"Sans liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur." Pierre Augustin Caron dit de Beaumarchais. tél: 06 16 01 75 81.....http://sant-ke-portrieux.blogspot.com........ micheljounent@orange.fr
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jeudi 29 octobre 2020
Il y a en marre de tous ces attentats , le 29 octobre 2020
mardi 27 octobre 2020
un torchon noire flotte sur l'office de tourisme, le 27 octobre 2020
L'OFFICE DE TOURISME
est un centre d'information dont la mission première est l'accueil, l'information et la promotion de notre commune.
C'est encore plus le cas avec la rénovation totale des locaux abritant l'office, tout est maintenant réuni pour faire briller le bon, le beau ainsi que l'activité ludique et culturelle de Saint Quay Portrieux.
Mais si, il n'y a pas grand chose à redire sur la rénovation de l'office, les drapeaux qui surplombent le bâtiment sont régulièrement déchirés dans l'indifférence du personnel et des élus , l'état pitoyable des drapeaux comme un peu partout dans la commune et le plus souvent en bord de mer après de sévères coups de vent donnent aux passants une image peu soignée de la commune.
Le problème pour changer ces étendards de toute nature est qu'il faut faire intervenir un camion disposant d'un nacelle à élévation hydraulique pour réaliser leur changement.
Un question??? pourquoi faire simple alors qu'avec une poulie, un taquet et une drisse cela aurait fait amplement l'affaire pour installer et remplacer un drapeau une fois déchiré .
En bas de la rue de Général Leclerc, il reste trois mats portant une poulie et un système de protection pour interdire à n'importe qui de démonter un drapeau en place.
Pour changer un drapeau il faut un nacelle motorisée , pour ramasser les feuilles mortes un soufflerie à moteur à explosions, pour enlever les mauvaises pousses une source de chaleur alimentée par une bouteille de gaz et pour balayer les rues et trottoirs une super balayeuses qui rivalise en vitesse pour traverser certains quartiers de la commune mais pas tous. alors à quand une assistance "électronique" rendant les élus et le personnel communal plus réactif aux aléas du quotidien ( vents , pluies, froid, chaud , dégradations de fins de WE, état de la chaussée etc ).
JOUNENT Michel.
mercredi 21 octobre 2020
c'est trop tard pour ouvrir les yeux,le 21 octobre 2020
"Nos autorités ont laissé se développer ce qui allait devenir l’islamisme »
Ne pas jeter d’huile sur le feu. C’est un sujet sensible. Ne pas heurter les convictions des élèves et des familles. Surtout ne pas risquer d’être soupçonné de racisme. Attention à ne pas imposer une vision trop stricte de la laïcité. Si certains élèves refusent d’aller à certains cours, pourquoi ne pas leur proposer une solution de remplacement ? Pas de provocation. Moins on en parle, mieux on se porte... Souvent, la difficulté qu’ont les enseignants à aborder les thèmes de la laïcité, de la liberté d’expression, des attentats islamistes, à parler de Charlie à l’école, est aussi liée à l’attitude désespérante de leurs collègues, qui baissent les bras ou, pire, anticipent les « tabous » réels ou supposés des élèves. A l'attitude de leur hiérarchie, qui ne les soutient pas. Ou à celle, enfin, d’une institution qui préfère « ne pas faire de vagues ».
samedi 17 octobre 2020
il est urgent de détruire ces fous d'un dieu, le 17 octobre 2020
LA CINQUIÈME COLONNE
POURSUIT SON IMPLANTATION,
dans tout le pays les islamo-fascistes
recrutent, forment et instruisent des assassins.
Armés d’une croyance moyenâgeuse
mais sachant maniés l’Internet, ils haïssent la liberté d’expression, ils veulent
s’opposer par tous les moyens à notre manière de vivre.
Notre République est quasiment unique
sur la planète dans sa manière d’exister, elle est laïque depuis 115 ans, nous
sommes les héritiers de Voltaire et ce n’est pas rien.
Ces fous de dieu, de leur dieu
ont des relais en France des naïfs d’un côté et de l’autre des aveugles sur une
situation mondiale montrant que le monde islamique est à l’offensive partout pour
chasser les mécréants selon leur prophétie.
