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dimanche 27 février 2011

le rebelle...27/02

LE REBELLE À LA SUPERCINQ...




Depuis 9 mois , le Centre des congrès est fermé !!!
Depuis 13 mois, le GR 34 est inutilisable à la hauteur de l'hôtel "Ker Moor"!!!
Le cinéma-théâtre devait voir sa réouverture rapidement, elle sera sans doute la salle "Arletty" ouverte au public cet été 40 mois après l'arrivée de la municipalité " Autrement" sans sa partie théâtrale et dans une rentabilité incertaine.
Sur le terre-plein du nouveau port, c'est une succession d'hésitations et de promesses non tenues.
L'hôtel en ruine devait être démoli avant la fin février 2011, il est toujours debout.
Le syndicat mixte du Port d'Armor estime à 40 000 € cette destruction.
La coopérative maritime ne veut pas, une fois la réalisation de son bâtiment abritant son nouveau magasin, louer des espaces pour les clubs subaquatiques , pas plus qu'elle ne veut louer une surface pour faire l'atelier du nouveau port.
Le syndicat mixte envisage de construire , pour un investissement de 215 000 €, des locaux pour les clubs de plongée et pour accueillir l'atelier du port sur l'ex-emplacement des chantiers "Rouxel ".
Ce projet de construction ne s'inscrit pas dans le plan d'aménagement retenu par le conseil municipal et cela pose évidemment un problème!!!
Le syndicat mixte est dans une situation financière excédentaire et il n'aura pas besoin d'emprunter pour réaliser, enfin , ces travaux!!!
On est tenté de poser la question: y a t'il des pilotes pour mener à bien ces opérations tant au nouveau port qu'à la tête de notre commune?
Pour ce qui concerne la ville , on est loin du ton péremptoire de notre premier magistrat le soir de son élection.
Quand il demandait aux quinocéens de s'engager à ses côtés, de répondre présents lors de la mise en consultation du schéma directeur.
Les quinocéens répondent et s'engagent dans le quartier du Portrieux en faisant signer une pétition pour un autre projet d'aménagement des jardins du port.
Dans le centre ville , une pétition rassemble des centaines de signatures pour dire non à la suppression du minigolf et des arbres l'entourant.
Autour du plan de circulation , l'association des commerçants "les quatre saisons toniques " rejette et dit bien haut tout le mal qu'elle pense des propositions communales.
Quant à l'aide de la municipalité pour redonner une dynamique nouvelle à notre ville , notre maire fait de ce secteur son pré carré, il fait voter le 29 octobre 2010 une aide de 100 000 € pour venir au secours d'un marchand de journaux, mais il reste sourd aux demandes des hôteliers restaurateurs en grande difficulté et demeure spectateur des nombreux commerces qui ont fermé durant ces trois dernières années.
Bref, il y a loin de la coupe aux lèvres et notre premier magistrat, qui brocardait le maire sortant en déclarant "que l'obtention de subvention ne relève pas d'une quelconque chasse au trésor réservée aux anciens de l'administration", fait la démonstration de son inaptitude à prendre connaissance des textes juridiques .
En témoigne le courrier du Préfet en date du 20 janvier 2011; dans cette lettre, notre maire recevait trois injonctions pour mettre des délibérations votées en accord avec le code général des collectivités territoriales.
Dans un interview paru dans "la presse d'Armor" du 26 mars 2008, on apprenait que pour faire" désordre", M.Blanc conduit une antique supercinq et que sous l'air de ne pas y paraître, il a un côté "rebelle ".
En attendant, depuis le début de cette municipalité, les rebelles se multiplient dans cette ville et la rébellion couve depuis la connaissance du plan d'aménagement du centre ville .
Sur l'affichage des plans à la mairie et sur le blog municipal, la présentation du projet est minable et on est sûr d'attraper un torticolis en consultant les documents... les indications sont écrites dans tous les sens.

Cet élément du schéma directeur est loin de faire l'unanimité, cette idée de faire prolonger le parc de la Duchesse Anne jusqu'à la mer en surprend plus d'un et le directeur du casino s'inquiète des conséquences des travaux sur son activité.
Le casino fournit un tiers des recettes de la commune, il ne faut pas l'oublier.
Si cet aménagement devait se réaliser, on constaterait la disparition du minigolf et de ses arbres , de " la bibliothèque pour tous" et de l'antenne de gendarmerie.
Son côté rebelle, M.Blanc le tient d'un aïeux prestigieux : le journaliste, romancier et homme de théâtre, Octave Mirbeau ; pour quelqu'un qui n'a pas le goût de soi mais le goût des autres, notre maire n'a pu s'empêcher de préciser au journaliste cette filiation dont il n'est pour rien.
Pour moi, Octave Mirbeau, c'est entre autre l'auteur d'une fameuse pièce de théâtre "les affaires sont les affaires " dont le personnage principal de cette tragi-comédie est Isidore Lechat, un homme d'affaire que rien n'arrête.
Malheureusement pour lui et heureusement pour la société, il devra admettre que tout ne relève pas de l'affairisme.
Notre maire ferait bien de relire la pièce écrite par son aïeul , elle reste étrangement d'actualité à Saint Quay Portrieux en particulier et pour la France en général.

