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jeudi 31 mai 2012

sexe.... 31/05/2012



Sexe, mensonges et vidéo.



 Que retenir du dernier conseil municipal ???
 Le maire arbore une mine de décrépitude pour faire solennel ; on apprend que les difficultés actuelles remontent à la plus haute antiquité, et peut être même plus loin.
Ses rapports de rivalité (freudienne ?) avec G. Brézellec sont donc la clé du drame qui se joue sous nos yeux.
Le vent de l’histoire souffle en tempête.
C’est du Racine : « ST Quay vous vit , Monsieur, arriver avec lui, dans l’orient désert quel devint mon ennui ! ».« Je l’aime, je le fuis ; Titus m’aime, il me quitte ».
Le maire conclut son discours par une mâle déclaration empruntée à Guillaume d’Orange : « Je maintiendrai » .
Il se rêve alors, silhouette minuscule, au milieu d’un parterre de rois.
Il règne étrangement une odeur de chaussettes ; l’ambiance est vaguement sexuelle. Les propos échangés : favorite du roi, droit de cuissage, gros calibre…, appellent sans nul doute une interprétation psychanalytique.
Après les valeurs chrétiennes, les écarts de Néron.
Passons du léger au sérieux. Les quinocéens connaîtront cet été de « vrais instants de bonheur » en posant devant des menhirs, des vaches, et même des ours.
C’est bien ce que réclament les touristes sérieux qui exigent aussi des cochons.
Le maire se dérobe à ses responsabilités ; voilà qui nous change ! il avoue ne rien connaître au cinéma ; son ignorance s’étend aussi aux finances communales ; la question d’un budget HT ou TTC est logiquement sotte .
Fâcheux pour quelqu’un qui vient de passer 4 ans à la tête de la ville.
Le DGS, sixième du nom, semble déjà parti.
D’un mot, tout cela tourne bien mal.
Ceux qui douteraient de la véracité de ces propos (on hésite devant l’incroyable) peuvent regarder la vidéo du LEQ.

ROCFORT Michel

mercredi 30 mai 2012

le bonimenteur 30/05/2012



POUR QUI SONNE LE GLAS!!!







M Blanc, le capitaine de la discorde, donne ses derniers commandements, on n'est plus très loin du " Sauve qui peut ".
Le bateau "Ville de Saint Quay Portrieux" commandé par le premier magistrat racle depuis un moment les hauts fonds, il est  à l'approche des récifs et présente de graves avaries.
Le sort de cette municipalité est jetée, elle sombrera dans le ridicule et laissera pour longtemps le souvenir d'un maire bonimenteur.
Au cours du conseil municipal du 29 mai, M Blanc a proposé la démission du conseil et on serait tenté de dire qu'il donne l'exemple, vu ses responsabilités dans ce bazar.
M le maire concède que les quinocéens veulent comprendre "le pourquoi et le comment" du fonctionnement défectueux de l'assemblée communale.
Mais dès la lecture de "son appel solennel", il embrouille tout le monde en déversant sur ses colistiers toujours plus rebelles à son autoritarisme, des monceaux de mensonges.
Il passe aux aveux en  nous disant que  la  liste "Autrement " n'est pas le fruit de sa géniale réflexion... curieux  pour  un futur  maire.
Depuis quatre années, M Blanc affirme qu'il est cerné par des comploteurs, qu'il subit des attaques incessantes savamment orchestrées et "cerise sur le gâteau" il dénonce les entraves faites au travail des élus et des agents administratifs.
M Blanc est avant tout, par ses convictions chrétiennes, un modeste nous le savons et il ne manque pas de le montrer, plus que de raison, en taisant ses activités souterraines de dénigrement.
Il reconnaît avec difficulté quelques erreurs et il se garde bien d'en faire la liste.
Il oublie ce grand manager ou fait semblant, que se sont ses nombreux choix personnels et en particulier l'exercice solitaire du pouvoir municipal qui a fait exploser l'équipe municipale.
Il devient même comique quand il affirme que les quinocéens veulent voir les élus au travail lui qui passe la moitié de la semaine à Paris à vivre  les  plaisirs de  la grande ville.
Il froisse la plus élémentaire décence quand il fait remonter les problèmes de cette municipalité à l'an 2000, pourquoi s'arrêter au début du XXI siècle, Alfred Delpierre doit bien, si l'on fait quelques recherches, avoir sa part de responsabilité dans le naufrage de la liste "Autrement".
Le raisonnement du maire est rustique , c'est toujours la faute des autres et la ficelle devient un peu grosse quand il demande dans un premier temps aux DIX de démissionner et que lui à la tête de six ou cinq élus en fera autant.
Les DIX se sont fait trop souvent rouler dans la farine pour tomber dans un tel panneau et M Blanc finira ou devra comprendre qu'il n'est plus en position d'imposer des ukases à ses collègues.
Hier soir, le public médusé a assisté  à un conseil municipal où le maire a fait preuve d'une violence orale jamais vue, il coupe la parole à ses interlocuteurs, il méprise, il brocarde et par son comportement antidémocratique, fait régner le désordre .
Quant à son bras droit, Mme Quéré, les mots manquent pour qualifier la violence de ses propos, mais dans quel monde vivons-nous quand elle traite les DIX de criminels et terroristes au cours de la manifestation demandant l'ouverture du cinéma fermé par le maire?
Cette personne, par son exaltation, jette de l'huile sur le feu en permanence, elle ferait bien d'écouter son maire quand il sonne la fin de la récréation et demande aux élus de travailler.
Son bilan au bout de quatre ans est des plus minces "Les océaniques, Place aux artistes, Place aux mômes, le beach volley, le trophée des multicoques" sont des reprises de la municipalité dirigée par G Lambotte et on attend toujours le résultat de ses travaux pour jumeler notre ville.
Mme Quéré a, il faut le redire, fait venir Nicolas Guillou et sa compagnie de théâtre à Saint Quay; par ce choix elle avait promotionné la qualité; hier soir, les élus et le public ont pu mesurer l'humanisme de cette femme, sa volonté de nuire et la manière choquante qu'elle a utilisées pour empêcher le candidat Nicolas Guillou à présenter sa candidature à la direction du cinéma.
C'est à monsieur Blanc de donner l'ordre d'abréger le mandat de cette municipalité, c'est à lui de faire preuve enfin de courage en reconnaissant qu'il porte l'entière responsabilité de cette catastrophe locale.
Ses gamineries conduisant à faire croire que des revanchards ont sapé son autorité sont indignes.
Le maire invite à la chute des masques; qu'il commence par retirer le sien en indiquant quelles étaient les motivations de sa candidature au poste de maire .
Il n'a jamais cherché autre chose à Saint Quay Portrieux qu' à rajouter une ligne sur sa carte de visite et à mettre son goût de soi au dessus de tout.
Le maire reconnaît quelques erreurs mais il se garde bien de les chiffrer.
Le temps viendra où sans recourir à un audit réalisé par un grand cabinet spécialisé les dépenses inutiles  apparaîtront.
Elles montreront que le maire actuel a préféré le somptuaire plutôt que l'indispensable comme l'amélioration de l'usine de retraitement des eaux et la mise aux normes du réseau d'assainissement.

