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jeudi 17 septembre 2015

vive le cochon 17/09/2015

LE BOULET DU MAIRE.
Un membre de sa majorité , son  conseiller délégué aux relations publiques, est en plein "Burn out ".
Peu présent entre  les  murs de la ville, s'inscrivant rarement dans la réalisation des promesses électorales de son patron , il souffre à l'évidence d'une grande fatigue.
Il aura du mal, au train où vont les choses, à terminer son mandat d'élu indemnisé.
La rédaction sur son blog d'articles iconoclastes le perturbe et fait craindre  le pire pour lui.
Dans la rédaction de ses articles, on y lit tout et son contraire .
Je choisis au hasard...  Deux de ses derniers articles pour montrer son errance  intellectuelle :
1.      le décès d'un ancien maire.
2.   son abomination pour  la viande  de porc.
1-Sur le maire Robert Richet, la démonstration et la soi disante  pertinence de ses propos repose sur des ragots; pas de  preuve avérée , pas le moindre début d'enquête de police, pas la  moindre plainte en justice,  pas le moindre document médical  démontrant son suicide; tout repose  sur la  phrase définitive "tout le monde à Saint Quay est au courant  du passé trouble  de Robert Richet"; c'est léger pour ne pas dire inconsistant.   
Une phrase  plus  loin, on lit dans ce pamphlet racoleur et putassier "Robert Richet, un homme au parcours exemplaire... Légion d'honneur, de la guerre, de la résistance, de la France Libre" et j'en passe...
Et comme si cela ne suffisait pas, notre Bibi Fricotin de  l'information  joint dans  le  mystère l'affaire Robert Boulin et  celle  imaginée de Robert Richet .
Ces deux hommes  ont en commun... une seule chose: leur prénom  Robert.
Pas peu fier de son enquête, notre  détective, très amateur après une  première  mouture de son article, en a  publié une seconde, rapidement effacée en lecture directe sur son blog.
Ceux qui voudraient lire ces deux versions sans passer par la connaissance précise de leur identité peuvent m'adresser leurs adresses E-mail et je leur ferai parvenir ces deux exemplaires.
2- sur son abomination  de la viande de  porc, il invite  les bretons et les autres à s'adapter aux cultures  et aux civilisations  du XXI siècle ???  
Il invite, en ne manquant pas d'air, à abandonner les pratiques  nauséabondes  de consommer de la viande de  porc  pour satisfaire  l'arrivée  de nos nouveaux amis ... Les réfugiés syriens ,afghans  ,irakiens et autres...
S'en prendre à une  publicité  faisant  la réclame  de denrées alimentaires "haram" montre que son  dernier voyage d'un mois dans  un pays  musulman  en a fait  un prochain converti.
Ecrire que le vin et le porc  sont des denrées illégales  et interdites...Ailleurs  peut-être  mais pas ici, surtout pas  en France .
Non,  monsieur l'illuminé, un cochon bien dodu faisant  la promotion de la consommation de la viande porcine n'est pas  une publicité nauséabonde .
Cette publicité  ne dissuade personne de réclamer  le droit d'asile; si, en plus, pour accueillir des  malheureux, les Français doivent  leur présenter la carte du menu qui fait leur ordinaire, on  n'est pas sorti des  problèmes des réfugiés.
Enfin, le délégué aux relations publiques,  comme déjà à plusieurs reprises, méconnaît la vie  municipale; en juin  2015, il avait annoncé la pose de  la  plaque portant le nom des  maires de la commune; elle a eu lieu en septembre.
Il annonce dans son article "astaghfirou allah "!!! que l'association dynamique "l'amicale du moulin"  renonce,  pour  ne pas déplaire à ses nouveaux amis "les réfugiés",  à un cochon grillé pour sa fête de la Saint Michel  en offrant en remplacement un méchoui .
Nenni, le responsable de l'association  a prévu depuis  longtemps  pour des raisons économiques, de remplacer le méchoui par un  cochon grillé.
La venue de réfugiés  à Saint Quay  n'est pas encore  réglée; la participation de  l'état prévue à ce  jour est  très faible (1000 € par  adulte ).
La Cour des comptes  affiche  une estimation pour ces déracinés  à 13 000 € par an et par adulte .
Une famille par commune n'est pas la solution recherchée par ces malheureux; ils rechercheront à l'évidence un regroupement  plus  important dans les villes.
Cela coûtera à l'évidence cher pour les communes; les décideurs de  l'accueil  ne seront pas, je  l'espère, les derniers  à participer à l'effort financier  en réduisant leurs indemnités.
A Saint Quay Portrieux cela sera facile; il suffira de supprimer, pour commencer, celles  données aux conseillers  délégués .