JOUNENT michel



jeudi 24 février 2011

la ruine ...24/02

BEYROUTH ....      

Il y a trois ans , "l'association des résidents et amis de Saint Quay Portrieux", le 18 février 2008, posait la question au candidat Dominique Blanc du devenir de la friche de l'hôtel resté dramatiquement inemployé et inesthétique depuis 10 ans sur le terre plein, pris sur la mer, du nouveau port .
La réponse du futur maire fut sans ambages "le terre plein au nouveau port, qui rappelle certains quartiers de Beyrouth, verra la disparition de la carcasse d'un hôtel imaginaire ."
Les mois ont passé et le 27 octobre 2010 les quinocéens, en regardant le blog municipal, ont trouvé l'information suivante en tête d'un article: "la friche de l'hôtel détruite cet hiver".
Le 14 décembre 2010, le Président du syndicat-mixte du nouveau port, le conseiller général Brémont, annonçait, au cours de la soirée d'information à la salle "yéyé", que l'aménagement des terre-plein verrait la démolition de la friche de l'hôtel; elle devrait intervenir en février 2011 pour permettre à la coopérative maritime d'investir dans un bâtiment à construire.
Les associations de plongeurs ainsi que l'atelier du personnel du Port d'Armor seraient hébergés provisoirement dans des bungalows ou conteneurs .


La solution définitive pour reloger ces clubs de plongeurs et l'atelier pourrait être la location de locaux dans le bâtiment futur de la coopérative maritime ou dans des locaux à construire et financés par le syndicat mixte.
La fin du mois de février se profile et rien ne semble bouger sur le terre plein du nouveau port , pas le moindre bungalow ou conteneur à l'horizon et quand à la construction d'une nouvelle coopérative maritime ... mystère et boule de gomme!!!
Les projets et surtout les études sont nombreux à Saint Quay, autour du casino, autour des jardins du Portrieux , on est à la moitié du mandat, le temps passe bien vite et les résultats de cette équipe sont bien minces.
La déception est grande dans la ville , les interrogations sur la capacité des élus à combattre le déclin de la commune se font jour et surtout il y a beaucoup d'amertune chez un certain nombre d'électeurs qui ont maintenant la certitude de s'être fait rouler en trouvant "séduisant" le programme démagogique "Autrement".

JOUNENT michel





dimanche 20 février 2011

la passion de la ville... 20/02

LES AMBASSADEURS.

A Saint Quay, toute la population de souche ou résidente est soucieuse de faire partager la passion de notre ville.
Nous sommes tous des ambassadeurs bénévoles pour porter au plus haut l'image de notre station balnéaire et de ses atouts.
Mais parmi les ambassadeurs quinocéens ,il en est qui sont des ambassadeurs officiels, ce sont nos élus .
Volontaires et reconnus par la population, ils sont en première ligne pour porter les couleurs de notre commune.
C'est un honneur que d'être élu et ce mandat, nous le savons, procure plus de tracas que de reconnaissance par la population.
Encore faut-il rappeler, sans faire de populisme, que le maire reçoit chaque mois autour de 2 500 € et les adjoints environ 1 000 € d'indemnités de fonction.
Ce qui facilite grandement le rôle d'ambassadeur pour faire partager le plaisir de vivre à Saint Quay Portrieux .
Mais la meilleure ambassade, c'est d'avoir une ville propre , une ville où les lieux de promenades ne seraient pas souillés par des déjections canines, une ville où le GR 34 serait suivi dans sa dégradation due aux éléments naturels (tempête ,pluies abondantes ) et ou les travaux de réparation seraient réalisés en urgence , une ville où les trottoirs seraient débarrassés de la végétation, des mousses et où l'on passerait éventuellement le "Karcher " dans le boulevard Foch et la rue de la Victoire , une ville où les venelles du Portrieux ne seraient plus laissées à l'abandon, une ville où l'éclairage public serait sérieusement revu pour économiser de l'électricité et surtout où le dispositif déterminant les heures d'ouverture et de fermeture de l'éclairage serait unifié, une ville où le Centre des congrès ferait l'objet de la plus grande diligence pour voir les assureurs couvrir au mieux les dégâts de l'incendie.
Il ne s'agit pas d'augmenter le budget de fonctionnement de la commune, mais de rappeler aux adjoints qu'ils se mettent, comme promis, au travail,à l'écoute de la population et rendent compte de leurs observations aux services techniques.
Le seul adjoint , W.Abbest , qui circulait en ville chaque jour et notait les problèmes en cours a été "viré" pour n'avoir pas voulu témoigner devant la justice du conflit opposant M.Blanc à M.Brezellec.
Le résultat , on le connaît , le secteur le plus sensible aux yeux des quinocéens - les travaux et la voirie- est en érrance.
M.Brezellec, lors du dernier conseil , deux ans après les faits, regrette et se plaint de cette situation , lui qui a retrouvé sa délégation de signature et ses indemnités de fonction est bien mal placé pour tenir un pareil discours, il oublie ou feint d'oublier qu'il est au centre de ce pataquès !!!
M.Blanc et l'équipe de "l'office du tourisme" sont en photographie dans la presse et sur le blog municipal, l'objet de ce cliché est le lancement de la campagne...
"Vous aimez Saint Quay Portrieux, devenez son ambassadeur ."
Initiative intéressante et devant faire sortir un certain nombre de quinocéens de leur passivité....passivité à regarder l'environnement de la ville se dégrader sans réagir , sans rien demander aux élus.
Cela ne changera pas la face du monde ni celle de Saint Quay, mais en montrant les photos de l'office de tourisme surplombé de drapeaux déchirés et sales sur mon blog , on a obtenu une réaction rapide de la direction de l'office.

Et sans le camion- nacelle communal en panne, le directeur de l'office , en vingt quatre heures , a fait intervenir un engin d'une société travaillant pour la ville et les drapeaux ont été changés .
Il n'est pas normal que les blogs jouent les auxiliaires des élus et des services municipaux , tous les jours, quand il est là , le maire et ses adjoints passent en voiture devant l'office et traversent la ville et pas beaucoup de réaction.
Les exemples sont multiples des dégradations, il est grand temps que les quinocéens qui ont voté pour l'équipe "Autrement " rapporte aux élus le programme sur lequel ils ont été élus et qu'ils leur demandent une explication de texte sur les différents chapitre de ce catalogue démagogique.




JOUNENT Michel





mercredi 16 février 2011

sunset...16/02

SUNSET BOULEVARD ...




De la place Saint Roch au quai de la République en passant par l'axe principal de la ville constitué des rues Pierre Loti, Général De Gaulle , Jeanne D'arc, Foch et Victoire, tous les quinocéens peuvent constater la disparition, la fermeture des commerces de proximité et la transformation de ces locaux commerciaux en logements.
On peut disserter à loisir sur cette situation , les solutions pour enrayer ce déclin ne sont pas simples à trouver et l'annonce qu'à nouveau l'union des commerçants est fragilisée par le départ prochain de son président, n'arrange pas l'alliance absolument nécessaire au renouveau de la vie commerciale de notre commune qui exige le travail en commun d'une forte union des commerçants avec la municipalité.

En attendant, ces photos montrant le déclin commercial de la ville, valent mieux que tous les longs articles.


                   
                   
JOUNENT michel

mardi 15 février 2011

office du tourisme... 15/02

MISÈRE...



Après le triste spectacle du drapeau national en lambeau au bout de la rue Notre dame des flots près de la plage de la grève noire où chaque jour ma promenade quotidienne me mène .
En sortant de la maison de la presse , au dessus de l'office du tourisme j'ai aperçu les différents drapeaux ornant la bâtisse , ils étaient eux aussi dans un état déplorables.
Au bout de leurs hampes ce ne sont plus des drapeaux, mais au mieux des serpillières et encore!!!
Nous sommes en période de vacances scolaires, l'office est fréquenté , des touristes sont en vacances dans notre station balnéaire.
Ce n'est pas un problème insurmontable que de changer les drapeaux déchirés par le vent,
Merci d'avance aux services techniques.

                   

COULANGEON jean françois




dimanche 13 février 2011

le préfet...13/02/2011

LA COMMUNICATION MUNICIPALE.


