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mercredi 31 août 2011

deux affaires 31/08/2011


INCOMMUNICABILITÉ.











C'est le maître mot qui régit les rapports du maire à ses colistiers , qui règle les rapports du maire à la population quinocéenne.
Sur les inaugurations et sur les pince-fesse municipaux, pas de problème, la communication communale tourne à fond et on est sûr de voir la photo de M Blanc dans la presse et les médias locaux.
Mais sur les projets importants, il est de plus en plus difficile de savoir où l'on va!!!
tant sur les sommes engagées.
tant sur le mode de financement.
tant sur les délais de réalisation.
et surtout sur le choix des entreprises devant réaliser les travaux.
Le maire travaille dans le secret et il reste très peu d'élus à connaître la teneur de ses décisions.
Quarante et un mois après l'élection de la liste "Autrement", beaucoup de quinocéens constatent avec amertume les effets de la démagogie électorale la plus éculée.
La demi mandature dépassée , le maire à la tête de son conseil municipal désarticulé, fait la démonstration qu'il n'a plus les moyens de ses ambitions.
Je reprends pour la Xème fois l'examen de deux projets bien différents par le montant de leurs investissements, ils ont en commun la marque de l' inefficacité du maire de mener à bien et rapidement leurs réalisations.
le cinéma
l'achat des murs d'une boutique au Portrieux.
Le maire et les services techniques ont réceptionné le cinéma restructuré depuis cinq semaines:
C'est maintenant une salle magnifique.
Ce sont des fauteuils confortables.
C'est un vaste écran
C'est, avec sa salle conviviale et son élévateur pour personnes handicapées, un appendice étonnant pour un cinéma.
.C'est aussi des abords entièrement reconditionnés, avec le parking J B Barat à l'enrobé totalement refait, avec ses 43 places matérialisées dont 4 places pour personnes handicapées et avec 2 râteliers pour le stationnement de douze vélos.
C'est pour bientôt l'installation de deux caméras de la vidéo-protection, avec celle déjà installée au coin de la rue Pasteur et du Bd Foch, le quartier du cinéma sera placé en haute sécurité.
C'est depuis le mois d'avril l'embauche d'un directeur et la recherche d'un projectionniste.
Ce sont aussi des matériels commandés très en retard ( logiciels , informatique et jusqu'à l'enseigne du cinéma).
Autrement dit , dans la confusion des conseils municipaux traitant du cinéma, par le travail du maire dans le secret de son bureau, on est incapable de savoir quand ce lourd investissement commercial avant d'être culturel sera ouvert au public et produira des recettes pour équilibrer son budget annexe de fonctionnement.
Il reste aussi à obtenir la visite et l'accord de la commission de sécurité de ST Brieuc pour que ce bel outil au coût démesuré connaisse l'ouverture de ses portes.

Sur la boutique de presse du quartier du port.
Il y a maintenant dix mois que la délibération visant à sauver un commerçant du désastre a été voté grâce à l'attitude du maire adjoint G Brezellec qui, le soir du vote, a préféré sortir du scrutin avec le mandat d'une conseillère.
Responsable du commerce au niveau de la Communauté de communes, il aurait pu influencer ses collègues en s'opposant avec conviction à cette délibération, on n'en serait pas là.
A écouter plusieurs élus du quartier du port, il y avait urgence à sauver ce libraire et le maire, avec la délicatesse qu'on lui connaît, avait dénoncé les requins et vautours qui rodaient autour du malheureux commerçant.
il a fallu 5 mois pour établir un contrat de location dont le montant a varié 3 fois,    5 000 € annuel votés, puis 6 000 € dans la presse et pour terminer 6 500 € dans le contrat .
il a fallu 6 mois pour établir un bien curieux acte d'acquisition des murs du commerce.
Dix mois plus tard après ce vote, les problèmes que pose la situation hypothécaire de cet ensemble immobilier existent et la connaissance de la réponse de la conservation des hypothèques n'est pas accessible.
La réalisation de l'achat des murs par le paiement de 100 000 € au commerçant relève encore à ce jour du secret défense.
M Blanc continue à ignorer le droit des citoyens à accéder aux actes administratifs relatifs aux actes et contrats passés par la municipalité.
Il continue à "s'asseoir" sur la loi du 17 juillet 1978 et son article 2.
Deux affaires municipales où les cafouillages et secrets se sont multipliés et surtout où la curiosité des élus à jouer leur rôle n'a pas été autorisée par M Blanc.
Le prochain conseil municipal du 15 septembre est attendu par les quinocéens et surtout par des élus de plus en plus sensibles aux interrogations des électeurs de Saint Quay Portrieux sur la gestion municipale.

