Un membre de sa majorité , son conseiller délégué aux relations publiques,
est en plein "Burn out ".
Peu présent entre
les murs de la ville, s'inscrivant
rarement dans la réalisation des promesses électorales de son patron , il souffre
à l'évidence d'une grande fatigue.
Il aura du mal, au train où vont les choses, à terminer son
mandat d'élu indemnisé.
La rédaction sur son blog d'articles iconoclastes le
perturbe et fait craindre le pire pour
lui.
Dans la rédaction de ses articles, on y lit tout et son
contraire .
Je choisis au hasard...
Deux de ses derniers articles pour montrer son errance intellectuelle :
1. le
décès d'un ancien maire.
2. son abomination pour la viande
de porc.
1-Sur le maire Robert Richet, la
démonstration et la soi disante
pertinence de ses propos repose sur des ragots; pas de preuve avérée , pas le moindre début
d'enquête de police, pas la moindre
plainte en justice, pas le moindre
document médical démontrant son suicide;
tout repose sur la phrase définitive "tout le monde à Saint
Quay est au courant du passé
trouble de Robert Richet"; c'est
léger pour ne pas dire inconsistant.
Une phrase plus
loin, on lit dans ce pamphlet racoleur et putassier "Robert Richet,
un homme au parcours exemplaire... Légion d'honneur, de la guerre, de la
résistance, de la France Libre" et j'en passe...
Et comme si cela ne suffisait pas,
notre Bibi Fricotin de l'information joint dans
le mystère l'affaire Robert
Boulin et celle imaginée de Robert Richet .
Ces deux hommes ont en commun... une seule chose: leur prénom
Robert.
Pas peu fier de son enquête,
notre détective, très amateur après
une première mouture de son article, en a publié une seconde, rapidement effacée en
lecture directe sur son blog.
Ceux qui voudraient lire ces deux
versions sans passer par la connaissance précise de leur identité peuvent
m'adresser leurs adresses E-mail et je leur ferai parvenir ces deux exemplaires.
2- sur son abomination de la viande de porc, il invite les bretons et les autres à s'adapter aux
cultures et aux civilisations du XXI siècle ???
Il invite, en ne manquant pas
d'air, à abandonner les pratiques
nauséabondes de consommer de la
viande de porc pour satisfaire l'arrivée
de nos nouveaux amis ... Les réfugiés syriens ,afghans ,irakiens et autres...
S'en prendre à une publicité
faisant la réclame de denrées alimentaires
"haram" montre que son dernier voyage d'un mois dans un pays
musulman en a fait un prochain converti.
Ecrire que le vin et le porc sont des denrées illégales et interdites...Ailleurs peut-être
mais pas ici, surtout pas en
France .
Non, monsieur l'illuminé, un cochon bien dodu
faisant la promotion de la consommation
de la viande porcine n'est pas une
publicité nauséabonde .
Cette publicité ne dissuade personne de réclamer le droit d'asile; si, en plus, pour accueillir
des malheureux, les Français
doivent leur présenter la carte du menu
qui fait leur ordinaire, on n'est pas sorti
des problèmes des réfugiés.
Enfin, le délégué aux relations
publiques, comme déjà à plusieurs
reprises, méconnaît la vie municipale;
en juin 2015, il avait annoncé la pose
de la
plaque portant le nom des maires
de la commune; elle a eu lieu en septembre.
Il annonce dans son article
"astaghfirou allah "!!! que l'association dynamique "l'amicale du
moulin" renonce, pour
ne pas déplaire à ses nouveaux amis "les réfugiés", à un cochon grillé pour sa fête de la Saint
Michel en offrant en remplacement un
méchoui .
Nenni, le responsable de
l'association a prévu depuis longtemps
pour des raisons économiques, de remplacer le méchoui par un cochon grillé.
La venue de réfugiés à Saint Quay
n'est pas encore réglée; la
participation de l'état prévue à ce jour est
très faible (1000 € par adulte ).
La Cour des comptes affiche
une estimation pour ces déracinés
à 13 000 € par an et par adulte .
Une famille par commune n'est pas
la solution recherchée par ces malheureux; ils rechercheront à l'évidence un
regroupement plus important dans les villes.
Cela coûtera à l'évidence cher
pour les communes; les décideurs de
l'accueil ne seront pas, je l'espère, les derniers à participer à l'effort financier en réduisant leurs indemnités.
A Saint Quay Portrieux cela sera
facile; il suffira de supprimer, pour commencer, celles données aux conseillers délégués .
JOUNENT Michel.
Commentaire de Jean Michel Forest:
Commentaire de Jean Michel Forest:
« Quant à moi, disait Montaigne, j’aime la vie
» … Me permettra-t-on de pasticher le maître en disant : quant à moi, j’aime le
cochon … Du boudin à la côtelette en passant par le rôti « tout est bon dans le
cochon » …
Ma grand-mère en faisait de délicieux pâtés et mes cousins l’élevaient amoureusement sur lit de paille jusqu’à ce que la bonne bête devienne jambons de toutes sortes.
