du genre tout va très bien et dormez en paix Quinocéens, le maire, notre maire s'occupe de tout ...
ET PUIS, IL Y A LA CRUAUTÉ
des photos qui montrent la désertification commerciale, de plus en plus galopante...
Certes, il y a encore quelques aventuriers qui ouvrent de
nouvelles enseignes mais d'une manière
constante beaucoup de commerces ferment.
Cela donne à notre commune une image triste, à la différence
d'échelle près, traverser la ville ressemblera sous peu à emprunter la rue Saint Guillaume à Saint
Brieuc
Il ne reste que peu de solution:
soit en modifiant le PLU, la municipalité accepte la disparition des locaux
commerciaux, soit elle pénalise les propriétaires pour
qu'ils prennent la mesure que
leurs conditions de location ou de vente de leurs fonds de commerce ne
sont pas raisonnables...
Enfin parmi les commerces inoccupés , n'y aurait-t-il pas une surface commerciale
à transformer en galerie
d'exposition peinture et autres créations artistiques , gérée d'une manière
intelligente par la commune???
JOUNENT Michel.
Commentaire de Gilles Dunis:
Photos d'une quinzaine de boutiques fermées sur la commune , il existe en plus des boutiques en vente "discrète " sur la presse spécialisée.Commentaire de Gilles Dunis:
En tous cas cet afflux de places disponibles ne manquera pas
d'interpeller quelques biens pensants Quinocéens favorables à l'accueil
migrantesque.
Voilà de quoi loger quelques familles Bengali ou autres, à
condition que la Mairie se montre généreuse avec NOTRE argent, et rachète tous
ces fonds de commerce qui ne trouveront plus preneurs.
Ah comme c'est touchant la générosité.....mais avec l'argent
commun.....
Commentaire de Patrick alias "La sandalette de Plouha"
J’ai fait remarqué ce point plusieurs fois sur mon forum,car Plouha se trouve dans la même situation ,comme saint Brieuc bien entendu .La désertification touche toutes les petites villes ,bourgs,villages de France au profit des grandes surfaces. Loyers chers, pas de places pour se garer, un excès de zèle des forces de police pour les stationnements etc. à ce titre les villes se vident. La société doit se remettre en question et refondre son environnement dans ses villes.
STOP .
Parfois il me vient une idée avez-vous déjà remarqué des rues vides dans des villes touristiques de l’autre coté de méditerranée, il y a des magasins, de tissus, des souvenirs, des vendeurs de diverses amandes, épices.
Les gens y viennent généralement pour s'approvisionner mais les campagnards y écoulent également les surplus de leur modeste production
Dans les souks, il faut généralement marchander, c'est-à-dire que les prix ne sont pas fixes et qu'il est possible de discuter avec le vendeur pour trouver un prix qui convienne.
Nous avons des migrants, des magasins vident, il y a un deal entre la mairie et eux, plus l’état, car il faut relancer l’économie.
Même sur une zone bien définie, vous pouvez relancer une ville, principalement saint Quay Portrieux.
Je ne rêve pas, il faut vivre avec notre environnement d’ici et ailleurs
Commentaire de Patrick alias "La sandalette de Plouha"
J’ai fait remarqué ce point plusieurs fois sur mon forum,car Plouha se trouve dans la même situation ,comme saint Brieuc bien entendu .La désertification touche toutes les petites villes ,bourgs,villages de France au profit des grandes surfaces. Loyers chers, pas de places pour se garer, un excès de zèle des forces de police pour les stationnements etc. à ce titre les villes se vident. La société doit se remettre en question et refondre son environnement dans ses villes.
STOP .
Parfois il me vient une idée avez-vous déjà remarqué des rues vides dans des villes touristiques de l’autre coté de méditerranée, il y a des magasins, de tissus, des souvenirs, des vendeurs de diverses amandes, épices.
Les gens y viennent généralement pour s'approvisionner mais les campagnards y écoulent également les surplus de leur modeste production
Dans les souks, il faut généralement marchander, c'est-à-dire que les prix ne sont pas fixes et qu'il est possible de discuter avec le vendeur pour trouver un prix qui convienne.
Nous avons des migrants, des magasins vident, il y a un deal entre la mairie et eux, plus l’état, car il faut relancer l’économie.
Même sur une zone bien définie, vous pouvez relancer une ville, principalement saint Quay Portrieux.
Je ne rêve pas, il faut vivre avec notre environnement d’ici et ailleurs
2 commentaires:
En tous cas cet afflux de places disponibles ne manquera pas d'interpeller quelques biens pensants Quinocéens favorables à l'accueil migrantesque.Voilà de quoi loger quelques familles Bengali ou autres,à condition que la Mairie se montre généreuse avec NOTRE argent,et rachète tous ces fonds de commerce qui ne trouveront plus preneurs.Ah comme c'est touchant la générosité.....mais avec l'argent commun.....
Bonjour Michel,
J’ai fait remarqué ce point plusieurs fois sur mon forum,car Plouha se trouve dans la même situation ,comme saint Brieuc bien entendu .La désertification touche toutes les petites villes ,bourgs,villages de France au profit des grandes surfaces. Loyers chers, pas de places pour se garer, un excès de zèle des forces de police pour les stationnements etc. à ce titre les villes se vident. La société doit se remettre en question et refondre son environnement dans ses villes.
STOP .
Parfois il me vient une idée avez-vous déjà remarqué des rues vides dans des villes touristiques de l’autre coté de méditerranée, il y a des magasins, de tissus, des souvenirs, des
vendeurs de diverses amandes, épices, Les gens y viennent généralement pour s'approvisionner mais les campagnards y écoulent également les surplus de leur modeste production
Dans les souks, il faut généralement marchander, c'est-à-dire que les prix ne sont pas fixes et qu'il est possible de discuter avec le vendeur pour trouver un prix qui convienne.
Nous avons des migrants, des magasins vident, il y a un deal entre la mairie et eux, plus l’état, car il faut relancer l’économie.
Même sur une zone bien définie, vous pouvez relancer une ville, principalement saint Quay Portrieux.
Je ne rêve pas, il faut vivre avec notre environnement d’ici et ailleurs
Patrick.
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