DÉMISSION DU CONSEIL.. OUI
mais suite à celle du maire.

Au cours de son conseil municipal, les élus et le public ont appris que le maire était absent à la réunion organisée par la préfecture sur les conséquences industrielles de l'installation prochaine d'un champ d'éoliennes .
La seule explication du maire aura été de dire " j'ai pas reçu d'invitation" ...fermer le ban!!!
Si après cela, on n'est pas fixé sur la désinvolture du maire, on ne le sera jamais.

JOUNENT Michel

lundi 28 mai 2012

marqué par la haine 28/05/2012


MANIFESTATION DE HAINE
ET
DE DIVISION DES QUINOCĖENS.




C'est un peu la manifestation du désespoir ce rassemblement hétéroclite et même en braillant et en utilisant un mégaphone, les contrevérités du maire le resteront !!!
Passons sur la prestation du transfuge de "Couilly-Pont aux dames", ses propos d'ailleurs risquent de mettre un terme à sa carrière dans la troupe théâtrale de Nicolas Guillou .
Faut bien un jour arrêter de faire le cabot... et ce temps semble venu.
Les propos de Mme Quéré ont le mérite d'être clair, devenue l'espace d'un après midi "la pétroleuse "de service, elle a jeté l'anathème contre ses 10 collègues en des termes grossiers, outranciers et ne se gênant pas de plus à falsifier la réalité.
Après tant de vulgarité, le conseil de mardi 29 mai devrait atteindre un sommet dans la détestation réciproque.
Le cinéma est fermé, sans aucune pièce administrative officielle.
Le maire, dans son opération de faire jouer la population contre la majorité municipale, invente une relation de cause à effet entre la décision du Tribunal Administratif de Rennes et la fermeture de salle... elle n'existe pas.

C'est vraiment joué avec le feu, les attendus de l'ordonnance du TA de Rennes n'ont réglé que le problème opposant un candidat à la direction du cinéma à la municipalité.

Pas une ligne, pas un mot de cette ordonnance n'évoque la fermeture de la salle suite à l'annulation de la passation de marché votée par 7 voix contre 6 par le conseil municipal.
La seule information sérieuse apprise au cours de cette guignolade du samedi soir est le montant de l'investissement pour rebâtir ce cinéma , il atteint selon "la petite adjointe à la culture" et du lancer de chaussettes, la somme de 1 500 000 €.
Cette somme dépasse l'entendement pour une ville de 3 300 habitants et elle est  bien à l'origine de la division profonde du conseil municipal quinocéen. 
On pourra relire à ce sujet la chute de l'interview prémonitoire de la cadette du conseil municipal Anne Le Prouvost*; elle expliquait alors le 16 mars 2009 dans "La Presse d'Armor" les causes de sa démission de l'assemblée communale.
Le maire M Blanc** est souvent outrancier, mais avec le populisme de ses propos et ses appels à faire taire la majorité du conseil, il réinstaure la loi du lynchage.
Qu'est devenue l'affiche de ses convictions chrétiennes ???
Hissé sur un banc public , il était, ce samedi soir, plutôt dans la peau de ces tristes personnages de la conquête de l'ouest américain.
Au cours de ce défilé grotesque ou la maire a défilé contre sa décision de fermer la salle"Arletty", on a pu constater la présence de membres dirigeant des associations subventionnées par la municipalité.
Ciné St Ké reçoit une subvention de la municipalité, elle en a profité pour envoyer sur une radio locale des appels à manifester.
Cercle informatique quinocéen largement subventionné ,il est devenu la véritable base arrière de l'organisation de la manifestation.
"Les amis de St Quay et ses environs" ont, pour asseoir la manifestation, inventé une curieuse conception de la démocratie, pour sauver le maire il faut combattre " la majorité d'obstruction".
On connaissait la minorité de blocage et pour ceux qui imaginaient que la majorité avait toujours raison ... ils devront revoir leurs études.
L'entreprise choisie pour faire l'entretien du cinéma n'est pas restée silencieuse et elle ne s'est pas gênée pour  sonoriser l'appel à la manif!!!
Et puis, il y a le comportement de  la LEQ et son président, M Barbey-Chariou; il est à la tête d'une association non reconnue par le maire, elle passe  pourtant, la LEQ, sur l'ordonnance du TA de Rennes ( page 5 ) pour être le site officiel de retransmission des conseils municipaux!!!
L'histoire de cette personne dans la vie municipale est faite de virages à 180 °; en 2001, il appelait à voter G Lambotte, déçu de ne pas voir ses affaires professionnelles avancer dans cette municipalité , il choisit en 2008 un nouveau "cheval", M Blanc, déçu de ne pas voir ses affaires professionnelles progresser dans cette municipalité, il démissionne en disant tout le bien qu'il pense du maire M Blanc.
Dans un interview de "La presse d'Armor" du 16 mars 2009, il expliquait le pourquoi de sa démission et il terminait son propos en disant ceci:
"Je me dis soulagé d'avoir quitté le conseil, le pouvoir d'un conseiller municipal selon Dominique Blanc se limite à s'informer et s'exprimer pendant le conseil municipal, dans ces conditions je n'avais pas ma place au sein d'une assemblée où tous les pouvoirs sont concentrés et où rien n'avance si ce n'est le déficit de fonctionnement".
C'était correctement vu!!!  C'était il y a maintenant plus de trois ans et, depuis, la détérioration de la vie de la municipalité n'a  pas cessé de s'aggraver.
Depuis quelques jours, M Barbey-Chariou donne des leçons de conduite à ses anciens collègues, c'est troublant et cela  prépare  sans doute un prochain virage.
La réalisation*** d'un reportage vidéo sur la manif du 25 mai et sa mise en ligne sur la LEQ n'est pas de l'information mais la mise à disposition de la LEQ au profit de la propagande de M Blanc et son sergent Mme Quéré.
Peut-être pour expliquer cela: la perspective d'une nouvelle direction pour le cinéma fait saliver M Barbey-Chariou, la suite de la gestion de la salle "Arletty" nous éclairera sur cette possible ambition.

Sur la LEQ , ces derniers temps, les lecteurs se pincent devant l'énormité produite par M Barbey-Chariou , il voit des guerres des goths partout.

JOUNENT Michel

* "Sur le projet du cinéma, Anne Le Provost dénonce un manque de transparence, pas de consultation des conseillers et des adjoints, on informait après avoir entériné les décisions.
je me faisais des illusions sur mon mandat de conseillère.
j'ai été séduite durant la campagne par la communication au sein de l'équipe.
Tout cela a disparu.
Alors j'ai décidé de partir"

** la muflerie maintenant coutumière de M Blanc est sans borne mais samedi il a repoussé les limites de la goujaterie en faisant taire l'épouse de William Abbest et en lui indiquant d'aller dans un café (sous entendu qu'elle aille "picoler" au bistro).

