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samedi 29 octobre 2011

délégations de signature 29/10/2011




AVIS DE GRAND FRAIS.





L'équipe municipale, à la veille du conseil municipal et malgré les flonflons de l'inauguration en grande pompe du cinéma hollywoodien, est dans la tourmente.
Les quatre ou cinq élus récalcitrants aux méthodes du maire pour gérer la commune, ont fini par fédérer la majorité du conseil pour remettre en question son autorité.
Au conseil municipal du 3 novembre 2011, le contenu du troisième point à l'ordre du jour est sans appel; il montre le ras le bol de cette gouvernance sans partage.
Ce point n°3 est le suivant : modifications des délégations du maire.
On se souvient , pour ceux qui s'intéressent encore à la vie municipale , que lors du second conseil de cette mandature, le maire a obtenu par le vote unanime des 23 élus constituant la liste "Autrement", 16 délégations de signature sur 22 possible selon le code des collectivités territoriales.
Depuis, M Blanc mène les affaires municipales à sa guise , il se passe de l'avis de ses adjoints, il fait appel à tout va à des bureaux d'études, il se fait conseiller par des personnes étrangères à la ville, il se dispute avec ses adjoints en les envoyant devant la justice, il est aussi souvent absent de la ville et il se sépare trop souvent des directeurs généraux des services, le cinquième depuis mars 2008 prépare ses bagages et une annonce de recrutement est passée pour en trouver un sixième.
La municipalité tangue dangereusement.
Des élus soucieux des finances locales demandent au maire le pourquoi de l'emprunt de .......     1 000 000 € (arrêté 10DG20 ), il n'est pas, à ce jour, mobilisé?
Des élus posent une question sur l'achat du fonds de la maison de la presse , cet achat n'est toujours pas réalisé un an après le vote de la délibération N° 10-117 du 29/10/2010, elle reste sans réponse!!!
Et du côté du cinéma, les questions pleuvent sur son financement, sur le coût de son fonctionnement et sur le retard organisé pour trouver un délégataire de service public.
La lecture du périodique "Le phare " est édifiante sur le désarroi du maire avant le conseil du 3 novembre, quarante trois mois après son élection, il a décidé de rencontrer les quinocéens et d'écouter leurs doléances et comme il n 'a peur de rien, il propose de se faire inviter chez les gens pour mieux les comprendre.
Quel aveu , lui qui condamnait l'absence de vision de son prédécesseur, son amateurisme et l'opacité de sa gestion, le voici à faire du porte à porte pour retrouver son électorat.
Il est grand temps pour lui , en effet, de se rendre compte que sa gestion déçoit.
Le pire n'étant jamais sûr , mais à Saint Quay Portrieux, il est possible que l'on franchise une nouvelle étape pour approfondir l'appellation "Autrement"...
Election partielle, nouvelles démissions, portes qui claquent , arrêt de projets, élection générale?
La chape de plomb du silence municipal qui pesait selon le candidat D Blanc sur les habitants quinocéens risque bien de lui retomber sur la tête et le plomb ...ça pèse!!!

JOUNENT michel


lundi 24 octobre 2011

fréquentation du cinéma 25/10/2011






LES TRIBULATIONS D'UN CARDINAL...  à la sortie d'un conclave n'ont pas fait recette au cinéma relooké "Arletty".


Pour la séance* de samedi soir à 22 heures, une quinzaine de personnes est venue voir l'excellent film "Habemus papam ".

Le film est excellent, ce n'est pas moi qui le déclare mais la critique en général, le réalisateur est reconnu, il a reçu " La palme d'or en 2001 " pour un autre film à Cannes et l'acteur principal Michel Piccoli est depuis des décennies l'un des acteurs préférés des amoureux du cinéma.
Présenté comme un pole culturel, le cinéma "Arletty" entièrement refait à neuf se devait de répondre à la si longue attente du manque culturel !!! de notre ville en programmant un film de qualité.
C'est le cas pour ce film qui pose un certain nombre d'interrogations sur le pouvoir spirituel et qui fait réfléchir sur la nature humaine.
Et bien, les ingrats n'ont pas répondu aux espérances des élus qui se sont lancés dans la coûteuse restructuration du cinéma, où sont passés les six cents pétitionnaires qui s'insurgeaient hier de la fermeture par décision administrative du cinéma, qui clamaient l'urgence de regarder des films pour les enfants, pour les adultes et pour les gens d'un âge certain.... disparus!!!
Entre parenthèse, il n'est pas interdit de réfléchir sur la valeur d'une pétition, autrement dit est-ce que les signataires comprennent la raison , le contenu et la signification par leur signature de l'engagement qu'ils viennent de prendre?
Plus de sept cents signataires contre la destruction du minigolf et moins de la moitié à la manifestation , on peut toujours parler du temps mauvais mais cela n'explique pas tout .
Ce qui inquiète les quinocéens, au delà du coût pharamineux de la restructuration, c'est son coût de fonctionnement.
Cette séance du samedi 22/10/2011, à l'heure tardive de 22 heures, en est l'illustration et renforce toutes les inquiétudes.
Que la salle soit comble avec ses 167 places occupées ou avec 15 spectateurs , c'est du pareil au même, le coût de la projection est le même mais la recette est évidemment différente.
Les élus en majorité ont marqué leur défiance quant à la réalisation de ce magnifique cinéma au prix astronomique, ils ont aussi marqué par leur absence à la première séance privée, leur rejet du mode de gestion de la salle en régie municipale.
Il est souhaitable devant ce début de fréquentation où la curiosité n'a pas encore joué que les élus porteurs inconditionnels du projet (investissement et fonctionnement) multiplient leurs efforts de conviction pour faire venir la clientèle.
A ce jour, ils sont (4 ou 5 élus) bien seuls ... l'association "Ciné St Ké" est portée disparue et elle a oublié son rôle de "légat" de la municipalité reçu des mains de M Blanc.
A vivement le prochain conseil municipal, le 3 novembre 2011, avec l'annonce des chiffres de fréquentation du cinéma et la connaissance peut-être du nom du délégataire de service public retenu.

* lundi à 17 heures , pour le même film, 80 personnes étaient présentes à la séance.

JOUNENT michel

vendredi 21 octobre 2011

droit d'auteur 22/10/2011

LA PREMIÈRE SÉANCE







Quel bel élan de générosité le fait d'avoir invité le personnel communal et les élus municipaux à la première séance d'Arletty.
Je pense en particulier à tout le personnel de la Mairie, de la voirie, à tous ceux qui travaillent pour nous depuis des années et qui le méritent bien.
Encore eut-il fallu penser que l'on ne pouvait projeter une oeuvre cinématographique sans acquitter certains droits.
Moralité,les Quinocéens devront endosser la somme de 540 euros réclamée pour la dite projection....(probablement CNC, SACEM)
Vous me direz, pourquoi, faire toute une histoire pour une si petite somme certes , mais cela démontre une méconnaissance totale de certaines règles (sauf erreur de ma part, il y a bien un directeur censé connaître les obligations liées à toute manifestation publique) ou pire, se dire qu'il y aura toujours un cochon de payant (et certainement pas celui de Gaza drapé dans sa peau de mouton) pour payer la facture.
Pour terminer sur une note humoristique, je remercie chaleureusement les 13 élus qui n'ont pas voulu cautionner par leur présence le gouffre financier que représente déjà notre luxueux cinéma (même si les premiers chiffres de fréquentation ne sont pas catastrophiques), et quid du cocktail d'inauguration, toujours à nos frais....

Sur un abonnement qui donne une entrée à 5 euros, que reste t-il pour l'exploitant savoir la mairie) ???
Un petit euro probablement, guère plus, comparé au contrat annuel de 22000 euros pour le balayage et l'entretien de la salle, comme dirait Lucchini, mais c'est énorme.....




DUNIS Gilles


jeudi 20 octobre 2011

demi-mandat- 8ème partie 21/10/2011




huitième  partie.




BILAN D'ACTIVITE DE DEMI-MANDAT

      DU CINÉMA-DANCING DE 1935 au CINÉMA " ARLETTY " 2011.

Sous la municipalité dirigée par Alfred Delpierre (1), maire de Saint Quay Portrieux de 1919 à 1941, a été construit un complexe de distractions, un cinéma-théâtre avec dancing .
Ce bâtiment d'inspiration "Art Déco" est une construction en béton armé (nouveau  matériau des années  1930 ) sous la forme d'une équerre.
Cet ensemble est l'oeuvre de l'architecte départemental Jean Fauny (2), il a été édifié par l'entrepreneur Prosper Richet entre 1932/35.
Le 21 novembre 1995, il a été inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques... pour quelles raisons et à la demande de qui ???
La salle "Yéyé " occupe actuellement la salle du dancing.
Le cinéma-théâtre pouvait à son ouverture recevoir environ 350 spectateurs ( salle de plein pied et mezzanine ).
Sous la partie théâtrale et son espace scénique se trouvaient les loges d'artistes.
La projection des films jusqu'à sa fermeture se faisait par un projecteur traditionnel utilisant des bobines de pellicules argentiques.
Au lendemain de la seconde guerre mondiale , on pouvait fréquenter deux cinémas à Saint Quay , le cinéma municipal qui deviendra "Arletty " et le "Celtic" avec ses chaises en bois.
La fréquentation de ces salles a suivi l'évolution de la société, elle a connu la transformation de la station balnéaire, elle a subi le déclin de l'activité commerciale de la ville et elle a dû faire face à d'autres moyens de distraction , la télévision en particulier.
Le renforcement de la réglementation concernant les Etablissements Recevant du Public a multiplié les contraintes et rendu difficile non seulement la rentabilité d'un petit cinéma de province mais a posé très clairement l'équilibre financier d'une telle entreprise.
En 1975, le fonds de commerce du cinéma appartenant à la ville a été vendu à M Lutse René et à Mlle Lutse Sylvie pour 150 000 francs.
Le 30 juin 1993, la commune cède de nouveau le fonds à la SARL "Glozel" pour la somme de 250 000 francs (200 000 frcs pour les éléments incorporels et 50 000 frcs pour le matériel).
Au fil des années, le gérant de cette SARL a constaté la baisse sensible des spectateurs, il n' a pas fait les travaux d'entretien obligatoires pour le respect de la réglementation des EPR , faute de moyens, il a négligé le chauffage de la salle durant la mauvaise saison, de plus, il interrompait les séances lorsqu' il y avait moins de cinq clients et pour terminer sur sa mauvaise situation financière, il a procédé à la fermeture de la mezzanine pour obtenir un changement de catégorie du cinéma afin de réduire le coût  de  la  mise en sécurité.
La commission de sécurité de l'arrondissement de Saint Brieuc, suite à sa visite du lundi 26 mai 2003, a émis un avis défavorable à la poursuite de l'exploitation de l'établissement; ce procès verbal a été notifié à l'exploitant par le maire G.Lambotte et transmis au Préfet des Côtes d'Armor ainsi que toutes les informations concernant la réalisation des travaux prescrits.
Le 25 mars 2005, le conseil municipal s'est prononcé favorablement sur le principe d'acquérir le fonds du cinéma "Arletty" et a autorisé le maire à engager les négociations nécessaires.
Le 3 mai 2005, le conseil municipal a voté l'achat du fonds et du matériel pour la somme de 11 000 € (71 155.27 francs ) à l'unanimité des 17 votants.
Le cédant , la SARL n 'a produit aucun document comptable.
La municipalité sortante se proposait de remettre en service le cinéma par une restauration "à minima" sur la durée de la mandature.
Remise aux normes de la salle, révision du mode de chauffage, restauration de la partie théâtrale , numérisation de la projection et de la sonorisation.
L'audit de plusieurs délégataires laissait entendre que pour une gestion correcte , la municipalité devrait couvrir un déficit avoisinant les 20 000 € annuel, il y a six ans de cela.
Avant de commencer les travaux, dans une période où se préparait la construction de l'aire de carénage pour une somme de plus de 3 000 000 €, la municipalité a sollicité la société "NORISKO construction" pour une première expertise des parties visibles et accessibles de l'ouvrage, des équipements électriques et de l'installation gaz.
Ce diagnostic, en date du 9 octobre 2006 , a fait l'objet d'un rapport de 42 pages comportant de très nombreuses observations.
La demande de réouverture du cinéma existait chez les quinocéens, le soucis aussi de trouver un moyen efficace pour limiter le déficit de fonctionnement traversait les conseillers municipaux soucieux de l'usage des deniers publics.
A ce titre qu'il s'agisse d'une régie ou d'une délégation de service public, le problème du financement du déficit d'exploitation reste le même; la loi interdit en effet de couvrir le déficit par une subvention du budget général.
Tant mieux pour le contribuable quinocéen mais qui paiera le déficit ? les usagers!!!
La nouvelle municipalité élue sous le titre "Autrement " proposait dans son programme la réouverture rapide du cinéma -théâtre.
En septembre 2007, on pouvait lire sur le blog du candidat Dominique Blanc "ouvrir le théâtre municipal est urgent car c'est une nécessité d'offrir des spectacles , conférences et séances de cinéma"; à la veille de l'ouverture du cinéma, qu'est devenue la partie théâtrale, que signifiait le mot urgent chez M Blanc?
De toute façon, la subvention espérée du CNC empêche toute activité autre que le cinéma d'ou l'impossibilité d'étaler les frais d'exploitation par l'intermédiaire d'activités théâtrales, conférences, cabaret etc...
D'ou l'idée tardive de M Blanc d'associer une médiathèque au cinéma dans la salle "Yéyé" pour partager le coût de fonctionnement du cinéma.
Cette idée figurait dans le programme électoral de M Lambotte, M Blanc n'a donc rien inventé.
Trois années se sont passées depuis la prise en main de ce dossier par M Blanc, trois années où ce projet de restructuration a connu de nombreuses variations et le coût des travaux... une inflation prodigieuse.
Le cinéma pourrait sans détour connaître une autre appellation, celle de Dominique Blanc, tant cette rénovation est totalement l'affaire personnelle du maire .
Les élus, à la veille du 19 octobre 2011, le jour de la première , ont été totalement écartés de la réalisation de cette salle, ils sont restés à regarder de loin se réaliser le projet mégalomaniaque de M Blanc.
Cette restructuration est le fruit d'un élu novice dans la gestion d'une collectivité locale, elle souligne aussi un certain nombre d'incompétences de notre premier magistrat et elle montre son côté dépensier par son recours à multiplier les emprunts.
L'ignorance des premiers temps, qui a conduit le maire à ignorer que le cinéma était à l'inventaire supplémentaire des monuments classés, a coûté cher aux contribuables quinocéens.
L'absence de concertation avec les membres du conseil, le refus de les écouter a fait bondir le budget de ce cinéma high-tech de 167 places.
Au début , le maire annonçait une somme de 750 000 € HT, on est passé rapidement à un 1 000 000 € HT , on parle maintenant de 1 300 000 € HT mais plus certainement de 1 500 000 € HT.(3)
Le maire ne veut pas ajouter à ce budget annexe du cinéma la dépense de la transformation de la place Jean Baptiste Barat et la réalisation de l'allée dallée en granit avec ses bancs publics et ses spots bleus photovoltaïques qui mène à l'entrée de la salle.
A cela, il faudra faire l'avance de trésorerie de la TVA à 19.6% qui sera remboursée à la commune dans deux ou trois ans au plus tôt, au taux de 15.482%.
Cette avance de 300 000 € environ n'est pas d'un montant négligeable pour les finances locales.
La grande question posée par l'ouverture de ce cinéma , hors du commun pour une ville de 3 200 habitants sur 10 mois de l'année, est le coût de son fonctionnement et sa manière singulière de commencer son activité.
Le conseil municipal, dans une sagesse retrouvée, demandait la venue d'un délégataire pour lui confier l'exploitation et la gestion du cinéma , il n'a pas été suivi.
Un premier appel à candidatures a subi un "mauvais sort " et on a assisté à l'embauche sans modération de plusieurs professionnels , le directeur de la salle , une projectionniste, une entreprise de nettoyage, la mise à disposition du personnel communal et tout ce qui n'est pas connu des élus.
La programmation pour le premier mois de fonctionnement de 59 séances de projection marque un volontarisme qui risque aussi d'augmenter fortement le déficit de fonctionnement annoncé.
Cette affaire autour du cinéma municipal au coût démesuré montre, depuis des mois, le mauvais fonctionnement de la municipalité.
L'autoritarisme du maire et l'opacité du financement de ce projet expriment une dérive inquiétante; on est de plus en plus loin de la description faite dans le programme "Autrement" du rôle du maire et de ses conseillers visant à se mettre au service de la population en sachant l'écouter, en remettant la relation humaine au coeur de leurs préoccupations.
Le maire n'écoute pas les conseillers municipaux , encore moins ses adjoints et il ignore les habitants de la ville aussi, il ne faudra pas s'étonner du côté largement hasardeux de la réouverture de ce cinéma haut de gamme .
Aider la culture en général est louable, apporter au plus grand nombre le goût du savoir et de la réflexion est magnifique , faire découvrir le monde et toutes ses différences est une belle aventure, la première programmation rapportée aux sommes engagées dans ce cinéma et son fonctionnement déficitaire confirme que l'on fait fausse route.
Dans un pays en crise ou rien de bon n'est annoncé, s'amuser à dire que la culture n'a pas de prix est irresponsable.
La projection du nombre de films affichés dans la programmation est inquiétante et confirme l'appellation que le maire avec son cinéma en régie municipale est vraiment "Autrement". et que surtout la course à faire à tout prix de la recette est lancée.
Le terme " Pole culturel" de cet investissement après cette programmation reste bien sûr à découvrir !!!

JOUNENT michel                                                                            LAMBOTTE gérard

(1) Delpierre Alfred, né à Rouen en 1875, décédé en 1957.
(2)Fauny jean (1896-1973) .
(3) la connaissance du coût de cette restructuration  du cinéma  municipal, de ses abords et de son fonctionnement  en régie est très difficile  à  obtenir.
Le maire répond avec difficulté aux courriers adressés visant  à obtenir les actes administratifs concernant  les  investissements , le financement  du cinéma  et aussi sur  tous  les sujets de  la vie  municipale.
Il  oublie trop souvent  qu'il est  le garant de  la  loi et qu'il se doit de l'appliquer et en particulier l'article  2 de  la  loi du  17 juillet  1978 relative  à  la  liberté d'accés aux documents administratifs.
Les documents  se rapportant à des  pièces destinées à  finaliser les actes et contrats faisant  suite  à une délibération du conseil municipal,  sont  COMMUNICABLES.

mercredi 19 octobre 2011

privilège 20/10/2011



L'ALLÉE DU ROI !!!







L'allée menant à l'habitation du maire est maintenant rénovée, il ne reste plus qu'à la transformer en voie privée.


Ces travaux apparaissent comme le fait du prince et cela sonne pour nombre de riverains du boulevard du Littoral, comme un passe droit.
Dans Saint Quay, de nombreuses rues ont des trottoirs et leurs chaussées à l'abandon; on ne dira jamais assez que, s'il faut bien commencer par quelque part , c'est du plus mauvais goût de débuter par la rue du maire et celles de sa coterie.
Quelques exemples où refaire les travaux de voirie est urgent :
La rue de Dol, artère passagère, avec ses arbres en mauvais état et son trottoir herbagé.
La place Sainte Anne, parking abandonné aux voitures.
Les venelles et la plupart des rues du quartier historique des pêcheurs du Portrieux.
La place d'Armes, véritable marigot les jours de pluie.
La rue Géniet avec ses nids de poule où même avec une bonne suspension, on est secoué dans son véhicule.
On pourrait multiplier les exemples et, tout en comprenant que la municipalité ne peut pas entreprendre tout en même temps et qu'il faut hiérarchiser les travaux de réfection, on reste cependant perplexe par "ce goût de soi au détriment du goût des autres".
Vieil adage proposé par M Blanc pour gagner les élections en 2008.
Si certain, aujourd'hui, préconise de remettre en marche la machine à rêver , à Saint Quay Portrieux le réveil est brutal pour tous ceux qui ont cru que M Blanc voulait sortir la gestion de la ville de la médiocrité.

JOUNENT michel

mardi 18 octobre 2011

habémus ...19/10/2011


HABEMUS CINEMA!!!




Achtüng (zut encore une allusion...volontaire celle ci ) une petite fumée blanche m'est apparue ce matin, depuis le temps que nous attendions cette volute, elle nous annonce son arrivée, oyez oyez contribuable Quinocéen, HABEMUS CINEMA.
Je me sens tout chose, tant la culture m'avait fait défaut durant toutes ces années de disette.
Elle arrive la culture, que dis je, elle déferle tel un tsunami que rien ne peut arrêter, nous allons tous être pénétré par cette manne divine, ah, sortir de notre médiocrité, cela valait la peine d'attendre et d'investir autant d'argent, la culture n'a pas de prix (ah bon ???)
Et lorsque je vois la liste des premiers films, la culture est vraiment au rendez vous ....et "le cochon de Gaza", va t-il nous faire du beau lisier pour alimenter les algues vertes d'Hillion???
Comme le disait Geneviève Tabouis en son temps, si tel est le cas, attendons nous à recevoir de vives protestations de la part des écolos pourfendeurs de pollution, nous les attendons de pied ferme, et s'ils viennent manifester devant le cinéma, qu'ils en profitent pour prendre un billet, cela fera toujours quelques entrées, car 19 projections la première semaine, il fallait oser.....
En ce qui me concerne, nul besoin d'aller voir" la nouvelle guerre des boutons", il m'en pousse tous les jours lorsque je pense à l'investissement et au déficit annuel que nous allons devoir régler d'une façon ou d'une autre, mais tout compte fait ce sursaut d'acnée juvénile me fait retrouver une seconde jeunesse, ah qu'il était bon le temps des flirts au dernier rang du balcon.....

Habemus cinéma, et si habemus clients à la mesure de cette réalisation, cela sera un moindre mal, mais entre nous, je n'y crois pas, et les premiers pointages nous diront si mes prédictions étaient bonnes.

DUNIS Gilles

dimanche 16 octobre 2011

la disparition 16/10/2011



Ciné-club...




Un seul être vous manque et tout votre univers de cinéphile s'écroule.
En l'occurrence, l'association "Ciné StKé", présentée par le maire comme son ambassadrice auprès du public pour assurer un vrai démarrage, un bon fonctionnement de la salle de cinéma dès son ouverture et pour que ses adhérents sollicitent la venue des spectateurs habitant dans le fameux triangle -Paimpol, Guingamp, Saint Brieuc -, est aux abonnés absents .
Son blog, depuis le 11 septembre 2011, est entré dans la clandestinité, il est atone, aphone et rien n'y est lisible.
Pas un mot sur la date d'ouverture du cinéma municipal.
Pas un mot sur la première, réservée aux élus et au personnel communal.
Pas un mot sur le caractère populaire de la programmation.
Pas un mot sur la programmation de 18 films dont trois en 3D sur la période s'étalant du 19 octobre au 8 novembre.
Pas un mot sur la tenue de 59 séances dont une en VO se répartissant sur 23 jours d'ouverture de la salle.
Depuis le départ de plusieurs membres fondateurs de l'association, il semble y avoir de l'eau dans le gaz et le courant ne passe plus parmi les sociétaires restants.
Il apparaît d'ores et déjà que la critique négative du piètre spectacle son et lumières du 15 août , altère l'autorité du Président de "Ciné St Ké".
Il a eu beau répéter qu'il ne fallait pas confondre les deux présidences "Ciné St Ké " et "Animations et images d'armor" à la veille de l'ouverture tant attendue du cinéma ,il est notoire que l'une de ses deux casquettes est lourde à porter.
Il en va ainsi pour toutes les associations loi 1901 où le président créateur oublie que le principe même de l'association est la démocratie.
Autrement dit : l'exercice solitaire et autoritaire de toutes les responsabilités finit par exaspérer et éloigne les bonnes volontés.