Parmi les naïfs et ceux de leurs alliés objectifs : il y a tous ceux qui se répandent sur les ondes, sur les télés et la presse
branchée en disant la main sur le cœur qu’il ne faut pas faire d’amalgame, qu’il
ne faut pas stigmatiser les musulmans et trémolos dans la voix d’affirmer l’Islam
c’est une religion de paix.
Et le plus grotesque pour
expliquer cette montée de l’islamo-fascisme ce serait dû à la situation
sociale d’une jeunesse ghettoïsée dans des quartiers de certaines banlieues.
Tant qu’il existera une pareille analyse, un aveuglement sur l’entreprise de communautarisation et de zones de non droit,
que les autorités dirigeant les collectivités fermeront les yeux sur l’archipélisation
de la société et sur les trafics de drogue en tout genre ces individus
écouteront les prêcheurs de haine.
Les fous de dieu qui conçoivent les
rapports entre humains à coups de couteaux ou d’armes à feu pour les étrangers doivent
par tous les moyens être renvoyés dans leurs pays d’origine et pour ceux nés
français sévèrement punis quant ils ne respectent pas les lois de notre pays.
JOUNENT Michel.
HOMMAGE A CE "HUSSARD " DE LAÏCITÉ
vendredi 16 octobre 2020
on était en avance, le 16 octobre 2020
LU DANS L'HEBDOMADAIRE "LE PENTHIÈVRE" ,
un interview intéressant du nouveau maire de Pléneuf -Val André.
Cette commune a plusieurs choses en commun avec notre commune, elle a un Casino, un cinéma, une population de 4000 habitants, un port de plaisance et une proximité de Saint Brieuc la préfecture du Département .
Un sujet de l'interview a retenu mon attention celui de la tenue des conseils municipaux.
"Dans votre programme, vous annonciez des conseils municipaux filmés. Qu'en est-il ?
Pierre Alexis Blévin , maire élu en juin 2020: À partir du mois de janvier, les réunions de conseil seront filmées et diffuser en direct sur le web. Elles seront également enregistrées, et si les habitants souhaitent revenir sur tel ou tel point du conseil, ils auront la possibilité de le faire sur le site internet de la Ville. Nous allons aussi introduire les questions des habitants aux élus. Les Pléneuviens pourront poser une question aux élus, ou émettre une suggestion, une idée sur le site de la commune ou par mail dans le cadre d'une charte. Le but est que le sujet soit d'intérêt public. Au début du conseil, l'habitant aura la parole pour exposer le sujet et les 30 premières minutes du conseil seront consacrées au débat sur la question et la réponse suivra"
Pour rappel nous avons connu pendant une partie du mandat de Dominique Blanc l'enregistrement vidéo des conseils municipaux .
Nous avons connu aussi une fois le conseil terminé des questions du public aux élus.
C'était une bonne chose et au temps de l'internet une avancée réelle pour approfondir la démocratie.
Et même si le temps de réponse était long, l'ancien maire D Blanc répondait aux courriers reçus, ce n'est pas le cas aujourd'hui.
On peut raisonnablement se poser la question à quoi bon un conseil de 23 membres dont 13 indemnisés alors qu'a l'évidence la municipalité est dirigée par quelques élus seulement et un ou deux fonctionnaires.
JUONENT Michel.
Pour briser cette ambiance anxiogène, le 16 octobre 2010
jeudi 15 octobre 2020
Faut pas exagérer, le 16 octobre 2020
A PEINE SÉCHE
l'encre de mon dernier article sur les constructions de 15 appartements de standing , rue des écoles que des mains sans doute municipales ont détruit le panneau de ce promoteur squatter.
Renseignements pris, le terrain considéré composé de 4 parcelles est toujours la propriété de Côtes d'Armor Habitat et que le projet de réaliser un jour des logements sociaux n'est pas abandonné.
On peut s'étonner qu'un promoteur "Arcade foncier " de Rennes aux abonnés absents d'ailleurs, se soit autorisé !!! à disposer du terrain et y afficher sa publicité.
Panneau dont la dimension ne pouvait échapper à personnes, alors pourquoi cette présence et cette absence rapide de réactions des élus et du maire en tête.
Je finis pas croire que si "Le blog de Michel "n'existait pas il faudrait l'inventer en attendant elle est où la minorité du conseil municipal???