*** un reportage vidéo quasiment officiel sur cette peu glorieuse manifestation et de nombreuses prises de vues par mobiles et appareils photos, laissent déja  imaginer qu' il y aura du contentieux .

samedi 26 mai 2012

assez, assez!!! 27/05/2012

RĖGLEMENTS DE COMPTE JUDICIAIRES
ENTRE DEUX AMIS ET LE CINĖMA FERME...
CHERCHER L'ERREUR...

Autour de la restructuration et de la gestion du cinéma "Arletty" règne un parfum nauséabond.
Au centre de cet imbroglio, on retrouve l'ambitieuse adjointe à la culture, Mme Isabelle Quéré.
Elle tisse sa toile pour des lendemains qui chantent... en sa faveur , elle envisage déjà la suite à donner à cette mandature ratée.
La succession de M Blanc à la mairie de Saint Quay Portrieux est devenue l'une de ses préoccupations et elle continue à placer ses affidés.
Elle a commencé par placer, en 2008, un directeur de la communication, membre du cabinet du maire, avec l'effet immédiat de provoquer des lézardes profondes dans le conseil municipal.
Avant même les plans élaborés pour réaliser le nouveau cinéma, M Lecoeur de Quaywaves (son ami façon Facebook) était déjà sollicité pour suivre les travaux de restructuration , de faire le choix du matériel, de projection , de la sonorisation et de l' informatique.
L'association "Ciné St Ké", autre "ami" de Mme Quéré, a joué son rôle, celui d'une fidèle courroie de transmission en renforçant la domination de l'adjointe à la soi disant culture sur cette salle.
Pour bien marquer cette déférence à l'égard de Mme Quéré, une des premières activités de "Ciné St Ké," présidé par M Le Tallec, aura été de projeter le film   " Entre nous deux", film réalisé par Nicolas Guillou , interprété par Nicolas Guillou, Robert Deslandes, etc... et du côté sonorisation du film, on retrouve Bruno Lecoeur et sa société Quaywaves.
"Ciné St Ké" a volé au secours du directeur M Lecoeur quand il a été imaginé qu'une Délégation de service public pourrait se voir confier la gestion du cinéma.
A la tête de ceux qui faisaient signer une pétition, on retrouve encore des fidèles de Mme Quéré, Mme Boulais , Mme Bélliard et M Bergaud.
Ces mêmes personnes, on les retrouve dans l'animation "Quay des Plumes".
Pour l'animation théâtrale, Mme Quéré a fait appel à la compagnie "Artiste et compagnies"; on retrouve là encore M Nicolas Guillou.
L'association "les amis de Saint Quay et de ses environs" tient aussi sa place dans le dispositif qui vise à faire "main basse sur la ville".
La dernière intervention sur le blog de l'association démontre qu'ils sont au mieux les perroquets du maire et au pire qu'ils ont perdus tout sens critique sur la vie quinocéenne.
C'est vrai qu'a plusieurs centaines de Km de la ville de St Quay et par l'usage du petit bout de la lorgnette, la vie quinocéenne devient bien compliquée pour ceux qui ont la foi du charbonnier envers M Blanc.
Le conseil municipal du 6 avril 2012 a voté par 7 voix pour et six voix contre, la délibération N° 12-12/04/01 l'attribution du marché de prestation pour la définition et l'organisation des séances à Quaywaves représentée par M Bruno Lecoeur.
Le candidat malheureux Nicolas Guillou a porté l'affaire devant les tribunaux, il a gagné et c'était d'autant plus facile que le favoritisme en faveur de M Lecoeur était évident.
Les attendus de l'ordonnance n'ont nullement interféré dans la suite à donner au fonctionnement de la salle et la reprise en régie municipale du cinéma était tout a fait possible.
La cause de M Guillou est entendue et le maire n'ira pas en cassation auprès du Conseil d'Etat
parce que le dossier est indéfendable.
parce que les frais engagés sont importants et qu'il faut au moins deux années pour connaître le verdict
parce que le conseil municipal ne lui en donnera pas l'autorisation.
Il faut avoir confiance en la justice de notre pays, la justice est l'un des piliers de notre démocratie et les décisions de justice ne se discutent pas.
A partir de là, un maire sérieux se devait de tout faire pour que le service public que représente cette salle se poursuive.
Notre maire à pris un chemin différent, conseillé par Mme Quéré, l'ambitieuse; il a privilégié l'affrontement avec sa majorité, en fermant le cinéma par la publication d'un texte non signé.
Ce faisant, il montre qu'il est un petit politicien sans envergure et qu'un doute de plus en plus sérieux se confirme sur sa capacité à défendre l'intérêt général.
Ce n'est, dans le fond, pas nouveau; on se souvient de sa propension à jeter l'argent par les fenêtres comme pour l'aire de carénage et l'achat d'une boutique sans activité sur le port.
Aujourd'hui , il organise le bazar et la confusion , il divise une fois de plus la population, le contraire qu'un bon maire se doit de faire .
Sur le cinéma , aménagement mineur prévu dans le programme "Autrement", on peut affirmer sans risque d'être démenti en parlant de M Blanc:
Avec lui pour 22 mois encore , c'est le chaos assuré !!!
Le chaos est déjà sur sa piste de lancement suite à cette ridicule manifestation où Mme Quéré s'est bien gardée de dire la vérité sur les raisons de la fermeture du cinéma.
Le maire nous raconte une mauvaise blague et mardi lors du conseil municipal on ne sera pas loin d'approcher le ridicule absolu en entendant cet imposteur .

JOUNENT Michel


vendredi 25 mai 2012

la chienlit 25/05/2012







TOUS À LA MANIF!!! 





Mme Quéré, dans un élan tapageur, clame son désespoir et sa fureur de voir le cinéma "Arletty" fermé, elle organise la riposte en manifestant... C'est beau et ça tire  des  larmes!!!
Elle a bien raison et c'est vraiment scandaleux de voir des abonnés et des clients de toute la région restés "Gros-jean comme devant" ce magnifique cinéma aux portes closes.
La programmation était assurée pour ce mois de Mai, la projectionniste était à son poste et l'entreprise de nettoyage prête à assurer son contrat.
On ne comprend plus rien sur ce qui se passe dans notre bonne ville, je dirais même mieux... C'EST LA CHIENLIT.
Le maire, M Blanc, en stratège des causes perdues, joue une de ses dernières cartes en opposant la rue à la majorité du conseil municipal.
Une décision de justice a annulé une passation de marché pipée.
L'instigateur de ce recours en justice administrative est une personne ( extra-muros ) qui avait répondu à l'annonce de passation de marché, il s'est senti floué et à juste titre à ester en justice.
La justice lui a donné raison , cette même justice administrative ne s'est pas occupée du fonctionnement du cinéma ni de la subvention du CNC.
M Blanc joue gros en jouant la rue contre la démocratie municipale et comme dirait l'autre, au train où vont les choses ...plus dure sera la chute.
Surtout  quand  il  joue la  provocation en fermant le cinéma dans  un  premier temps  jusqu'au  30 juin 2012.
Six semaines pour mettre en  place une solution de rechange montre bien  que  le  maire  n'envisage  rien d'autre que  l'affrontement  avec  la  majorité de son conseil municipal.
Samedi , on assistera à une chose très étrange; Mme Quéré, sous chef de la minorité municipale, appellera à manifester contre la décision prise sans raison par le maire, chef de la minorité du conseil municipal.