JOUNENT michel




vendredi 26 août 2011

le spectacle continue 27/08/2011

THE SHOW GOES ON!*    








Après le naufrage dramatique du son et lumières "Les mystères du Goélo", le spectacle continue et le prochain conseil municipal de Saint Quay Portrieux verra le retour triomphal du "Muppet show".
A tous les quinocéens qui suivent les travaux de l'assemblée communale, de mettre par malice ou dérision , le nom d'une des marionnettes sur chacun de nos élus.
Les possibilités sont nombreuses!!! Moi, j'aime bien Piggy.
Le conseil à venir , à une date encore incertaine, sera une nouvelle fois le théâtre du concours infantile" Je te tiens par la barbichette, le premier qui rira" continuera à ne rien savoir sur les décisions prises par le maire.
La majorité des élus est au pain sec du partage des responsabilités, des élus et pas les moindres par leur titre, disent ouvertement qu'ils ignorent ce que décide le maire!!!
Cette équipe que M Blanc voulait au complet au soir du deuxième tour des élections municipales, il y a maintenant plus de trois ans, est en lambeaux.
Le réveil, pour certains conseillers municipaux, est brutal; ils ne se font plus d'illusion sur le comportement autoritaire de M Blanc et sur sa capacité à travailler collectivement.
Les directeurs généraux en savent quelque chose et ce n'est pas fini.
Depuis quarante et un mois, des dépenses importantes ont été engagées:
Réfection et réparation des falaises pour un usage continu du GR34.
Le CLJ avec son extension et l'embauche de personnel pour son activité hors période scolaire.
Les travaux sur la piscine d'eau de mer.
Des travaux sur le stade Lallinec.
L'installation en cours de la vidéo-protection. (5 sur 10 caméras)
La reconstruction du cinéma et de ses abords.
La régie municipale avec l'embauche pour commencer, depuis avril 2011 , d'un directeur.
La réfection de la place Jean Baptiste Barat.
Et puis les nombreuses études sur les jardins du port, sur la tranchée verte du parc de la Duchesse Anne, sur la circulation et la signalétique routière.
Le deuxième court couvert de tennis promis.
L'aménagement important de la plage du Chatelet.
Sans parler des dépenses envisagées pour la fin novembre pour reconstruire le quartier autour du Casino sur les décombres du minigolf.
Cela commence à faire beaucoup et il est grand temps de savoir pour les élus et la population quelle est l'origine du financement des travaux en partie énumérés et le niveau de la partie fonctionnement dans le budget de la ville?
Autrement dît, quelle est la nature et le montant des emprunts contractés et quelle est la part de l'autofinancement?
Le pays est rentré dans une phase de vérité, il vit depuis trop longtemps avec des budgets en déficit, les collectivités territoriales, les communes participent joyeusement au surendettement national.
Notre bon maire affichait avant son élection le soucis de rendre sa gestion transparente et d'envoyer les élus sur le terrain pour dialoguer avec la population.
La transparence c'est "Niet", il suffit de mesurer le mal que l'on a , suite à des courriers, à recevoir les documents administratifs légalement accessibles aux citoyens.
Le contact avec les élus est encore plus difficile, "le père Noël", hélas, est devenu muet et les autres ne quittent plus leurs voitures.
Une catastrophe financière arrive quelquefois très vite, hier pour Saint Cast le Guildo dans les Côtes d'Armor (3 400 habitants), c'était l'euphorie d'avoir son port en eau profonde (pêche et plaisance), aujourd'hui c'est la consternation , la ville est prise à la gorge et ne peut plus investir.
Elle a obtenu en 2007 un emprunt à taux variable, un emprunt "toxique", un emprunt indexé sur de la monnaie étrangère (le franc suisse ), cela conduit la municipalité de Saint Cast à payer en 2011 des intérêts colossaux.
Pour 3 500 000 € empruntés sur 28 ans pour financer sa part des travaux de son port, elle paie pour cette année 500 000 € d'intérêt!!!
Avant que la baraque ne tombe sur le chien à Saint Quay Portrieux, Mesdames et Messieurs les élus, exigez du premier magistrat la clarté sur les financements des travaux et la clarté sur les coûts de fonctionnement des différents personnels mis en place sous son autorité.  

*le spectacle continue.

JOUNENT michel

mercredi 24 août 2011

syndicat mixte 25/08/2011

GACHIS,GASPILLAGES,
DÉPENSES INUTILES,
ET IRRESPONSABILITÉ,

du côté du syndicat mixte de gestion du port d'Armor.


Il n'est pas encore interdit de regarder de plus près la gestion et d'essayer de comprendre les ambitions des élus, pour terminer vingt ans après sa mise en service, le port en eau profonde de Saint Quay .
Ce sont douze élus qui tiennent en main le devenir de ce port de plaisance.
Le syndicat mixte en définitif, c'est 55 % départemental et 45% municipal.
Les sept conseillers généraux sont désignés par le conseil général des Côtes d'Armor : C Orain, E Botherel, D Mer, J Le Floch, L Raoult, A Cadec , P Delsol et  les cinq conseillers municipaux sont désignés par le conseil municipal de Saint Quay: D Blanc, W Abbest, A Lorant , M Tanon, G Brezellec.
Ils forment le conseil et après les dernières élections cantonales, ils ont élu comme Président Loïc Raoult en remplacement de Michel Brémont et confirmé D Blanc comme vice-président.
Le nouveau Président de ce syndicat mixte a la particularité de porter de nombreuses casquettes, il est d'un abord aimable, affable voir charmant mais on ne peut s'empêcher de souffrir de le savoir pris par son emploi du temps...il est dément et les journées n'ont toujours que 24 heures.
Il est maire de Plourhan,
Conseiller général d'Etables sur mer,
Président du Sudgoélo, Communauté de communes qui recouvre exactement le canton d'Etables.
Vice-Président du Conseil général,
Et maintenant Président du syndicat mixte du port d'Armor et sans oublier quelques autres présidences.
Demain, cela ira mieux pour lui, il se réclame d'un parti politique qui propose la suppression du cumul des mandats.
M Raoult, bien que membre du syndicat mixte depuis 1998, ne porte pas à lui tout seul les errements , je me propose d'en exposer quelques uns sur la partie départementale du port, des terre-pleins et sur le quai Gourvelot avec ses accès aux 10 pontons
Il y a quelques années, j'ai vu l'installation d'une grue pour mettre et sortir de l'eau des voiliers "classe 8 ", son utilisation était prévue en self-service.
A peine installée, elle a été démontée, les différents éléments entreposés sur le toit de l'hôtel inachevé puis de nouveau installée sur le quai du port de pêche après une sérieuse révision des installations électriques et mécaniques.
Combien a coûté cette valse-hésitation???
L'hôtel inachevé , rapidement une ruine malgré son mur en trompe l'oeil, a abrité l'atelier du port et deux clubs de plongée à titre gracieux.
On assisté au printemps à la destruction de la ruine et à la découverte que le remblais du terre-plein était fait de bien curieux matériaux, passons!!!
Il est prévu sur l'espace laissé libre par le départ de la société "Rouxel" de réaliser une construction légére pour abriter l'atelier du port et les deux clubs de plongée , il suffisait de commencer par cette construction et cela aurait évité de louer des préfabriqués, de les mettre une première fois sur un terrain appartenant à l'usine "Celtarmor ", de les deplacer ensuite à la demande des propriétaires de l'usine et enfin pour cacher l'inesthetisme de ces baraques, de les ceinturer par des palissades de bois.
Combien a coûté cette valse-hésitation???
Il est prévu pour la rentrée??? la construction d'une nouvelle "Coopérative maritime" sur un emplacement parallèle à la voirie qui passe devant la poissonnerie " Saint cast".
Le permis de construire a été accordé par le maire le 31 mars 2011, il s'agit d'un bâtiment sans style, peint de plusieurs couleurs grises, comprenant un rez de chaussée et un étage, au total 1828 m².
La boutique de la coopé occupera 573 m² avec une réserve de 180 m², à l'étage des bureaux, des salles pour séminaires , tout est mis en location.
C'est un investisseur privé qui réalise cette construction , c'est le même qui a acheté de nombreux locaux commerciaux dans l'ensemble commercial des bâtiments déjà construits sur le port d'Armor.
Devenu propriétaire, il impose des loyers en forte augmentation aux anciens locataires .
Cet investisseur est bien en vue au conseil général, à un moment où l'argent est difficile à trouver, à un moment où le conseil général s'est endetté de 10 000 000 € sur 28 millions pour réaliser le port de Saint Cast, cet investisseur tombe à pic pour terminer les constructions sur le port d'Armor de Saint Quay .
On comprend mieux l'échange de bon procédé entre le syndicat mixte et cet investisseur.
La collectivité compense la hausse des loyers , évite ainsi le départ des locataires en place et le contribuable passe à la caisse.
Avant la destruction de la ruine, le syndicat mixte a fait réalisé des emplacements de stationnement par des demi rondins de bois fixés au sol, rapidement ces morceaux de bois ont été abîmés et dès que la pelleteuse est arrivée avec ses camions pour enlever les gravats, cette installation en bois a été détruite.
Ensuite, il y a eu la pose d'un enrobé léger avec marquage au sol à la peinture des places de stationnement.
Combien a coûté cette valse-hésitation???
Heureusement, dans le même temps, il y a eu la réhabilitation de la place "Eric Tabarly", c'est propre, c'est fleuri et c'est pratique pour le stationnent des véhicules.
Les travaux d'assainissement ( récupération des eaux pluviales) et de réfection de l'enrobé du parking quai Gourvelot devaient commencer dès les premiers mois de l'année 2011.
C'était M Brémont, encore Président du syndicat mixte qui détenait le pouvoir de lancer les travaux, pris par sa campagne électorale pour se faire élire de nouveau conseiller général, il a tardé et les plaisanciers ont pu mesurer sa légèreté à prendre la décision en ne pouvant ni circuler, ni stationner dans ce chantier qui s'est terminé fin juin juste pour l'arrivée du tour de France à la voile                                        
                  
