UNE DISCUSSION OISEUSE SUR
UN ANCIEN MAIRE
UN ANCIEN MAIRE
Le sujet en est l'incohérence architecturale de notre commune .
Un article paru sur le blog du conseiller* municipal délégué aux relations publiques a jeté la confusion; il a fait des amalgames douteux et de mauvaises approximations sur le sujet.
Jusqu'à preuve du contraire, cet
élu-bloggueur fait encore partie de la majorité du conseil et, comme sa délégation
l'indique, il engage par ses écrits polémiques ses collègues .
Son article n' a cessé de subir
des modifications; en l'occurrence, on peut se poser des questions sur la solidité de son
premier raisonnement.
La fin de la seconde guerre mondiale a vu sur le
territoire de la commune la
multiplication de constructions immobilières.
Comme toujours à Saint Quay et
ailleurs, elles ont connu des détracteurs
et des opposants, mais à les décrire comme la réussite de méthodes de voyous, là, on n'est plus dans un débat sur l'esthétisme immobilier mais dans la diffamation.
J'ai du mal à croire que
le député maire Robert Richet ait pu imposer à son conseil, pour des
raisons mercantiles, la signature du
permis de construire de la résidence des
îles, d'autant que son premier
adjoint d'alors était François Héry, connu et respecté depuis pour être resté 42
ans au service des Quinocéens.
Le député Richet a cédé une
partie d'un des ses biens
immobiliers pour le transformer
en Centre des Congrès municipal .
Selon la presse de
l'époque, il est aussi l'un de ceux qui ont envisagé et travaillé le projet de contruire un port en eau profonde.
Enfin, il est le bâtisseur du
quai, qui porte aujourd'hui son nom ,
cette construction gagnée sur la mer a
permis de rendre cohérent l'utilisation du port d'échouage .
le Portrieux avant la construction du quai
Depuis les années 1950, peu de constructions nouvelles se sont inscrites dans un style précis, breton, néo breton, voire normand; au contraire, ces constructions sont le fruit d'une modernité affligeante comme par exemple :
le Portrieux avant la construction du quai
Depuis les années 1950, peu de constructions nouvelles se sont inscrites dans un style précis, breton, néo breton, voire normand; au contraire, ces constructions sont le fruit d'une modernité affligeante comme par exemple :
·la construction de l'immeuble au dessus de la
piscine d'eau de mer.
·les "cubes" à l'angle de la rue Déroulède et de Castelnau .
·le grand
immeuble au bas de
la rue de la Victoire, à proximité d'une résidence d' armateur du
XVIII siècle.
·l'immeuble, plus récent, qui a remplacé un
garage sur le quai de la République .
·les différentes
transformations d'hôtels en logements, jugés hors normes .
·et que dire de la réalisation du nouvel hôtel
de ville, démesuré pour une ville de 3 000
habitants est d'un commun absolu.
· Il est préférable de ne rien ajouter sur les
constructions du Port d'Armor; c'est laid et c'est un avis, hélas, partagé
par un grand nombre de
personnes.
Seules les nouvelles constructions
pavillonnaires restent tant bien que
mal dans une certaine homogénéité de style.
Le temps n'est plus a juger les choix ou erreurs passés des élus mais à demander à ceux qui dirigent
maintenant la commune de se montrer exigeants sur l'incorporation dans le paysage
urbain des nouvelles constructions .
Robert Richet , c'était
aussi, selon le mémoire réalisé par
Bertrand Burlot,
un ingénieur né 26 juillet
1920 à Verdun ( Meuse ), Président
du Syndicat du bâtiment des Côtes
du Nord en 1953, Président de la
CCI de Saint Brieuc de
1961/1974, Député (UNR/UDT) de 1962 à 67, conseiller général en 1965, conseiller régional en 1973 et maire
de la commune durant 12 années du 23 novembre 1965 au 4 octobre 1977 (date de son décès à Boulogne Billancourt).