JOUNENT michel


mercredi 12 octobre 2011

Arlette 14/10/2010




NOTRE CHER CINEMA...




Notre ami Gilles Dunis s'interrogeait récemment dans ce blog sur le coût total de l'opération "Arletty" et sur son financement.
Eh bien, il lui suffisait d'attendre « La Presse d'Armor »  de ce mercredi 12 octobre puisque semble-t-il notre maire réservait à cet important organe de presse la primeur de ces révélations tant attendues.
Notons tout d'abord que la feuille locale a rebaptisé « Arlette » notre cher cinéma (Cher oh combien !) rendant ainsi raison à ceux qui continuent à s'insurger de cet hommage à la collaboratrice horizontale la plus célèbre.
Mais revenons à nos chiffres, le coût total serait de 1,3 Millions HT, ce qui ne surprendra pas les lecteurs de ce blog qui avait depuis longtemps annoncé ce montant.
Les subventions atteindraient 200 000 € du CNC, 135 000 € du Conseil Régional et 45 000 € du Conseil Général plus 90 000 € de ces mêmes organismes, à d'autres titres. Notre Maire affirme donc que l'on couvrira 50% de l'investissement. Tiens, c'est drôle, je n'arrive pas à ce pourcentage !
Or, si je ne m'abuse, qu'est-ce qui approvisionne le budget de la Commune, du Conseil Régional et du Conseil Général ? Mais ce sont bien sûr nos taxes locales, à des degrés divers.
Donc, à l'instar du Kouign-Amann qui comme le sait tout bon breton nécessite au moins trois ingrédients : le beurre, le beurre et encore le beurre, nous pouvons dire que le cinéma Arlette est financé par nous, par nous et encore par nous.
Mais au fond, ces préoccupations comptables sont bien mesquines au regard du choc culturel que va provoquer la programmation des premières séances :
« Les trois mousquetaires », le film des Charlots j'espère? c'est de circonstance.

OCTAVE

demi-mandat 7ème partie 13/10/2011




septième partie



BILAN D'ACTIVITÉ DE MI-MANDAT.

SERVICE D'ASSAINISSEMENT.

Lors du Conseil Municipal du 27 juin 2008 M Blanc précisait "que les conditions d'exploitation (du service d'assainissement ) ont évolué depuis 2002, ce qui a amené depuis déjà plusieurs mois à une discussion d'ordre financier, technique et juridique avec le délégataire ( Veolia ).Compte tenu de la complexité de la situation, la Commune a missionné le Cabinet de conseil FCL dont l'étude est actuellement en cours."
Le procès verbal ne nous en apprend pas beaucoup plus sur l'origine de ce qui est appelé pudiquement une discussion avec Veolia et les exigences essentiellement financières de l'exploitant.
En substance Veolia demandait à la précédente municipalité.
La prise en charge par la Commune du surcroût engendré par le traitement des boues de la station d'épuration, c'est à dire la transformation de ces boues en briquettes et leur incinération en remplacement de l'épandage par les agriculteurs dans le cadre d'un plan d'épandage. Le surcoût de cette modification du traitement des boues était chiffré par Veolia à 100 000 € par an.
La question se  posait de savoir si c'était  la Commune ou Veolia qui devait  supporter cette charge  supplémentaire en application du contrat  de Délégation de Service Public.
le reversement par la Commune à Veolia de la prime d'épuration versée par l'Agence de l'Eau en tenant compte de l'augmentation de cette prime.
Mais l'Etat ayant prévu de la supprimer, la question était de savoir si la Commune devrait continuer à reverser ce qu'elle n'allait plus percevoir.

Le coût financier des exigences de Veolia était de nature à modifier suffisamment l'économie du contrat et pouvait justifier une remise en concurrence de la délégation de service public (DSP ).
Devant l'absence de réponses de Veolia aux questions posées c'est en dernier recours la solution qui était envisagée par la municipalité précédente.
Pour financer le coût de cet "arrangement " M Blanc a augmenté la redevance payée par les usagers alors même que les excédents budgétaires du service de l'assainissement permettaient sans aucun doute de faire face , éventuellement, aux exigences du délégataire.

En effet,d'après les chiffres du compte de gestion 2010 du percepteur,le budget annexe de l'assainissement fait apparaître.
en fonctionnement un excédent de:
542 570.34 € de report de l'exercice 2009.
329 609.38 € résultat de l'exercice 2010.
soit au total un résultat de clôture en excédent de 872 179.72 € dont il faut déduire en dépense 101 679.76 €
soit un excédent de 770 449.76 €
en investissement un excédent de :
131 931.71 € de report de l'exercice 2009.
207 549.81 € résultat de l'exercice 2010.
soit au total un excédent de clôture de 339 481.52 € dont il faut déduire en dépense 134 895.16 €
soit un excédent net de 204 586.36 €
Ensemble en fonctionnement et investissement , il ressort un excédent global net de 975 086.12 € de reports de l'exercice 2009 et des résultats de l'exercice 2010.

Soit près de 1 million d'euros.

