposer un diagnostic sur mon activité de blogueur en parlant d'un fonds de commerce, d'un syndrome d'existence.
QUÉSACO ???
Toujours dans cet interview à
charge, j'apprends que le maire m'a "rappelé à l'ordre maintes fois pour des
informations diffamatoires à son
égard ", c'est nouveau et cela vient de sortir.
Quand et où ces rappels ont ils eu lieu???
Mon blog a t-il été plus loin dans la caricature , dans le blasphème, dans le commentaire et dans l'outrance que l'on retrouve dans "Charlie-Hebdo", journal satirique aujourd'hui si cher et si souvent cité par notre maire.
Mon blog a t-il été plus loin dans la caricature , dans le blasphème, dans le commentaire et dans l'outrance que l'on retrouve dans "Charlie-Hebdo", journal satirique aujourd'hui si cher et si souvent cité par notre maire.
J'ai reçu en tout et pour tout deux mails de la part de Monsieur
Simelière:
1. alors qu'il n'était que candidat à la mairie le
16/01/2014, il me reprochait de le situer faussement dans la hiérarchie de l'équipe
municipale dirigeant Saint Brieuc entre
2001 et 2008 et, surtout, il
m'intimait l'ordre d'écrire correctement son patronyme; pour cela, je devais éviter de mettre un accent grave
sur l'avant dernier E de son nom... Depuis, le maire a appris que son nom s'écrivait
bien avec un accent grave, les médias
ont toujours fait ainsi (avant, pendant et aujourd'hui) sans recevoir
de reproche.
2. après le vote à
bulletins secrets sur l'affaire de
la nouvelle intercommunalité,
le maire m'a rappelé qu'il avait
laissé à chaque élu le droit de s'exprimer ... Dont acte.
Je passe sur le sempiternel
reproche que toutes critiques de la
gestion municipale paraissant sur mon blog nuiraient à l'image de la ville .
C'est un peu court et cela m'amène à penser que
l'équipe municipale est parfaite
et ne souffre d'aucune remarque, qu'aucun avis différent sur la
marche des affaires municipales ne
peut ainsi voir le jour.
C'est triste d'être dans un monde parfait et le
pire pour moi est de
ne pas m' en être rendu compte.
Enfin , monsieur le maire affirme "méchamment" toujours dans La Presse d'Armor que des anciens élus n'ont visiblement pas compris qu'ils ont été battus aux dernières élections; en ce qui me concerne, je lui rappelle que je ne me suis pas présenté à 72 ans à ce suffrage.
Enfin , monsieur le maire affirme "méchamment" toujours dans La Presse d'Armor que des anciens élus n'ont visiblement pas compris qu'ils ont été battus aux dernières élections; en ce qui me concerne, je lui rappelle que je ne me suis pas présenté à 72 ans à ce suffrage.
J'aime ma commune
autant que n'importe qui; depuis 1999, je la traverse, la visite dans
tous ses recoins et lis son histoire... Je bous
de voir que pour reboucher
un trou dans la chaussée , remettre
en service un lampadaire , s'opposer aux
dégradations volontaires du bien
commun, imposer un stationnement
raisonnable aux véhicules, veiller à la
propreté des rues , il faut du
temps, trop de temps.
Sur l'affaire de
l'usurpation de mon identité , apparemment monsieur le maire ne connaît pas le "Plaider- Coupable " (la CRPC) facilité proposée aux prévenus
pour éviter d'engorger les tribunaux.
Les faits sont reconnus par le
conseiller municipal; soit il
accepte la proposition pénale du Procureur
de la République, soit il refuse
et l'affaire passe au tribunal
correctionnel.
Le délit est établi par la gendarmerie, c'est au prévenu de choisir le moyen
de recevoir la sanction et moi, quelque soit le chemin judiciaire choisi, je reste la victime de cette usurpation d'identité.
Dans cette affaire, je
retrouve deux anciens correspondants
de "La presse d'Armor " curieuse singularité...
JOUNENT Michel
essentiellement lanceur d'alerte face à un ou des élus grands cachottiers
sur leurs activités.
* le maire de St Quay ne laisse
aucune place à la minorité dans les médias communaux.
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