Résultat:
BLANC contre JOUNENT 1 à 3
Malgré un arbitrage
à domicile et malgré la présence
à ses côtés d'un ténor national
du barreau, M Blanc doit constater ,
au vu du jugement correctionnel
rendu, que sa plainte
n'a pas produit le résultat escompté.
Le texte jugé diffamatoire
et provoquant soi disant des
troubles à l'ordre public publié sur
mon blog comportait quatre
parties.
·
la SCOBAT.(cinéma Arletty)
·
L'affaire QUAYWAVES/ VENT D'OUEST Distribution.
·
EUROVIA. (aménagement urbain du quartier du Casino ).
·
la maison
de la
presse du Portrieux.
Le score est clair: 1 à 3; le seul
point marqué par notre maire
est celui réussi pour le
moment sur l'aménagement urbain
du quartier du casino.
Sans attendre les résultats de mon appel, je transmets pour
information le jugement correctionnel aux journaux couvrant l'information
de notre ville.
Je retire de ces premières instances judiciaires (référé et citation
directe en correctionnelle) l'idée tant de fois développée par le passé que "Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous
rendront blanc ou noir "
Pour l'instant ,
je suis un peu dans
le noir et triste de l'absence de
l'auteur du billet.
A Nantes, l'avocat du maire a joué dans son jardin , il est entré en
possession du jugement le 25 juin 2013, mon avocat n'a reçu du greffe
que le 3 juillet
la copie de ce jugement .
J'ai fait appel le 6 juin
2013 du jugement en correctionnel rendu le 3 juin , comme par
hasard le même jour
le parquet fait appel.
C'est tout bonus pour M
Blanc!!! Mon affaire avec M Blanc n'est quand même pas encore une affaire d'Etat !!!
L'appel sur le référé
s'est tenu à Rennes le 5 juillet
, l'avocat de M Blanc était en possession
du jugement correctionnel, mon avocat
ne l'avait pas ; elle
est belle la confraternité chez les
avocats et surtout, depuis, j'ai compris comment fonctionne le Greffe
du TGI de Nantes .
Trois points sur quatre, ce n'est pas
mal, surtout devant la machine de
guerre et les moyens
financiers déployés par le maire contre moi.
JOUNENT Michel , encore convaincu que la
raison n'est pas toujours du côté de
celui qui se croit intouchable ...