Les plaisanciers ont beaucoup apprécié, messieurs les élus du Conseil général et de la Municipalité , le personnel du port en est encore tout traumatisé.
Le nouveau port, avec ses 1030 places pour la plaisance, est un atout pour notre ville; depuis vingt ans, les terre pleins ressemblent à une friche industrielle, les camping cars y font de longs séjours , ils utilisent l'eau potable à différents robinets, ils jettent leurs eaux noires dans les toilettes publiques , laissent leurs détritus et ils ne paient pas de taxe de séjour.
Le syndicat mixte a eu bien raison en son temps de faire payer, contrairement aux autres ports les douches, on imagine facilement ce que seraient devenues les toilettes du port de plaisance avec ce stationnement permanent des autocaristes à proximité des installations sanitaires.
Des petits profiteurs , ces soi disant amoureux de la "liberté".
Le syndicat mixte peut et doit, même si c'est provisoire, faire payer et réglementer le stationnement des autocaristes.
J'ai demandé par courrier à M Blanc , ce grand communiquant, de prolonger l'affichage des procès verbaux des réunions du syndicat mixte sur le tableau officiel de la  mairie, en mettant ces textes sur le site de la municipalité.
Le syndicat mixte de gestion du port d' Armor doit redoubler d'activité, trouver des solutions pour que cesse cette vision d'abandon qui dure depuis plus de vingt ans.

JOUNENT michel

PS:   le cinéma est terminé depuis  un mois...
 et zéro spectateur.....

lundi 22 août 2011

ciné en rade...22/08/2011


De nouveau,
"Le drapeau noir flotte sur la marmite"
du conseil municipal!!!




Les esprits s'échauffent et le prochain conseil municipal, sans lire dans le marc de café, sera électrique.
Prévu au 1er septembre par une note du maire présentant le planning prévisionnel des réunions 2011, il apparaît maintenant probable que ce conseil soit reporté de 8 à 15 jours.
Le fossé continue de se creuser entre le maire , sa coterie et le reste des élus qui envisage d'un très mauvais oeil la gestion du cinéma en régie municipale.
Les récalcitrants du conseil municipal n'ont pas apprécié la place de l'association "CinéStKé" dans la découverte de la restructuration de la salle "Arletty".
Ils n'ont pas apprécié qu'ils ne soient pas invités avant la journée portes ouvertes à découvrir le résultat de leurs votes pour rouvrir ce cinéma.
Ils sont de plus en plus inquiets sur le montant des travaux et sur le coût de l'aménagement des abords du cinéma classé.
Ils ignorent bien sûr le mode de financement de ces travaux démesurés.
Mais, ce qui les trouble le plus , c'est le mauvais traitement que fait subir le maire à la recherche d'un délégataire de service public comme le souhaite la majorité des conseillers municipaux.
La place qu'il donne au directeur du cinéma embauché début avril 2011, la recherche désespérée d'un projectionniste et d'intérimaires pour les périodes de vacances posent et poseront des problèmes importants au futur délégataire .
Il serait étonnant que ce délégataire envisage demain l'emploi d'un directeur, d'un projectionniste choisi par le maire et avalise une convention signée entre la mairie et "Cinéstké".
D'autre part, il apparaît peu possible que le directeur du cinéma et son projectionniste, si le maire en trouve un, se laissent débarquer facilement.
Une situation conflictuelle se prépare et pas à l'avantage des deniers de la commune.
Le maire fait tout pour miner le terrain du futur ??? délégataire de service public.
Les élus, dans leur majorité, n'ont pas apprécié que l'on fasse porter la responsabilité du retard dans l'ouverture au public du cinéma , chacun sait maintenant que cette affaire de restructuration a été un projet où le conseil municipal n'a pas eu son mot à dire.
Dans la presse, la date de mise en service de la salle varie à chaque édition, il y a maintenant un mois que la salle a été réceptionnée, on est dans un scandale absolu avec cette salle sans spectateur.
1 500 000 € HT au minimum investis dans cette affaire, des charges, des salaires, des assurances, une consommation d'électricité et bientôt du chauffage et pas la moindre recette, il est évident que le budget annexe de fonctionnement sera largement déficitaire pour l'exercice 2011.(100 000 € ???)
Cette situation inquiète fortement les élus en cette fin d'été où l'on commence au niveau du service financier municipal à comptabiliser les factures du ciné et à préparer le budget prévisionnel 2012.
Ce qui inquiète aussi des élus , c'est la place importante du président de "CinéStké" dans la promotion du cinéma " Arletty".
Après sa prestation de comédien , metteur en scène et producteur de son spectacle "Son et lumières" ou, en guise de légendes, on a eu droit à une description affligeante des moeurs des épouses quinocéennes, beaucoup doutent des capacités de l'ami de M le maire , M Le Tallec, à organiser un cinéma d'"Art et d'essai" attractif.
On redoute, après une telle expérience, le pire dans la programmation de cette antenne du cinéma municipal.
Pour terminer sur ce spectacle tartignole , aux places réservées aux élus, on pouvait voir M Blanc, Mme Girardet et M Tanon , je n'ai pas aperçu Mme l'adjointe à la culture Mme Quéré instigatrice de cette expérience ratée.
Des élus veulent aujourd'hui mettre, sans doute bien tardivement, les pieds dans le plat de cette gestion autoritaire, qu'ils en profitent pour remettre en discussion la refonte coûteuse du quartier de Saint Quay comportant la destruction du minigolf.
Sur ce quartier, il existe de véritables solutions pour le stationnement des voitures, elles sont à voir du côté des bâtiments abandonnés de la congrégation religieuse.