JOUNENT Michel.
mardi 13 octobre 2020
du social au standing, le 13 octobre 2020
"RIEN NE SE PERD, RIEN NE SE CRÉE,
TOUT SE TRANSFORME".
C'est le cas rue des Ecoles où hier encore (il y a trois ans et demi) , la municipalité annonçait la réalisation de 10 logements sociaux, aujourd'hui surprise!!! sur un panneau solidement implanté on découvre qu'à la place un programme de 15 appartements de standing est proposé .
Evidemment si vous n'êtes pas un piéton qui déambule tranquillement dans la commune vous resterez un étranger à cette information immobilière.
Rien sur le site municipal , rien sur les journaux régionaux rapportant l'information locale et aucune activité de la part des correspondants de cette presse , ils attendant vraisemblablement l'imprimatur du premier magistrat pour réagir à cet abandon de construire des logements sociaux.
Là encore une communication couteuse pour annoncer les 10 logements sociaux et silence sur l'initiative privée, curieux pour une municipalité qui met la communication au sommet de son activité .
Un question se pose dans cette rue qu'elle sera l'avenir de l'AGISM qui se vide régulièrement de ses ayant droits sociaux, deviendra t-il à son tour ce bâtiment après quelques améliorations une résidence d'un certain standing???
JOUNENT Michel.
lundi 12 octobre 2020
Responsable mais pas coupable , le 12 octobre 2020.
A PROPOS DE L'INFORMATION
locale , nationale et internationale.
Elle se fait essentiellement par des journalistes et comme mon propos restera à l'échelle du local et j'ajoute aidée par les correspondants qui sont en quelque sorte "les nègres" des rédactions locales, ils pissent du texte anonymement et les rédacteurs des journaux locaux triturent à souhait leur travail en veillant surtout à ne pas froisser les élus en place.
Il existe aussi dans toutes les communes un média municipal et partout l'opposition y est inexistante ou peu visible cela évite des explications sur les projets non tenus et de parler des contorsions répétées pour briller de beaucoup d'élus comme par exemple à Saint Quay Portrieux après l'annonce bruyante de construire 10 logements sociaux rue des Ecoles mais trois ans et demi après aucune information sur leur NON réalisation.
Normalement un journaliste a pour mission : la recherche, l'investigation et la vérification de l'information avec le plus d'honnêteté possible.
Dans la presse en général ce n'est pas facile surtout que cette dernière appartient pour la plupart du temps à des grands groupes financiers et industriels où ils doivent , les journalistes exercer leur boulot dans le cadre de la ligne éditoriale de son ou ses propriétaires alors là la rigueur des journalistes on verra cela plus tard sinon c'est le retour à la case "Pole emploi".
Ces derniers jours j'ai évoqué sur mon blog un exemple honteux de l'usage des deniers publics il s'agit de l'achat d'un commerce sans activité "le coin des malins" en 2013 pour 300 000 € par l'intercommunalité du Sudgoëlo suivi d'importantes dépenses pour le sécuriser, je voulais apporter mon lot d'informations sur cet achat intempestif aux rédactions d'Ouest-France et du Télégramme , je n'ai trouvé que des portes fermées .
Dans ces deux journaux, on avance suite à un nouvelle délibération de la SBAA en date du 1 er Octobre 2020 que les travaux pour transformer le lieu en ateliers relais commenceront en septembre 2021.
Entre l'achat du bâtiment en 2013 et sa mise à la disposition d'éventuels clients il se sera passé si les choses vont à terme entre 8 et 9 ans .
En lisant ces deux journaux ,je n'ai toujours pas trouvé l'information du pourquoi et du comment qui ont conduit des élus à acheter un local et que pendant pratiquement une décade ils n'ont pas su ou pu savoir quoi en faire .
Quelle entreprise, quel particulier auraient mené un achat de la sorte... aucun !!!
Bien sur c'est la faute à personne et à peine la proposition votée de justifier cet achat que déjà reprend la course aux gaspillages , on le voit chez nos voisins de Binic-Etable dans notre canton de Plouha avec l'abandon de la construction déjà commencée d'un terrain de Beach-volley .
Beaucoup trop d'élus ne comprennent pas que le pays va mal et que dépenser à tort et à travers n'est pas correct.
