UNE BELLE VÉRITÉ!!!
"Maire , c'est un
engagement de tous
les instants".
les instants".
Telle est la belle et bonne définition que donne une
élue* costarmoricaine, maire de sa commune, à quelques
mois du renouvellement des
conseils municipaux.
C'est ce qui a
manqué à notre ville pendant cette
mandature encore en place pour un peu moins de 160 jours.
S'il se confirme que
M Blanc avait prévenu que sa
présence en ville serait limitée, il est vraiment scandaleux que
pour autant il ait si peu délégué.
Mieux, il s'est privé au fur et à mesure que le temps
passait, du travail des
adjoints de sa liste élue en
totalité "Autrement" en leur retirant leurs délégations .
Comme cela ne suffisait pas, il a déclaré d'emblée sa
défiance aux nouveaux élus de
septembre 2012, en les privant de toutes
délégations.
Les conséquences de ce
pouvoir non partagé, tous
les Quinocéens les connaissent ...
Un programme promis en
2008 qui restera largement inachevé, des dépenses non maîtrisées et des conflits permanents au
sein de l'organisme dirigeant la
commune.
Au delà de ce qu'il reste quantifiable, de
profondes divisions se font jour
chez les habitants permanents et
résidentiels de la commune.
Hormis quelques
réalisations, cette mandature restera marquée par la stagnation, aucune vision sérieuse pour les dix ou vingt ans
à venir n'a vu le jour.
M Blanc, durant sa campagne électorale
préparant son succès de 2008, avait souvent à la bouche la qualification "de gestion
à la petite semaine", l'activité
du maire sortant G Lambotte.
Aujourd' hui,
la seule qualification qui revient
au sujet de la municipalité de Saint Quay Portrieux est le
ridicule.
La seule chose remarquable que les gens retiendront de cette mandature, c'est l'aide apportée à la presse, elle a retrouvé en rapportant la vie
politique tourmentée de notre commune de
quoi améliorer sensiblement ses ventes.
Non seulement le rôle d'un maire s'impose sur sa vie personnelle
et prend le pas sur tout le reste mais et c'est
valable pour les adjoints aussi , c'est
un engagement de tous les instants
au point que les soucis des
concitoyens vous réveillent parfois en
pleine nuit.
La vie de
maire, c'est à l'évidence pour une commune de notre dimension celle d'un chef d'orchestre avec la particularité que
la partition change d'une
journée à l'autre.
Dernière réflexion sur
le rôle de maire et de tous les élus du conseil, ils sont
à la tête d'une administration qui depuis des années ne cessent de s'alourdir.
Pour en comprendre
les méandres , il faut multiplier
les réunions et prendre sur sa vie personnelle beaucoup de temps pour
en saisir la complexité.
C'est difficile pour les élus encore en activité et
quasiment insurmontable pour une jeunesse entrant dans la vie active , autrement dit le
rajeunissement du conseil municipal de Saint Quay n'est pas pour demain.
Que les
prochains candidats au fauteuil de maire
se le disent , cela leur évitera
d'afficher des fausses bonnes solutions
au renouvellement de la vie municipale.
JOUNENT Michel .
*maire d'une commune rurale interviewée dans le cadre de l'assemblée
départementale des maires et présidents des C de C des Côtes d'Armor, dans le journal OF .
Commentaire de Bruhat Bernard:
Puisque les masques sont tombés avec l'annonce d'une liste menée par les ex co-listiers devenus subitement opposants au maire, nous verrons bien si les quinocéens approuvent leur démarche pendant ces 6 années ou s'ils la désapprouvent.
En d'autres termes, les quinocéens approuvent t'ils la légitimité d'un maire élu par ses concitoyens puis par ses colistiers ou non ?
Etait-il normal que les co-listiers, devenus opposants, agissent de la sorte vis à vis d'une personnalité tête de liste uniquement pour des raisons de rivalité ?
Dans quel but figuraient-ils sur la liste Blanc ?
Pourquoi n'ont-ils pas démissionné plutôt que de demander celle du maire ?Mais c'est maintenant de l'histoire ancienne. Quoi qu'on en pense, nous avons tous pu constater que le maire a résisté de belle manière aux diverses pressions et a démontré son charisme et sa force de caractère. Comme vous le dites, on ne peut que regretter une situation provoquée sciemment par ses ex co-listiers dont le résultat a été de retarder les projets du programme approuvé par les électeurs.
Commentaire de Picolet Gilles:
Alors qu'à Paris, Joseph Bouglione présente son nouveau spectacle au cirque d'hiver, à St Quay-Portrieux c'est le grand cirque permanent qui continu !
La bataille des municipales a déjà commencé sur la piste aux étoiles.
Un maire (dresseur de fauves), M. Blanc, qui ne sait pas encore s'il serait candidat, mais qui fait tout pour, en assurant sa présence à St Quay-portrieux (c'est nouveau) et en tournoyant sur les marchés.