Le mardi 8 février 2011 , dès potron-minet , le Préfet des Côtes d'Armor Rémi Thuau s'est invité à Saint Quay Portrieux.
Accompagné par notre maire il a visité la criée , cet établissement       de 3 300 m² dont 1 800 m² réfrigéré , reçoit le produit de la pêche de 12 bateaux hauturiers et 85 côtiers.
La criée se plaçait en 2009 au huitième rang des criées de France par le tonnage traité, juste derrière celle d'Erquy.
Ensuite, ils ont parcouru la PME de l'agroalimentaire du groupe Le Graet procédant à la transformation des mollusques.
Cette entreprise de 50 personnes est leader sur le marché de la coquille Saint-Jacques péchée en France (frais et surgelé ) .
Le Préfet et notre maire ont ensuite " petit -déjeuner " dans les locaux de Celtarmor, cela donne faim de se lever de bon matin.
La suite de la visite les a conduit au chantier de restructuration du cinéma "Arletty", visite très professionnelle avec le directeur technique de la ville et l'architecte de la nouvelle salle.
Tout cet aréopage était impressionnant à voir avec leurs casques de chantiers .
La presse nous rapporte qu'ils ont terminé la visite quinocéenne par les atouts touristiques de la ville, la chapelle de Kertugal, le moulin Saint Michel et le sentier des douaniers GR 34.
Depuis plus d'une année, le GR 34 est fermé depuis le bas de l'hôtel " Ker Moor" jusqu'aux alentours du sémaphore.
Après chaque tempête, après chaque pluie abondante, la falaise à l'aplomb de l'hôtel continue à se dégrader , elle n'est faite que de terre et sa dégradation est de plus en plus importante.
La réparation est urgente, elle devrait préoccuper sérieusement le conseil municipal. Malheureusement, les élus ont oublié de voter une délégation supplémentaire au maire permettant de régler en urgence cette situation nuisible au charme de la station balnéaire.
Je n'imagine pas que cette visite, faite sans publicité, a un lien quelconque avec l'image désastreuse que donne notre municipalité dans les médias ( altercation entre élus, mise au placard d'élus, conseils municipaux houleux , dégradations et incendies de voitures , couvre feu , procès administratifs) et puis, depuis quelque temps, par les nombreux courriers envoyés à la Préfecture ( associations, élus exigeant le respect de leur mandat, saisine de citoyens demandant de ne pas détruire le mini-golf et les arbres le cernant, etc… )
Enfin, je n'ose pas imaginer que cette visite fait suite à la lettre de recadrage que le Préfet a adressé à notre maire le 20 janvier 2011.
Sur le budget primitif 2011, le Préfet fait observer qu'il faut réaliser de suite et sans retard un nouveau vote du conseil sur le dit budget avant le 30 avril 2011 délai de rigueur.
Le Préfet actuel est nouvellement nommé dans les Côtes d'Armor , il est un haut fonctionnaire désigné par le gouvernement pour faire respecter les lois , il a peut-être voulu voir de plus près l' élu qui fait depuis près de trois ans le bonheur des gazettes locales et régionales, cette hypothèse, bien sûr, ne pouvant venir que d'un esprit chagrin, le mien!!!
Sur cette visite , le blog municipal est silencieux, depuis le deux février il ne publie rien , la visite du Préfet est-elle soumise à la censure... pourquoi ?
Bien la peine d'avoir mis la communication au centre de l'application du programme "Autrement" et d'avoir recruté un directeur de la communication.
Trente six mois bientôt aux affaires municipales et l'information sur l'activité de nos élus devient de plus en plus problématique.

JOUNENT michel


vendredi 11 février 2011

les rumeurs...11/02

NON AUX RUMEURS !!!

Après l'affirmation non fondée de l'association "Amis de Saint Quay Portrieux et ses environs" déclarant la fermeture de deux hôtels-restaurants.
Après des articles de presse indiquant qu'il y avait "un coup froid" sur l'hôtellerie quinocéenne.
Après un article de LEQ parlant de la fermeture de deux hôtels , il n'est pas interdit de regarder de plus près la réalité et faire le point sur le devenir de ces établissements.
Il est exact que ces deux enseignes bien connues des quinocéens se sont placées en redressement judiciaire et sont dans l'obligation de se mettre en conformité avec les normes européennes sur la sécurité incendie et sur l'accès des lieux aux handicapés à la date du 1er juillet 2011.
Ces deux commerces sont en gérance , il y a sur ces deux affaires des propriétaires du clos et du couvert.
C'est dans la connaissance des baux que l'on peut savoir qui doit réaliser et payer les travaux  pour respecter les nouvelles normes.
Le premier hôtel-restaurant , "l'hôtel Saint-Quay " connaîtra très prochainement un changement de direction et il faut souhaiter bon vent à l'enseigne maintenue.
Sur le second hôtel-restaurant ,"Le gerbot d'avoine" , on peut sérieusement penser que l'obligation de se mettre aux normes européennes verra un délai supplémentaire à son application.
Les discussions sont en cours et on parle sérieusement au niveau ministériel du report de la date butoir , à l'année 2015.
Sans ce report et avec la stricte application des normes prévues à la date fixée, on avance chez les syndicats professionnels hôteliers la disparition de 7 000 hôtels en France.
Ce n'est pas pensable surtout quand on pense à tous les établissements de caractères , en Bretagne il y en a beaucoup.
La restauration et l'hôtellerie à Saint Quay Portrieux ont subi, comme partout, les conséquences de la crise économique, elle est sans précédent.
Des aides étaient prévues pour aider ces hôteliers-restaurateurs pour mettre leurs installations en sécurité et accessibles aux handicapés.
Il était nécessaire pour cela de déposer les dossiers de demande d'aides en 2009.
Notre pays , la France, est à ce jour le pays qui accueille le plus de touristes au monde.
C'est une chance et une opportunité pour l'hôtellerie et la restauration de s'adapter aux exigences nouvelles du tourisme.
Ils ne doivent plus, ces commerçants, rester dans leur coin!!! ils doivent s'engager résolument dans des réseaux, des labels, des chartres et participer à l'attractivité des régions, des villes et de Saint Quay en particulier.
D'autant que pour la restauration , la réduction de la TVA de 19.6 % à 5.5 % a été dans le contexte que l'on connaît un signe fort , une bouffée d'oxygène.
Cette mesure était réclamée depuis longtemps , elle doit bénéficier aux consommateurs et permettre l'augmentation des salaires des employés de ces commerces.
Tout n'est pas "rose" dans notre époque de grand chambardement, il est demandé aux collectivités locales de réduire la voilure mais il n'est pas interdit de penser que dans notre commune, comme dans d'autres , dans le commerce, dans l'hôtellerie , dans l'artisanat et dans la restauration, les initiatives privées ont encore de solides perspectives à envisager.
Elles passent par une union des commerçants rassemblant le maximum d'adhérents et au niveau municipal de véritables acteurs servant de relais auprès des banques et des organismes pouvant apporter aide et assistance.

