RETOUR SUR LE FONCTIONNEMENT DE MON BLOG.
Depuis près de 5 ans, j'ai publié sur mon blog "Le blog de Michel "un millier d'articles.
Je pense avoir eu, durant cette période, une totale liberté éditoriale ... personne ne contrôle le contenu de mes posts.
Je suis juridiquement l'éditeur de cette parution et à ce titre, j' exerce sans détour le rôle de modérateur des textes et des commentaires qui me sont adressés.
Les commentaires anonymes ne sont pas publiés sur mon blog .
On peut tout de même les signer par un pseudonyme à la condition express que la véritable identité de l'auteur du texte me soit préalablement connue.
Mon blog n'est pas un forum ni le lieu où des personnes peuvent se détester avec délectation.
Il n'est pas non plus l'amplificateur des brèves de comptoir et des anciennes rancunes.
Une fois que mes articles ou ceux des personnes invitées sur mon site sont publiés, ils ne sont plus triturés, morcelés, tronqués, caviardés, réécrits et parfois effacés comme sur le second site officiel de la municipalité .
C'est vrai que pour 200 € par mois, si en plus on a une échine particulièrement souple, le conseiller municipal propriétaire du second site officiel se doit d'obtempérer, les doigts bien sûr sur la couture du pantalon, aux injonctions de son patron.
JOUNENT Michel , auteur libre d'un bloc-notes .
1 commentaire:
- Dommage, Michel, que tous les commentaires ne soient pas publiés, simplement parce qu'ils peuvent avoir une position légèrement différente de la votre. L'échange d'idée me paraît intéressant s'il ne tourne pas au pugilat.
- Dommage, également, que tous les commentaires ne s'affichent pas automatiquement, et parfois disparaissent dans les suites. Y a t-il un tri ?
- Dommage, enfin, que votre blog tende à devenir une tribune contre un autre blog quinocéen, en relatant des brèves de comptoir ou de vieilles rancunes. Il y a la place pour les deux.
Pourtant, jusqu'à présent, nous avons trouvé dans "le Blog de Michel" de nombreux articles intéressants et certaines positions qui méritaient d'ouvrir le débat.
Ne serait-il pas de bon ton de revenir à cette formule ?
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