JOUNENT michel


vendredi 19 août 2011

son & lumières...19/08/2011

Le spectacle "SON ET LUMIÈRES" du 15 août,






A pris, par cette belle soirée, la dimension d'un spectacle de patronage et c'est rapidement ensablé entre le Centre des Congrès et le Casino (sponsor du spectacle ).
Le positionnement de la scène a empêché une grande partie de la foule, très nombreuse, à voir et entendre les artistes et danseurs.
la scène en construction
On comprend mieux, en voyant le résultat (plus de 18 mois de préparation), que la municipalité ait mis une distance certaine entre elle et le producteur du spectacle.
Il ne manquait, ce soir de mi-août, que le lancer de chaussettes, cher à Mme Quéré, adjointe au maire et responsable de la culture, en l'occurrence du navet qu'a été cette représentation nocturne.
Les tenants de l'histoire quinocéenne , les vrais, les orthodoxes, doivent fulminer dans leur coin devant cette évocation de 150 ans de la vie de la commune.
Heureusement, tout fini bien à Saint Quay Portrieux et on a récompensé notre patience par un beau feu artifice.     Oh la belle bleue!!!

JOUNENT michel

jeudi 18 août 2011

mauvais joueur...18/08/2011

CE N'EST PAS MOI, C'EST L'AUTRE !!!




C'est le maire, M Blanc qui veut détruire le minigolf sur son emplacement actuel et c'est le directeur du Casino qui doit se justifier ???
Il est malin le maire , mais le LEQ l'est beaucoup moins et il le montre en n'évitant pas la chausse-trappe creusée par M Blanc.
La lettre ouverte au directeur du Casino du LEQ, au ton comminatoire, ne changera pas grand chose et sa réponse  se fera attendre longtemps, j'en tiens le pari.
Le Casino est une entreprise commerciale privée, très particulière, elle est sous la double tutelle du ministère de l'intérieur et de celui des finances.
Le Casino est construit sur un terrain municipal, un bail emphytéotique le lie à la ville et la construction reviendra à celle-ci à la fin de ce bail.
Le propriétaire, M Aupiais, est un propriétaire "indépendant ", il possède aussi les casinos de Fréhel aux Sables d'Or (22) et de Quiberon (56).
Le directeur du Casino de Saint Quay n'est responsable que devant sa direction et il n'a rien à imposer à la commune, son seul objectif est de rentabiliser ses salles de jeux, ses appareils à sous et son restaurant.
Il y a cinq ans , le propriétaire, avec l'entregent de G. Lambotte, a obtenu du ministère de l'intérieur l'augmentation du nombre de machines à sous ( 120 à ce jour) et a réalisé par la suite l'extension du bâtiment en achetant "Le Saint Quay bar".
Ces travaux n'ont rien coûté à la commune et par rapport à la loi littoral, ils n'ont été que le remplacement et l'extension d'un bâtiment existant.
Le Casino gère le minigolf dans le cadre d'une convention établie avec la municipalité, il dépense environ 9 000 € pour son entretien annuel et embauche pour les deux mois d'été deux personnes pour tenir cet espace de jeux, il dégage environ 1000 € de bénéfice pour cette gestion!!!

Actuellement, les casinos en France connaissent une "déprime" devant la montée des jeux et paris en ligne.
L'offre des sites légaux est énorme et les sites illégaux demeurent .
Dans notre pays, la situation économique conduit la plupart des établissements de jeux à constater une baisse sensible de leur activité, moins 8 % entre 2008 et 2009 et un peu mois en 2010, -2.1%.
A Saint Quay, le Casino résiste mieux et stabilise son activité, c'est bon pour les finances locales.
En regardant le détail du compte administratif de 2010, on constate que sur les
6 047 011,97 € qui forment les recettes de fonctionnement , le Casino a participé pour            1 396 301.30 € à la réalisation de ce compte, soit environ 23 %.
Je ne fréquente pas le Casino, je trouve le restaurant tourné vers la mer agréable , je suis rassuré de savoir que grâce à la participation du Casino aux finances locales, la pression fiscale est réduite à Saint Quay Portrieux.
Le directeur du Casino a appris, après une réunion en mairie, que le parking à proximité de son établissement serait supprimé , il n'a pas manqué de faire remarquer que cette disparition de place de stationnement pourrait avoir des conséquences sur l'activité de son commerce.
Baisse de l'activité du casino
= baisse de la participation du casino aux finances locales.
Pour trouver des solutions aux problèmes posés par la rénovation du quartier par le maire, seule la municipalité peut les résoudre.
Les temps sont durs et demain encore plus, la municipalité actuelle, sous la direction de M Blanc et avec une passivité maintenant certaine d'une partie du conseil municipal, dépense beaucoup , se lance dans des travaux très importants et emprunte souvent.
Elle embauche du personnel à des salaires élevés et licencie une suite de directeurs généraux de services dans des conditions coûteuses pour la ville.
Il est difficile de suivre la comptabilité de la municipalité et au train où vont les investissements , il faut s'attendre à des surprises!!!
Pour le quartier du Casino, il était dit dans le programme "Autrement" qu'il fallait "conserver et préserver notre patrimoine et environnement en procédant à un aménagement harmonieux des différentes composantes de Saint Quay portrieux"
Harmonie pour M Blanc , c'est l'usage du bulldozer et de la tronçonneuse, comme quoi, même sur papier glacé, il faut se méfier des promesses alléchantes.
Avant de démolir le quartier du Casino, M Blanc reprenez vos contacts et vos études sur le devenir des bâtiments de la congrégation religieuse et essayez de rattraper le temps perdu pour engager vos solutions promises avec la vision et la hauteur de vue nécessaire que vous prétendiez avoir.
Le LEQ ne s'adresse pas à la bonne personne pour arrêter la démolition du minigolf, de ses arbres et de ses barrières "Delpierre", il a tort de stigmatiser les élus qui , le 21 avril 2011, ont donné quitus à cette dévastation.
Avec les sept conseillers absents, il est possible de remettre en discussion cette délibération à l'ordre du jour en faisant revenir des conseillers sur leur vote , ce ne sera pas la première fois à Saint Quay.
Devant la persistance et l'autorisation donnée au maire pour la destruction du minigolf , il ne restera plus qu'à convaincre les élus privés de toute expression...
à démissionner.
Une élection partielle et la découverte de candidats pour compléter le conseil ne manqueront pas de donner du temps à la réflexion sur la malfaisance de la démagogie.