Ancien du BCRA (service de renseignement de la France Libre ) pendant la guerre, il a reçu à titre militaire
la Croix de la Légion d'honneur, la Croix de guerre, la Médaille de la Résistance et la
Médaille de la France Libre.
A un moment où l'on célèbre le 70
ème anniversaire de la capitulation sans
condition de l'Allemagne nazie
et de ses alliés européens, la sortie injurieuse du sieur Roques à l'encontre du résistant
Robert Richet et reconnu comme tel est
d'une parfaite ineptie!!!
JOUNENT Michel.
* élu indemnisé ...pour quel
travail???
Commentaire de Pauline Carton:
Commentaire de Jean Michel Forest:
Enfin un article sur St Quay qui fait l'effet d'un courant d'air frais.
Il faut bien cela pour chasser les mauvaises odeurs provenant des insinuations et sous-entendus suintant d'un autre site qui porte le nom de notre commune et dont le propriétaire est un élu de son conseil municipal....
Le mieux serait, peut-être, de ne plus le lire, car il fait honte ...
Commentaire de Pauline Carton:
" je suis d'accord avec vous
Monsieur Jounent et heureuse que vous rétablissiez la vérité concernant
l'action de Monsieur Robert Richet maire de notre commune entre 1965 et 1977;
je tiens à souligner que Monsieur Richet était un homme et un maire très apprécié
des quinocéens et que sa disparition brutale a été un choc pour notre ville.
Comment, 38 ans
après, peut on juger l'action d'un homme en la retirant du contexte de
l'époque? Comment peut on caricaturer à ce point cette même époque en la
limitant à la seule construction d'un immeuble? Aujourd'hui,j'ai envie de
crier:
"Mais ou étiez
vous en 1970 Monsieur Roques pour vous permettre de telles insinuations?
Qu'avez vous fait concrètement pour notre commune pour prétendre être à la fois
enquêteur et donneur de leçons? Croyez vous que votre action municipale mérite
les 2500 euros que les contribuables vous ont versés en 13 mois de
mandat?"
Un peu d'humilité
vous ferait le plus grand bien.Commentaire de Jean Michel Forest:
Enfin un article sur St Quay qui fait l'effet d'un courant d'air frais.
Il faut bien cela pour chasser les mauvaises odeurs provenant des insinuations et sous-entendus suintant d'un autre site qui porte le nom de notre commune et dont le propriétaire est un élu de son conseil municipal....
Le mieux serait, peut-être, de ne plus le lire, car il fait honte ...
4 commentaires:
Belle image que cette vue aérienne, où les immeubles surplombant la Plage de la Comtesse, ou ceux derrière les Bretania n'étaient pas encore construits...
" je suis d'accord avec vous Monsieur Jounent et heureuse que vous rétablissiez la vérité concernant l'action de Monsieur Robert Richet maire de notre commune entre 1965 et 1977; je tiens à souligner que Monsieur Richet était un homme et un maire très apprécié des quinocéens et que sa disparition brutale a été un choc pour notre ville.
Comment, 38 ans après, peut on juger l'action d'un homme en la retirant du contexte de l'époque? Comment peut on caricaturer à ce point cette même époque en la limitant à la seule construction d'un immeuble? Aujourd'hui,j'ai envie de crier:
"Mais ou étiez vous en 1970 Monsieur Roques pour vous permettre de telles insinuations? Qu'avez vous fait concrètement pour notre commune pour prétendre être à la fois enquêteur et donneur de leçons? Croyez vous que votre action municipale mérite les 2500 euros que les contribuables vous ont versés en 13 mois de mandat?"
Un peu d'humilité vous ferait le plus grand bien.
voilà notre Michel tout gentil avec les anciens maires ; zut alors j'aimais bien ses réflexions acerbes !
Enfin un article sur St Quay qui fait l'effet d'un courant d'air frais. Il faut bien cela pour chasser les mauvaises odeurs provenant des insinuations et sous-entendus suintant d'un autre site qui porte le nom de notre commune et dont le propriétaire est un élu de son conseil municipal.... Le mieux serait, peut-être, de ne plus le lire, car il fait honte ...
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