Un adjoint (trapéziste), M. Brezellec, qui sort de l'ombre pour se présenter comme le seul recours pour la commune, étant sur place en permanence, et connaissant parfaitement les dossiers et la gestion de notre cité. En 2008 il a certainement cru que les absences annoncées de M. Blanc lui permettraient de diriger la ville dans l'ombre ; mais il est tombé sur plus fort que lui, ce qui a conduit à la situation que nous avons connue, dont il est en grande partie responsable. Nous ne voulons pas d'une continuité de gestion mais d'un véritable changement !
Un funambule, M. Simelière, qui se promène de ville en ville, au gré des différentes élections, pour satisfaire sa gloriole personnelle. À travers son questionnaire, il attend que les Quinoceens lui donnent des idées pour construire son programme et bâtir son équipe.
Le reste de la troupe(jongleurs, antipodistes, musiciens...), anciens conseillers, est aux aguets pour juger de l'opportunité de la création d'une liste...
Pour le bien de St Quay-Portrieux, il faut sortir “les clowns “ et trouver une équipe d'équilibristes qui ramènera le calme et la concentration dans le travail des élus.
Commentaire de Kervoelen Mariannick, adjointe aux affaires sociales et action jeunesse:
Uderzo avait raison d'installer son village d'irréductibles gaulois en Armorik, sur une côte qui ressemble fort à la notre. En effet, à St Quay-Portrieux, on croirait retrouver ces gaulois chamailleurs qui s'affrontent pour un rien...
Je suis l'un des quelques 20 000 Quinocéens non permanents et suis un observateur attentif de la vie de notre cité.
Je ne m'estime pas être un donneur de leçons, mais garde l'esprit critique.
Pour ce faire je me base sur une expérience de plus de 20 années de conseiller municipal dans une commune de + de 5 000 habitants, dont 12 en tant que 3ème adjoint au maire.
Je ne détiens aucune vérité, mais je n'avais jamais vu un tel désordre dans la gestion d'une commune.
Espérons que mars 2014 apaisera les esprits batailleurs et que la sérénité, qui est de rigueur, s'imposera aux futurs élus.
Commentaire de Bruhat Bernard:
Puisque les masques sont tombés avec l'annonce d'une liste menée par les ex co-listiers devenus subitement opposants au maire, nous verrons bien si les quinocéens approuvent leur démarche pendant ces 6 années ou s'ils la désapprouvent.
En d'autres termes, les quinocéens approuvent t'ils la légitimité d'un maire élu par ses concitoyens puis par ses colistiers ou non ?
Etait-il normal que les co-listiers, devenus opposants, agissent de la sorte vis à vis d'une personnalité tête de liste uniquement pour des raisons de rivalité ?
Dans quel but figuraient-ils sur la liste Blanc ?
Pourquoi n'ont-ils pas démissionné plutôt que de demander celle du maire ?Mais c'est maintenant de l'histoire ancienne. Quoi qu'on en pense, nous avons tous pu constater que le maire a résisté de belle manière aux diverses pressions et a démontré son charisme et sa force de caractère. Comme vous le dites, on ne peut que regretter une situation provoquée sciemment par ses ex co-listiers dont le résultat a été de retarder les projets du programme approuvé par les électeurs.
Commentaire de Picolet Gilles:
Alors qu'à Paris, Joseph Bouglione présente son nouveau spectacle au cirque d'hiver, à St Quay-Portrieux c'est le grand cirque permanent qui continu !
La bataille des municipales a déjà commencé sur la piste aux étoiles.
Un maire (dresseur de fauves), M. Blanc, qui ne sait pas encore s'il serait candidat, mais qui fait tout pour, en assurant sa présence à St Quay-portrieux (c'est nouveau) et en tournoyant sur les marchés.
Un adjoint (trapéziste), M. Brezellec, qui sort de l'ombre pour se présenter comme le seul recours pour la commune, étant sur place en permanence, et connaissant parfaitement les dossiers et la gestion de notre cité. En 2008 il a certainement cru que les absences annoncées de M. Blanc lui permettraient de diriger la ville dans l'ombre ; mais il est tombé sur plus fort que lui, ce qui a conduit à la situation que nous avons connue, dont il est en grande partie responsable. Nous ne voulons pas d'une continuité de gestion mais d'un véritable changement !
Un funambule, M. Simelière, qui se promène de ville en ville, au gré des différentes élections, pour satisfaire sa gloriole personnelle. À travers son questionnaire, il attend que les Quinoceens lui donnent des idées pour construire son programme et bâtir son équipe.
Le reste de la troupe(jongleurs, antipodistes, musiciens...), anciens conseillers, est aux aguets pour juger de l'opportunité de la création d'une liste...
Pour le bien de St Quay-Portrieux, il faut sortir “les clowns “ et trouver une équipe d'équilibristes qui ramènera le calme et la concentration dans le travail des élus.
Commentaire de Kervoelen Mariannick, adjointe aux affaires sociales et action jeunesse:
A tous ces donneurs de leçons derrière leur écran, je dirais simplement: "La critique est aisée mais l' art est difficile" .
Mettez donc toute votre énergie verbale au service de la commune. Impliquez vous, investissez vous.
Faites une liste pour les prochaines élections municipales et montrez nous sur le terrain de quoi vous êtes capable.
