Il fallait
revoir l'implantation des jardins du Portrieux
et déplacer le second monument aux morts.
Les deux choses
sont faites dans la surprise de beaucoup
de Quinocéens...les goûts et les couleurs etc...
Notre maire s'est promu comme le digne successeur d'Alfred Delpierre , maire emblématique de la
commune de 1919 à 1941 et a repris l'implantation de
barrière blanche en béton sur le quai de la République et aussi du côté
de la falaise où débouche la rue de la
Barbe brûlée .
A ces barrières
du temps de l'ancien maire, auprès de celles-ci on trouvait systématiquement
des bancs jaunes et bleus, aujourd'hui
au redéploiement de nouvelles barrières ne sont joints qu'un nouveau style de
vilains bancs.
Le premier résultat
de ces longs travaux est la disparition
des commerces ou pour l'instant de leur absence.
Les rues
Clemenceau et la rue de la Victoire sont à l'image de celles de Saint Brieuc, des cellules
commerciales vides, abandonnées et un mitage qui tue
les commerçants résistants au déclin et à leur fermeture définitive.
Du béton, du
macadam, des palmiers en container, des jeunes arbres face
aux embruns salés... Bon le
temps, les Quinocéens, les résidants secondaires jugeront
cette rénovation quelque
mégalomaniaque et diront au
moment où les communes sont étranglées au niveau budgétaire
si les dépenses engagées à ce niveau étaient nécessaires.
JOUNENT Michel.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire