LA CHARRUE AVANT LES BŒUFS...
Trop d'incertitudes planent sur la proposition de dernière heure faite au maire par l'association "Jeanne d'Arc" autour de l'achat possible d'une parcelle de terrain à un prix attractif.
Pendant les six années de la mandature "Autrement",
les bâtiments inoccupés de la Congrégation des" filles de
Saints cœurs de Jésus et de Marie" ont continué à
se dégrader sans beaucoup préoccuper les propriétaires
et la direction de la municipalité .
Six ans, c'était un délai suffisant pour bâtir un
projet, pour contacter les autorités autorisant des travaux , pour
obtenir l'avis de l'ARS et du Conseil Général sur l'extension nécessaire
de l'Ehpad.
Il aurait fallu pour cela de la part du Conseil
Municipal des élus en responsabilité travaillant le dossier.
Le maire bientôt, peut être mais pas forcément, fera le
bilan de son mandat et il sera alors facile de mesurer
les dégâts qu'une direction municipale monopolisée par une
seule personne peut faire pour contrarier le devenir d'une
commune.
Ces six années perdues seront difficiles à faire oublier,
ces six années de gestion autoritaire ont profondément divisé les
Quinocéens entre eux.
La multiplication des candidatures pour les prochaines municipales en est la meilleure preuve.
La multiplication des candidatures pour les prochaines municipales en est la meilleure preuve.
Sans projet élaboré sérieusement, sans chiffrage
précis des travaux à effectuer (restructuration des très anciens
bâtiments ou leur destruction avec leur remplacement par une
construction neuve) telle est la question centrale que les élus doivent
se poser.
Le flou est total dans la proposition faite par le
Président de l'association des sœurs et l'annonce d'un prix
attractif pour engager sans risque la municipalité n'est pas
suffisant, à moins de 100 jours de la fin de cette mandature mouvementée
et marquée par le ridicule.
Il est superfétatoire d'en rajouter une nouvelle couche.
Il est superfétatoire d'en rajouter une nouvelle couche.
JOUNENT Michel.
Commentaire de Picolet Gilles:
Commentaire de Picolet Gilles:
Une Commune ne doit pas s'ériger en "promoteur immobilier".
Un achat de ce type ne doit se faire qu'après une longue réflexion sur l'utilisation possible d'un tel bâtiment appartenant à l'histoire.
Quant au vendeur, devant les difficultés qu'il a à vendre son bien, il ne peut faire de réserves sur son utilisation future, sauf à réduire considérablement son prix ou à en faire don.
Dans le cas présent, un investisseur pourrait-il transformer ce bâtiment en logements ou en résidence hôtelière avec services attenants ??
La question reste posée ?
Même si ce bâtiment reste chargée d'histoire pour notre Cité, il faut se tourner vers l’Avenir, quelles que soient les conséquences qui pourraient être fâcheuses pour cet immeuble, hélas difficile à restructurer.
1 commentaire:
Une Commune ne doit pas s'ériger en "promoteur immobilier".
Un achat de ce type ne doit se faire qu'après une longue réflexion sur l'utilisation possible d'un tel bâtiment appartenant à l'histoire.
Quant au vendeur, devant les difficultés qu'il a à vendre son bien, il ne peut faire de réserves sur son utilisation future, sauf à réduire considérablement son prix ou à en faire don.
Dans le cas présent, un investisseur pourrait-il transformer ce bâtiment en logements ou en résidence hôtelière avec services attenants ??
La question reste posée ?
Même si ce bâtiment reste chargée d'histoire pour notre Cité, il faut se tourner vers l’Avenir, quelles que soient les conséquences qui pourraient être fâcheuses pour cet immeuble, hélas difficile à restructurer.
Gilles PICOLET
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