JOUNENT michel


dimanche 14 août 2011

un scandale...15/08/2011



Conseillers municipaux de Saint Quay Portrieux,




IL FAUT REMETTRE L'OUVRAGE SUR LE MÉTIER...

Il faut remettre la décision d'aménager le quartier du Casino en discussion et faire participer non pas dix élus mais la totalité du conseil municipal, les 17 élus restants de l'élection de mars 2008.
Le maire a reçu, le 21 avril 2011, l'autorisation de lancer la procédure d'appel d'offres pour les marchés de travaux visant à construire une déviation routière dans le quartier du Casino.
Pour mener à bien ce chantier, il est autorisé à faire raser le minigolf, à faire détruire sa clôture faite de barrières dites "Delpierre" et à faire abattre les arbres plantés à l'intérieur de cet espace de jeu.
La manifestation du 13 août , par le nombre important de manifestants, exprime un certain dégoût et une envie de résister aux conséquences irréversibles de ce projet.
Les quinocéens aiment leur minigolf, même s'ils ne sont pas les plus nombreux à le fréquenter , ils aiment ce lieu ludique, ses arbres , ce coin paisible derrière le casino, son côté désuet et pour certains le souvenir des jours heureux de leur jeunesse.
La population, au delà des manifestants, est outrée de la place que la municipalité fait à la "bagnole"à proximité de la plage.
Il fallait, comme toujours pour notre maire, trouver un bouc émissaire, c'est chose faite; la direction du casino porte le chapeau , elle a soi-disant fait une demande expresse pour garder des places de stationnement à proximité de la salle de jeux.
Il suffisait de laisser le parking sous le CLJ en l'état et nous ne serions pas dans cette situation clochemerlesque qui conduit sous la pluie battante à mettre les quinocéens dans la rue.
Rouspéter de cette manière n'est pourtant pas usuel chez les habitants de notre commune.
Pour examiner de nouveau ce projet, élaboré par le bureau d'études nantais "Paysage de l'ouest &D21", il faudrait que le maire, maître de l'ordre du jour, inscrive ce problème dans la convocation adressée aux conseillers municipaux lors de la tenue d'un prochain conseil.
Ce sujet est important et il n'est pas susceptible de le voir traiter en questions diverses.
Il existe cependant une possibilité aux conseillers municipaux, le droit de demander la mise en discussion de la délibération N°11-04-01, de discuter de nouveau et de revenir sur la décision d'aménager le quartier du casino.

Le Conseil d'Etat a reconnu depuis longtemps ce droit aux conseillers municipaux.

Avant une séance du conseil municipal, chaque conseiller peut prendre l'initiative de soumettre par écrit au maire l'inscription de la question de l'aménagement du quartier du Casino à l'ordre du jour de la convocation du conseil: demande faite suffisamment tôt, afin de respecter les délais d'envoi de la convocation et le droit d'information des élus exigés par les textes.
En début ou en cours de la séance du conseil municipal, cette demande n'est pas recevable, elle ne permet pas de respecter le droit à l'information prévu par le code des collectivités territoriales.
Le maire peut refuser d'inscrire cette demande à l'ordre du jour, il doit faire une réponse écrite motivée. il peut faire alors l'objet d'un recours pour excès de pouvoir.
Le pouvoir discrétionnaire du maire n'est pas sans limite!!!
Si le maire ne réagit pas à la proposition d'un conseiller municipal, ce dernier dispose de deux possibilités.
Le conseiller peut proposer à un tiers, au moins, des membres du conseil (6 conseillers à St Quay) d'adresser une demande écrite et cosignée par ces élus.
Cette demande portera les motifs et le but de la proposition à débattre sur ce problème relatif à la commune.
Le refus du maire de faire droit à cette demande doit être aussi motivé ,il peut être soumis au contrôle du juge administratif .
Enfin, lorsque la demande du ou des conseillers porte sur un domaine représentant une dépense, le ou les conseillers peuvent saisir la Chambre régionale des comptes en vue de l'inscription de la dépense au budget de la commune.
Il ne faut pas rêver, le maire depuis plus de trois années s'isole toujours plus de l'ensemble de ses colistiers et il n'est pas du genre à plier devant l'adversité.

Si des élus ne veulent pas ou ne peuvent pas rétablir un meilleur équilibre des pouvoirs au sein de cette équipe désunie, il ne leur reste qu'une attitude à adopter, celle de rejoindre les démissionnaires de mars 2009.
La démocratie municipale est bien malade à Saint Quay et la poursuite du spectacle que nous réserve chaque fois le conseil municipal attriste et indispose les quinocéens.
Pourtant le travail ne manque pas sur la commune et beaucoup d'habitants attendent que la municipalité s'attaque au problème N°1 de la commune - les réseaux d'assainissement et le remplacement ou la modernisation de l'usine de retraitement des eaux-, qu'elle pense à rendre la ville agréable par l'effacement des réseaux aériens et qu'elle consacre des moyens financiers pour rendre la ville plus sure et plus propre.
M le maire n'aime pas l'expression populaire, en grand démocrate, il a fait retirer dans la matinée de dimanche les traces de la manifestation de la veille.

JOUNENT michel

samedi 13 août 2011

manif...13/08/2011

                                
UNE MANIFESTATION SIGNIFICATIVE.







Malgré un temps épouvantable, plusieurs centaines de manifestants* ont fait entendre leur refus de voir la destruction du minigolf.
Ils ont prolongé la pétition initiée par "Libre expression quinocéenne" en défilant de l'Hôtel de ville au minigolf , en faisant du bruit , en jouant du sifflet et en chantant sous la pluie.
Enfermés dans leurs certitudes avec souvent un ego surdimensionné , nos élus de la liste "Autrement" ont oublié que la population quinocéenne aime sa ville.
Elle souhaite comme partout des évolutions, des améliorations mais elle ne supporte pas le saccage de son histoire, de ce qui fait son charme et souffre que l'on puisse détruire le symbole de la ville, les barrières "Delpierre"du minigolf avec une telle légèreté.
Cette manifestation ne passera pas inaperçue, on n'a pas fini d'en parler, c'est plutôt rare comme moyen d'expression à Saint Quay Portrieux.

Mesdames, messieurs les élus, M le maire prenez la mesure de l'exaspération de la population, de son inquiétude à voir des dépenses importantes sans en connaître le mode de financement.
Il est encore temps pour les conseillers hostiles aux méthodes de gestion du maire de quitter cette équipe municipale.
Les conflits permanents au sein de la municipalité n'amusent plus personnes.
Le prochain conseil municipal du 1er septembre ne pourra pas faire l'impasse sur ce qui s'est déroulé ce samedi soir , 13 Août 2011.
On est en droit d'avoir de la part du maire sur  le  projet d'aménagement du quartier du Casino,  une réponse d'une  autre nature que celle contenue dans son interwiew dans la presse régionale où il prend les quinocéens pour des benêts.