Au secours... les minoritaires du conseil municipal sont devenus fous.

JOUNENT Michel 

jeudi 24 mai 2012

boomerang 25/05/2012

L'EFFET BOOMERANG










Le maire a fini par récolter ce qu'il a semé.
Depuis plus de quatre années à la tête de la municipalité, il a peu travaillé et fait beaucoup d'erreurs.
La première adjointe a mis un terme au harcèlement en tout genre que M Blanc lui faisait subir, elle a vidé son sac lors du conseil municipal du 23 Mai 2012 et c'est éloquent.
Les langues se libèrent et le personnage apparaît dans toute sa splendeur , il est tout sauf ce que l'on croyait savoir sur lui et surtout ce qu'il disait de lui.
Son interview dans le bulletin diocésain des Côtes d'Armor a fini par faire tomber le masque de sa duplicité.
Il prend des décisions , cela se termine mal et c'est toujours de la faute des autres.
Par fax, il fait arrêter les travaux de l'aire de carénage, il part 15 jours en vacances, il doit emprunter 400 000 € supplémentaires pour payer des indemnités et les transformations par rapport au projet initial ... ce sera la faute de son prédécesseur.
Il convainc son conseil municipal d'acheter les murs d'un commerce en difficulté; dix sept mois plus tard, la transaction de  100 000 € se réalise enfin; entre temps, le commerce a disparu et les loyers attendus contre cet achat sont toujours en attente; là c'est la faute de l'administration et de ses lourdeurs.
Comme promis dans le programme "Autrement", il se lance hélas tout seul dans la restructuration du cinéma, il oublie que le cinéma fait parti d'un ensemble immobilier classé, il modifie l'architecture du projet en supprimant la partie théâtrale, il n'entend pas ses collègues quand l'enveloppe budgétaire explose.
Cette fois-ci, il a trouvé écho sur le tard pour asseoir ses goûts mégalomaniaques d'un directeur très conciliant et d'une association soi-disant cinéphile relayant à bon compte la politique du maire et de son adjointe Mme Quéré.
Le résultat, on le connaît: un coût exorbitant pour une ville de moins de 3 500 habitants et une gestion largement déficitaire..
Pressé de mettre un peu d'ordre dans la gestion et direction de la salle de cinéma, il organise une passation de marché si biscornue que le Tribunal Administratif de Rennes annule le choix bien curieux du maire et de son DGS.
Au niveau des recettes du cinéma il y a un couac, le trésorier payeur d'Etables sur mer conteste l'état de régisseur à l'ancien directeur.
Cette situation est si confuse que l'ancien directeur n'a pas obtenu par le trésorier payeur , le paiement de différentes factures.
Quant à ses honoraires pour le mois de Mai 2012, là on rentre dans la 5éme dimension, on parle même d'activité gratuite.
Si le maire avait écouté son conseil, s'il l'avait suivi sur la recherche d'un Délégataire de Service Public efficace pour réduire la charge financière, nous ne serions pas à constater la fermeture provocatrice de la salle.
Le maire essaie encore une fois de faire porter sur les autres ses erreurs, les affichettes apposées sur les portes d'entrée informant que le cinéma est fermé sont d'une curieuse rédaction et taisent la décision de justice.
Au cours du conseil municipal du 23 Mai, les manoeuvres du maire pour se sortir de sa périlleuse position sont restées vaines , il est mis maintenant régulièrement en minorité sur tous les sujets pris par ses seules décisions.
Après le départ de dix élus , le conseil municipal du 23 Mai, faute de quorum, a cessé ses travaux , ce n'est pas la première fois dans notre commune et pour beaucoup de quinocéens cela devient de plus en plus insupportable.
La population quinocéenne est choquée et ne comprend pas que l'on puisse dégrader à ce point le fonctionnement d'une petite commune de moins de 3 500 habitants.
La position du maire à la tête de la municipalité est maintenant très fragilisée, ses longues absences, son autoritarisme et son comportement conduisant à opposer les uns aux autres ne conduisent à rien de bon pour la ville.
Il n'y pas d'autre issue aujourd'hui pour se sortir de cette situation que celle de retourner aux urnes pour élire un nouveau conseil municipal .

Enfin il faut rappeler que la décision du TA de Rennes porte sur l'annulation d'une passation de marché pour désigner le directeur du cinéma.
Cette décision n'implique nullement la fermeture du cinéma "Arletty"
La fermeture intempestive de la salle est une provocation du maire pour monter la population contre les 10 élus qui s'opposent à la dilapidation des deniers publics.

JOUNENT Michel

mercredi 23 mai 2012

l'orage et la foudre 23/05/2012

LA PRESSE ANNONÇAIT
UN CONSEIL MUNICIPAL CHAUD

Il le fût et surtout il fût bref.....

Avant de décortiquer cette brève séance et les conséquences d'un maire entièrement isolé et minoritaire , je publie la déclaration de Mme Kervoélen avant le vote sur le maintien ou retrait du poste de la première adjointe et celle de Mme Poignonnec à l'issu du scrutin donnant  le résultat suivant:
10 voix pour le maintien , 4 contre , 2 votes blanc et un vote nul.

Monsieur le Maire

En tant qu'élue et maire adjointe, je désapprouve le retrait des délégations de Madame Martine Poignonnec, 1ère adjointe et la manière dont vous avez procédé. Votre décision n'a pas été prise dans "le respect absolu de la personne et son droit à la dignité en lien avec l'intérêt de la collectivité", une des convictions que vous avez exprimées dans un bulletin briochin.
Il faut que les Quinocéens sachent ce qui se passe au Conseil Municipal.
Tout élu qui ne partage pas vos vues et qui ose le faire savoir est sanctionné.
Monsieur le Maire, vous n'acceptez pas la contradiction, quoique vous en disiez.
Vous n'avez pas essayé (comme vous l'avez dit dans le bulletin précité) de "rechercher le bien commun pour chacun et tous, de réfléchir ensemble à une solution qui soit la meilleure pour l'intérêt général".
Vous en avez fait une affaire personnelle, une affaire de personne.
Il y a des décisions que l'on ne peut pas cautionner.
C'est pour cela que le conseil municipal a voulu retrouver la place qui est la sienne.
Nous avons tiré plusieurs fois la sonnette d'alarme et mis en garde contre les dérives, tant budgétaires que sur les procédures de passation de marché.
Il est impensable et inimaginable que l'on vous suive dans l'illégalité.
Comme d'autres élus, je suis quinocéenne et le développement de la ville me tient à coeur.
Mais cela ne peut se faire que dans le respect et le bon équilibre des finances publiques et de la légalité.
Martine Poignonnec en tant que chargée des finances, avait un poste stratégique que vous venez de supprimer en faisant ainsi entrave à une organisation rigoureuse qu'elle avait mise en place.
Un travail efficace en collaboration avec ses collègues élus et en consensus avec les agents.
Ces derniers ne pouvant s'exprimer publiquement droit de réserve oblige sont abasourdis par votre décision .
Vous faites ainsi obstacle à la bonne marche des services .
M le maire vous pourrez dire que je défend toujours Martine Poignonnec ou que vous êtes la victime d'un complot.
Arrêtez de vous poser en victime d'une opposition systématique .
Non nous sommes une majorité constructible qui n'accepte pas les compromis engageant la réputation de la gestion municipale.
Certains chiffres parlent d'eux mêmes.
Depuis le début du mandat, six démissions, six directeurs des services, trois adjoints qui perdent leur délégation.
Ce score est éloquent, du jamais vu dans l'histoire de notre ville et ne dîtes pas que c'est à cause des élus.
Note déception est grande et nous ne pouvons que nous excuser auprès des quinocéens de donner une si piètre image de notre municipalité.
Nous espérons ne pas avoir perdu toute la confiance qu'ils avaient mise en nous, en nous élisant.
Qu'ils sachent et qu'ils comprennent que nous sommes tributaires du maire que nous avons nommé à ce poste alors qu'il n'est qu'un élu comme nous.
M le maire,toujours dans ce bulletin"il faut être dans la mêlée , se mouiller , avoir le courage de l'action et être prêt aux contradictions "alors sachez comme vous le dites "exercer votre mission dans la droiture et le respect de l'autre fut-il votre opposant".

