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jeudi 30 septembre 2010

SNIFF,
PAUPIETTES
ET JÉRÉMIADES…




Une journaliste en mal de reconnaissance a commis un brûlot en mêlant l’histoire de deux bouchers délinquants à celle de plusieurs commerçants de Saint Quay.
Dans ce bouquin, Saint Quay devient Saint May et Plouha devient Plouray, les noms des commerçants sont facilement identifiables.
Pour « pisser de la ligne » cette pseudo enquêtrice fait état de commérages, de ragots et d’une multitude d’approximations.
Depuis cette parution, on assiste aujourd’hui à de sérieux démentis des personnes mises en scène dans ces pages.
Cette journaliste travaillait dans un journal proposant « le mieux vivre masculin », elle poursuit dans ce livre son intérêt pour ceux qui pensent que la drogue peut permettre « ce mieux vivre ».
Elle prend fait et cause pour ces deux personnes, punis par la justice, condamnés à la prison et à de fortes amendes douanières et fiscales.
Elle présente les parents de ces dealers et de ce toxicomane comme des victimes de l’acharnement policier, de la jalousie environnementale et puis, surtout, comme des benêts découvrant par hasard le trafic de leurs enfants.
Elle est dithyrambique sur le travail de ces deux bouchers charcutiers traiteurs et amateurs de voitures de sport de haute gamme (Ferrari rouge et Porsche jaune).
Ces deux super travailleurs faisaient 15 heures par jour, à la lire, ils aimaient leur boulot et leur boucherie de Saint Quay était l’accomplissement d’un rêve.
Et comme il leur restait un peu de temps, ces courageux accomplissaient de nombreux A.R vers Rotterdam (NL) pour faire leur achat de cocaïne et autre poison.
Malgré leur mère à la caisse et la présence d’un comptable, ils ont confondu recettes et bénéfices, cette confusion est la marque de l’ignorance élémentaire des règles de gestion d’un commerce.
Dans l’essentiel du livre, la journaliste développe les secrets de cette activité extrêmement rentable qu’est l’achat et la revente de produits illicites.
La cocaïne, l’héroïne et le cannabis provoquent des addictions dramatiques, ces produits sont mortifères et il est regrettable de lire les propos de ces deux dealers qui ne font pas de différence entre la vente de la viande et de la drogue.
Ce livre a eu un prolongement sur une radio privée nationale, il donne le beau rôle à cette famille de pieds nickelés.
Dans les milieux branchés, les policiers, la justice, les gardiens de prison et les voisins des délinquants sont de tristes sires et ceux qui franchissent largement la ligne jaune sont , à lire cette journaliste , que de malheureuses victimes de la société.
Ce livre dégrade l’image de marque de notre station balnéaire.

La meilleure réponse à faire à cette journaliste baignant dans le sensationnel de caniveau est d’ignorer son livre et de boycotter sa vente dédicace.

JOUNENT michel







mercredi 29 septembre 2010

DANS NOTRE VILLE,
on recense une centaine d’enseignes.


Des commerces de tout genre existent et recouvrent parfois plusieurs activités : hôtel-restaurant, bar-tabac, librairie-journaux, etc.
La dégringolade de l’activité commerciale de Saint Quay-Portrieux ne date pas d’hier mais s’inscrit dans la transformation générale du commerce et des services.
Le petit commerce, même franchisé, subit de plein fouet les nouvelles manières de consommer.
Dans cette réalité, la voiture joue un rôle considérable.
En périphérie de ville, dans les zones artisanale et commerciale, les enseignes de la super distribution font la loi, elles offrent la diversité, de larges horaires d’ouverture, le rapport qualité–prix, les nouveaux modes de consommation (le bio, l’alimentation casher, halal, les produits orientaux ...).
On peut examiner le problème dans tous les sens, il est illusoire de penser au retour du commerce de proximité …d’antan.
Toutes les boutiques ayant cessé leur activité ont été transformées pour la très grande majorité en logement.
A ce jour, les vitrines pouvant redevenir des commerces se comptent sur les doigts d’une main, de deux, avec beaucoup de souvenirs et d’imagination.
Les commerçants de Saint Quay-Portrieux sont peu organisés et leur association ne les représente pas tous.
Une trentaine seulement ont répondu à l’invitation du maire pour faire avancer et connaitre d’éventuelles solutions à cette atonie commerciale.
Ce n’est pas la première fois que les municipalités en place se penchent sur ce difficile problème.
Sous l’ancienne municipalité, les propositions d’aider les commerçants pour établir des dossiers d’aides financières du FISAC n’ont été que peu utilisées par les intéressés.
Le commerce quinocéen, sous cette nouvelle municipalité, n’a connu aucun progrès, les boutiques ont continué à disparaître (tapissier, couturière, poissonnerie, restaurant, etc).
De Kertugal au Portrieux en passant par Saint-Quay, le désert commercial se précise, les habitudes sont prises et, pour la population travaillant en dehors de la commune, les courses domestiques se font ailleurs.
L’étude proposée à la trentaine de commerçants, réalisée pour le compte de la communauté de commune, n’apporte pas grand chose de nouveau et l’idée qu’autour de la poste et de l’école existerait un flux de fréquentation est étonnante.
C’est encore une étude bien singulière, une de plus !!!
Une idée revient régulièrement autour de ce fameux flux provoqué par la fréquentation de la poste, elle est de créer une offre commerciale autour du futur cinéma, cinéma contigu à la poste.
L’adjoint au commerce, en près de trois ans, n’a pas fait évolué ce volet économique de la vie quinocéenne.
Le fameux droit de préemption sur des boutiques fermées, annoncé par le maire dans son programme pour inciter l’ouverture en haute saison de commerces spécialisés, (cycles, galerie d’art, bouquiniste spécialisé etc) est resté dans les cartons des promesses.
La revivification du commerce local nécessite un travail énorme, ingrat et n’ouvre pas forcément à des succès.
Il ne faut pas oublier qu’un commerce est avant tout une expérience individuelle.
On mesure dans ce domaine, comme dans d’autres, que les propositions démagogiques font gagner à l’évidence les élections mais ne règlent en rien ce probléme kafkaïen.
Et à cela s’ajoute, pour rendre le probléme encore plus difficile, le développement de l’Internet.
On n’est qu’au début du commerce en ligne, cela promet !!!



JOUNENT michel



lundi 27 septembre 2010

FINI L’ÉTÉ, LE SOLEIL, LES NAÏADES
et les cornets de glaces
à la vanille.