JOUNENT michel
* mon estimation : entre  3 et 400  personnes

vendredi 12 août 2011

des benêts???13/08/2011

LES QUINOCÉENS.. TOUS DES BENÊTS ???



Sur l'aménagement du quartier du Casino , le maire s'explique dans le journal Ouest-France à la veille d'une manifestation contre la destruction du minigolf.
M Blanc se livre à de biens curieuses explications, un vrai farceur notre premier magistrat.
L'équipe "Autrement" a été élue sur un programme, un peu, beaucoup démagogique, mais passons, l'heure du bilan sonnera plus tard.
Elle a le devoir impérieux, pour respecter son électorat, de mettre en oeuvre son programme et puis éventuellement d'expliquer à la population les difficultés rencontrées pour cette mise en oeuvre.
Par exemple que la situation économique du pays se couvre de gros nuages lourds, que les impôts vont augmenter, qu'il faut réduire l'endettement à tous les niveaux et qu'il est grand temps de faire jouer à la communauté de communes son rôle de frein aux dépenses publiques.
A Saint Quay Portrieux , on est sur une autre planète , les krachs en tout genre , les bourses qui dégringolent, des fonds de pension qui ruinent des états, ce n'est pas notre problème, et notre maire qui, par le passé, a élaboré des stratégies gagnantes, planifié des projets complexes notamment en Afrique de l'Ouest, dépense sans compter.
Des élus seraient tentés par gros temps de réduire la voilure, notre maire et ses fidèles n'ont que faire de l'avis de grand frais annoncé.
On reste abasourdi devant la situation qu'offre le cinéma, il a été réceptionné le 25 juillet et jusqu'à son ouverture à une date encore inconnue, ce sera une coquille vide qui coûte et ne rapporte rien , chapeau pour un "AS" du monde de la finance.
M Blanc, après le cinéma, se lance dans la reconstruction du quartier du Casino dans des proportions financières qui n'ont jamais transpiré dans son programme.
Par exemple, sur son programme qui apparaît de plus en plus "Autrement", il était indiqué la réalisation dans ce quartier "d'équipements porteurs d'activités et d'animations", on ne lisait pas la construction de tranchée ou de trouée verte mais "la construction d'un centre d'homéostasie avec balnéothérapie, d'hôtels, d'extension de la maison de retraite, de logements sur la base du réaménagement du pôle d'enseignement privé", nulle trace de la destruction du minigolf.
Cette décision de reconstruire le quartier du Casino est le fruit de la rencontre entre le maire seul et un bureau d'études rennais.
Il n'est pourtant pas passé un "Tsunami" du côté de la plage du Casino pour en arriver à de tels travaux, nouveau plan de circulation, destruction de la bibliothèque pour tous , de l'annexe de gendarmerie, réfection des trottoirs style croisette cannoise, transformation du parking du Casino en agora et transformation du minigolf en parking.
Le conseil municipal réuni a voté à l'unanimité ce projet ravageur pour le passé de notre commune.
Ils étaient dix élus à ce conseil, les sept absents ont marqué par leur absence qu'ils n'en pouvaient plus d'avaler des couleuvres.
Ils ne s'étaient pas faits excuser ni représenter, c'est un degré de plus dans le déchirement qui oppose de plus en plus le maire et sa petite coterie au reste des élus qui s'inquiètent légitimement de l'endettement de la commune.
Ils supportent de moins en moins l'exercice solitaire de la gestion communale par M Blanc.
Enfin, dans cet interview, on peut mesurer que le deuxième adjoint G Brezellec avait une vision prémonitoire en  mars 2009, sur l'amour et la connaissance que porte M Blanc à Saint Quay .
En effet, M le maire, comment peut-on affirmer que le déplacement du minigolf sur l'esplanade surplombant la piscine d'eau de mer le mettra particulièrement en vue et à l'abri du vent? En vue, OUI, à l'abri du vent, NON, et si les fréquences d'ouverture sont plus importantes selon vous , en hiver il faudra s'équiper d'un harnais de sécurité.
Ce que les élus à dix ont voté , les élus à dix sept peuvent l' annuler.

Ils refuseront ainsi ce pas en avant vers un gouffre financier ,les quinocéens peuvent être de la partie aussi en se faisant entendre.

TOUS à la manif.... à 17 heures devant l'Hôtel de ville.

JOUNENT michel

vandalisme...12/08/2011




VANDALISME À RÉPÉTITION...


On va bientôt pouvoir paraphraser le journaliste présentateur du journal télévisé, feu Roger Gicquel qui ouvrait le vingt heures sur un abominable crime d'enfant en disant,
                "La FRANCE a peur "
En relativisant et en faisant un distingo entre cet infanticide et le vandalisme maintenant installé dans notre ville, après les incendies de véhicules, la mise en péril des habitations à proximité, la casse des antennes radio et des rétroviseurs, le saccage des carrosseries, l'enfoncement des toits des autos par l'escalade de plusieurs voyous, les vitrages brisés , les freins de parking retirés avec pour conséquence de précipiter les automobiles les unes contre les autres en les abîmant, sans oublier les clôtures des maisons cassées, abîmées, les tags sur les murs sur les panneaux de signalisation, sur les voitures, la destruction d'une cabine téléphonique, la destruction des  plantations florales et des bacs  à fleurs   et pour couronner le tout, des abrutis ont précipité un scooter dans la piscine d'eau de mer, on va bientôt affirmer après toute cette casse gratuite...
"SAINT QUAY PORTRIEUX a peur"

Peur de laisser son véhicule en stationnement dans la rue la nuit pour les quinocéens, pour les touristes.
Peur de se faire agresser comme l'a été un livreur de journaux au petit matin avec la tentative du vol de son véhicule devant la mairie.
Peur de subir  le sort du  pharmacien qui après s'être fait agresser, s'est fait voler son véhicule sur  la  place JB Barat.
La journaliste de Ouest-France écrit, en décrivant ces actes inqualifiables, que les étés à Saint Quay sont " agités" depuis trois ans.
Vous avez dit trois ans, madame la journaliste , comme c'est étrange, n'est ce pas M Blanc? Vous qui mettiez la sécurité au centre de vos préoccupations préélectorales, il ne semble pas que ce soit une réussite.
La moitié des caméras de vidéo est installée*, j'attends avec impatience les résultats de la lecture des enregistrements et la transmission à la gendarmerie des éléments visuels pour identifier ces délinquants.
Ce visionnage préalable se fait sous la houlette entre autre du conseiller Néant, un des élus autorisé par le conseil municipal à visionner les enregistrements, une  pointure dans  le domaine  de  l'imagerie numérique.
Aujourd'hui, les quinocéens mesurent les résultats de la politique sécuritaire de M Blanc , ils demandent des explications sur sa décision de réduire les effectifs de la police municipale de 50% et de la mise à la retraite anticipée du chien-policier.