Mariannick KERVOELEN

Monsieur le maire a estimé devoir me retirer toutes les délégations d'adjointe qu'il m'avait confiées en début de mandat à la suite de mon refus d'obtempérer à ses exigences,à savoir:
1. que je revienne sur mon vote de retrait de 3 de ses délégations et que je demande par courrier l'inscription de ces points à l'ordre du jour du conseil de ce soir:
-ester en justice.
-autorisation de passer et signer des marchés à la hauteur de 20 000 €.
-le sujet des déclarations d'intention d'aliéner: DIA
2. Que je persuade d'autres élus de revenir sur leurs votes.
Dans l'hebdomadaire "La presse d'Armor" du 23 mai 2012, le maire dit :" j'ai proposé trois fois le dialogue et je n'ai jamais eu de réponse",personnellement je dirais plutôt que depuis plusieurs mois , à plusieurs reprises M le maire a exercé des pressions .

Le 13 Avril 2011, il m' a tenu ces propos , je le cite:
"Si tu ne votes pas comme moi je pourrais être méchant...,toi tu vis à Saint Quay Portrieux...
Le 8 Mai 2012 en fin d'après midi alors que j'étais hors du département ,il m' a téléphoné en exigeant que je me présente à son bureau le lendemain 9 Mai.
Devant l'impossibilité de me rendre disponible, un rendez vous est fixé au jeudi 10 Mai le matin , nous avons échangé pendant plus d'une heure.
Lors du bureau des adjoints en fin d'après midi de ce même jour, M le maire a réitéré ses pressions et a exercé du chantage en présence d'Isabelle Quéré , de Bernard Oliver, de Georges Brezellec et Mariannick Kervoelen, exigeant que par écrit j'accepte ses directives , courrier à lui remettre le lundi 21 mai dernier délai faute de quoi il me retirerai toutes mes délégations.
Mon refus d'obtempérer à ses exigences a été motivé pour les raisons suivantes :
• je n'ai pas pour habitude de voter à la légère et de revenir sur mes décisions et surtout de céder au chantage car c'est "bel et bien" du chantage, il n'y a pas d'autre mot.
• je n'ai pas non plus l'habitude de peser sur le vote de mes collègues afin de conserver des délégations ou même garder un bureau en mairie.
Concernant le cinéma "Arletty", en tant que maire adjointe aux finances et affaires générales:
• j'avais le devoir d'alerter M le maire sur la maitrise du coût de fonctionnement de cet ouvrage.
• sur les contraintes imposées par le CNC ... pas toujours respectées.
. d'alerter M Louesdon , Directeur des services au sujet de probables irrégularités sur le marché de prestations.
-dans la procédure d'attribution du marché public du cinéma .
-de la rédaction du cahier des charges du dit marché.
Mes observations et alertes sont restées vaines.
Je me suis heurtée à un refus total d'échange et d'écoute de la part du maire et son collaborateur.
Ce n'est pas parce que l'on a des points de vue divergents sur des procédures que l'on est dans l'opposition systématique.
Saisi par un candidat évincé du marché , le TA de Rennes conforte mes doutes et ma position , sur la validité du marché, il ordonne:

article 1: la procédure de marché public ayant pour objet la définition et l'organisation des séances du cinéma "Arletty"à SQP est annulée.
article 2: la commune versera une somme de 1000 € à Vent d'ouest.
article 3:les conclusions présentées par la commune de SQP sont rejetées .Monsieur le maire , en vous faisant part de mes réflexions et mes craintes sur la gestion du cinéma ,il n'y avait de ma part aucun projet de complot,juste la volonté que la commune reste dans la légalité, avec une bonne gestion des deniers publics dont nous sommes responsables .
Lorsque vous écrivez dans votre arrêté "que je nuis à la bonne marche des affaires municipales " vous oubliez un peu vite vos absences de la commune, longues et répétées.
Vous ne résidez à Saint Quay que 3 jours et demi par semaine pendant plus de six mois de l'année.
Heureusement que vous pouviez compter sur certains de vos adjoints .
Lorsque le maire est absent de la commune, la première adjointe doit suppléer.
Je vous ai remplacé de nombreuses fois sur des sinistres nocturnes ou vous n'aviez pas daigné vous déplacer, annoncer des drames aux familles à votre place et j'en passe ...
J'ai toujours palier à vos absences.
Que dire de la préparation budgétaire, vous n'y assistiez qu'en pointillé et vous vous faisiez expliquer le budget par téléphone quelques jours avant le vote.
Un directeur général m'a fait part de son étonnement sur cette façon de faire , il n'avait jamais vu cela.
Monsieur le maire , je n'ai pas failli à mon devoir et assuré l'intérim du fait de vos nombreuses absences de notre cité.
Enfin , si à la majorité, les élus ont décidé de maintenir le retrait de votre délégation d'ester en justice, c'est que vous avez accumulé des consultations juridiques infondées et que vous avez cherché à nuire à certains élus.
Pour conclure ,vous n'avez pas cru bon de m'informer personnellement de cet arrêté du retrait de mes délégations.
J'en ai eu connaissance par mon collègue élu Georges Brezellec que je remercie.
Je quitte ces fonctions de première adjointe aux finances et aux affaires générales la tête haute avec le sentiment du devoir accompli.
Et je ne peux m'empécher de vous lire cette citation.

"Le monde est dangereux à vivre! non pas tant à cause de ceux qui font du mal , mais à cause de ceux qui les regardent et les laissent faire " Albert Einstein.