JOUNENT Michel.
vendredi 9 octobre 2020
mise au point, le 9octobre 2020
A PROPOS D'UN COURRIER RESTÉ SANS RÉPONSE et toujours d'actualité...
Je souhaitais attirer votre attention sur les éventuelles conséquences fiscales du nouveau projet éolien déposé par « Ailes Marines ».
L'article 1519 B du code général des impôts en date du 26 mai 2014, institue une taxe annuelle sur les installations de production d'électricité utilisant l'énergie mécanique du vent, situées dans les eaux intérieures ou la mer littorale, cette taxe sera versée à un fond national de compensation de l'énergie en mer.
Le tarif annuel de la taxe est fixé à 17 227 euros/ mégawatt installé. Ce montant évolue chaque année comme l'indice de valeur du produit intérieur brut
L'article 1519 C de ce même code définit qui seront les bénéficiaires de ce fond national de compensation de l'énergie en mer :
50% du montant de la taxe sera affecté aux communes littorales lorsque les installations seront visibles . Il est tenu compte , dans la répartition de ce produit entre les communes, d'une part de la distance qui sépare les installations de l'un des points du territoire des communes concernées et d'autre part de la population de ces communes.
Les modalités de répartition, d'affectation et d'utilisation de la taxe sont précisées par décret.
En fonction du dossier déposé par « Ailes Marines » ce décret stipule que seules les communes situées à moins de 12 milles nautiques pourront bénéficier des dispositions prévues par le code général des impôts, ce qui limite la zone bénéficiaire au secteur du cap d'Erquy.
Pour définir l'impact visuel, et le décret qui en découle, les services de l'Etat ont établi, de fait, un critère en fonction de la hauteur des machines installées.
Au moment du dépôt du dossier « Ailes Marines », il était prévu un parc éolien de 100 machines dont le sommet serait à 172 mètres au dessus du niveau de la mer (basse mer de grandes marées), le décret en a tenu compte en fixant à 12 milles nautiques la distance maximum parc- côte, distance au delà de laquelle on ne pouvait pas prétendre à une « compensation visuelle »; par cette décision, les services de l'Etat ont alors établi la règle suivante : 14,34 mètres de hauteur par mille nautique de distance ( 14,34 x 12 = 172 m)
Depuis la fin de l'année dernière, le projet a été sensiblement modifié, la hauteur des éoliennes étant portée à 225 mètres, la concession et l'implantation du parc étant identiques au premier projet, la nouvelle hauteur modifiera donc considérablement l'impact visuel, pour autant, aujourd'hui, le décret n'a pas encore été rectifié.
Pourtant, en reprenant comme base la règle de calcul des services de l'Etat ( 14,34 mètres de hauteur/mille nautique) la distance dite « compensatoire » devrait être portée à 15, 69 milles nautiques ( 14,34 x 15, 69 = 225m).
Cette nouvelle distance, si elle était retenue, concernerait une partie du territoire du SudGoëlo, je vous rappelle que le Sémaphore de Saint Quay Portrieux est situé à 14, 50 milles nautiques de la pointe Sud Ouest du champ éolien.
L'enjeu est important, la puissance du prochain parc éolien est de 496 mégawatts soit un potentiel de redevance annuelle de 8 544 592 euros dont plus de 4 millions d’euros aux seules communes déclarées impactées..
Une simple reconnaissance de nos droits représenterait pour la seule commune de Saint Quay Portrieux une redevance annuelle de plusieurs centaines de milliers d'euros, il est possible qu'il y ait aussi des répercussions positives pour les communes voisines d'Etables/mer et de Tréveneuc.
Il m'a semblé que ce dossier devrait attirer l'attention de nos élus, municipaux ou communautaires, je vous précise également que je me tiens à votre disposition pour participer à l'élaboration d'un dossier qui reprendra les distances de toutes les futures éoliennes par rapport à notre trait de côte ou « laisse de basse mer »
Bien à vous, Georges Brézellec.
A un moment où tant de choses se disent sur les éoliennes de la baie de Saint Brieuc où de nombreux élus se divisent sur l'utilité de cette gigantesque réalisation, cette alerte vient en écho à un courrier adressé en 2015 au maire actuel et resté sans réponse. JM
jeudi 8 octobre 2020
que d'eau ,que d'eau !!!, le 8 octobre 2020
TEMPÊTE "ALEX":
L'état de catastrophe naturelle est reconnu pour 21 communes des Côtes d'Armor.
