CHERCHEZ L'ERREUR !!!
En octobre 2010, suite à la
pression amicale de plusieurs de ses colistiers, formant sa garde
rapprochée, M le maire dans un élan irrationnel
pour sauver un commerce de proximité du Portrieux
et pour éviter le
"mitage" d'une ligne de commerçants,
engage la municipalité à faire
une dépense de 100 000 €.
Depuis l'eau a coulé sous les
ponts, le commerce de presse est fermé, le mitage de
la ligne des commerçants se poursuit avec
la fermeture du magasin de photo,
la contrepartie de cet achat n'est pas
remplie (paiement d'un loyer à la commune) , la boutique de presse
découverte dans un triste état au
lendemain de la transaction continue
à se dégrader et sans être trop pessimiste, il n'est pas interdit de
penser que dame "Mérule " invitée sournoise de ce quartier du
port, n'envisage pas de squatter ce lieu abandonné, sans lumière, humide et sans aération .
En septembre 2013, à l'approche
des prochaines municipales, Miracle!!! la place Sainte Anne abandonnée depuis des lustres
revient parmi les préoccupations du maire et il invite
le conseil municipal en juillet
2013 à voter les travaux de rénovation
de cette place transformée en parking, pour
100 000 €
Alors naturellement se pose une question , pourquoi avoir privilégier
un dossier mal "foutu"
celui de la boutique de presse et avoir laissé à l'abandon cette place adossée
à la chapelle, elle même rénovée
sous la
précédent mandature.
Traiter dès 2008 , la rénovation de la
place n'aurait posé aucun problème
et surtout aurait réjoui la
population de ce quartier oublié par
M le maire .
Personne n'aurait saisi le tribunal administratif pour
contester ces travaux.
Cette dépense complètement inutile de 100 000 € est un véritable scandale et me
confirme que pour avoir
porté plainte au TA de Rennes
pour faire annuler cette gabegie
sans l'aide d'un cabinet d'avocats parisiens, la justice administrative prend bien ses aises pour
procéder au jugement .
J'en suis à plus de 31 mois après le dépôt de ma
requête visant à annuler la
délibération votée par 7 conseillers
municipaux sur 17.
Je dis complètement inutile , tout simplement pour la raison
que la transaction s'est déroulée trois semaines après la fermeture du
commerce.
Retard dans les travaux, gâchis financier par le fonctionnement erratique du conseil
municipal, commune dirigée par seulement le maire et son DGS, ces travers sont permis dans notre commune pour une simple réalité; chaque année sans augmenter la
pression fiscale, sans recourir
à l'emprunt, la tirelire du
casino alimente le quart des recettes de fonctionnement de la commune.
C'est évident qu'avec une telle manne financière, il ne faut
pas avoir inventer le fil à couper le beurre
pour diriger en autocrate la municipalité
Cette histoire des
100 000 € jetés à la mer ne manquera
pas, j'en suis convaincu d'alimenter le débat lors de
la prochaine campagne électorale
et elle permettra aux six élus qui ont
autorisé M Blanc à conduire cette
opération, de s'expliquer sur
leur conception de l'usage des
deniers publics.
JOUNENT Michel