En ce début d’automne, la commune, à la nuit tombante, retrouve son calme, sa morosité et toutes les marques de son déclin.
Le temps passe et, à la sortie de l’hiver, la municipalité aura atteint la moitié de son mandat.
Il sera alors opportun de faire le bilan des réalisations faites et en cours et de les comparer aux promesses tenues dans le programme de notre maire.
La démagogie et les approximations sont souvent les éléments qui mènent à la victoire électorale.
A l’inverse, le travail obscur, rébarbatif, les mains dans le cambouis pour la réalisation sérieuse des dossiers municipaux ne paie pas.
De plus, devant l’individualisme grandissant dans notre pays et dans notre ville, il n’est pas bon de privilégier l’intérêt général face à la multiplication des intérêts particuliers.
Une fois aux manettes du quotidien et de l’avenir pour six ans, il est évident que le réveil n’a pas été des plus agréable, l’élu, par son choix de servir ses concitoyens, a découvert qu’il a plus de devoirs que de droits.
Il doit surtout consacrer beaucoup de temps, de travail et d’efforts pour assimiler la complexité du fonctionnement de notre collectivité territoriale.
Le maire avait raison de souligner que, pour réaliser son programme, il avait besoin d’un maximum d’élus, mais, où il a eu tort, c’est de refuser une opposition clairement affichée.
Elle aurait put , par son engagement contradictoire , alerter l’opinion quinocéenne des dépenses consacrées aux trop nombreuses études inutiles.
Ce qui continue à faire problème dans notre commune, c’est d’avoir un maire intermittent, un maire trop souvent absent, indemnisé cependant à temps plein.
On ne peut pas être comme, je l’imagine M le maire, un ardent défenseur de la décentralisation et faire croire que les décisions importantes se prennent seulement à Paris et que son fameux carnet d’adresses lui ouvrent les portes des donateurs de subventions. Ce n’est pas sérieux.
Un exemple : pour effacer le réseau d’alimentation aérienne de sa rue, il a fait seulement intervenir le Syndicat Départemental d’Electricité du 22.
Un point, c’est tout.
Pratiquement toutes les décisions prises pour gérer notre ville n’ont pas d’autre localisation que "La région Bretagne, capitale Rennes ".
Un exemple de parisianisme : pour rédiger sa plainte contre son adjoint W.Abbest, le maire a contacté des avocats ayant pignon sur rue dans les beaux quartiers de Paris, à croire que dans les Côtes d’Armor, les ténors du barreau dignes de M le maire n’existent pas.
Des quinocéens regrettent leur vote, c’est possible mais, comme chacun le sait, les humeurs et les caractères des femmes et des hommes varient souvent donc, pour l’instant, inutile d’approfondir le sujet.
En attendant, au bout de 36 mois d’exercice à la tête de la municipalité, il est normal que l’on se fasse une idée de la mise en œuvre des promesses électorales de M le maire.
Pour ce bilan, il suffira de reprendre le document mis à la disposition de la population et de faire un rapprochement serré avec le réel et aussi regarder les démolitions faites sur les réalisations ou projets de l’équipe sortante.
C’est un travail très important à réaliser :
le funérarium, malgré une importante pétition, abandonné.
l’aire de carénage : un document important a été adressé à la Chambre Régionale des Comptes de Bretagne, elle en a accusé réception et une suite est attendue.
le CLJ, après deux années de tergiversation, le bâtiment sans plan de financement est sorti de terre pour environ 500 000 €, il est actuellement sans usage !!! Pourquoi ???
le plan de circulation, c’est le serpent qui se mord la queue. Tout le monde en parle, cette proposition pour améliorer soi-disant la circulation provoque l’hostilité des commerçants et, en lisant les cahiers d’observations, l’incrédulité des habitants.
la signalétique locale, toujours rien à signaler, on attend le mouton à cinq pattes appelé « plan de circulation ».
Le cinéma, deux études coûteuses pour supprimer la partie théâtre et laisser pour l’instant de côté la médiathèque ; le financement de cette reconstruction relève d’un film de science fiction : sa fréquentation d’un film fantastique et sa gestion d’un film d’épouvante.
il y a aussi dans ces travaux d’Hercule « Saint Quay Portrieux 2020 », les transformations autour du Casino, les transformations du quai de la République, la transformation de l’esplanade du Port d’Armor (la ville est à 45 % dans cette affaire).
le GR 34 : à l’hôtel de ville, on attend les prochaines tempêtes et en étant très optimiste, ce n’est pas avant l’été 2011 que le sentier des douaniers sera à nouveau praticable sur sa partie la plus magnifique.
le Centre des congrès, depuis l’incendie du printemps, est fermé ; c’était bien la peine de fustiger sa fermeture trop fréquente et des prix d’utilisation excessifs ; on était en droit, avec le spécialiste hautement qualifié de la finance et de l’assurance qu’est notre maire, de voir régler, dans les délais les meilleurs, les soucis que pose l’assureur de ce bâtiment.
le rond point des « prés Mario », feux tricolores, quatre branches puis six et puis le désaccord des riverains, cela ne tourne pas rond de ce côté !!!
la fréquentation des camping-cars pose des problèmes, ils ne sont pas immenses mais les élus ne doivent pas circuler en ville sans entendre de nombreux quinocéens gênés par ce stationnement anarchique.
.le P.L.U: avec ce plan  local d'urbanisme, on a  notre" arlesienne",  le conseil municipal du  9 juillet 2009 a considéré que  le  projet de PLU était  prêt à être transmis aux  personnes  publiques, on continue à en parler mais du côté de son approbation ,on ne voit rien venir !!!
Cette description des chantiers en cours n’est pas exhaustive et il y aura aussi autour du fonctionnement du conseil et de l’appareil municipal d’autres choses à examiner.

D'ici le printemps, dans notre station balnéaire endormie, des surprises venant de nos élus à l’activité réduite ne sont pas exclues.
Il y a du travail en perspective pour dénouer les nœuds de cette gestion peu transparente, souhaitons que ces noeuds ne soient pas gordiens.



JOUNENT michel

la grêve noire 27/09/2010

LES ÉCRITS RESTENT…
mais hélas à Saint Quay…
LES PROMESSES S’ENVOLENT!!!


Par un courrier en date du 15 septembre 2009, j’ai porté à la connaissance du maire D. Blanc la dégradation de l’enrochement de « la Grève noire » au droit de la cale.
En date du 1er octobre 2009, M le maire m’a répondu (services techniques REF: DB/BF n°218) qu’il avait programmé avec ses services « dans les semaines à venir une intervention visant à reprofiler le cordon d’enrochement »
C’était il y a un an  et rien depuis !!!
De nombreuses marées à fort cœfficient  avec de violents vents d’Est ont continué à saper le rivage.
Les tempêtes provoquent la chute des gros rochers de l’enrochement, ils se brisent et ne forment plus une protection sérieuse au rivage.
La promesse d’intervenir dans les semaines suivantes était raisonnable et à la portée des services techniques municipaux.
Après cette année de perdue en sera t’il de même ?



COULANGEON jean-françois

samedi 25 septembre 2010

LA VIE MUNICIPALE ...
malade d’un mal incurable !!!