Au delà de l'aridité des chiffres, bien qu'ils soient très parlants et au vu du résultat de l'étude confiée en 2008 au Cabinet FCL (une de plus ), le manque habituel de transparence de M Blanc nécessite quelques mises au point pour l'information des quinocéens dans un domaine qui conditionne leur qualité de vie au quotidien.
les problèmes de l'assainissement à Saint Quay étaient déjà connus bien avant, la précédente municipalité qui avait mandaté la Direction Départementale de l'Equipement pour les étudier et proposer des solutions.
Sans augmenter la redevance payée par les usagers, des excédents budgétaires dont on a vu l'importance ont été accumulés pendant toute la durée du mandat pour faire face au financement des propositions techniques de l'Equipement.
Au lieu d'utiliser l'aide d'un service de l'Etat dont une des missions est d'aider les collectivités locales, M Blanc a préféré recourir à un cabinet privé, certainement plus onéreux.
Il aurait été préférable pour ne pas perdre de temps de poursuivre l'étude menée par le service de l'Equipement et qui avait déjà fait l'objet de plusieurs réunions avec notamment les maires de Plourhan et de Tréveneuc.
En effet l'urbanisation dans ces communes a pour conséquence une augmentation des effluents traités par la station d"épuration de Saint Quay Portrieux qui arrive à saturation.
Le mode actuel d'exploitation de la station limite sa capacité de traitement à 8 800 équivalents /habitants, capacité aujourd'hui insuffisante.
Devant les difficultés d'implantation d'une nouvelle station, ou l'agrandissement de la station existante, pour des raisons, de foncier et d'environnement, il semblait préférable de s'orienter vers un mode différent d'exploitation sur le même site.
L'objectif était de porter la capacité de traitement de la station à 22 000 équivalent/habitant. Elle avait été envisagée à l'origine mais finalement abandonnée pour une méthode de traitement plus conventionnelle. On a ainsi limité la capacité à 8 800 équivalent /habitants.
L'actualisation des conventions avec les Communes de Plourhan, Tréveneuc et Etables sur mer devaient prévoir leur participation financière à cet investissement.
Le choix de nouvelles techniques de traitement plus soucieuses de l'environnement devaient avoir pour objectif la diminution des nuisances qu'il s'agisse du fonctionnement lui même de la station ou du stockage des boues.
Dans l'immédiat plusieurs initiatives ont été prises :
la couverture partielle des ouvrages de la station pour limiter les odeurs.
l'équipement des deux postes de relèvement du Quai de la Douane et de la Place d'Armes pour empêcher la production d'hydrogène sulfurée, à l'origine des odeurs dégagées par la station. Encore faudrait-il faire fonctionner ces équipement; ce qui ne semble pas être le cas compte tenu de la persistance des odeurs.
la recherche et éliminations des entrées d'eau pluviale dans le réseau d'assainissement ce qui perturbe le fonctionnement de la station.
Ces entrées d'eau parasites ont fait l'objet d'une enquête de terrain par fumigènes dans le quartier du port notamment.
Aucune mise en valeur de ce quartier ne sera possible et efficace, si on ne traite pas la réhabilitation des réseaux souterrains et l'effacement des réseaux aériens.
La politique est l'art des choix. Il n'est pas certain que donner la priorité aux voies qui desservent les domiciles du maire et de deux de ses amis soit le bon choix et est donc une mauvaise politique.
l'élaboration d'un schéma du réseau communal d'assainissement qui était également en cours d'étude.
la mise en place d'un service de l'assainissement non collectif qui est exigé par la Loi.
la réhabilitation du réseau d'assainissement qui a été mené conjointement avec les travaux de voirie; boulevard Foch et la rue de La Victoire notamment.
Les conclusions du cabinet FCL ne font que reprendre les constatations des problématiques relatives à la gestion de l'assainissement , en substance les relations entre la ville de Saint Quay Portrieux et la ville de Tréveneuc.
Quant au plan d'action préconisé par le cabinet FCL, il n'est qu'un "copier-coller" des actions à l'étude ou engagées par l'ancienne municipalité.
Il oublie d'ailleurs: l'objectif essentiel l'augmentation de la capacité de traitement de la station d'épuration auquel il convient d'ajouter les travaux du réseau d'assainissement du port (préalable à la réhabilitation et la mise en valeur de ce quartier).
En définitive bien peu de choses ont été faites en plus de trois ans dans ce domaine de l'assainissement et le bilan de M Blanc apparaît plus que mince face à celui de son prédécesseur.
Comme toujours les promesses de M Blanc sont purement démagogiques et les réalisations les plus modestes d'un programme ambitieux tardent à voir le jour.
Sous couvert d'études, de concertation et de négociations, les fonds publics sont dépensés au profit d'intérêts privés quand ils ne sont pas dilapidés au grand détriment , en l'espèce, des usagers.
Aucune transparence, aucune justification ne sont données au conseil municipal et aux citoyens .
La délégation de pouvoir sert de prétexte à une gestion autocratique du maire.
Les échecs dont on oublie le coût et les impasses auxquelles conduit la méconnaissance de la gestion des affaires publiques sont imputés en bloc aux lenteurs de l'administration, aux anciennes équipes municipales, au prédécesseur et plus globalement aux autres*****

LAMBOTTE Gérard                                                                           JOUNENT Michel