Aux paysans peu riches, cet animal familier, qu’on nourrissait essentiellement des restes des repas, de pommes, qui pouvait à l’occasion se dégourdir les pattes et les sabots fendus dans la cour ou le pré, fournissait un apport de viandes bon marché et, à l’occasion, pouvait servir d’échange au marché des villes …
On peut encore aujourd’hui se fournir de cette bonne viande directement à la ferme ou chez des bouchers charcutiers qui se fournissent auprès d’élevages non industriels - j’en connais - …
Gloire à cette sympathique bête qui permet un bon apport de viande sans trop mettre à mal le budget …
Gloire à notre bon cochon toujours présent lors des grillades conviviales.
Et gloire à son cousin sauvage, le sanglier, qui promet encore de délicieuses parties de chasse et de si bons pâtés …
Et si l’on passait d’un élevage industriel où les bêtes souffrent à un élevage artisanal de qualité où les cochons sont heureux … ? La viande est tellement meilleure quand la bête n’a ressenti aucun stress du début à la fin de sa vie … !
A ce propos, on peut lire Wild Idea de Dan O’Brien édition Au diable Vauvert, c’est la vie d’un Ranch dans les Grandes Plaines avec la réintroduction du bison à l’état sauvage, et à propos de l’agriculture productiviste, je recommande l’ouvrage d’Isabelle Saporta « Le livre Noir de l’agriculture » édition J’ai Lu, « Comment on assassine nos paysans, notre santé et l’environnement »…
Ces livres peuvent s’acheter à St Quay-Portrieux.
Ma grand-mère en faisait de délicieux pâtés et mes cousins l’élevaient amoureusement sur lit de paille jusqu’à ce que la bonne bête devienne jambons de toutes sortes.
Aux paysans peu riches, cet animal familier, qu’on nourrissait essentiellement des restes des repas, de pommes, qui pouvait à l’occasion se dégourdir les pattes et les sabots fendus dans la cour ou le pré, fournissait un apport de viandes bon marché et, à l’occasion, pouvait servir d’échange au marché des villes …
On peut encore aujourd’hui se fournir de cette bonne viande directement à la ferme ou chez des bouchers charcutiers qui se fournissent auprès d’élevages non industriels - j’en connais - …
Gloire à cette sympathique bête qui permet un bon apport de viande sans trop mettre à mal le budget …
Gloire à notre bon cochon toujours présent lors des grillades conviviales.
Et gloire à son cousin sauvage, le sanglier, qui promet encore de délicieuses parties de chasse et de si bons pâtés …
Et si l’on passait d’un élevage industriel où les bêtes souffrent à un élevage artisanal de qualité où les cochons sont heureux … ? La viande est tellement meilleure quand la bête n’a ressenti aucun stress du début à la fin de sa vie … !
A ce propos, on peut lire Wild Idea de Dan O’Brien édition Au diable Vauvert, c’est la vie d’un Ranch dans les Grandes Plaines avec la réintroduction du bison à l’état sauvage, et à propos de l’agriculture productiviste, je recommande l’ouvrage d’Isabelle Saporta « Le livre Noir de l’agriculture » édition J’ai Lu, « Comment on assassine nos paysans, notre santé et l’environnement »…
Ces livres peuvent s’acheter à St Quay-Portrieux.
1 commentaire:
« Quant à moi, disait Montaigne, j’aime la vie » … Me permettra-t-on de pasticher le maître en disant : quant à moi, j’aime le cochon … Du boudin à la côtelette en passant par le rôti « tout est bon dans le cochon » …
Ma grand-mère en faisait de délicieux pâtés et mes cousins l’élevaient amoureusement sur lit de paille jusqu’à ce que la bonne bête devienne jambons de toutes sortes.
Aux paysans peu riches, cet animal familier, qu’on nourrissait essentiellement des restes des repas, de pommes, qui pouvait à l’occasion se dégourdir les pattes et les sabots fendus dans la cour ou le pré, fournissait un apport de viandes bon marché et, à l’occasion, pouvait servir d’échange au marché des villes …
On peut encore aujourd’hui se fournir de cette bonne viande directement à la ferme ou chez des bouchers charcutiers qui se fournissent auprès d’élevages non industriels - j’en connais - …
Gloire à cette sympathique bête qui permet un bon apport de viande sans trop mettre à mal le budget …
Gloire à notre bon cochon toujours présent lors des grillades conviviales.
Et gloire à son cousin sauvage, le sanglier, qui promet encore de délicieuses parties de chasse et de si bons pâtés …
Et si l’on passait d’un élevage industriel où les bêtes souffrent à un élevage artisanal de qualité où les cochons sont heureux … ? La viande est tellement meilleure quand la bête n’a ressenti aucun stress du début à la fin de sa vie … !
A ce propos, on peut lire Wild Idea de Dan O’Brien édition Au diable Vauvert, c’est la vie d’un Ranch dans les Grandes Plaines avec la réintroduction du bison à l’état sauvage, et à propos de l’agriculture productiviste, je recommande l’ouvrage d’Isabelle Saporta « Le livre Noir de l’agriculture » édition J’ai Lu, « Comment on assassine nos paysans, notre santé et l’environnement »…
Ces livres peuvent s’acheter à St Quay-Portrieux.
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