Le télé*-évangéliste Macron a de nouveau frappé en répandant et fait savoir son ignorance sur la
guerre d'Algérie.
De 1954 à 1962 deux millions de
conscrits ont débarqué sur le sol algérien, ce ne fut
par joli joli, tout le monde en est d'accord.
Envoyé dans un premier temps par des gouvernements socialistes la guerre
se termina sous la direction du Général
De Gaulle, pas de la meilleure manière mais
dans la cadre de la décolonisation généralisée dans le monde et dans l'époque d'alors il n' y avait
pas beaucoup de solutions miracles.
Sur la décolonisation en Afrique, il fallut attendre Nelson Mandela en Afrique du
sud pour trouver une solution viable réinstaurant une entente entre des populations largement installées dans la confrontation par le funeste apartheid .
La guerre d'Algérie, 55 ans après les accords d'Evian est maintenant
l'affaire des historiens et pas des bateleurs de foire.
Et pour ceux qui veulent se
replonger dans cette malheureuse histoire algérienne où les cicatrices ne sont pas encore
refermées, qu'ils lisent ou relisent le dernier bouquin du prix Nobel de Littérature Albert Camus "le premier homme
"; cet immense écrivain, né algérien, s'est fait le
chantre de la défense des pied-noirs en s'opposant
en particulier à la caricature du
pied-noir exploiteur.
Une nouvelle fois, un candidat aux
présidentielles 2017, par la recherche de voix, fait dans
la démagogie et se prend de nouveau les
pieds dans le tapis par ses
contradictions idéologiques liées à sa
formation d'ex-banquier d'affaires et de
son ex-fonction de ministre d'un gouvernement socialiste présidé par F Hollande.
JOUNENT Michel.
* Macron, le candidat de BFM-TV.
Commentaire de Picolet Gilles:
* Macron, le candidat de BFM-TV.
Commentaire de Picolet Gilles:
François Mitterrand et l'Algérie :
Le "Grand Satan" du Socialisme a été l'un des plus vifs partisans de la guerre en Algérie, comme le soulignent ces deux citations :
« La rébellion algérienne ne peut trouver qu'une forme terminale : la guerre. »,
Le "Grand Satan" du Socialisme a été l'un des plus vifs partisans de la guerre en Algérie, comme le soulignent ces deux citations :
« La rébellion algérienne ne peut trouver qu'une forme terminale : la guerre. »,
« L'Algérie, c'est la France. »
De plus, en tant que Garde des Sceaux, il a donné son accord pour les nombreuses sentences de mort prononcées par les tribunaux d'Alger.
Sous son ministère, quarante-cinq militants
algériens sont condamnés à mort de manière souvent expéditive.De plus, en tant que Garde des Sceaux, il a donné son accord pour les nombreuses sentences de mort prononcées par les tribunaux d'Alger.
En instituant la loi de mars 1956, qui donnait
tous pouvoirs aux militaires en matière de justice sur le sol algérien,
François Mitterrand a créé les conditions légales de la torture en Algérie.
Macron crache dans la soupe ou ne connait-il pas l'Histoire ?
Enfin, comment un homme politique français, qui brigue la plus haute fonction, peut-il critiquer la France depuis l'étranger.
Il devrait être frappé "d'indignité Nationale" !!
Macron crache dans la soupe ou ne connait-il pas l'Histoire ?
Enfin, comment un homme politique français, qui brigue la plus haute fonction, peut-il critiquer la France depuis l'étranger.
Il devrait être frappé "d'indignité Nationale" !!
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François Mitterrand et l'Algérie :
Le "Grand Satan" du Socialisme a été l'un des plus vifs partisans de la guerre en Algérie, comme le soulignent ces deux citations :
« La rébellion algérienne ne peut trouver qu'une forme terminale : la guerre. »,
« L'Algérie, c'est la France. »
De plus, en tant que Garde des Sceaux, il a donné son accord pour les nombreuses sentences de mort prononcées par les tribunaux d'Alger. Sous son ministère, quarante-cinq militants algériens sont condamnés à mort de manière souvent expéditive.
En instituant la loi de mars 1956, qui donnait tous pouvoirs aux militaires en matière de justice sur le sol algérien, François Mitterrand a créé les conditions légales de la torture en Algérie.
Macron crache dans la soupe ou ne connait-il pas l'Histoire ?
Enfin, comment un homme politique français, qui brigue la plus haute fonction, peut-il critiquer la France depuis l'étranger.
Il devrait être frappé "d'indignité Nationale" !!
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