JOUNENT michel




jeudi 10 février 2011

le drapeau tricolore...10/02

LE DRAPEAU NATIONAL.


Chaque hiver, c'est le même spectacle affligeant .
Au bout de la rue Notre dame des flots, le mat qui porte à l'origine le drapeau tricolore, n'offre plus que la vision d'un chiffon sale et déchiré.
Devant ce spectacle irrespectueux du symbole national , je me suis déplacé à plusieurs reprises à la mairie pour demander à l'autorité municipale de le remplacer .
Ce mat est à portée de vue de l'habitat du maire .
J'ai fini par savoir qu'il n'y avait plus de drapeau en stock et qu'une commande était en cours.
En attendant avec un peu de bon sens, il n'est pas interdit monsieur le maire de faire décrocher ce torchon abîmé par le vent.
Ce spectacle choque et interpelle les quinocéens.
COULANGEON jean françois

mardi 8 février 2011

la chape...08/02

LA CHAPE DE PLOMB.

"Je m'emploierai à soulever définitivement cette chape de plomb du silence municipal qui pèse sur les habitants et à libérer les opinions de chacun sur nos projets".
Le candidat Dominique Blanc en février 2008.
Une nouvelle fois , la démonstration est faite que les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent.
Le conseil municipal du 3 février 2011 s'est tenu dans une ambiance lourde et il n'est pas bon pour plusieurs élus de vouloir encore penser que la ville doit se gérer d'une manière démocratique.
Le second conseil municipal de cette mandature en attribuant 16 délégations au maire , a délégué la quasi totalité de ses compétences à ce dernier.
Le conseil municipal se trouve de fait dessaisi par ce transfert et ne joue plus qu'un rôle mineur , dans la vie municipale.
Certes , le maire doit rendre compte à chacune des réunions obligatoires du conseil municipal des délégations réalisées.
Le conseil municipal peut à tout moment mettre fin à une ou plusieurs délégations.
De plus , les décisions prises par le maire sont soumises aux mêmes délibérations du conseil municipal conformément aux dispositions des articles L 2131-2 et 1 du code général des collectivités territoriales .
Le conseil municipal au complet , le 4 avril 2008 a fait preuve d'une grande irresponsabilité , voire d'un total aveuglement en attribuant tant de pouvoir au maire .
L'ivresse de la victoire électorale a anesthésié les nouveaux conseillers, les uns en imaginant que le maire ne serait pas souvent présent , lui ont accordé "un bel outil de pouvoir personnel" , le maire de son côté a mesuré avec une justesse certaine le caractère , le faible caractère de ses colistiers.
On voit aujourd'hui ce que donne cette équipe improbable , une absence de travail collectif, l'accès de plus en plus difficile aux documents administratifs pour les élus et les citoyens, l'absence trop importante du maire en ville et puis pour des raisons indéfendables , la mise au placard de l'adjoint responsable des travaux.
Au dernier conseil , le premier magistrat a une nouvelle fois manié le bâton , il ne répond jamais aux questions de plusieurs élus encore investis par la belle idée de se mettre au service des quinocéens.
Il brocarde , il ridiculise, il méprise et élude toute contestation de ces choix lorsqu'il expose le contenu des délégations prises, ainsi :
pourquoi emprunter dans l'urgence 1000000 € pour des investissements en travaux non précisés et à un taux d'intérêt tout a fait discutable ?
pourquoi aller chercher un avocat parisien au conseil d'Etat, pour le référé en demande de suspension de l'achat des murs de la librairie du port et en plus pour
 3 000 € d'honoraires ?
pourquoi être le seul à préparer les passations, exécutions et règlement des marchés de travaux en snobant toujours le quatrième maire -adjoint aux travaux pourtant confirmé une seconde fois à son poste?
Sur les subventions attribuées aux associations, on a assisté comme d'habitude à des votes où la clarté des résultats n'est pas évidente tant du coté des élus que chez les auditeurs du conseil.
Sur la subvention accordée au CCAS, il est avéré qu'un gros effort a été réalisé ces dernières années, il n'empêche que la proposition de maintenir cette subvention* (+ 2 % ) à la même hauteur à peu près qu'en 2010 ne s'inscrit pas dans la description économique difficile que l'on peut lire dans l'édito du maire de la  parution " Saint Quay Portrieux infos."
Subventions à l'office du tourisme, aux écoles privées, à l'école de voile , votes acquis sans problème.
Subvention pour une étape du tour de France à la voile, compte tenu de l'incertitude du nombre de concurrents à cette manifestation sportive, elle sera éventuellement versée quand des précisions sur les retombées économiques sur notre ville apparaîtront justifiées.
Sur l'aide aux jeunes (FAJ) , Le conseiller Le Chevoir a fait une brillante démonstration pour porter la contribution par habitant à 0.35 € pour 2011 , elle était de 0.35 € en 2010.
Je passe sur l'aide à un commerce de restauration en redressement judiciaire suite à l'invitation du maire de ses collègues de la baie de Saint Brieuc.
Pour le vieux gréement , le projet de la nouvelle convention a été connu lors de la commission plénière, avec deux jours avant le conseil les élus ont eu largement le temps de réfléchir sur ce sujet et ont voté ce document.
Le croisement à la hauteur des prés-Mario , à chaque instant on découvre de nouvelles propositions .
Dans le programme "Autrement" on commence par des feux tricolores, ensuite on construit un rond-point à quatre branches, on passe ensuite à six branches , à quand un tunnel ou un toboggan sur la CD 786 pour sécuriser ce carrefour ?
Mais le problème qui devrait animer la municipalité dans les semaines à venir avant le vote du compte administratif 2010 , est la mise oeuvre des observations du Préfet des Côtes d'Armor.
les dépenses et les recettes en reste à réaliser.
couverture de la dette par les ressources propres du budget"port".
dépenses imprévues du budget "assainissement".
Contrairement aux dires du maire , il ne s'agit pas de remarques de pure forme, mais des injonctions du Préfet avec des délais précis pour les réaliser, sinon pour le deuxième point la contrainte de saisir la Chambre Régionale des Comptes de Bretagne.
Voter le budget primitif 2011 avant le vote du CA 2010 est un choix nouveau du maire , il n'est pas sans poser des interrogations sur la manière de mener les finances de la ville.
A ce stade de la vie de la municipalité, à l'approche de la moitié du mandat, on est en droit de faire remarquer que la démission de six élus, à l'évidence en désaccord profond avec le maire pénalise lourdement les trois élus qui s'opposent à la conduite très personnelle des affaires municipales par le maire Dominique Blanc.