A Saint Quay Portrieux au menu, c’est toujours la « Soupe à la grimace ».
L’assemblée municipale, réduite à 18 élus dont 4 à 5 dissidents, continue à faire confiance à son maire et l’autorise toujours à poursuivre ses projets démesurés.
Certains, et ils sont nombreux en ville, pensent qu’il est inutile de revenir sans cesse sur cette réalité médiocre, et qu’il n’est pas obligatoire d’insister sur la démocratie municipale bafouée par les recours au tribunal administratif.
Ils ont sans doute raison, il suffirait qu’il y ait un peu moins de battage venant de l’hôtel de ville et tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Un peu moins de bruit, voilà ce que demande la majorité silencieuse et, en 2014, il sera temps de sortir les sortants.
Il existe dans notre ville un probléme majeur, c’est la difficulté à rassembler une équipe de femmes et d’hommes à la fois tous différents, ayant des itinéraires professionnels variés et susceptibles de travailler ensemble dans le cadre de l’intérêt général pour modeler une commune où il fera bon vivre.
La lassitude s’installe chez les quinocéens et je commence à penser que mon blog ne sert pas à grand chose, une course de fond est engagée et il va falloir être costaud pour tenir la distance.
Mais dans l’état actuel du ramdam que notre cité provoque dans les médias avec, en plus, la parution d’un livre sur un triste fait divers local mêlant drogue , voitures de sport, paupiettes et des potins sur la vie locale, je ne peux pas m’exempter de dire et redire qu’il y a de singuliers comportements individuels à Saint Quay .
Tant que les personnes élues en 2001 et en 2008 ne s’expliqueront pas, le maire aura les coudées franches pour diriger la municipalité.
J’évoque les élus de 2001, ils sont restés 7 ans aux affaires et aujourd’hui il est rare, extrêmement rare, de lire, d’entendre ces élus sortants (de nouveaux candidats ou ne s’étant pas représentés), évoquer le bilan de leur mandat.
C’est à croire qu’ils ont honte de leurs activités passées.
Il y a le cas pittoresque des élus sortants qui sont passés de la liste sortante à la liste gagnante, leur itinéraire et leur opportunisme sont navrants , comment peut-on se tromper de la sorte?
Depuis, sur ces trois migrateurs, deux ont démissionné, cela en dit long sur le niveau de réflexion de ces personnes.
Pour couronner le tout, au bout seulement de quelques mois, tous les quinocéens ont assisté à l’implosion de la liste gagnante.
Une douzaine d’élus récalcitrants aux méthodes de management du maire ont plus ou moins écouté un adjoint, ce dernier les avait convaincus que l’absence régulière du maire de la ville les conduirait à être les vrais dirigeants de la municipalité.
On se rappelle les paroles du maire en date du 11/12/2008, « Georges Brezellec souhaite exercer le pouvoir, mais nous ne pouvons pas être deux à commander le bateau ».
Ces douze élus faiblement armés pour juguler l’autoritarisme du maire ont fait appel à un intellectuel local, une espèce de « coach ».
Le résultat, on le connaît, la désintégration du groupe des douze et la démission théâtrale lors d’un conseil municipal de six d’entre eux.
Depuis, plusieurs démissionnaires fréquentent l’âme en peine, le conseil espérant voir comme au cirque le dompteur dévoré par les lions, autrement dit, le maire désavoué par son conseil et conduit à la démission.
Il faudra bien qu’un jour l’on sache quel est le magicien ou le sorcier qui a réussi à former et sous quelles conditions cette équipe improbable dénommée à juste titre « autrement »?
La description de la vie municipale en bien , en moins bien ou en mal, doit se faire en toute clarté et à visage découvert, ce n’est pas le cas actuellement , on est toujours à assister aux agissements d’une petite coterie ou à des bavardages de pas de porte.
Ce n’est pas demain la veille que les choses changeront à Saint Quay Portrieux, d’ailleurs est ce que les quinocéens veulent voir changer la manière dont est gérée la commune ?



JOUNENT michel













mercredi 22 septembre 2010

SUR FRANCE-INTER,
nous avons tous écouté le jeu
« d’Emile Franc »,

Un jeu culturel fait de questions-réponses et, pour le gagnant, une petite somme d’argent ……et cela se terminait par le fameux « à demain si vous le voulez bien. »
Depuis le changement de monnaie, le jeu est devenu celui "des mille euros"
A Saint Quay , il se passe toujours quelque chose, en témoigne la presse et en particulier « La Presse d’Armor » qui, chaque semaine, obtient de fameux tirages en racontant les aventures municipales, notre bon maire qui n’est jamais en panne d’imagination a créé un nouveau jeu ..
C’est un jeu où l’on ne gagne rien mais le contribuable y laisse des plumes.
C’est le jeu des deux mille euros.
Dès que notre édile sèche sur un point du code des collectivités territoriales, il saisit le tribunal administratif.
Il aurait pu demander à son directeur général des services de lui faire la lecture de ce code, mais voilà, le courant ne passant plus, il lui a montré la sortie (deux directeurs + une intérim, en trente mois) aussi, cherchant à tout prix une réponse favorable dans le code pour éjecter son quatrième adjoint du conseil, il a appelé à la rescousse un cabinet d’avocats de la rue Saint Dominique (Paris 75007).
Pour deux mille euros, on n’a pas grand chose.
Ces fameux avocats parisiens se sont pris les pieds dans le tapis, ils n’ont pas déposé dans les délais convenus la plainte, elle a été jugée irrecevable !!!
Ni une, ni deux, notre maire insatisfait veut comprendre le code des collectivités territoriales et, bien qu’il n’ait rien contre son adjoint W.Abbest, trouver enfin une justification pour le limoger.
Elu au suffrage universel, bien élu, W Abbest pour deux mille euros, se verrait renvoyer dans ses foyers ? On rêve et l’intéressé, lui, cauchemarde.
Ce recours à un tribunal administratif en première instance à Rennes et en appel à Nantes coûtera certainement plus de deux mille euros.
Cette affaire ternit l’image de notre commune et surtout montre un conseil municipal désemparé avec des élus qui, par leur mutisme sur ce mauvais coup porté à la démocratie locale , montrent un aspect peu reluisant.
Deux mille euros c’est vraiment n’importe quoi, et tout cela pour lire et comprendre un article du code de collectivités territoriales.
Le conseil, et surtout son maire, feraient mieux de se pencher sur les vrais problèmes et montrer en travaillant que les promesses électorales étaient autre chose que démagogiques.



JOUNENT michel

mardi 21 septembre 2010

entre veau et mouton...21/09/2010

IL NE FAUT PAS SE GÊNER !!!


