Selon que vous serez puissant ou
misérable ,
les jugements de cour vous
rendront blanc ou noir.
(Jean de La Fontaine )
(Jean de La Fontaine )
En attendant, la plainte déposée
le 25 mars 2013 auprès du Doyen des
juges d'instruction du Tribunal de Grande Instance de Saint Brieuc contre
l'ancien maire M Blanc, est toujours dans l'attente d'être traitée.
Il s'agit d'une plainte pour faux et usage de faux en écriture publique par un dépositaire de
l'autorité publique; ces faits relèvent
du code pénal, articles 441-1 et 441-4 alinéa 3.
Trois élus de l'époque, Alain
Lorant, Michel Rocfort et Michel Jounent se sont, dans cette affaire, portés "Partie civile".
Le 5 août 2013, une ordonnance
signée par une juge d'instruction a fixé une consignation afin de garantir le paiement
d'une amende civile dans le cas ou la plainte serait jugée abusive et dilatoire.
Cette consignation a été versée.
Le 30 septembre
2014, la juge d'instruction a mis en place une commission rogatoire .
Depuis, renseignements pris, l'affaire suit son cours et laisse
tranquillement M Blanc à la joie de se prendre
pour un écrivain.
Une autre juge d'instruction dans
cette affaire a depuis été nommée.
Trois années et demi pour entendre et lire du Tribunal Administratif de Rennes la
décision d'annuler l'opération résultant
de la mise en oeuvre de la délibération
N°10-117 du 29 octobre 2010.
Près de deux années pour faire
entendre à l'ex maire M Blanc que, pour porter plainte en tant que représentant
de la commune, on doit demander
l'autorisation de son Conseil Municipal .
Depuis, l'écrivain en herbe, conseillé sans doute par
un soi disant expert maritime, s'est pourvu en cassation; au rythme des
affaires précédentes, on en parlera
encore dans combien d'années???
Oui, c'est difficile de faire
vivre la démocratie locale, surtout quand
les premiers magistrats oublient que
la gestion communale est l'affaire de tout le Conseil Municipal.
JOUNENT Michel.
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