Mettez en pratique vos soit disant et excellents conseils, au pied du mur ou de l' autre côté de la barrière, on vous verra à l' oeuvre et vous serez ainsi sur un même pied d' égalité pour critiquer.
Commentaire de Picolet Gilles:
Si je me suis permis d'entrer dans le débat, c'est devant l'image désastreuse laissée, lors du dernier mandat qui s'achève, par la grande majorité des élus.Uderzo avait raison d'installer son village d'irréductibles gaulois en Armorik, sur une côte qui ressemble fort à la notre. En effet, à St Quay-Portrieux, on croirait retrouver ces gaulois chamailleurs qui s'affrontent pour un rien...
Je suis l'un des quelques 20 000 Quinocéens non permanents et suis un observateur attentif de la vie de notre cité.
Je ne m'estime pas être un donneur de leçons, mais garde l'esprit critique.
Pour ce faire je me base sur une expérience de plus de 20 années de conseiller municipal dans une commune de + de 5 000 habitants, dont 12 en tant que 3ème adjoint au maire.
Je ne détiens aucune vérité, mais je n'avais jamais vu un tel désordre dans la gestion d'une commune.
Espérons que mars 2014 apaisera les esprits batailleurs et que la sérénité, qui est de rigueur, s'imposera aux futurs élus.
3 commentaires:
Puisque les masques sont tombés avec l'annonce d'une liste menée par les ex co-listiers devenus subitement opposants au maire, nous verrons bien si les quinocéens approuvent leur démarche pendant ces 6 années ou s'ils la désapprouvent.
En d'autres termes, les quinocéens approuvent t'ils la légitimité d'un maire élu par ses concitoyens puis par ses colistiers ou non ?
Etait-il normal que les co-listiers, devenus opposants, agissent de la sorte vis à vis d'une personnalité tête de liste uniquement pour des raisons de rivalité ?
Dans quel but figuraient-ils sur la liste Blanc ?
Pourquoi n'ont-ils pas démissionné plutôt que de demander celle du maire ?
Mais c'est maintenant de l'histoire ancienne. Quoi qu'on en pense, nous avons tous pu constater que le maire a résisté de belle manière aux diverses pressions et a démontré son charisme et sa force de caractère. Comme vous le dites, on ne peut que regretter une situation provoquée sciemment par ses ex co-listiers dont le résultat a été de retarder les projets du programme approuvé par les électeurs.
Alors qu'à Paris, Joseph Bouglione présente son nouveau spectacle au cirque d'hiver, à St Quay-Portrieux c'est le grand cirque permanent qui continu !
La bataille des municipales a déjà commencé sur la piste aux étoiles.
Un maire (dresseur de fauves), M. Blanc, qui ne sait pas encore s'il serait candidat, mais qui fait tout pour, en assurant sa présence à St Quay-portrieux (c'est nouveau) et en tournoyant sur les marchés.
Un adjoint (trapéziste), M. Brezellec, qui sort de l'ombre pour se présenter comme le seul recours pour la commune, étant sur place en permanence, et connaissant parfaitement les dossiers et la gestion de notre cité. En 2008 il a certainement cru que les absences annoncées de M. Blanc lui permettraient de diriger la ville dans l'ombre ; mais il est tombé sur plus fort que lui, ce qui a conduit à la situation que nous avons connue, dont il est en grande partie responsable. Nous ne voulons pas d'une continuité de gestion mais d'un véritable changement !
Un funambule, M. Simelière, qui se promène de ville en ville, au gré des différentes élections, pour satisfaire sa gloriole personnelle. À travers son questionnaire, il attend que les Quinoceens lui donnent des idées pour construire son programme et bâtir son équipe.
Le reste de la troupe(jongleurs, antipodistes, musiciens...), anciens conseillers, est aux aguets pour juger de l'opportunité de la création d'une liste...
Pour le bien de St Quay-Portrieux, il faut sortir “les clowns “ et trouver une équipe d'équilibristes qui ramènera le calme et la concentration dans le travail des élus.
Bien cordialement.
Gilles PICOLET
Si je me suis permis d'entrer dans le débat, c'est devant l'image désastreuse laissée, lors du dernier mandat qui s'achève, par la grande majorité des élus.
Uderzo avait raison d'installer son village d'irréductibles gaulois en Armorik, sur une côte qui ressemble fort à la notre. En effet, à St Quay-Portrieux, on croirait retrouver ces gaulois chamailleurs qui s'affrontent pour un rien...
Je suis l'un des quelques 20 000 Quinocéens non permanents et suis un observateur attentif de la vie de notre cité.
Je ne m'estime pas être un donneur de leçons, mais garde l'esprit critique.
Pour ce faire je me base sur une expérience de plus de 20 années de conseiller municipal dans une commune de + de 5 000 habitants, dont 12 en tant que 3ème adjoint au maire.
Je ne détiens aucune vérité, mais je n'avais jamais vu un tel désordre dans la gestion d'une commune.
Espérons que mars 2014 apaisera les esprits batailleurs et que la sérénité, qui est de rigueur, s'imposera aux futurs élus.
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