Cela ne changera pas la face du Monde, mais cela montre bien dans quel état de déliquescence est le conseil municipal de Saint Quay Portrieux.
Alors que rien ne bouge du côté du chemin des gabelous, que rien ne bouge du côté du Centre des congrès, que l’on s’amuse bien avec les finances locales du côté du cinéma « Arletty » et que les rues et venelles du Portrieux sont toujours aussi sales, des travaux importants viennent de débuter pour améliorer le cadre de vie de M le maire et de son ami, le futur responsable provisoire du cinéma, le président de « Ciné St Ké ».
Dans deux rues, en impasse, abritant en basse saison quelques habitants, on procède à l’effacement du réseau aérien d’alimentation électrique et téléphonique.
Ces deux voiries de faible, de très faible fréquentation abritent, allée de la grève Gicquel, M le maire et, rue Beaudrit, le bouillonnant membre de la commission extra municipale de la culture.
Ces travaux ont été décidés par la délibération N°10/09 du conseil municipal du 14 janvier 2010.
Cette décision a été obtenue par 11 voix contre 1, celle de Jeanne Lucas ; à ce conseil, était absente C.Thoraval ; A. Cléré, P. Lechevoir, Y. Néant, W. Abbest et G. Brezellec étaient représentés pour cette importante décision.
Mme Lucas a demandé les raisons du choix de ces rues, bien sûr le maire a botté en touche comme d’habitude… « Il faut bien commencer par quelque part ».
Pour cette explication ou pour une autre, Mme Lucas a quitté le conseil, le quorum n’étant plus, le conseil municipal a dû interrompre ses travaux.
Ce n’est pas être « bégueule » de déclarer que lorsqu’ on est le premier magistrat, il n’est pas interdit de proposer, pour ce genre de travaux, autre chose que sa rue d’habitation.

En 1968, le Général De Gaulle, avec amertume, déclarait qu’il était difficile, en parlant des affaires de la France, de diriger « un peuple de veaux…de veaux qui se couchent », à Saint Quay Portrieux nous avons franchi un degré de plus dans la ressemblance animale de ceux qui composent notre assemblée communale.






Le croisement du mouton et du veau.


JOUNENT michel

dimanche 19 septembre 2010

la démocratie participative 19/9/2010

CARTES SUR TABLE….


Nous vivons dans un pays , dans une commune où la gestion de toutes les affaires politiques , sociales , éducatives, culturelles et sportives se réalisent par la démocratie représentative.
A période régulière prévue par les textes, nous élisons nos représentants pour exercer dans un laps de temps, défini par la loi, la charge de l’intérêt général.
Durant leur mandat, ces élus réalisent les promesses contenues dans leur programme avec plus ou moins de réussite.
En fonction du sérieux de leurs propositions, de la qualité du travail collectif réalisé , ils réussissent, mais quelquefois, malheureusement, ils précipitent leurs concitoyens dans le marasme et les hausses d’impôts par leur incompétence.
Cela arrive, c’est déjà arrivé et cela arrivera encore.
Dans la démocratie représentative, il est non seulement bien, mais souhaitable, de constater l’existence d’une opposition afin de juguler, de limiter les excès d’un pouvoir détenu par un seul courant d’opinion.
A Saint Quay, il n’est pas de tradition d’avoir, au lendemain des élections municipales, une opposition clairement définie et jouant un rôle constructif au sein de l’assemblée communale.
Au soir du dernier scrutin où trois listes s’affrontaient, la liste « autrement » a obtenu dès le premier tour 18 élus sur 23, la moyenne obtenue de ces élus est de 1138 voix sur 2238 votants soit environ 55% des suffrages exprimés.
Ce résultat aurait dû conduire le futur maire a mieux évaluer la situation résultant de ce vote, il a préféré, dans l’euphorie de la victoire, poursuivre sa vindicte contre l’équipe sortante et contenter les 5 candidats de sa liste restés sur le bord du chemin menant à l’hôtel de ville .
Cela l’a conduit, par son blog, par la presse et des tracts, à vilipender une éventuelle opposition en écrivant, entre autre, ceci :
« Aujourd’hui, il reste 5 siéges de conseillers à pourvoir et certains affirment déjà qu’il faut une opposition. Mais une opposition à quoi ? A votre vote ? Au souhait manifesté par les quinocéens de voir notre ville enfin s’animer ? Une opposition aux femmes et aux hommes tout juste choisis dimanche dernier et qui n’ont pas encore pu se mettre au travail ?
Cette opposition que l’on devine de principe est souvent systématique, négative, et finit au fil des mois par devenir destructrice ».
Trente mois après ce succès triomphant, notre maire a fabriqué, à l’intérieur de son conseil, ce qu’il ne voulait pas concéder à ses concurrents des municipales de 2008, une opposition déterminée.
De plus M Blanc affirmait « nous avons besoin de toute l’équipe pour mobiliser les talents de chacun afin de réaliser notre ambitieux projet au service de tous les quinocéens ».
En cette mi-septembre 2010, il ne reste plus que 13 conseillers municipaux, maire compris, pour réaliser le fabuleux destin de notre cité.
La presse qui relate les convulsions du conseil municipal, les deux blog au plus près de la réalité locale ne sont pour rien dans ce naufrage lamentable.
Les artisans des blogs ne sont que des chroniqueurs et, pour ma part, je réfute les demandes me sommant d’arrêter de critiquer et de faire, à la place, des propositions, des suggestions et de préparer l’avenir.
Préparer l’avenir avec qui , avec quoi , tant qu’il y aura des commentaires sous pseudo ou anonymes , l’alternative à l’équipe en place n’est pas prête de voir les jour.
La difficulté à obtenir les documents administratifs est patente, la réponse à mes courriers pour me faire une juste opinion sur les dossiers en cours est extrêmement longue et, de plus, les documents demandés ne sont pas joints dans leur intégralité.
Cela a été le cas pour l’aire de carénage où, pour pouvoir comprendre les conséquences de l’arrêt des travaux, j’ai dû passer par la Préfecture, le maire refusant de me fournir les documents normalement accessibles à tous citoyens qui en font la demande.
Sur le cinéma, j’ai demandé, par courrier, la copie de la reprise du fond par la municipalité, les différentes conclusions des commissions de sécurité et l’éventuelle expertise des lieux avant de se lancer dans les travaux de rénovation sous l’ancienne municipalité.
J’attends, et faute de DGS, je risque d’attendre encore longtemps.
Dans notre ville, il est bien difficile de suivre les travaux en cours, les élus ne sont pas très bavards , sur le groupe des treize formant aujourd’hui la liste encore fidèle au programme « Saint Quay Portrieux autrement » combien travaille sérieusement leur secteur de responsabilité ?, quand on entend leur silence au cours des conseils, il y a de quoi s’inquiéter et de renforcer l’idée que le maire s’occupe de tout et eux de rien.
Cela explique sans doute que le GR 34 est toujours fermé sur sa partie la plus pittoresque. que le centre des congrès soit l’objet de contrariétés venant des assureurs, que le plan de circulation, après des mois de consultation par les quinocéens, reste toujours à l’état de projet, que le PLU ne sera pas examiné comme prévu en septembre, que le cinéma est devenu, par ses multiples études, le déversoir des deniers publics, que les rues du Portrieux demeurent toujours aussi sales , que l’on ne voit point venir la moindre réglementation pour les camping-cars, qu’une quinocéenne en difficulté par un voisinage ne respectant rien , appuyée par une pétition largement signée, ne trouve aucun écho auprès du maire, etc …
Le maire dirige tout, ne délègue rien et passe trop de temps hors des murs de Saint Quay.
Cependant, il vous dira qu’il a mis en place des commissions extra municipales, c’est ce qu’il appelle la démocratie participative.
Ce concept est à la mode mais, n’étant heureusement que consultatif, le dernier mot reste au maire et à son cercle d’amis rapproché.
La commission de la culture avait tout réglé pour le spectacle son et lumière d’août 2010, il a suffi que des amis du maire, se réclamant de ce qui a de plus sacré dans l’histoire de Saint Quay fassent entendre leurs voix et le projet est passé à la trappe avec, en plus, des indemnités à verser au metteur en scène.
Mme l’adjointe propagandiste de ce spectacle grandiose, spécialiste du lancer de chaussettes, a dû manger son chapeau ; dernièrement, sur l’affaire de la plainte contre W Abbest, elle a encore mangé son nouveau chapeau dans la discrétion en se faisant représenter au conseil municipal.
Commissions extra municipales, démocratie participative dans notre ville où ailleurs, ce sont des hochets pour gogos ou bobos !!!
Il y a plus de dix ans que je me suis installé dans cette station balnéaire et il a fallu 2008, avec les municipales, pour que je m’intéresse à la vie municipale de Saint Quay.
Avant, le voilier était mon activité de retraité, Jean Paul Alaux m’a sollicité amicalement pour être un NOM sur sa liste.
Entretenant une certaine cordialité avec lui, je l’ai connu à la tête de son agence immobilière, j’ai fini par accepter et je ne regrette rien , cela m’a permis de rencontrer un ensemble de personnes pour la plupart très intéressant.
J’ai aussi, et c’est sans doute le plus important pour moi, rencontré Jean François Villeneuve, enfant du pays, créateur du LEQ au lendemain des élections.
C’était une bonne idée de suivre l’avancement des promesses contenues dans le programme du vainqueur aux municipales en utilisant un blog.
C’était d’autant plus une bonne idée que ce programme transpirait la démagogie, que les nouveaux élus formaient une assemblée impossible, le maire avait joué « malin » en les réunissant…. le ver était dans le fruit.
Dans la liste de JP Alaux, je n’ai jamais entendu l’idée farfelue d’arrêter les travaux de l’aire de carénage en construction.
J’ai entendu qu’il aurait fallu attendre le résultat des élections, la construire ailleurs, plus à gauche, plus à droite, moins grande, etc… mais jamais l’ineptie d’arrêter les travaux, de la modifier et de remettre le site dans l’état premier.
En juillet 2008, quand est apparu l’arrêté du maire indiquant un emprunt de 400 000 €, j’ai commencé une longue enquête sur la dilapidation de l’argent public et du détournement de l’objet de cette construction.
Cela n’a pas été facile, aussi, pour ne pas rester au milieu du gué, je me suis adressé au maire sortant Gérard Lambotte, c’est JF Villeneuve qui m’a conduit chez lui.
J’ai travaillé avec l’ancien maire facilement, j’ai appris ce que voulait dire l’ intérêt général , j’ai aussi mesuré la différence entre des mauvais amateurs revanchards et un serviteur qualifié de l’état.
Tout n’est pas simple dans la vie quand on met sa compétence au traitement des dossiers, on oublie parfois que le genre humain est assurément compliqué.



