A un moment où la Liberté d'expression est frappée au coeur en plein Paris.
Comment ne pas penser
devant le massacre des journalistes caricaturistes de Charlie Hebdo
et des policiers en surveillance devant
les locaux du journal,
au poème de Paul Eluard: LIBERTÉ.
au poème de Paul Eluard: LIBERTÉ.
Partout où la libre communication
des pensées et des opinions est soumise au diktat des ennemis
de la démocratie, partout les défenseurs
des droits de l'Homme et du Citoyen
doivent agir et s'unir pour
combattre les représentants de
l'ignominie.
Ce combat ne revêt pas un
caractère personnel, il doit se faire
dans le cadre de nos institutions .
Rappel: La Liberté d'expression dans notre pays ne connaît pour limites que celles définies par les lois démocratiques et laïques
de notre République.
Ce 7 janvier 2015 restera pour longtemps un jour sombre pour notre démocratie
et d'une grande tristesse en
pensant aux malheureuses victimes.
Extrait du poème "Liberté" de Paul Eluard.
Commentaire de Bruhat Bernard:
Commentaire de Bruhat Bernard:
En relais aux décisions de deuil national
décidé par le Président de la République, les maires de chaque commune de
France doivent décider immédiatement d'un hommage à rendre aux héros de Charlie
morts pour avoir exprimé par des dessins ce qu'ils pensaient. Et pas seulement
en mettant les drapeaux en berne.
C'est un devoir et une occasion unique de montrer aux assassins que notre démocratie républicaine est plus forte que la dictature des religions, et de rappeler à ceux qui parfois l'oublient, que la liberté d'expression est gravée de manière immuable dans notre Constitution et dans la déclaration des droits de l'Homme.
Je suis CHARLIE.
C'est un devoir et une occasion unique de montrer aux assassins que notre démocratie républicaine est plus forte que la dictature des religions, et de rappeler à ceux qui parfois l'oublient, que la liberté d'expression est gravée de manière immuable dans notre Constitution et dans la déclaration des droits de l'Homme.
Je suis CHARLIE.
1 commentaire:
En relais aux décisions de deuil national décidé par le Président de la République, les maires de chaque commune de France doivent décider immédiatement d'un hommage à rendre aux héros de Charlie morts pour avoir exprimé par des dessins ce qu'ils pensaient. Et pas seulement en mettant les drapeaux en berne.
C'est un devoir et une occasion unique de montrer aux assassins que notre démocratie républicaine est plus forte que la dictature des religions, et de rappeler à ceux qui parfois l'oublient, que la liberté d'expression est gravée de manière immuable dans notre Constitution et dans la déclaration des droits de l'Homme.
Je suis CHARLIE.
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