lundi 10 octobre 2011

serrer la ceinture 11/10/2011

RECESSION
 OR
NOT RECESSION




Nous y sommes (presque), et sauf incident de dernière heure, Arletty sera ouverte le 18 Octobre (je veux dire la salle bien sûr, aucun lien sournois avec le passé tumultueux et controversé de cette grande actrice...).
Du reste, j'eusse aimé que l'on donnât un autre nom à ce bijou, personnellement j'aurai répondu sans hésitation JULES BERRY , quel acteur monumental.
Mais revenons à nos moutons (à cinq pattes pour les cinéphiles..).
Saint Quay va disposer d'une merveille de technologie, au décor sobre mais classieux, avec un environnement somptueux (parking refait, allée superbe bordée de verdure), bref de quoi être fier de disposer d'une telle salle.
Maintenant examinons l'envers du décor:
-un coût de travaux exorbitant (dont personne ne connaît le montant réel...)
-des subventions ??? dont le montant est mystérieux...
-une note de chauffage pour l'hiver qui sera salée.
-le salaire d'un directeur (très affable au demeurant).
-idem pour le ou la projectionniste.
-et j'en oublie probablement...
J'ai entendu, la semaine dernière , prononcer le mot RECESSION MONDIALE, alors je pose ma question: était-ce le bon moment pour se lancer dans des dépenses pharaoniques, et tout çà parce qu'une infime partie, je souligne infime, s'ennuie le Samedi soir, ces cinéphiles sont demandeurs? et bien qu'ils soient les payeurs, et je suis prêt à parier (petit rappel j'ai déjà gagné mon premier pari concernant la date d'ouverture...) qu'on ne les verra pas souvent dans la salle.
Dernière petite chose, et là voici un chiffre qui va vous murmurer  à l'oreille (et même à celle des chevaux..) : sauf erreur de ma part, la note pour le nettoyage de la salle s'élèverait à quelque 20.000 euros par an !!! et bien sachant qu'une fois déduits toutes les taxes, sur une base de 7 euros l'entrée, il ne resterait que 2 euros pour l'exploitant (pour l'instant la municipalité), les 850 premiers spectateurs MENSUELS (à quelques unités près)?ne serviront qu'à régler la note de balayage......Et vous trouvez çà drôle ??? Pas moi.
Quand le vin est tiré, il faut le boire, à ce propos combien pour le cocktail d'inauguration???
La récession n'a pas atteint Saint Quay, faisons l'autruche, la tête dans le sac (celui là, seuls les grands cinéphiles l'auront compris...) gaspillons, dépensons, messieurs les élus votre nom restera à jamais synonyme du trou (pas Normand celui là), vous devrez bien un jour en répondre devant la population...........silencieuse mais pas dupe.

DUNIS Gilles

P.S: "La tête dans le sac" d'après la BD de Lauzier, avec Guy Marchand et l'excellent et regretté Jacques François....

dimanche 9 octobre 2011

agenda 09/10/2011

C'EST LA RÉVOLUTION EN CE MOIS D'OCTOBRE ...




Pour s'en assurer à Saint Quay Portrieux, il suffit de lire l'agenda de la vie municipale... sur mon blog.
C'est bien la peine d'avoir, au bout de trois et demi de mandat, ouvert un site officiel , soi-disant complémentaire au blog municipal, pour aujourd'hui constater que l'information de la municipalité se fait rare.
Elle est d'autant plus chiche cette information que dans un même temps circulent en ville des notes de service signées du maire .
A l'évidence, il est impossible de tenir secret le contenu de ces notes.
Le cinéma "réalisation majeure de cette municipalité" au coût maintenant astronomique sera bientôt opérationnel.
Après le cambriolage du cinéma, il faudra aussi dépenser une certaine somme pour une alarme efficace ou ne pas oublier de la mettre en fonctionnement.
Le mardi 18 octobre 2011, à 20 H , les élus et le personnel communal sont conviés à la première séance (port de la cravate exigé pour les hommes et tenue sobre pour les femmes).
le mercredi 19 octobre 2011, à 20 h , ouverture au public de cette superbe salle avec son magnifique parking attenant à l'éclairage éblouissant.
Le titre du film projeté est encore dans le domaine de la surprise!!!
le vendredi 28 octobre 2011, à 18 H inauguration officielle, à noter que le ruban tricolore sera coupé au milieu des flon-flon , d'un buffet somptueux parce qu' onéreux et tout cela pendant les vacances scolaires de la Toussaint , vacances communes aux trois zones. Le maire n'oublie jamais les résidents secondaires.
Le lendemain des vacances scolaires:
Conseil municipal, le jeudi 3 novembre à 18H30, l'ordre du jour est encore inconnu, mais cela" grenouille" sérieusement ces derniers temps au sein de la municipalité.
Il ne sera pas interdit de demander au maire durant cette assemblée, l'usage de l' emprunt de 1 000 000 € sollicité auprès de "la Caisse d'épargne " en décembre 2010 dans le cadre de ses délégations. Il n'est toujours pas mobilisé à ce jour.
Il ne sera pas interdit de demander aussi pourquoi l'achat des murs de la maison de la presse du Portrieux n'est toujours pas réalisé , la transaction de 100 000 € n'est pas effectuée.
Et puis , il sera temps au cours de ce conseil , le dernier avant la discussion du budget primitif 2012 et du vote des différents taux d'imposition, de poser les bonnes questions sur la gestion solitaire et dépensière du maire de la commune.

JOUNENT michel

jeudi 6 octobre 2011

honteux 07/10/2011

UNE ERREUR...
NON UNE FAUTE !!!







Les travaux ont repris dans l'impasse de la Grève Gicquel.
Chacun sait que cette rue est celle où réside monsieur le maire.


Les riverains de ce quartier du Gerbot d'Avoine sont outrés de constater cette espèce de privilège que s'est octroyée M le maire en faisant de sa rue la chaussée idéale que chaque quinocéen voudrait voir en sortant de son domicile.
éclairage public efficace et peu consommateur.
alimentation de l'eau refaite, alimentations électrique et téléphonique enfouies.
assainissement remis aux normes.
enrobé permettant un roulage silencieux.
Les quinocéens du Portrieux empruntant le bd du Litorral et passant devant la rue de M le maire sont outrés, eux aussi, en faisant la comparaison avec les rues de leur quartier.
Le Portrieux est un quartier à l'abandon et le symbole de cette situation est du côté de la place du Centre.
Malpropreté, chaussée défoncée, éclairage public incertain, fils électriques et téléphoniques formant une toile d'araignée au dessus des têtes, le quartier du Portrieux est sale et, hormis le fleurissement du bas de la rue Clemenceau avec l'élargissement de ses trottoirs, les habitants de ce quartier se désespèrent d'être abandonné par la municipalité.
Et pour sortir du Portrieux , l'état de la rue Géniet donne la mesure de cet abandon.