Mon action aujourd’hui avec mon blog est d’appréhender au mieux les problèmes locaux et c’est quand même normal d’aller vers la lumière plutôt que de patauger au milieu des petites querelles de personnes.
Aussi, n’en déplaise aux « pisse vinaigre » et aux commentateurs courageux dans l’anonymat !!! j’écris mes chroniques sous la dictée d’aucune personne.



JOUNENT michel

mercredi 15 septembre 2010

COMME UNE LETTRE A LA POSTE…



Ainsi s’est passée la suite du conseil municipal du 9 septembre 2010.
Notre maire, l’inflexible commandant en chef de la municipalité, a réglé les points restants à l’ordre du jour, au pas de charge.
Abattu à l’issu de l’arrêt impromptu de la dernière assemblée communale, il est réapparu comme galvanisé par les quelques jours passés hors des murs de la ville.
Il se sent comme chez lui à Saint Quay Portrieux, mais son sérum de jouvence, son sérum Bogomolets, c’est ailleurs qu’il le trouve.
Ce mardi, en cette fin de journée au milieu de son conseil, il n’a pas fait dans la dentelle, les quatre conseillers maintenant bien identifiés comme opposant (W Abbest, A Lorent, S Bré et A Cléré ) ont pu faire le plein de provision de quolibets, de propos acerbes, de remarques blessantes et humiliantes.
Ils sont déjà habillés chaudement pour l’hiver et devront bientôt faire escale dans un lazaret avant de prendre place dans la salle du conseil municipal.
La rupture totale et définitive au sein de cette équipe est consommée et, comme dirait un de mes amis cinéphile, ils sont, avec leur fragile détermination sur « La rivière sans retour ».
Une fois le jugement connu en appel du Tribunal administratif de Nantes pour cette fumeuse et coûteuse interrogation, à savoir la connaissance d’un point du code des collectivités territoriales, il n’y aura pas d’autre solution que de quitter cette assemblée communale.
Soit avec le respect résultant d’un rejet de la requête du maire.
Soit avec, malheureusement, le dégoût de s’être trompé sur le leader de la liste « autrement » et surtout l’amertune d’avoir eu des colistiers aussi peu courageux dans leur libre expression.
Ce départ est nécessaire parce que le conseil est dans l’impasse et chacune de ses tenues se terminent au delà des postures par une détérioration de l’image de la station , à un moment où on renégocie son statut de station balnéaire classée.
C’est sans-doute humainement pénible de se résigner , de jeter l’éponge, mais la partie est inégale ; en votant les seize délégations , les 23 élus à l’unanimité ont donné tous les pouvoirs au maire en plus des pouvoirs déjà exorbitants que les maires détiennent de leur fonction .
Il n’est pas interdit de réfléchir avant de donner trop de pouvoir à un homme ou une femme , surtout quand on sait que le pouvoir fait trop souvent tourner la tête.
En démissionnant, ces quatre élus iront rejoindre la première vague de démissionnaires, ils pourront ,avec ces derniers (six),refaire non pas le monde , mais penser qu’au début de 2009 il existait bien des possibilités de réduire les pouvoirs de ce premier magistrat amoureux des procédures en tout genre.
Ce qui a retenu notre attention au cours du conseil, ce sont deux points touchant la reconstruction du cinéma.
Ma position sur cette réhabilitation est d’une grande clarté , je suis pour la réouverture d’un cinéma–théâtre avec un investissement modeste (mise au normes de la salle, changement de matériel , fauteuils , écran, un certain nombre de travaux de rénovation par les services municipaux) et une gestion en délégation de service publique..
Sur la DSP , le maire envisage la gestion du cinéma par ce procédé, il nous dit que ce moyen est difficile à réaliser (+ de 18 mois de procédure) et il nous dit que l’association « Ciné St ké » sera mêlé à la programmation .
Il y aurait une cohabitation entre une DSP et l’association soi disant cinéphile, difficile à imaginer entre ces deux entités aux intérêts divergents.
Le maire avance avec les 1100 enfants fréquentant les établissements scolaires quinocéens, la possibilité d’une fréquentation de 22 000 entrées annuelles pour commencer et de donner l’exemple breton de la ville de Dol, pour le voyageur que je suis qui a traversé Dol dans tous les sens , il n’est pas surprenant d’entendre le maire vanter le succès du cinéma local un détail, un grand détail , si Saint Quay c’est blanc , Dol c’est la couleur, c’est de nombreux commerces, hôtels restaurants et un artisanat du mobilier breton .
Donc, rien de comparable avec notre ville, elle poursuit son déclin avec le maire Blanc à sa tête et, avec une fréquentation juvénile, le délégataire n’est pas prêt à remplir ses obligations.
Ce goût aujourd’hui de trouver un délégataire pour gérer le cinéma est surprenant, hier il dénonçait la DSP de l’aire de carénage en stigmatisant son improvisation.
Allez comprendre !!!
Mais le pire à entendre durant cette soirée est le financement de cette reconstruction, on assiste à une succession de promesses, DRAC, CNC , région , département et une quête sur la voie publique.
Ce dossier étudié pendant trois mois par une directrice générale des services en CDD dans la période d’arrivée du nouveau DGS en 2009 aujourd’hui licencié, est fantaisiste et dangereux pour les finances locales, c’est « Le Titanic » fonçant par une nuit noire sur une montagne de glace .
Mais le sommet a été, dans les questions diverses, le sort du centre des congrès actuellement fermé pour cause d’incendie et soumis à la mauvaise volonté des assureurs.
Bien la peine d’avoir à la tête de la municipalité un chevronné du monde de l’assurance pour patauger dans ces problèmes de couverture de sinistres.
Je n’ose pas imaginer que notre champion de maire va se laisser terrasser par ces assureurs retors.