Martine POIGNONNEC

Ces deux déclarations reflètent par leur sincérité le malaise extrême qui règne au sein du conseil municipal de Saint Quay Portrieux .
Après ce conseil municipal écourté, dix élus ayant quitté le conseil après  le  3éme point  à  l'ordre du jour et la perte de contrôle définitive du maire sur son conseil, il n'existe plus qu'une alternative, le retour des quinocéens aux urnes pour arrêter cette descente aux enfers de la vie communale...
Elle est celle d'elire un nouveau maire servant avec dignité  la ville. 

JOUNENT Michel

mardi 22 mai 2012

le bal des faux nez 22/05/2012


J'AI LA MÉMOIRE QUI FLANCHE...
chantait Jeanne Moreau.






A Saint Quay Portrieux, notre inénarrable adjointe du maire à la culture et à la communication étriquée est  un  peu  comme  la comédienne-chanteuse, elle souffre d'amnésie sélective.
Faut dire qu'elle était partie de très loin avec sa promotion du lancer de chaussettes mais petit à petit elle est passée à un stade supérieur en promouvant le golf dans la rue et quelques autres  plaisantes facéties.
Fort de son titre ronflant , elle a pensé à évoquer l'histoire de la ville par un spectacle" Son et lumière."
Pour cela, elle a confié à un expert en courant d'air et en consommation de subventions , tous les moyens pour réaliser le fiasco que l'on connaît.
Le sieur Le Tallec grand ordonnateur de ce spectacle en tant qu'acteur, metteur en scène et scénariste n'est plus depuis  en odeur de sainteté au département culturel de la mairie .
Il était l'ami du maire, dans les petits papiers de Mme Quéré... il ne l'est plus ...disparu!!! 
Mme Quéré, la "Jack Lang" locale, ne pouvait pas en rester là, elle s'est tournée vers le théâtre en allant chercher la troupe dirigée par Nicolas Guillou "Artiste et compagnies".
Après M Roule, "Les précieuses ridicules"de Molière et devant le succès d'audience rencontré  au centre des Congrès, le dirigeant de la troupe a été porté aux nues .
Fort de ces succès théâtraux , il était annoncé pour bientôt par cette même troupe théâtrale, une interprétation "des  Bonnes" de jean Genet .... du lourd, du très lourd pour les bobos quinocéens.
Qu'en est-il aujourd'hui de cette  représentation où  deux soeurs sont reconnues coupables d'avoir assassiné leur patronne...mystère???
Après la condamnation de la municipalité par  le TA de Rennes suite à l'action de Nicolas Guillou dans l'affaire de la passation de marché pour diriger le cinéma, la  situation  créée ne doit pas être des  plus simple pour  Mme Quéré !!! 
Hier encore, sur le réseau social "Facebook", les pages de Mme Quéré, de M Lecoeur, de M Guillou et de M Letallec montraient qu'ils s'étaient réciproquement reconnus  comme  "Amis".
Depuis quelques temps, le ménage a été fait sur ces pages et maintenant ces personnes n'expriment plus leurs connivences  et  pas  plus que celles avec les acteurs de la vie municipale, c'est la  prudence  même!!!
Mais sur le blog municipal, les photos et articles montrant ces protagonistes amis et souriants sont toujours là.
Alors Mme Quéré, inutile d'envisager un complot dans les avatars que rencontre la municipalité dirigée par M Blanc, tous les protagonistes énumérés étaient récemment encore vos "Amis" et ce qui  ne tourne  pas très rond autour de la nomination d'un directeur pour  le   cinéma est de  la seule responsabilité du maire et de son autoritarisme.
Demain, dans une prochaine activité, Mme Quéré pourra se reconvertir dans  l'écriture  des scénarios pour  films  où  pour feuilletons télévisés du genre  "Dallas".
La trame  de ses  histoires sera simple: des amis  d'hier  deviennent aujourd'hui  des adversaires acharnés , comme c'est à  Saint Quay Portrieux le cas trop souvent.

JOUNENT Michel

lundi 21 mai 2012

TA de Rennes 21/05/2012

AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS...






Le tribunal administratif de Rennes réuni en audience le 14 Mai 2012, ordonne:

Article 1er: La procédure de passation du marché public ayant pour objet la définition et l'organisation des séances du cinéma "Arletty"à Saint Quay Portrieux est annulée.
Article 2: La commune de Saint Quay Portrieux versera une somme de 1 000 € à la société VENT D'OUEST DISTRIBUTION sur le fondement des dispositions de l'article L.761.1 du code de justice administrative.
Article 3: Les conclusions* présentées par la commune de Saint Quay Portrieux et la société Quaywaves sur le fondement des dispositions de l'article L.761.1 du code de justice administratives sont rejetées.
Article 4: La présente ordonnance sera notifiée à la société VENT D'OUEST DISTRIBUTION**, à la commune de Saint Quay Portrieux et à la société Quaywaves.***
Fait à Rennes, le 18 Mai 2012

La lecture de la discussion et des attendus de l'ordonnance est édifiante.
Elle donne sur la passation d'un marché public, maintenant annulé, une bien triste opinion sur le fonctionnement de notre municipalité.
La prestation du Directeur Général des Services comme représentant du maire au tribunal ne fera pas date dans la défense d'un dossier où toutes les cartes étaient biseautées.
Sans se lancer dans une exégèse pointue des 9 pages que constitue l'ordonnance du juge des référés précontractuel de Rennes, il apparaît que le pouvoir adjudicateur n'a pas été loyal et qu'il a manqué à l'obligation de mettre à la disposition de la société VENT D'OUEST DISTRIBUTION toutes les informations nécessaires pour postuler à la direction du cinéma, dans des conditions correctes et égales .
Il est souligné dans cette ordonnance que le candidat Quaywaves a disposé d' informations de nature à le favoriser.
Le cahier des charges a été réalisé sur mesure pour le directeur en place et la transparence de la procédure n' a pas été le principal souci de la commune de Saint Quay Portrieux.
De plus, le maire imposait à l'éventuel candidat la poursuite de la programmation avec le même programmateur et de respecter les contraintes de ce dernier.
Le 1er Avril 2011, le maire a recruté un directeur pour le cinéma jusqu'au 31 décembre 2011, ce dernier avait un contrat renouvelable et, par un arrêté municipal, il est devenu le régisseur des recettes.
Le 1er janvier 2012 , ce directeur a proposé au maire de continuer à diriger le cinéma sous couvert de la société Quaywaves dont il est actionnaire et tout cela dans le cadre d'un marché de gré à gré.
Devenu une personne morale, il ne pouvait pas rester régisseur, le trésorier payeur d'Etables a soulevé cette irrégularité et il refuse depuis de régler les 4 factures mensuelles présentées par la société Quaywaves.
Le 12 avril 2012, dans le cadre d'une procédure adaptée, le maire et son conseil municipal, dans des conditions contestables, ont choisi de maintenir la même personne à la direction du cinéma sans pour autant désigner un nouveau régisseur.
Depuis le 18 mai 2012, la procédure adaptée est annulée et le problème des sommes d'argent manipulées en dehors de tout cadre légal reste entier et délictuel (tickets d'entrée et abonnements).
Cela est vrai aussi pour Ciné St Ké qui perçoit de l'argent dans un bâtiment communal en l'absence de régie de recettes lors de ses activités mensuelles.
M Blanc a fait du cinéma "sa chose, sa danseuse", il s'est imaginé, avec les adhérents de Ciné St Ké , l'association "les amis de St Quay" et maintenant de l'ex directeur, que l'on pouvait s'exonérer des textes de loi , du code des collectivités territoriales et de l'avis de son conseil municipal.
Le tribunal administratif de Rennes vient de rappeler que nul ne peut ignorer la loi et surtout pas ceux qui, par une élection démocratique, sont en responsabilité à la faire appliquer.
M le maire est dans "un pétrin sans nom"; inutile de chercher un bouc émissaire, M Blanc, cette situation honteuse faite à la municipalité est de votre entière et seule responsabilité.
M Blanc est sans majorité au sein du conseil municipal, il multiplie les conflits par sa gestion autoritaire et surtout il dégrade l'image de marque de notre commune.
Il est maintenant URGENT qu'il mesure son échec à la tête de la municipalité et qu'il en tire la seule conclusion.... Sa démission!!!
JOUNENT Michel


