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mercredi 7 janvier 2015

un mercredi noir 7/01/2015


A un moment où la Liberté d'expression  est frappée au coeur en plein Paris.
Comment ne pas  penser devant le  massacre des  journalistes caricaturistes de Charlie Hebdo et des policiers  en surveillance devant les  locaux du  journal, 
au poème  de Paul Eluard: LIBERTÉ.
Partout où la libre communication des pensées  et des  opinions est soumise au diktat  des ennemis  de  la démocratie, partout les défenseurs des droits de  l'Homme  et du Citoyen  doivent agir  et s'unir pour combattre les représentants de  l'ignominie.
Ce combat ne revêt pas un caractère  personnel, il doit se faire dans  le cadre de nos  institutions .
Rappel: La  Liberté d'expression dans notre  pays ne connaît pour  limites que celles  définies par les lois démocratiques et laïques de notre République.
Ce  7 janvier 2015 restera pour longtemps  un jour sombre pour notre  démocratie  et d'une grande  tristesse en pensant aux malheureuses victimes.

JOUNENT Michel.

                                  Extrait du poème "Liberté" de Paul Eluard.

Commentaire de Bruhat Bernard:
En relais aux décisions de deuil national décidé par le Président de la République, les maires de chaque commune de France doivent décider immédiatement d'un hommage à rendre aux héros de Charlie morts pour avoir exprimé par des dessins ce qu'ils pensaient. Et pas seulement en mettant les drapeaux en berne. 
C'est un devoir et une occasion unique de montrer aux assassins que notre démocratie républicaine est plus forte que la dictature des religions, et de rappeler à ceux qui parfois l'oublient, que la liberté d'expression est gravée de manière immuable dans notre Constitution et dans la déclaration des droits de l'Homme.
Je suis CHARLIE. 

1 commentaire:

Bernard Bruhat a dit…

En relais aux décisions de deuil national décidé par le Président de la République, les maires de chaque commune de France doivent décider immédiatement d'un hommage à rendre aux héros de Charlie morts pour avoir exprimé par des dessins ce qu'ils pensaient. Et pas seulement en mettant les drapeaux en berne.
C'est un devoir et une occasion unique de montrer aux assassins que notre démocratie républicaine est plus forte que la dictature des religions, et de rappeler à ceux qui parfois l'oublient, que la liberté d'expression est gravée de manière immuable dans notre Constitution et dans la déclaration des droits de l'Homme.
Je suis CHARLIE.