JOUNENT michel





mardi 14 septembre 2010

LE CARPHARNAŰM


Dans la formation de sa liste électorale en septembre 2007, Dominique Blanc annonçait les caractéristiques de son équipe.
Elle s’appuyait sur le triptyque suivant :
OUVERTURE.
COMPLÉMENTARITÉ.
ENGAGEMENT.
Ouverture, le futur maire, après avoir évoqué son apolitisme, a vanté la capacité de ses colistiers à s’investir au service de tous les quinocéens, quel lyrisme !!!
Mais à l’issu du dernier conseil municipal, la seule ouverture en vue a été celle de la chasse.
Complémentarité, Dominique Blanc a cru pouvoir raconter que ses colistiers, tout en venant d’horizons différents, pouvaient travailler ensemble et de déclamer toujours avec son lyrisme de conquistador qu’il n’avait rien de commun entre un ingénieur et un imprimeur, entre un patron pêcheur et une infirmière et entre un photographe et une administratrice de banque, mais que leur savoir faire et leurs potentialités mis au service de l’intérêt général feraient des merveilles.
Si aujourd’hui on met un nom sur ces professions, je dis sans détour que M Blanc s’est mis le doigt dans l’œil et, effectivement, ces élus n’ont pas grand chose en commun.
Engagement, en nous disant que beaucoup de membres de sa future équipe étaient encore actifs dans le monde associatif et le bénévolat, il nous a présenté des femmes et des hommes à l’écoute des autres et faisant la transparence de leur activité, l’alfa et l’oméga, de leurs relations avec les quinocéens.
Il suffit d’aller en mairie pour voir la réduction des heures d’ouverture du CCAS, de voir et d’écouter les gens dans l’attente de solution à leurs problèmes pour comprendre la valeur des promesses .
Les élus et le maire en particulier sont trop souvent absents à l’hôtel de ville et répondent tardivement aux sollicitations.
Les élus allant à la rencontre de la population, c’est une promesse non tenue.
La transparence sur l’activité des élus ou sur l’avancement des dossiers dont ils ont la charge est aussi difficile à trouver qu’un trèfle à quatre feuilles au milieu des îles de Saint Quay.
Entre la démagogie du programme et les réalisations, entre l’engagement des élus à servir la population et la réalité, les fossés se creusent.

Il est temps, à la veille de ce conseil bis, de mettre de l’ordre dans cette municipalité.


Ce CARPHARNAŰM municipal, les quinocéens ne le supportent plus et ils sont blessés de voir la commune ridiculisée !!!



JOUNENT michel



lundi 13 septembre 2010

anonymat 13/09/2010

RAPPEL


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JOUNENT michel

dimanche 12 septembre 2010

C’est nouveau, et cela fera le bonheur des folliculaires.

L’OUVERTURE D’UN SOUK MUNICIPAL
dans notre bonne ville.