* La commune de Saint Quay Portrieux demandait au tribunal de condamner la société VENT D'OUEST DISTRIBUTION à lui verser une somme de 2 500 € au titre de l'article L761.1
et la société Quaywaves demandait de son côté au tribunal de condamner VENT D'OUEST DISTRIBUTION à lui verser la somme de 10 000 € pour procédure abusive et 5 000 € au titre de l'article L761.1 du code de justice administrative.
**VENT D'OUEST DISTRIBUTION de M Nicolas Guillou sis à Gommenec'h ( 22 290 )
*** Quaywaves de  M Bruno Lecoeur sis  à Saint Quay Portrieux( 22 410 )

samedi 19 mai 2012

le naufrageur 19/05/2012






De gros nuages lourds, à la veille du conseil municipal du 23 Mai 2012 à 18h30, s'amoncellent au dessus de notre commune.
Le capitaine d'opérette qui dirige notre municipalité, par son incompétence, donne une image catastrophique de Saint Quay Portrieux.
En dressant les élus les uns contre les autres, en humiliant en permanence ses colistiers, en conduisant des élus à démissionner, il a réussi à éloigner la population des affaires communales.
Les quinocéens sont déroutés devant une telle gestion et se font une piètre opinion des promesses électorales de M Blanc.
La dernière muflerie du maire est la manière lamentable qu'il a employé pour virer la première adjointe, Mme Poignonnec.
Pendant ces quatre premières années de mandat, cela n'aura été qu'une guerre de tranchée entre un maire omnipotent et des élus conscients que tout n'est pas permis dans la gestion d'une collectivité territoriale.
Le grand honneur d'être désigné par le suffrage universel pour diriger la commune ne conduit pas, normalement, un premier magistrat à s'imaginer qu'il vient d'accéder à une charge digne de l'ancien régime.
Le maire n'a plus depuis plusieurs mois de majorité dans son conseil et il n'en tire aucune conclusion.
Ces mises en minorité ne correspondent pas à des mouvements d'humeur .
Des élus, et pas des moindres, ne supportent plus d'être écartés des décisions prises par M Blanc et l'ingérence du DGS dans des dossiers sensibles.
Pour certains élus, le cheminement qui les a conduit à s'opposer au maire n'a pas été facile , il a été sans doute long mais il repose sur une réalité très simple:

Il est impossible de travailler avec le maire.

Une majorité d'élus présume que sur différents dossiers la municipalité va droit dans le mur, elle dispose malgré les obstacles dressés par le maire d'informations administratives et judiciaires concordantes pour asseoir de très vives inquiétudes.
Cette crise municipale atteint son paroxysme, les recours en justice se multiplient , le conflit est partout dans cette municipalité et l'administration locale est dévastée (six directeurs généraux en quatre ans).
Apparemment la roue tourne, le chantage et les attaques personnelles du maire n'ont plus de prises sur les dix élus qui veulent sauver la commune du naufrage et du... ridicule.
Sous d'autres cieux et dans l'exercice normal de la démocratie, un maire soucieux de l'intérêt général, avant qu'il ne soit trop tard aurait remis sa démission.
A Saint Quay Portrieux, ce n'est pas le cas, la dignité n'est pas encore à l'ordre du jour .

JOUNENT Michel

mercredi 16 mai 2012

c'est la fin 16/05/2012





LE MUR DU ÇON
est de nouveau franchi dans le ciel de notre municipalité.






M Blanc, le maire de Saint Quay Portrieux, montre une nouvelle fois l'irrespect qu'il porte à ses colistiers.
En cette veille de Fête de l'Ascension, par un arrêté municipal N° 12 DG 08, le maire retire la délégation permanente de signature de sa première adjointe,* responsable entre autre des finances locales.
Cette méthode violente expose sans détour l' autoritarisme de M Blanc.
C'était bien la peine de se répandre dans le bulletin diocésain des Côtes d'Armor sur ses convictions chrétiennes pour traiter aussi vulgairement Mme Martine Poignonnec.
Il est scandaleux de lire dans ce bulletin que le maire, guidé par sa conscience, "tient au respect absolu de la personne, de son droit à la dignité, en lien avec l'intérêt de la collectivité".
En virant avec brutalité sa première adjointe, on mesure l'inanité de ses confessions dans le journal de l'évêché.
La commune n'est plus correctement gérée et, pour garder son siège, le maire est prêt à tous les coups tordus.
On en saura plus lors du prochain conseil municipal qui se tiendra le mercredi 23 Mai 2012 à 18 H 30.
A l'hôtel de ville , l'ambiance est délétère et, pour les agents administratifs, leurs conditions de travail sont devenues calamiteuses.
Comme jamais, grâce à un maire à l'ego surdimensionné, notre commune est devenue la risée du canton .

JOUNENT Michel
* le  prétexte est le suivant:"considérant la dégradation des relations et  une  perte de confiance  réciproque qui nuit  à la gestion et  à la bonne  marche des  affaires municipales", le  maire  retire la délégation  permanente de  signature de  Madame Martine Poignonnec ,  première adjointe.

mardi 15 mai 2012

film pelliculaire 15/05/2012



FINI LE CINÉMA DE PAPA!!!








La projection pelliculaire a fait son temps; depuis quelques années, les cinémas s'équipent de projecteurs numériques .
Cette numérisation transforme profondément l'organisation des salles de spectacles et tous les métiers liés à ce commerce de divertissement.
Les projectionnistes en particulier s'inquiètent, ils pensent à juste titre que leur métier est en péril.
Les propriétaires de cinéma dans leur ensemble révisent et modifient tous leur manière de faire vivre une petite structure ou un grand multiplex.
Accueil, caisse, comptoir-confiserie et tenue de la cabine de projection selon la dimension de l'établissement seront confiés aux mêmes personnes ou à la même personne durant la totalité du service.
Autrement dit, les employés d'un cinéma doivent se préparer aux évolutions de leurs missions qu'impose le matériel de projection numérique.
Pour le cinéma "Arletty" entièrement numérisé et à la sonorisation exceptionnelle, il faut, d'un côté un bon distributeur de films et de l'autre, une personne polyvalente faisant l'accueil, la caisse, le projectionniste, le régisseur et une partie de l'entretien .
Cela conduit bien sûr à réduire le nombre de séances pour éviter les projections avec quelques spectateurs et puis sans doute, faudra-t-il, avec cette polyvalence du personnel, être un peu moins ambitieux quant à la quantité des films projetés.
Tous les cinémas accélèrent leur évolution et se préparent à survivre dans ce monde concurrentiel.
A Saint Quay Portrieux, la structure qui organise le nouveau cinéma en est restée au temps de la projection pelliculaire et cela se constate au niveau du coût de sa gestion.