JOUNENT michel

* investissement tournant autour de  100 000 € HT




dimanche 7 août 2011

commerce à vendre...8/08/2011

ON NOUS CACHE TOUT,
ON NOUS DIT RIEN!!!*


Le conseil municipal, au nom de l'ensemble de la population, dans l'intérêt de cette dernière et plus particulièrement celle du quartier du Portrieux , a décidé en octobre 2010 avec l'argent du contribuable, de l'achat des murs d'un commerce de livres, presse et jeux.
Cette opération n'a rien de privé, elle doit se réaliser au grand jour et en toute transparence.
Il est bien difficile, de par la volonté du maire, de comprendre l'évolution de cette affaire.
Près de 10 mois après la décision municipale votée dans les conditions que l'on connaît, les problèmes liés à l'enregistrement de l'achat par le service des hypothèques perdurent.
En admettant que la responsabilité incombe à la conservation des hypothèques de Saint Brieuc pour cause de retards importants dans le traitement des dossiers, il est quand même étonnant de voir, sur ce commerce de presse, le panneau d'une agence immobilière indiquant que le bien est à vendre.
En début d'année 2011, beaucoup de quinocéens avaient pu lire sur un site Internet que le libraire vendait son fonds de commerce.
M Banc volant au secours du commerçant pour valider la délibération N° 10-117, déclarait le 22 mars 2011, qu'il s'agissait d'une publication de l'an dernier et que l'annonce était effacée depuis le 19/03/2011.
M le maire s'est montré très imprudent en écrivant cela, depuis plusieurs jours, en consultant l'agence immobilière indiquée sur la boutique, on apprend que ce n'est pas seulement le fonds de commerce qui est à vendre mais aussi le logement situé au dessus du commerce.


Je n'ai de compte à régler avec personne et surtout pas avec ce commerçant, chacun mène sa barque comme bon lui semble.
Mes critiques se portent sur M le maire qui s'est lancé avec une petite majorité d'élus dans une aventure singulière et bien longue à concrétiser.
Malgré les restrictions que l'on trouve dans le "protocole" faisant l'objet du bail, il existe, si la ou les ventes devaient se réaliser, une multitude de possibilités plaçant la municipalité dans une situation inextricable.
Je suis en possession des actes d'achat du fonds de commerce et de l'ensemble immobilier formant la boutique et le logement.
j'ai, après fait intervenir la Préfecture, reçu de la mairie les actes portant sur l'achat d'un volume dans l'ensemble immobilier représentant les murs du commerce et le bail établi entre la municipalité et le nouveau locataire.
J'ai enfin pris connaissance du montant des sommes demandées pour la vente du fonds de commerce et du logement.
Il est évident que le commerçant envisage, devant les retards à recevoir les 100 000 € promis par le maire contre l'achat des murs de son commerce, un autre avenir que celui de tenir un commerce de presse au Portrieux.
M Blanc, maire de Saint Quay Portrieux, il est grand temps de faire la clarté sur cette affaire qui n 'a que trop durée et surtout de faire l'économie de 100 000 € à un moment ou vous dépensez sans compter pour le Cinéma "Arletty".

PLUS ON AVANCE, PLUS ON NE SAIT RIEN!!!*

JOUNENT michel
*extraits d'une chanson de Jacques Dutronc

vendredi 5 août 2011

ticket de ciné...5/08/2011

IL Y A TOUJOURS UN CÔTÉ DU MUR À L'OMBRE...




Le cinéma faisait porte ouverte ce vendredi matin, la salle transformée n 'a pu rien à voir avec l'ancienne structure, c'est magnifique.

le cinéma initial en 1932 et ses 450 places. La dénomination "Arletty" date des années  1950???

L 'écran a une luminosité exceptionnelle et il est particulièrement dimensionné.
Le cinéma comportera 173 siéges, ils sont très confortables, l'harmonie des couleurs entre les murs et les siéges est réussie.
L'accueil des personnes handicapées se fera dans d'excellentes conditions et le premier rang leur est réservé , elles pourront accéder à la pièce de convivialité par un ascenseur.
A écouter le maire , l'ouverture officielle du cinéma n 'est pas pour demain, la commission départementale de sécurité qui donne le feu vert pour accueillir la clientèle dans un espace publique demande que son expertise se fasse dans la configuration d'une salle en fonctionnement.
L'achat du matériel de projection, du matériel informatique pour recevoir les films, pour les stocker, le dispositif de billetterie, etc, est commandé mais pas encore réceptionné.
Ces matériels installés , il faudra encore un délai pour roder l'installation en général.
Le maire a laissé entendre , pendant cette matinée porte ouverte, une séance inaugurale autour du 15 septembre 2011, on sera bien loin du 1er juillet annoncé par l'office du tourisme et CinéStKé.
A écouter le directeur du cinéma, une quinzaine voir une vingtaine de films présentés en sortie nationale seront projetés par an dans la nouvelle salle.
Le cinéma " Arletty" établira sa programmation en passant par un distributeur, ce qui empêchera, compte tenu du nombre de spectateurs envisagés, la projection en sortie nationale des très grosses productions.
En été et pendant les vacances scolaires, les séances seront nombreuses par semaine.
En hiver et pour le reste du temps, le directeur table sur 5 séances par semaine.
En saison haute, le directeur envisage l'emploi d'un projectionniste et d'une personne à la caisse.
En saison basse, le projectionniste distribuera les tickets d'entrée.
La salle restructurée est une réussite et il n 'y a qu'une collectivité territoriale pour oser un tel investissement à caractère commercial.
La suite, on la connaît, chez un investisseur privé, au bout de plusieurs exercices déficitaires, on dépose le bilan, la même situation dans une collectivité territoriale, on augmente les impôts.
Certains vous disent, cette construction deviendra "Un pôle culturel " et la culture n'a pas de prix, d'autres disent déjà au niveau national, dans la perspective d'élection importante, qu'ils augmenteront le budget de la culture de 50%, pour ma part si le cinéma "Arletty" projette sous peu -Harry Potter,les reliques de la mort, Transformers 3 ou Pirates des caraibes 3- je ne pense pas que la culture en général y gagnera; par contre, les "majors américaines ", productrices de ces réalisations, verront croître leurs bénéfices et continueront à asseoir leur domination idéologique.