JOUNENT Michel.

Commentaire de Jean Michel Forest:
« Quant à moi, disait Montaigne, j’aime la vie » … Me permettra-t-on de pasticher le maître en disant : quant à moi, j’aime le cochon … Du boudin à la côtelette en passant par le rôti « tout est bon dans le cochon » …
Ma grand-mère en faisait de délicieux pâtés et mes cousins l’élevaient amoureusement sur lit de paille jusqu’à ce que la bonne bête devienne jambons de toutes sortes.
Aux paysans peu riches, cet animal familier, qu’on nourrissait essentiellement des restes des repas, de pommes, qui pouvait à l’occasion se dégourdir les pattes et les sabots fendus dans la cour ou le pré, fournissait un apport de viandes bon marché et, à l’occasion, pouvait servir d’échange au marché des villes …
On peut encore aujourd’hui se fournir de cette bonne viande directement à la ferme ou chez des bouchers charcutiers qui se fournissent auprès d’élevages non industriels - j’en connais - …
Gloire à cette sympathique bête qui permet un bon apport de viande sans trop mettre à mal le budget …
Gloire à notre bon cochon toujours présent lors des grillades conviviales.
Et gloire à son cousin sauvage, le sanglier, qui promet encore de délicieuses parties de chasse et de si bons pâtés …
Et si l’on passait d’un élevage industriel où les bêtes souffrent à un élevage artisanal de qualité où les cochons sont heureux … ? La viande est tellement meilleure quand la bête n’a ressenti aucun stress du début à la fin de sa vie … !
A ce propos, on peut lire Wild Idea de Dan O’Brien édition Au diable Vauvert, c’est la vie d’un Ranch dans les Grandes Plaines avec la réintroduction du bison à l’état sauvage, et à propos de l’agriculture productiviste, je recommande l’ouvrage d’Isabelle Saporta « Le livre Noir de l’agriculture » édition J’ai Lu, « Comment on assassine nos paysans, notre santé et l’environnement »…

Ces livres peuvent s’acheter à St Quay-Portrieux.

1 commentaire:

Jean michel Forest a dit…

« Quant à moi, disait Montaigne, j’aime la vie » … Me permettra-t-on de pasticher le maître en disant : quant à moi, j’aime le cochon … Du boudin à la côtelette en passant par le rôti « tout est bon dans le cochon » …
Ma grand-mère en faisait de délicieux pâtés et mes cousins l’élevaient amoureusement sur lit de paille jusqu’à ce que la bonne bête devienne jambons de toutes sortes.
Aux paysans peu riches, cet animal familier, qu’on nourrissait essentiellement des restes des repas, de pommes, qui pouvait à l’occasion se dégourdir les pattes et les sabots fendus dans la cour ou le pré, fournissait un apport de viandes bon marché et, à l’occasion, pouvait servir d’échange au marché des villes …
On peut encore aujourd’hui se fournir de cette bonne viande directement à la ferme ou chez des bouchers charcutiers qui se fournissent auprès d’élevages non industriels - j’en connais - …
Gloire à cette sympathique bête qui permet un bon apport de viande sans trop mettre à mal le budget …
Gloire à notre bon cochon toujours présent lors des grillades conviviales.
Et gloire à son cousin sauvage, le sanglier, qui promet encore de délicieuses parties de chasse et de si bons pâtés …
Et si l’on passait d’un élevage industriel où les bêtes souffrent à un élevage artisanal de qualité où les cochons sont heureux … ? La viande est tellement meilleure quand la bête n’a ressenti aucun stress du début à la fin de sa vie … !
A ce propos, on peut lire Wild Idea de Dan O’Brien édition Au diable Vauvert, c’est la vie d’un Ranch dans les Grandes Plaines avec la réintroduction du bison à l’état sauvage, et à propos de l’agriculture productiviste, je recommande l’ouvrage d’Isabelle Saporta « Le livre Noir de l’agriculture » édition J’ai Lu, « Comment on assassine nos paysans, notre santé et l’environnement »…

Ces livres peuvent s’acheter à St Quay-Portrieux.