Il n'est pas interdit de faire le distinguo entre l'activité
d'un CORRESPONDANT LOCAL DE PRESSE
et le métier de JOURNALISTE.
d'un CORRESPONDANT LOCAL DE PRESSE
et le métier de JOURNALISTE.
En France, une estimation
donne entre 25 et 30 000 CLP pour 5
000 journalistes professionnels exerçant dans la presse locale .
Un correspondant local écrit et publie des
photos sans les signer, il est sous la responsabilité d'un journaliste
de son journal qui, à l'occasion, peut encadrer le travail fourni.
Il se doit d'être dans le factuel et non dans la
prise de position partisane
voire la connivence avec les élus
locaux par exemple.
A Saint Quay Portrieux, depuis quelques temps, cette
rigueur intellectuelle semble mise aux oubliettes comme par exemple
l'information erronée produite
par une CLP sur la journée nationale de la Résistance.
Les compétences d'un CLP sont les suivantes : la
curiosité, la disponibilité, une excellente expression orale et écrite et de la
mobilité.
Les revenus des
CLP sont au maximum 15 % du plafond de
la sécurité sociale d'où la présence de nombreux retraités dans cette activité.
Un journaliste de la presse écrite a, pour définition, le recueil
des informations, leur tri, leur vérification
et la mise en oeuvre pour les
rendre accessibles au public.
Pour cela, il doit avoir une bonne culture générale, un
style rédactionnel, un esprit créatif et la possession d'un esprit
critique l'autorisant à dominer ses
sentiments afin de regarder les
événements de façon lucide.
Sa
formation est bien souvent issue d'une école de journalisme.
Si
on doit faire des comparaisons avec l'activité d'un blogueur dans le domaine
de l'information des passerelles existent mais aussi des fossés infranchissables sont
maintenant créés avec ce moyen moderne qui est l'usage du Web et son immédiateté.
JOUNENT
Michel.
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