DANS UNE DIATRIBE violente à l'encontre de la minorité et en particulier contre le conseiller Huc notre maire annonçait le 17 mai dernier au conseil municipal qu'il était un bon gestionnaire et que sa gestion des deniers municipaux n'était pas critiquable.
En effet faire rentrer 660 000 € dans le compte administratif 2021 par la vente du presbytère (bien communal depuis 1905) montrait l'immense dextérité de notre grand leader pour diriger la commune de Saint Quay Portrieux et pour la mener au plus haut au sein de la SBAA.
Quatre mois plus tard au conseil municipal du 20 septembre, la vente du presbytère en toute légalité mais marquée par un fort copinage et par une majorité complétement anesthésiée se rétamait comme une crêpe à la chandeleur.
Fini la maestria d'un maire fustigeant à qui mieux mieux toutes les voix de son conseil qui osent poser des questions, comme si le conseil municipal n'était pas le lieu idéal et légal pour ériger, penser le meilleur pour une bonne gestion communale.
Depuis ce fiasco , il a été dit qu' une commission ad doc serait formée pour choisir parmi les agences immobilières locales la meilleure pour vendre la bâtisse appelée presbytère.
Après l'emballement d'avoir trouvé des acheteurs très généreux, les choses trainent et maintenant que cette vente n'est plus une
affaire entre copains la municipalité se fait bien discrète.Discrétion cette qualité ou défaut est devenue première dans l'activité municipale dans tout ce qui touche l'immobilier et les permis de construire de la rue du Président Le Sénécal et de la restructuration de l'Hôtel-restaurant "le Gerbot d'avoine".
JOUNENT Michel.
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