JOUNENT michel

jeudi 4 août 2011

la corne d'abondance...4/08/2011



L'ÉCONOMIE FRANÇAISE NE VA PAS FORT...



Aux USA , pays leader pour la prospérité du Monde, cela ne va guère mieux.
En EUROPE, avec et surtout les pays méditerranéens, il est hasardeux de prévoir ce que sera leur économie demain, face à leur endettement.

En Grèce, la Pythie rend des oracles désastreux et les années à venir seront difficiles pour les hellènes.
Rien de tel à Saint Quay Portrieux, la ville nage dans l'abondance financière.
A la tête d'une municipalité dont la population est l'une des plus âgée des Côtes d'Armor, notre maire dépense sans compter.
Ces dépenses sont marquées du sceau de la légalité la plus totale.
Et cerise sur le gâteau, depuis qu'il a obtenu un maximum de délégations de signature, il n'est pas dérangé par ses colistiers contestataires.
Ces derniers ferment maintenant, pour la plupart, les yeux sur les affaires communales.
Si demain les affaires menées par l'équipe "Saint Quay Portrieux Autrement" devaient être critiquées, voir blâmées, inutile de chercher très loin, il n'y aurait qu'un responsable... M Blanc!!!
Notre maire, à la veille de l'ouverture du cinéma "Arletty", réalise une promesse qu'il n'avait pas tenue .
Pour la Xème fois , je rappelle ses écrits, ceux de son programme réalisé conjointement avec ses amis de la liste "Autrement".
"Le blog Dominique Blanc, Saint Quay Portrieux Autrement en date de janvier 2008, on y trouve exposé le projet d'animation partagé et réparti sur l'année: le cinéma sera ré-ouvert et exploité, puis remis dans sa configuration initiale, c'est à dire en théâtre municipal afin d'affirmer sa vocation multiculturelle".
Au bout de quarante mois de présence à la direction de la municipalité, que reste t-il de cette promesse ... collective???
Un gros mensonge sur la ré-ouverture immédiate et surtout la disparition du Théâtre et ses loges.
J'entends encore M Blanc décrier son prédécesseur sur la non utilisation des 50 000 € votés pour remettre d'aplomb la salle fermée par décision administrative.
Précision, ces 50 000 € représentaient une somme pour envisager le montant des travaux et leur coût et non pas pour les réaliser .
Quarante mois après son succès électoral, M le maire va doter la ville d'un cinéma ultra moderne, confortable, le nec plus ultra des salles de projection avec son projecteur numérique , la diffusion de la 3 D et le son 7/1.
Après l'aménagement des abords , les retards dans les travaux, la mésentente avec les services des monuments classés, la chasse à la mérule et la pose de dalles en granit pour accéder à l'entrée , le chèque à établir est de l'ordre de 1 500 000 € HT.
On se souvient toujours, en relisant son programme, que M Blanc se faisait fort d'obtenir des subventions et plastronnait en affirmant que la recherche des meilleurs montages financiers ne relevait pas de la chasse aux trésors.
Pour financer ce budget, M le maire a obtenu autour de 250 000 € du centre national de la cinématographie, le résultat est qu'il s'est retrouvé comme phagocyté par ce prêteur et qu'il a dû construire une nouvelle salle conforme aux normes du CNC et conduisant à la perte du théâtre avec sa scène , ses cintres et ses loges.
D'ailleurs, il sera curieux de connaître la réaction du CNC lorsque seront projetés dans ce cinéma subventionné par le centre des événements provenant de l'Internet.
M Blanc est maintenant le seul responsable de la vie municipale , la plupart du temps son conseil municipal plie sous ses ukases et il se sort avec malice de situations les plus conflictuelles.
Pour se faire élire , il ne s'est pas gêné de répandre et multiplier des contrevérités sur l'aire de carénage.
Il a avancé la somme de plus de 3 000 000 € pour sa réalisation et oublié qu'elle était subventionnée à 75 %, qu'il ne restait par conséquent que 780 000 € à la charge de la commune et qu'une partie des annuités de la somme empruntée seraient couvertes par le Délégataire retenu.
Même les élus les plus hostiles à cette réalisation jugent aujourd'hui que c'est un bel outil et les chantiers navals qui font la pluie et le beau temps sur cette surface de travail ne sont pas les derniers à assurer qu'ils travaillent dans d'excellentes conditions.
Ils ont d'ailleurs loué la totalité de la surface de l'aire avec empressement.
Conclusion: le contribuable quinocéen paie cet investissement et les chantiers ramassent les bénéfices.
M Blanc est constant , que se soit sur l'aire de carénage ou pour le cinéma,il n'aime pas faire l'expérience d'un délégataire de service public, il préfère la régie municipale où il peut continuer à asseoir son autorité.
Le carénage des bateaux se fait obligatoirement sur un site approprié, à Saint Quay avec ses deux ports, il y a plus ou moins 1 500 bateaux captifs, s'ajoutent à ce nombre le port de Binic, les anses de Treveneuc et Bréhec, etc...
L'aire de carénage est un passage obligé , pour le cinéma sa fréquentation est loin d'être gagnée .
Le retard pris pour son inauguration au début de l'été est véritablement un mauvais coup porté aux finances locales.
La partie de l'investissement revenant à la ville tourne autour du 1 000 000 € HT.
Le budget de fonctionnement est pour l'exercice 2011 largement dans le rouge.
Il va falloir multiplier les séances et le nombre de films à voir pour équilibrer le budget annexe du cinéma (investissement et fonctionnement), c'est une obligation qui s'inscrit dans le code des collectivités territoriales.
Ce n'est pas gagné quand on constate que dans des villes jumelles à la nôtre, Erquy et Pléneuf Val André , en basse saison il n y a que trois à quatre séances par semaine.
Ce n'est pas gagné quand on constate l'isolement du cinéma "Arletty"... pas de café, pas de restaurant aux alentours immédiats.
Et puis, j'émets une curiosité ... quelle va-t- être la réaction de la ville d'Etables sur mer quand elle va devoir constater que son cinéma "Le korrigan" est obsolète et qu'elle va devoir envisager la diffusion de" La dernière séance".
J'ai l'impression sérieuse que M Blanc sur cette restructuration de la salle "Arletty" a oublié les conclusions de l'audit qu'il avait sollicitées en janvier 2009 sur la municipalité sortante.

"la ville doit faire face à des risques internes et des risques externes, de plus, la crise économique et financière qui affecte le marché immobilier et l'activité des jeux du casino, ajoutée à la baisse prévisible des dotations de l'état pourraient réduire les ressources de la ville "
On est en plein dedans, on ne sera pas la dernière collectivité locale a subir légalement des erreurs de gestion et à les payer pendant de nombreuses années .

JOUNENT michel