Dans ce marché où règne le désordre et le bruit, on n’y trouvera pas ... le bons sens.
La raison, on la connaît, c’est l’élection d’une équipe au programme démagogique et aux ambitions personnelles démultipliées.
Cette équipe est dominée par les rivalités, par un esprit de revanche sur l’équipe sortante et par une faiblesse intellectuelle de beaucoup de ses membres.
Des personnes rongées par l’ambition et le paraître ne font pas, réunies dans un conseil municipal, une équipe solidaire et efficace au service de la collectivité, nous en avons la démonstration sous les yeux.
Tous les dossiers sont traités par le maire et il ne semble pas connaître ce concept appelé « travail collectif ».
L’intérêt général, le dévouement en direction des différentes couches de la société quinocéenne n’apparaissent pas dans cette guerre picrocholine opposant les élus.
Tous les coups semblent permis. Jusqu’où ? La duplicité de certains élus est flagrante.
Entendre « je vous regarde droit dans les yeux et je vous dis que je n’ai rien contre vous mais si j’ai saisi la justice c’est juste pour connaître un point du code des collectivités territoriales »… Combien d’euros pour cette consultation?
Mais dans ce bazar, les responsabilités sont largement partagées, c’est un peu facile de descendre en plein vol notre (encore) maire, ces élus aujourd’hui dans la gêne ou hier démissionnaires ont pendant de longs mois faits amis-amis.
Ils sont venus de la liste sortante pour plusieurs, ils ont participé à la rédaction du programme, à son illustration photographique et à son impression.
Ils ne semblent pas, pour la plupart, qu’ils aient eu la moindre idée et le souvenir des promesses annoncées.
Ils ont voté comme un seul homme les 16 délégations au maire, par là même ils sont devenus les spectateurs des décisions prises au conseil municipal.
Ils ont appris après coup l’arrêt des travaux de l’aire de carénage et ont voté à l’unanimité la reprise du chantier, les pénalités, les travaux supplémentaires, la suppression de la DSP, la création d’une régie fantôme pour la modeste dépense de 400 000 € + les intérêts de l’emprunt de cette somme sur 15 ans.
Sur le cinéma « Arletty », ils n’ont pas suivi les différents épisodes de ce film à sketch.
Deux études architecturales pour avoir méconnu les textes réglementaires dont dépendait cette construction classée, l’acceptation aujourd’hui de passer sous les fourches caudines du CNC pour avoir une subvention, dope le coût de cette rénovation.
Ces liaisons dangereuses avec le CNC ont conduit à la disparition de la partie théâtrale et toujours sous les recommandations du CNC, il serait question de créer une Délégation de Service public pour sa gestion.
Pour une DSP, le conseil municipal doit créer et équilibrer un budget annexe.
Et puis au conseil je n’ai jamais entendu un élu s’inquiéter de l’absence d’une étude sérieuse sur la fréquentation de cette future salle High Tech (en hiver et en été).
Il y a beaucoup à dire sur le rôle de conseillers actuels, la nature ayant horreur du vide, aussi il ne faut pas s’étonner devant l’apathie de ces élus que le maire ait le monopole du traitement des dossiers.
Le Gr 34 sur les falaises attaquées sans cesse par les pluies, les vents et la mer est fermée à la circulation sur une de ces plus belles parties, au conseil je n’ai jamais entendu l’inquiétude d’un élu à ce sujet et le maire est bien silencieux sur le retour à la normale de cette magnifique promenade.
Sur le CLJ avec son extension cubique, on est toujours dans l’attente du plan de financement de ces travaux.
D’un autre côté, il faut bien reconnaître qu’il n’y a pas seulement les élus dans l’absence d’information, les quinocéens, malgré les fabuleuses promesses, souffrent aussi de la faiblesse de la communication municipale, à part la multiplication des photos du maire sur le blog officiel, on reste sur sa faim.
Publication très en retard des procès verbaux du conseil, et censure sur les commentaires par émail.
C’était bien la peine d’embaucher un directeur de la communication.
Déjà on sait que plusieurs promesses emblématiques ont du plomb dans l’aile, le court couvert de tennis, l’école de musique et la thalassothérapie dans les bâtiments religieux a pris l’eau.
Il y a presque un semestre, le feu a détruit en grande partie le Centre des congrès.
On est un peu comme la duchesse Anne, on voit toujours au loin les effets de la fumée mais comme la duchesse, on ne voit rien venir quant à la réhabilitation et surtout aucune information sur la dépense à venir.
Le pire n’est jamais sûr certes, mais les derniers rebondissements municipaux amènent à de sérieuses inquiétudes sur le devenir de cette équipe.
Beaucoup de questions enfin se posent sur l’absence de 5 élus dont 2 adjointes au dernier conseil municipal
La presse locale et régionale est jusqu'à preuve du contraire objective, elle montre une image détestable de notre ville.
Le plus navrant actuellement c’est le retour aux petites combinaisons, c’est aussi l’oubli à bon compte des inimitiés d’hier, c’est aussi l’oubli de certaines turpitudes.
La mémoire semble défaillante chez certains, ceux qui ont couru à la victoire avec D Blanc et qui l’on porté aux nues le soir de l’élection municipale, sont prêts dans un proche avenir à le vouer aux gémonies.
Quelle souplesse d’échine…. que ces personnes nous expliquent comment elles se sont trompées, et nous ferons un grand pas pour oublier le pitoyable spectacle du conseil municipal en folie.
Il est grand temps de réfléchir dans cette ville sur ce qu’est le beau sentiment de se mettre au service de l’intérêt général.



JOUNENT michel



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samedi 11 septembre 2010

M Sans gène 11/09/2010

NOUVEL ÉCART DE M LE MAIRE



En se rendant seul à la maison de retraite Jeanne d’arc pour remettre le diplôme national d’honneur à Charles François Turban, D Blanc a franchi un nouveau pas dans le manque de respect envers les associations d’anciens combattants (UNC .UFAC).
En juin 2010, l’administration communale, en tant que secrétaire de l’UNC , m'a averti que deux anciens combattants se voyaient reconnu par la Nation.
M Ollivry, adhérent à UNC de Saint Quay Portrieux.
M Turban, adhérent à l’UNC de Saint Brieuc.
En général, cette remise de diplôme se fait à l’occasion de la fête nationale du 14 juillet.
Compte tenu de l’état de santé de ces deux personnes, l’un hospitalisé, et l’autre en maison de retraite, cela ne s’est pas fait. Depuis, plus de nouvelles jusqu'à la lecture de « La Presse d’Armor » relatant la visite solitaire et la remise du diplôme à M Turban.
On le sait le maire a un emploi du temps chargé mais suggérer à ses services de se déplacer à leur domicile accompagné d’un représentant des AC était du domaine du possible, en ne le faisant pas, le maire a ignoré un des échelons de la vie associative locale.
Les anciens combattants maintiennent le lien entre les différentes générations, ils rappellent aux plus jeunes le sacrifice des femmes et des hommes qui ont donné leur vie pour que nous puissions vivre libre dans notre beau pays.
Personnellement, je vais leur rendre visite plusieurs fois par an, chez eux ou à Jeanne d’arc, sans tambours ni trompettes, la discrétion est de mise pour ses anciens.
Ce n’est quand même pas difficile d’honorer un quinocéen au milieu et entouré des camarades de son association.
Et bien, à Saint Quay Portrieux, notre maire cultive la différence au grand étonnement des gens de la commune et des villes aux alentours.



