Nous ne sommes pas encore dans une république bananière...
Et pourtant notre maire pour justifier sa gestion , s'arroge le droit de s'inventer un ennemi, de lancer à la vindicte populaire un incendiaire, de montrer à l'issu d'un discours nauséeux qu'il existe à Saint Quay Portrieux un vilain citoyen capable de tout et surtout du pire.
On rêve devant un pareil délire.
J'ai pourtant chapeauté mon blog de la fameuse remarque du sieur "Pierre Augustin Caron dit de Beaumarchais" qui indique que
" Sans liberté de blâmer,
il n'est point d'éloge flatteur"
et notre maire fait fi de tout cela en étant le premier magistrat normalement de tous les électeurs de notre tranquille petite commune.
L'ex maire Bd qui s'était lancé dans une opération menaçante contre ma liberté d'expression s'est cassé les dents (une plainte à la gendarmerie , une citation directe à Nantes en correctionnelle et un recours en cassation à Paris).
Discuter de la gestion d'un maire n'est pas encore interdit en France d'autant que jamais je ne me suis répandu sur la vie privée qui est celle du premier magistrat.
Je ne me laisserai pas menacé par cette arrogance incroyable qui relève des mœurs de l'ancien régime.
JOUNENT Michel.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire