Contrairement aux
allégations contenues dans le
communiqué de M Blanc paru dans
Ouest-France du 30 septembre 2016, force est de constater que la décision de la
Cour d'appel de Rennes en son audience
du 28 septembre n'est pas encore parue.
Car, en effet, sans dévoiler la
teneur précise des débats, il a été dit clairement que M Blanc se désistait en retirant sa plainte et
cela en s'appuyant sur l'article 49 de la Loi sur la Liberté de la
presse en date de juillet 1881 et qu'en
conséquence l'affaire de la plainte
de M Blanc à mon encontre
est réputée n'avoir jamais existé.
En conséquence, il est diffamatoire de
m'imputer des condamnations qui
en droit n'existent plus.
A ce jour, pour indication, je n'ai jamais versé le moindre euros
de dommage à M. Blanc .
Les éléments factuels de l'article
sont faux, notamment le titre de
l'article de Ouest-France.
A réception des attendus de l'audience de la Cour d'appel de Rennes du 28 septembre 2016, je me réserve le
droit de poursuivre en diffamation les personnes
et correspondants de presse locaux qui auront relayé ces fausses informations .
JOUNENT Michel.
Rappel : La Cour de Cassation examine l'application de la loi au cours d'un procès, elle ne
porte pas d'avis sur le fond
de l'affaire.
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