COULANGEON Jean-François de l’UNC de Saint Quay Portrieux

vendredi 10 septembre 2010

LE ROI SE MEURT…





Au conseil municipal, devant un public plus nombreux que d’habitude, les conseillers municipaux (12 présents) ont continué leur guerre de tranchée.
On ne répétera jamais assez que ces violentes disputes se font au sein de l’équipe élue toute entière en mars 2008, il y a seulement 30 mois.
Après une laborieuse discussion sur les approximations du procès verbal du 29 juillet, la tension est vite montée autour de la table du conseil à l’écoute du compte rendu des délégations du Maire.
révision des assurances concernant le personnel communal.
augmentation des tarifs de l’école de musique + 2 %.
dépôt d’une plainte au nom de la commune au T.A* de Rennes pour déchoir W. Abbest de son mandat électif.
augmentation des tarifs de la restauration scolaire + 2 %.
appel au nom de la commune, au T.A* de Nantes pour obtenir une décision favorable à la déchéance de W Abbest de son mandat électif.
Avec une aigreur certaine, le maire a passé la parole à cinq élus.
Il a bien essayé de réduire la durée des interventions de ces cinq conseillers mais compte tenu de la gravité et de la nature de la plainte cela n’était guère possible.
Le premier des intervenants, W Abbest, a refait sobrement l’historique et les raisons de ce climat délétère qui dure depuis décembre 2008.
Il a rappelé les vexations, l’humiliation constante, l’empêchement d’accéder aux documents administratifs et les motifs futiles de la requête au T.A* de Rennes.
Le second intervenant G. Brezellec, l’élu à géométrie variable , quant à lui a dit son incompréhension et ses regrets sur ce nouveau motif de dissension, il a aussi rappelé sa fidélité au maire pour continuer à réaliser les promesses contenues dans le programme « Saint Quay Portrieux autrement »…. Fidèle mais pas trop, on ne sait pas encore de quoi sera fait demain et puis environ 1 500 € d’indemnités par mois invitent à la prudence.
Le troisième, A .Lorant a souligné toutes les difficultés à travailler avec le maire ,le goût de ce dernier à porter plainte pour un oui ou un non, son autoritarisme , son machiavélisme et la cohabitation douteuse avec G Brezellec.
Il n’est pas interdit de rappeler que cet élu reçoit environ 18 000 € d’indemnités annuelles ? (Mairie+ Sudgoélo).
La quatrième, S. Bré a rapporté une bien triste anecdote sur la relation du maire avec la commune et sa pensée profonde, son cynisme en cas d’échec de ses ambitions de premier magistrat.
Enfin, A. Cléré a demandé le coût de ce dépôt de plainte et maintenant de l’appel au T.A* de Nantes.
Le maire, avec sa morgue coutumière, a cru bêtement se débarrasser de ces interlocuteurs en racontant comme toujours n’importe quoi et surtout en oubliant de dire le montant des deniers publiques dilapidés pour régler ses comptes personnels.
Il n’a pas vu venir, malgré sa soi-disant finesse à entrevoir des problèmes complexes, la détermination réfléchie de 4 élus.
Leur départ au moment où le maire passait la parole au directeur du Casino a conduit, le quorum n’étant plus, à la suspension du conseil.
C’est la deuxième fois depuis le début de l’année.
Sa poursuite avec le même ordre du jour est prévue pour mardi prochain.
Douze présents sur dix sept, on va finir par croire que plusieurs élus ne sont pas très courageux, l’importance de cette soirée ne pouvait pas échapper en particulier aux absentes les maires adjointes Mmes Poignonnec et Quéré.
Trente mois sur soixante douze, qui peut encore croire que cette municipalité ne va pas exploser en plein vol, le bon sens voudrait que devant ce crash annoncé, voir le retour des quinocéens aux urnes , on n’en est pas encore là .
Tout glisse sur notre extravagant maire et son culot est sans limite.
La ville et ses habitants ne méritaient pas cela, la presse sera cruelle demain sur ce conseil interrompu et ne manquera pas de brocarder une fois de plus notre cité.
En attendant, le financement du cinéma et sa gestion sont en stand by, la rénovation du GR 34 et la réparation du centre des congrès sont aux abonnés absents, les subventions pour le CLJ sans doute à chercher dans une pochette surprise.
Et ne parlons pas du fabuleux schéma directeur Saint Quay 2020 et son fumeux plan de circulation.
Voila une triste soirée ou chacun peut aujourd’hui mesurer les conséquences de la démagogie électorale la plus éculée de M Blanc et la composition hétéroclite de la liste « autrement »
En écrivant il y a quelques jours « c’est la lutte finale », je ne suis pas tombé très loin et mon propos prémonitoire me confirme l’état vacillant de la direction municipale.



Dans les salons feutrés de Saint Quay Portrieux, cela commence à « grenouiller » sec !!!

*T.A.  tribunal administratif

JOUNENT michel

jeudi 9 septembre 2010

EN L’ABSENCE DE RÉGLEMENTATION,


Le stationnement des camping-cars à Saint Quay Portrieux provoque l’agacement pour le moins.
Le camping-car ou l’autocaravane est soumis aux dispositions du code de la route et du code général des collectivités territoriales.
Il peut circuler et stationner sur la voie publique dans les mêmes conditions qu’une voiture.
Autrement dit, le stationnement abusif est prohibé (+ de 7 jours consécutifs à la même place.
Les maires ont la possibilité de fixer à l’utilisateur de camping-car, des contraintes.
Par exemple :
• interdire à certaines heures l’accès à certaines voies de circulation.
• réglementer en zone urbaine le stationnement ou l’arrêt nocturne entre 20 heures et 7 heures du matin.
Ces interdictions doivent s’appliquer à tous les véhicules de même gabarit que les camping-cars.
Il existe par le pays des aires de service (remplissage des réservoirs, vidange des eaux usées et des WC chimiques.
Ce n’est pas le cas à Saint Quay Portrieux où seul un terrain de camping est en mesure d’accueillir ces véhicules, bien sûr le stationnement y est payant.
Dans des zones sensibles et en rapport avec le code de l’urbanisme, il est rigoureusement interdit de séjourner.
• sur les rivages de la mer.
• dans une proximité des sites classées.
• dans un rayon de moins de deux cents mètres des points d’eau captée pour la consommation.
• dans les bois, forets et parcs classés par un PLU.
Pour ne pas être verbalisé, il convient à ces autocaristes de se renseigner auprès des mairies ou des offices de tourisme.
Dans notre ville, à l’arrivée de la nouvelle municipalité, plusieurs fois le stationnement anarchique de ces véhicules est venu en discussion au conseil municipal.
Mais comme sur beaucoup d’autres sujets, rien ne se passe pour mettre un peu d’ordre et organiser la cohabitation avec les riverains.
Ces autocaristes ne paient pas l’eau utilisée, se servent la plupart du temps des containers pour se débarrasser de leurs détritus, fréquentent les WC publics pour vider leurs eaux noires ou le contenu de leurs WC chimiques.
Il faut rappeler que les résidents sédentaires et secondaires paient des impôts et que les vacanciers paient une taxe de séjour.
Pour éviter la dégradation des rapports entre les locaux installés dans du « dur » et les personnes se déplaçant pour leur loisir avec leurs habitats mobiles, il est nécessaire et urgent de clarifier les conditions de séjour des autocaristes
Réglementation municipale qui fixera les lieux de stationnement, la durée, le coût de l’eau utilisée et l’usage des commodités.
Du coté de la Grève noire, au bout de l’avenue Notre Dame des flots, sans marquage au sol pour le stationnement des véhicules, l’arrêt des camping-cars offre un spectacle désolant.
je me suis adressé ,il y a  un an , à la  police  municipale pour  qu'elle  intervienne sur ces stationnements sauvages , apparemment  sans directive de la  mairie  ,rien  n'a évolué!!!
Et  depuis à chaque  moment fort des  périodes de vacances ,le  probléme  posé par ces occupations de la voie  publique  sans réglementation  devient difficile pour les riverains.

un exemple de situation à réglementer .
ce camping-car  est en  infraction , il stationne  à moins de  200 mètres d'une captation d'eau potable.

COULANGEON jean françois.