Il est des traditions que l'on aimerait bien voir
disparaître.
Celle des « gravillonneurs fous », qui, chaque
mois de Mai envahissent notre commune en fait partie !!!
Franchement, quand on voit le résultat de leur travail, on
ne peut que s'interroger sur son utilité.
Même recouvert de bitume et de gravillons, un trou reste...
un trou !!!
Et la première pluie ne manque pas d'en apporter la
preuve. (Photo)
Faut-il de surcroît, pour parvenir à ce pitoyable résultat
condamner, partiellement , voire totalement des bouches d'égout ??? (Photo)
Il n'y a pas de doute : notre cité n'est en rien
embellie à l'issue de ce triste rafistolage.
On pourrait même dans certaines rues (rue des Lavandes, par
exemple) réaliser des coupes géologiques pour compter le nombre de passages
successifs.
Il suffit d'ailleurs de faire un peu de vélo en ville pour
se rendre compte que l'on y est plus secoué que sur les routes de la campagne
plourhanaise, pour ne prendre que cet exemple.
Aussi, on aimerait bien savoir :
-
Qui
détermine les surfaces à traiter : sont-ce les services techniques
municipaux ? Ou bien cette mission est-elle laissée à la libre inspiration
des opérateurs ?
-
Et
quel budget est ainsi consommé ?
Car, si l'on considère les tonnes de gravillons éjectées par
le passage des véhicules, et qui in- fine, se retrouvent, via les caniveaux,
dans les canalisations d'eaux pluviales il s'agit bien d'argent jeté à
l'eau !!!
Il y a sûrement mieux à faire.
INDIGNÉ 22410.
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