La liste des communes est la suivante :
Binic/Etables /mer, Grâces, Paimpol, Plédran , Pléguien , Plérin, Pleudaniel , Pleumeur-Gautier, Ploubazlanec, Plouézec, Ploufragan, Plouha, Plourivo, Plouvara, Pontrieux, la communes font Prenessaye, Saint Brieuc, Saint Carreuc , Trégueux ,Yffiniac.
Parmi ces 21 communes , huit sont situées dans Saint Brieuc Armor Agglomération.
Les assurés disposent de dix jours à partir de la parution de cet arrêté pour vérifier si leur zone est concernée et pour déclarer le sinistre auprès de leur assurance.
Des sinistrés il y en a eu plusieurs dans notre commune et ce sera tant pis pour les victimes de cette pluie diluvienne comme ceux par exemple coincés sur le parking de Netto où plusieurs véhicules sont bons pour la casse.
Pour toutes les rues et parkings inondés, il est évident qu'il faudra entretenir ou refaire un certain nombres de canalisations d'évacuation des eaux usées et pluviales.
JOUNENT Michel.
mercredi 7 octobre 2020
Quand la mer monte et qu'il pleut, le 7octobre 2020
APRÈS LE
DÉLUGE DE CES DERNIERS JOURS
et les prévisions alarmistes pour les temps à venir, il est de plus en plus difficile de comprendre que des permis locaux de construire ont été accordés en proximité du bord de mer.
D’’autant qu’une
nouvelle fois, on constate sur le GR 34 un effondrement d’une partie de la falaise,
certes de faible importance mais qui conduit quand même à une fermeture
partielle du GR34.
Deux permis sont
accordés rue du Président Le Sénécal, le premier conduit à un recours devant le
tribunal administratif de Rennes et le second est sous la menace de subir le même risque autre curiosité ces deux permis accordés sont
situés dans un rayon de
500 mètres d’un monument classé, le Château de Calan.
Une nouvelle
fois on constate que la loi littorale à Saint Quay Portrieux est appliquée à géométrie
variable compte tenu qu’inexorablement le littoral est rongée par la mer et
pire que ce phénomène sera accéléré par la montée des eaux due au réchauffement
climatique sans rappeler aussi les restrictions de construire à proximité d'un monument classé .
Après la situation catastrophique de villages détruits dans l’arrière-pays niçois beaucoup de questions se posent sur la désinvolture avec laquelle sont accordés des permis de construire.
Apparemment dans notre commune la notion du principe de précaution inscrite dans la constitution est renvoyée au placard.
Construire entre 20 et 25
mètres du bord de la falaise est plus qu’hasardeux.
JOUNENT Michel.
samedi 3 octobre 2020
c'est le déluge, le 3 octobre 2020
le gué de la rue du moulin saint Michel.
LE BERZÉOUÉ ,
ce petit ru sans prétention est devenu incontrôlable suite au déluge qui s'abat sur notre commune.
Il alarme par son débordement les riverains de la rue de la garenne .
Il isole les riverains de la rue Merle en inondant la chaussée.
Il prend son aise dans la parc de la duchesse Anne.
Il reprend son parcours initial dans la place de Verdun avant qu'il ne soit canalisé, pareil pour la place d'armes.
Quant à la rue du Moulin Saint Michel entre ces deux parkings cela à un air de gué africain où des 4x4 s'en donnent à cœur joie en soulevant inutilement de l'eau .
Il est évident que les chutes de pluie sont d'une rare intensité et jamais vues pour plusieurs anciens de la commune, mais il est tout aussi évident que le curage du ru est aux abonnés absents de sa source au parc de la Duchesse et le nettoyage de canalisation qui conduit en fin de parcours le ru à la mer en constatant le soulèvement des trappes de visite du canal souterrain souffre de l'absence d'un entretien régulier.
Espérons que nous n'allons pas être obligé comme Noé jadis à construire une arche pour survivre à ce déluge de fin de monde.
JOUNENT Michel.
Place de Verdun.