La dernière mandature avait entamé différents travaux dont l'éclairage public et, depuis trois ans et demi, plus rien.
La chaussée de cette voie ressemble à une tôle ondulée , les nids de poule sont nombreux et les trottoirs sont dans un mauvais état ou inexistants, cette sortie de ville est indigne pour notre commune.
Ce n'est pas une erreur de commencer la réfection d'une rue par celle où l'on demeure, M le maire, c'est une faute ...une faute morale.

JOUNENT michel

mercredi 5 octobre 2011

cambriolages 05/10/2011

SÉRIE DE CAMBRIOLAGES
À SAINT QUAY PORTRIEUX....




Après "L'hôtel du Commerce" victime, dans la nuit du 1au 2 octobre 2011 d'un vol avec effraction, suivi de nombreuses dégradations , c'est au tour de trois établissements communaux de connaître la visite nocturne de malfaiteurs.
Il s'agit : du cinéma "Arletty", de l'office du tourisme et du CLJ.
Effractions ,vols et dégradations ont été constatés au matin du 5 octobre 2011.

Les deux caméras vidéo promises aux abords du cinéma ne sont pas installées à cette heure et le système de vidéo surveillance n'est pas opérationnel à ce jour.
Il n'est pas interdit aux quinocéens, après la succession de nombreux méfaits en ville, de méditer sur les promesses du maire contenues dans son programme électoral"Autrement" dans le chapitre: sécurité des citoyens.
Et surtout de mesurer où conduit la démagogie, on se souvient de sa manière expéditive à réduire de 50% le personnel de la police municipale et de la mise à la retraite du chien policier, il mangeait beaucoup trop soi-disant!!!
D'un côté les forces de gendarmerie couvrent maintenant plusieurs cantons et leurs interventions se font souvent attendre , de l'autre côté la construction par le maire d'un système de vidéo surveillance constitué de dix caméras.
Aujourd'hui cela ne dissuade pas à Saint Quay , il faudra en tirer rapidement les conséquences.

JOUNENT michel

mardi 4 octobre 2011

inauguration 04/10/2011



BIENVENUE Á BORD...






Cela devrait être le titre en gros caractère de l'information municipale par son blog , par son site officiel voir par la presse régionale, annonçant l'ouverture du cinéma au public.
Actuellement cette date d'ouverture circule sous le manteau.
Une note officielle signée du maire invite les élus et le personnel communal à une première, le mardi 18 octobre 2011 à 20 heures.
Le mercredi 19 octobre 2011 à 20 h , ce sera au tour des quinocéens et des habitants des communes voisines de découvrir le cinéma restructuré qui aura occupé toute l'attention de notre maire durant ces trois dernières années.
Le titre du film projeté lors de ces deux soirées, demeure encore inconnu!!
On en a pour notre argent rapportait " La presse d'Armor", c'est maintenant sûr cette "réalisation majeure de la municipalité" représente un investissement très lourd et le contribuable quinocéen ne manquera pas d'en mesurer le poids.
La somme totale engagée pour reconstruire le cinéma communale , géré pour encore combien de temps en régie municipale, est tenue secrète.
Pour projeter des films dans le cadre d'une distributeur à l'appellation secrète, la municipalité a recruté pour trois mois, pour commencer, une projectionniste.
Ils demeurent chez quelques élus la préoccupation du coût de l'exploitation 2011 de cette superbe salle de 167 places et les plus inquiets s'interrogent sérieusement des retards de la mise en route d'un délégataire de service public.
Chaque jour des engagements* municipaux font craindre que cette DSP soit notre "arlésienne "locale. *(entretien des locaux , embauche d'un directeur, embauche d'une projectionniste et tout ce que l'on ignore ).
Sur le fonctionnement de cette magnifique salle, on est dans le flou total et il n'a rien d'artistique.
Du côté de la place jean baptiste Barat, les travaux vont bon train, on termine l'éclairage et les candélabres recevront les 2 caméras de vidéo surveillance.
Le cinéma et le parking seront à l'abri des actes de malveillances, tant mieux!!!
L'allée recouverte de dalles en granit qui mêne à l'entrée sera munie de poteaux anti- stationnement de véhicules il ne manque plus que le tapis rouge et les spots lumineux.
Il reste encore pas mal de "boulot" pour préparer le grand soir, la signalétique en ville indiquant la situation du cinéma n'existe pas, les panneaux en ville indiquant les programmes et les horaires du cinéma sont pour l'instant oubliés.
Pour terminer sur ce chapitre informant insuffisamment la population quinocéenne et celle des alentours sur la mise en service du cinéma municipal "Arletty" gérée en régie municipale dans le cadre d'un budget annexe, il est remarquable de constater que l'association Ciné StKé est silencieuse.
Le 9 août 2011, au cours de l'assemblée générale de l'association Ciné St Ké, M Blanc en tant qu'invité, soulignait que les adhérents de l'association devait jouer " le rôle d'ambassadeurs auprès du public pour assurer un bon démarrage, un bon fonctionnement dès le départ et solliciter les spectateurs se trouvant dans le triangle Saint Brieuc, Paimpol et Guingamp"² et pour conclure notre maire dans un style hollywoodien appelait pour notre ville à la présence "d'un cinéma vivant".
Le blog de l'association Ciné St ké à moins de quinze jours de la mise en route du cinéma tant attendu par ses sociétaires, ne réagit pas à cette bonne nouvelle.
Il vrai que depuis le quinze août 2011, le sieur Le Tallec Président de "Ciné St Ké" à ne pas confondre avec monsieur Le Tallec Président d' "Animations et images d'Armor ", association qui a promu le spectacle atterrant "les mystères du Goélo" a vu son étoile pâlir.
La création d'un cinéma d'"art et d'essais" prôné par M Le Tallec ne semble plus devant les problèmes posés la mise en route du cinéma , être une urgence , il n'échappe à personne que pour se garder de provoquer de la gestion du cinéma un gouffre financier il faut aussi se garder de fantaisistes dilapidateurs des fonds publics , prêt à faire du cinéma ce que fait le Bernard l'ermite toujours en quête d'un coquillage vide pour se loger.

JOUNENT michel

² triangle dit "des bermudas"