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samedi 9 octobre 2021

la vente de l'agism , j'attend la suite; le 10 octobre 2021.

Le bâtiment du nom de l'AGISM au n°4 de la rue des écoles à Saint Quay Portrieux, comprenant 32 studios et 8 chambres  et appartenant à l'ENIM (établissement national des invalides de la marine ) était en vente les locataires en avaient été avertis par courrier le  15/01/2021.

Par un très récent courrier  ces personnes le plus souvent âgées voire très âgées viennent d'être averties par l'ENIM  que la vente  a eu lieu, l'acheteur est une société  immobilière de Paris: Stanroc Breizh.

L'ENIM rappelle dans son courrier que l'acte de vente  précise une condition particulière : les résidents  historiques  et les résidents ayant le statut  de pensionné  du régime social de l'ENIM au 17 juin 2021 conservent leurs contrats  jusqu'à leur départ volontaire du logement ou leur décès aux conditions  initialement  conclues.

Un nouveau courrier  du propriétaire est attendu  précisant le sérieux  et les  investissements à venir.

Chez les locataires en place des inquiétudes demeurent.

  • que devient "le propriétaire actuel ou supposé Doc gestio" chez qui sont payés les  loyers ?
  • que devient le concierge  payé par  le dit propriétaire de transition ?
  • les promesses faites seront-elles réellement pérennes?
  • pourquoi la municipalité semble désintéressée de la transaction de l'AGISM, du devenir futur des 2 bâtiments alors que du coté de l'avenir du "gerbot d'avoine " notre maire s'était porté en première  ligne pour promouvoir le nouvel acheteur et son gigantesque projet? 
Pour terminer sur les problèmes immobiliers de la commune,  après  l'échec de l'aménagement de Kerbeaurieux comme le prévoyait le programme du futur maire en  2014, l'échec de taille de l'aménagement de  l'ilot Jeanne d'Arc , l'abandon sans retour de l'hôtel du commerce rue Clemenceau,  la désespérante affaire du gerbot d'avoine aujourd'hui complétement encalminée et pour ne pas rajouter  de la peine  à notre maire je tairai enfin un peu le fiasco, le naufrage  de la vente du presbytère  à des amuseurs publiques propres à jouer "les comics"  à la fête de la Samain .
JOUNENT Michel.

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