* + 2 % = 1 000 € à comparer aux 7 500 € de  l'affaire W Abbest et aux  3 000 € dans l'affaire du libraire du port  , dépensés à perte.

JOUNENT michel


dimanche 6 février 2011

la grenouille...06/02

"La grenouille qui se veut aussi grosse que le boeuf"





Avec la délicatesse d'un chien dans un jeu de quilles , Madame Salaün "analyse", par un article sur " LEQ ", le contenu de l'ordonnance du délibéré de ma requête en suspension de la délibération du conseil municipal N° 10/1117.
Délicatesse, en passant sous silence le nom du requérant.... votre chroniqueur, Michel Jounent.
Sur "l'analyse", il n'y a pas grand chose à redire, sinon que l'exposé est bien confus.
Le loyer réclamé au propriétaire actuel de la maison de la presse du port est de 5 000 € HT.
Les 6 000 € dont on parle dans la presse et dans l'ordonnance du délibéré ne sont qu'une nouvelle proposition du maire et non pas le résultat de la modification de la délibération votée par le conseil.
A ce jour, la distorsion à la concurrence s'établit à près de 50 % par rapport aux loyers moyens pratiqués pour un local de surface équivalente dans notre ville de Saint Quay Portrieux .
Je m'y suis repris à deux fois pour obtenir une audience au Tribunal Administratif de Rennes et entendre le juge du référé se prononcer sur ma demande de suspension de la délibération N°10/117.
La première fois , je n'avais produit qu'une requête en suspension, elle a été jugée irrecevable car on doit joindre à ce genre de demande une requête en annulation.
J'ai obtenu de G.Lambotte, pour ma seconde démarche, son aide et sa compétence pour l'établissement sur le fond et la forme d'une telle action en justice administrative.
J'ai immédiatement reçu l'avis de recevabilité de mes requêtes et la date de l'audience publique de l'examen de ma demande de suspension (21 /01 /2011).
Le maire actuel n'aime pas que l'on se mette en travers de ses choix municipaux , il a sorti l'artillerie lourde en sollicitant un cabinet parisien d'avocats auprès du Conseil d 'Etat.
J'ai reçu, pour contrecarrer ma requête en suspension, un mémoire de 14 pages et une étude sur le commerce du "Sudgoélo" de 146 pages.
Je me suis rendu à l'audience du tribunal de Rennes et en entendant l'avocat de la municipalité, j'ai mesuré le coût exorbitant des honoraires demandés par ces avocats spécialisés.
Quelques jours après l'audience publique , j'ai reçu un nouveau mémoire de 6 pages ???
Ma demande de 700 € en application de l'article L761-1 n'était que de pure forme.
J'ai réalisé tous les documents nécessaires pour matérialiser mes requêtes grâce à mon travail personnel et aux conseils de G. Lambotte.
Je n'ai jamais prétendu à l'obtention de cette somme, aussi, la demande de Madame Salaün qui m'intime d'annoncer l'usage que j'aurais pu en faire , est incongrue.
Le jugement sur le fond interviendra entre un et deux ans!!!
A ce jour , la date du passage chez le notaire pour l'achat des murs du fonds de commerce du libraire n'est pas connue, que reste-il de l'extrême urgence du choix des 7 élus sur 17.
La délibération N°10/117 a été votée il y a près de 100 jours!!!
Les "Faisous et les Disous" telle était une initiative de la maire adjointe à la culture, on peut assimiler cette façon de faire et dire les choses aux propos que tient madame Salaün sur ma démarche auprès du Tribunal Administratif.
Je dépose les requêtes, Madame commente, je prends les risques d'être condamné  aux dépens, Madame commente, je travaille le dossier avec G.Lambotte, Madame commente...
Non, Madame, je ne suis pas seulement un particulier mécontent de l'achat d'une boutique par le maire à un prix pharamineux et pour une location dérisoire, mais un citoyen étonné de constater l'absence de réactions sérieuses et organisées des quinocéens devant les dérives de la municipalité.
C'est vrai que de votre côté, il n'y pas si longtemps, vous trouviez que le  maire avait éte élu avec " un  programme séduisant." ( Presse d'Armor du 3 mars 2010)
Ainsi va la vie , il y a ceux qui parlent avec suffisance et ceux qui font, ou du moins essaient, de contester la désolante vie municipale.
Le LEQ se trompe d'objectifs en cherchant à me discréditer par la publication de textes désagréables et méprisants.
En l'absence de rédacteurs de son association travaillant sur des sujets sérieux, que le Président continue à publier des poèmes de mirliton sur la ville et continue à compter les nids de poules de la chaussée, et tout sera pour le mieux pour alimenter son programme de "sans" projet ... culturel pour la ville!!!
Pour conclure , j'aime également le bon "Jean de La Fontaine", et je me rappelle sa fable sur la grenouille à l'ego surdimensionné.