JOUNENT Michel


lundi 14 mai 2012

convictions religieuses 14/05/2012

« QUI VEUT FAIRE L’ANGE
FAIT LA BETE »...Blaise Pascal.




Cette chronique sera brève mais d’un très grand profit.
Le mauvais temps favorise la lecture des œuvres de l’esprit.
A cet égard on ne peut que recommander la lecture du bulletin du diocèse de Saint Brieuc.
On y trouvera un entretien d’auto promotion de notre maire dont les paroles ont été pieusement recueillies par une paroissienne de noble lignée.
Pour l’humilité notre maire ne craint personne.
Afin que nul n’en ignore notre maire se présente comme un « maire chrétien », nourri de lectures édifiantes, pétri de valeurs condescendantes (la bienveillance, l’accueil de l’autre, le respect des opposants, si, si…) que ne peuvent avoir que bien peu d’âmes.
Voila pour la modestie.
Veux-t-on des choses plus profondes ???
Notre maire est philosophique.
Il puise son inspiration dans le « personnalisme » d’Emmanuel Mounier, qui inspira les débuts du régime de Vichy.
Ainsi naissent les malentendus.
Disons en gros que pour Mounier l’Homme n’est pas qu’ un simple mammifère omnivore.
C’est métaphysique. On ne quitte qu’à regret de si savantes altitudes.
On se frotte les yeux. On a du mal à comprendre.
Notre maire serait donc un chef religieux, une sorte d’uléma chrétien alors qu’on le croyait laïc et républicain ?
C’est ainsi qu’à Saint Quay Portrieux il se passe des choses prodigieuses.
La commune est pilotée par intervention divine, ce qui dispense d’appliquer les règles de la gestion publique.
Arrêter le cinéma ? Mais Dieu ne voudra jamais !!!
Nous n’irons pas comme certains mécréants jusqu’à prendre le conseil municipal pour la Cène où se presseraient à la sainte table, autour de la figure charismatique du maire, une Marie-Madeleine agitée, un prophète armé d’une immense barbe, quelques judas et un Ponce-pilate portuaire.
N’indignons pas les gens sérieux.... Sur quoi on peut tirer le rideau.

ROCFORT Michel 

vendredi 11 mai 2012

le marasme 11/05/2012



L'AUTOCRATE QUINOCÉEN
EST NU !!!











Le maire de notre commune est, depuis le dernier conseil municipal extraordinaire, un premier magistrat au pouvoir considérablement réduit.
Il a fini par comprendre que pour la majorité des problèmes posés à la commune, il doit se conformer à la volonté des élus défavorables à son autoritarisme pour les régler.
La restructuration et le fonctionnement du cinéma ont miné et fait imploser le conseil municipal.
Tout est devenu conflit dans cette assemblée communale et pour garder encore le peu d'autorité de façade qui lui reste, le maire cadenasse l'information.
Un conseiller municipal, pour accéder à l'information, doit faire comme tout citoyen une demande sous couvert du maire et s'en remettre à un adjoint n'est plus possible!!!
Ce renforcement de la bureaucratie locale est bien à l'image de M Blanc, elle augure de plus en plus mal la fin du mandat de la liste "Autrement".
La colère de M Blanc lorsqu'il était candidat contre le maire sortant s'adresse maintenant à la majorité des ses colistiers.
On attend, les quinocéens raisonnables, des explications publiques du maire sur les raisons et les motifs qui ont conduit six élus à démissionner au bout d'une année et maintenant dix élus à s'opposer régulièrement à son pouvoir personnel.
On ne rappellera jamais assez qu'il faisait de sa liste un atout pour redynamiser la commune, qu'il fallait à tout crin élire la liste au complet (23 membres) vu l'étendue du travail à faire pour sortir la ville de la médiocrité.
Aujourd'hui, les anathèmes lancés contre l'ancienne équipe se retournent contre lui...
Avoir eu le culot de parler d'amateurisme, d'opacité, d'absence de vision, de gâchis d'argent et d'allergie au dialogue en parlant de l'ancien maire, démontre l'ampleur de la démagogie du candidat D Blanc lors de l'élection municipale de 2008.
Décidément, la démagogie et le dénigrement restent l'arme absolue pour gagner une élection.
M Blanc se voulait l'artisan d'une nouvelle dynamique pour la ville, en définitif c'est un fameux dynamiteur pour faire le vide autour de lui.
On peut cependant, sans se tromper, dire que M Blanc reste et demeure très fort dans deux domaines.

le gâchis humain.
le gâchis d'argent.

Sur le gâchis humain :
Six Directeurs Généraux des Services se sont succédés en quatre ans à la tête de l'administration municipale.
Ses colistiers, au moins seize sur vingt deux, ont la très forte impression d'être les dindons de cette farce quinocéenne.
Sur le gâchis financier: là, on a le choix et je retiens trois exemples.
L'arrêt et la modification de l'aire de carénage ont conduit à faire un emprunt supplémentaire de 400 000 € , cette dépense a représenté incontestablement la première erreur de jugement du maire.
Sur le cinéma, l'estimation première de la restructuration était de 750 000 € , on atteint       1 300 000 € aujourd'hui sans trop être sûr que se soit le véritable montant et le coût du fonctionnement de la salle est et restera dans le rouge pendant très longtemps.
Et puis, cerise sur le gâteau, l'achat des murs d'un commerce sans activité sur le port pour 100 000 €, la boutique demeure vide et le fameux mitage est là et bien là.
Contre cet achat, la ville devait percevoir un loyer , elle ne reçoit rien à ce jour mais elle assume les charges de cet achat.
Il est phénoménal notre maire dès qu'il s'agit de dépenser l'argent public.
Il n'a pas son pareil dans ce domaine et ce ne sont pas les nombreux bureaux d'études et bureaux d'avocats appelés à la rescousse qui nous dirons le contraire..
Il est bien loin le temps où M Blanc consacrait une partie de son activité à développer le micro crédit au bénéfice des populations pauvres d'Afrique de l'ouest.
Depuis quatre ans, il a pris le contre pied de ses engagements antérieurs en faisant des maxi-dépenses et en oubliant un peu facilement l'état de crise de notre pays.

Les dépenses de "prestiges" du côté du casino tombent mal en cette période, d'autant qu'elles se font au détriment d'investissements à faire dans le quartier du port et de la rue Geniet, sortie principale de la ville.

JOUNENT Michel