PLUS LE MENSONGE EST GROS
ET
PLUS IL PASSE!!!
Cet adage est vieux comme le
monde et M Blanc
nous le ressert en nous servant sur son blog qu'il aurait fait un songe concernant une éventuelle démission de son poste de
maire.
Mais à peine traversé par cette réflexion interne, la soi disant " vox populi" lui aurait demandé de rester au gouvernail de la cité.
Le vote du
9 septembre 2012, avec le déplacement de la
moitié du corps électoral, n' a pas confirmé une quelconque vague
populaire en faveur de M Blanc .
Bien au contraire, ses candidats ont pris
une raclée...
M Blanc se dit
"Démocrate", pour lui
la démocratie," c'est j'y suis ,j'y
reste" ; on est un peu
loin de la définition qu'en
donne le dictionnaire.
Il est pourtant évident que sans
majorité durablement établie,
un maire est
inopérant et il transforme, en restant aux commandes , sa commune en champ
de foire.
C'est le cas pour
notre commune et cela a commencé
dès le
lendemain de son élection par le
conseil municipal.
De se voir confié le maximum de
délégations, de pouvoir emprunter 1 000 000 € en rendant seulement compte de l'opération une fois celle-ci réalisée, cela a donné, entre autre au maire, une assurance hors norme pour dominer l'assemblée communale.
La traduction de cette
aisance et le peu
de considération qu'il a à l'encontre de ses colistiers se sont traduites par la décision de vivre un minimum de temps à Saint Quay Portrieux.
Le conseil municipal termine sa mandature dans une
cacophonie qui fait mal à voir et
à entendre .
Cette situation de désordre permanent a
plusieurs origines mais celui qui
porte le plus de responsabilité dans cette descente au enfer
est M Blanc.
Ce dernier a mis
toute son énergie à exploiter les
contradictions existantes entre les
membres de son équipe; il a joué
avec succulence sur les ambitions de certains et il
s'est délecté en ridiculisant
ceux qui n'ont toujours
pas compris qu'il ne faut pas
jouer "petit bras" avec Dominique Blanc.
Les travaux du dernier conseil municipal ont définitivement
inscrit dans l'histoire de notre commune
que cette mandature aura oublié, pour
l'essentiel, de se mettre au service de
la population Quinocéenne.
JOUNENT Michel.