Extrait :
l"Envieuse s'étend, et s'enfle, et se travaille
Pour égaler l'animal en grosseur.
Disant :Regardez bien ma soeur;
Est-ce assez? dites ; n'y suis-je point encore?
Nenni. M'y voici donc?
Point du tout. M'y voilà?
Vous n'en approchez point.
La chétive Pécore
S'enfla si bien qu'elle creva" etc

JOUNENT michel







vendredi 4 février 2011

station balnéaire...04/02

Saint Quay Portrieux, STATION BALNEAIRE,
pour combien de temps encore?

Les restaurants et les hôtels dépérissent rapidement ces derniers temps et il n'échappe à personne que notre commune est dépendante du tourisme.
Notre ville n'est plus qu'une ville de passage , une forte affluence lors des beaux jours et le désert par temps moyens ou mauvais.

Le Casino de Saint Quay demeure, surtout depuis son agrandissement, l'une des dernières sources d'attractivité ... au grand avantage des finances locales.
La baisse sensible du commerce de proximité, de l'accueil hôtelier et de la restauration est un phénomène qui date depuis plusieurs décennies.
Les acteurs de la vie économique de la ville sont restés sur leurs lauriers des années d'après guerre et ont occulté que la façon de vivre le tourisme avait complètement changé.
Depuis trois ans le déclin s'accélère , malheureusement au niveau municipal et au niveau de la communauté de commune, rien de sérieux n'est engagé pour enrayer cette triste réalité.

A Saint Quay, à ce jour il ne reste plus que 5 hôtels et une résidence.
Le Ker Moor - hôtel ***, 27 chambres.
Le gerbot d'avoine - hôtel** NN , 18 chambres et un restaurant.
Le Saint Quay - hôtel ** NN , 7 chambres et un restaurant.
Le Kreisker - hôtel , 6 chambres.
Le commerce - hôtel , 11 chambres.
La résidence des gens de mer (AGISM) , 8 chambres et 8 studios.
Il faudrait plus qu'une aide royale à la boutique de presse pour redresser la situation.
L'hôtellerie locale se trouve confrontée à des mises en conformité et des exigences de la communauté européenne, elles étaient préconisées depuis longtemps et elles seront effectives le 1er juillet 2011 (sécurité et accès pour personnes handicapées ).
Les sommes à mettre en oeuvre sont conséquentes et la survie de ces commerces est posée.
Il est vraiment détestable de constater la passivité des élus sur ces situations de détresse.
On apprend par la presse que le maire s'est emparé de ces dossiers et qu'ils les transmettra au Conseil général et à la Préfecture.
Il n' est jamais trop tard pour bien faire, Monsieur le maire, mais vous voir aujourd'hui vous transformer en "petit télégraphiste" vous éloigne du grand planificateur de projets et problèmes complexes à régler que vous disiez être dans votre programme électorale "Saint Quay Portrieux autrement".
L'achat de murs de commerces inoccupés est oublié , l'achat des murs d'un fond de commerce de presse en difficulté pour 100 000 € ouvre " la boite de Pandore", les demandes vont se multiplier et il faudra bientôt; vu l'état du commerce local, ouvrir un guichet à l'hôtel de ville pour recevoir les demandes et verser les aides.
Le regard comparatif sur les quatre villes de la baie de Saint Brieuc ayant pour dénominateur commun d'être des stations balnéaires, d'avoir des installations portuaires  ( pêche et  plaisance ) et des populations semblables est très intéressant.
Il montre le fossé qui nous sépare maintenant dans nombre de secteurs : notre ville qui s'est endormie depuis longtemps et des villes qui ont remis sur le métier le travail nécessaire pour s'adapter aux réalités de notre époque.
Il est extrêmement osé et risqué dans notre ville sinistrée commercialement , de penser que le restructuration du cinéma "Alertty" pour 1 000 000 € HT pour commencer , va réamorcer la relance de la fréquentation de la station balnéaire.
Cet été, pendant la saison estivale, il y aura une fréquentation correcte de la salle mais après, même avec l'organisation de la salle en cinéma d"Art et d'essai", même avec une semaine par ci par là de projection thématique ( le cinéma mongol à travers les âges , le Western choucroute entre les deux guerres, le cinéma fantastique chez les esquimaux ), il sera très difficile de ne pas combler par le budget général le déficit du cinéma .
C'est un choix, nous dirons certains , la culture n'est pas une marchandise nous dirons d'autres ; en attendant il n'est pas interdit de penser que le maire est un peu "Mégalo".
Le problème est énorme pour relancer la ville , son commerce de proximité, son tourisme et l'accueil en général.
Il doit bien y avoir des solutions à mettre en oeuvre pour sauver ce qui peut l'être , elles passent sans crainte d'être contredites , par le travail de la municipalité , par le travail à temps plein du maire et par la vie démocratique du conseil municipal.
On est loin du compte!!!

JOUNENT michel





mardi 1 février 2011

les comédiens...01/02

La COMMEDIA DELL' ARTE
s'invite au prochain conseil municipal!!


Les conseillers municipaux quinocéens ne manquent pas de travail.
Surtout depuis que le conseil est passé de 23 à 17 membres.
Depuis des mois, la division règne dans ce conseil, les échanges verbaux sont de plus en plus vifs et les propos peu amènes.
Chaque délibération est votée dans un désordre certain et le résultat du vote est prononcé dans la confusion.

Bien souvent, on n'est pas très loin du ridicule en constatant le caractère changeant des élus.
Au prochain conseil municipal, trois points au-moins à l'ordre du jour ne manqueront point de faire débat.


Le deuxième point de l'ordre du jour.
Compte rendu des délégations du maire:
l'emprunt de 1 000 000 € décidé dans le cadre des délégations du maire, la mise au placard sur ce sujet de la commission des finances et la date de cet emprunt, le 23 décembre 2010, au lendemain du conseil municipal du 17 décembre 2010 et l'utilisation de la somme empruntée.
le recours systématique et coûteux pour "défendre les intérêts de la commune" à un cabinet d'avocats parisiens.
Le douzième point de l'ordre du jour.
Décision modificative N°1 pour tenir compte " d'une observation de la Préfecture".
Malgré la fusion des budgets annexes du port d'échouage et de l'aire de carénage, l'annuité de la dette n'est pas couverte par ses propres ressources.
Locataires du port d'échouage, à vos porte-monnaie pour réparer les divagations du maire à propos de la construction de l'aire , de l'arrêt des travaux et du passage en régie municipale pour sa gestion.
Et le quatorzième point de l'ordre du jour .
 Budget principal 2011 - reception de maires - déjeuner - avance faite par monsieur le maire- remboursement.
Le maire a reçu ses collègues des stations balnéaires et portuaires de la baie de Saint-Brieuc , de même importance, pour confronter leurs problèmes communs.
Il les a invités au restaurant pour déjeuner , jusque là rien, de plus normal.
Mais où cela devient anormal, c'est l'information présentée au conseil.
Il a invité ses collègues dans un restaurant en redressement judiciaire et a réglé la note pour que ce restaurateur puisse disposer immédiatement des fonds ( 161.80 €.)
Le 4 février il demandera au conseil de le rembourser !!!
Voilà, notre maire" se monte du col ", à ceux qui lui reprochent l'arbitraire, de venir à l'aide d'un seul commerçant , il fait la démonstration qu'il peut en aider un autre.
Cette avance de fond pouvait se régler par l'administration communale sans trompettes ni tambours.
Enfin, ce n'est pas très délicat d'insister publiquement sur la situation économique de ce restaurant hôtel.
Les délégations du maire peuvent être désapprouvées par le conseil municipal et même retirées.
Au prochain conseil, on pourra mesurer le degré d'engagement des élus à réduire les décisions prises par le maire en petit comité et leur rôle d'intervenants conscients dans la vie communale.

JOUNENT michel