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lundi 31 décembre 2012

nouvel an 1/01/2013


A tous mes lecteurs, toujours  plus  nombreux , je présente mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année.
Je forme aussi pour ce nouvel an, le souhait de voir l'assemblée municipale retrouver un réel fonctionnement démocratique.


JOUNENT Michel, le chroniqueur passionné de la commune de Saint-Quay-Portrieux. 

dimanche 30 décembre 2012

abandonné par le maire 30/12/2012

UNE ABSENCE AUX CONSÉQUENCES INSUPPORTABLES...





Le conseil municipal est réduit depuis des mois à.... l'impuissance.
Sa désorganisation est patente, les élus ne sont engagés dans aucun projet.
L'information ne circule plus et les conseillers ne découvrent la pensée du maire qu'en lisant son blog personnel.
La possibilité pour les élus de rencontrer le maire à l'hôtel de ville est inexistante.
Le problème posé par "les avances remboursables" et la situation du commerce dans notre commune alimentent toutes les discussions.
Devant les interrogations que suscitent chez les quinocéens ces problèmes complexes pour leur avenir immédiat et celui plus lointain de la commune, on devrait trouver notre maire en pointe pour expliquer , pour convaincre et pour rassurer.
Nenni, en ce mois de décembre 2012, Dominique Blanc n'a jamais autant brillé par son absence loin de la commune.
Sur les 31 jours de ce mois, il aura fait 3 séjours de 3 jours ( 2 jours et deux demi-journées par semaine) à Saint Quay Portrieux.
L'administration communale tourne à vide et le pire est de constater que personne ne sait très bien à quoi ressemble l'agenda du maire.
La réputation de la station balnéaire est largement entamée , son déclin se poursuit inexorablement et tous les indicateurs économiques passent au rouge.


Indemnisé 2600 € par mois, les Quinocéens sont en droit d'attendre plus de présence et de travail de la part de Dominique Blanc pour sauver ce qui peut l'être encore avant les prochaines municipales.


JOUNENT Michel, élu habitant à l'année à Saint Quay Portrieux.

samedi 29 décembre 2012

les points sur les I 29/12/2012

Juste une petite mise au point:

par G. Brezellec


je souhaitais apporter quelques précisions sur un débat que j'ai pu lire par ailleurs et qui concerne ce qu'on appelle "les avances remboursables", il s'agit d'un problème qui touche le port de pêche ,et il me semble qu'on ne pas traiter "la forme" en ignorant "le fond", car la vraie question que l'on doit se poser est la suivante :
"la commune de St Quay aura t'elle les moyens, à l'avenir, d'entretenir et de moderniser un port de pêche, et participer financièrement à des futurs investissements ???"
Pour bien comprendre les enjeux, il faut revenir à l'origine du projet:
Le 29 juillet 1987 a été établi un contrat de concession ,entre le Conseil Général (concédant) et la commune de St Quay(concessionnaire) pour la construction et l'exploitation du port de pêche et de plaisance; c'est clairement la commune de St Quay qui est à l'origine du projet, il est décidé de confier l'exploitation de l'activité plaisance et des terre-pleins commerciaux à la Société du Nouveau Port (SNP) dans le cadre d'un sous traité d'exploitation.
Le 24 juin 1988 ,la commune de St Quay ,concessionnaire, confie à la CCI des Côtes d'Armor, dans le cadre d'un contrat de "sous concession", la construction et l'exploitation du port de pêche, la durée de ce contrat ,comme celui de la concession ,est fixé à 50 ans à compter du 01/01/1988 jusqu'au 31/12/2037
Reste à trouver le financement d'un tel projet, car si la partie plaisance est à la charge de la société privée (SNP) il n'en reste pas moins vrai, que la partie publique est à la charge du concessionnaire( ville) et éventuellement du sous concessionnaire(CCI), voire du concédant(Conseil général).
Le coût global de ces investissements s'est élevé à 15,5 Millions d' euros financés en partie (55%) par des subventions à hauteur de 8,5 Millions d'euros, (dont 35% attribué par le Conseil général) le reste aurait dû ,comme cela se pratique habituellement, être répartis entre les 3 collectivités (Conseil Général, Ville, CCI) et c'est donc le tiers au moins de 7 Millions d'euros que la commune de St Quay devait apporter, soit une somme très proche de 2,5 Millions d'euros sous la forme d'une subvention d'investissement.
Les partenaires de l'époque ont choisi une autre formule, en demandant à l'exploitant d'emprunter la totalité de la somme nécessaire, mais la contre partie était de garantir le remboursement des emprunts, et c'est pour cette raison , qu'a été signée, le 04/04/88, une convention qui prévoyait " la couverture du déficit , par des versements des partenaires calculés selon différents seuils atteints par ce déficit" et ceux sont ces versements qu'on appelle aujourd'hui "avances remboursables"
Chacun comprendra que ce choix avait l'avantage de ne pas engager immédiatement , les collectivités à verser une subvention importante , mais d'attendre que l'activité liée à la pêche prenne son essor avec l'espoir que peut être , la rentabilité serait suffisante pour que les usagers, par leur redevance,prennent en charge, tout ou partie, l'investissement réalisé en 1988-1993.
Aujourd'hui, après 22 ans d'exploitation, on sait que cela ne pourra pas être le cas, depuis 10 ans le tonnage débarqué plafonne à 11 000 tonnes, et c'est déjà miraculeux compte tenu des contraintes de quotas imposée par l'Europe et de l'impossibilité de renouveler la flotille par des navires neufs , contrainte imposée par l'Etat qui veut une diminution importante du nombre de nos navires; or par manque de moyens, isolé juridiquement, le port de pêche de St Quay va au devant de graves difficultés parce qu'il va se trouver dans l'impossibilité de mutualiser ses dépenses, la concession va durer encore 25 ans et il est impossible de ne pas envisager une restructuration et des investissements importants avant cette date de fin.
Le Conseil général l'a bien compris, et nous propose d'adhérer à la grande concession départementale des ports de pêche et de commerce, et dans ce cadre d'assumer la totalité des charges à venir, ce qui nous libèrerait définitivement de la convention tripartite de 1988; pour cela il faut régulariser la situation et revenir sur la nature des "avances remboursables" pour réinscrire les sommes qui ont été engagées entre 1989 et 2004 comme subventions nécessaires à la réalisation d'un équipement public d'intérêt départemental, en conformité avec l'article L 2224-2 deuxième alinéa du code des collectivités territoriales, dès lors que le financement de la construction du port de pêche n'était pas enviseageable par la seule augmentation des tarifs.


Certains se complaisent dans une polémique de "forme" en mettant en doute la légalité de cette réinscription, peut être ont ils perdus de vue que le "fond "du problème est la sauvegarde du port de pêche, certes il peut toujours avoir un recours ,engagé par un tiers devant la juridiction administrative, mais quel serait l'intérêt véritable d'un tel recours? d'avoir eu raison en 2012, et de voir la Cour des comptes constater en 2038 "l'insolvabilité" de la criée et son impossibilité à rembourser ces avances , et demander aux collectivités d'inscrire ces sommes en "subventions d'investissements", mais pendant tout ce temps le port de pêche aura largement eu le temps de disparaitre doucement...
Une belle réussite, assurément.

Merci à Michel JOUNENT de m'avoir permis d'apporter ces précisions.
BREZELLEC Georges, maire adjoint .

vendredi 28 décembre 2012

non merci 29/12/2012

Pour détendre un peu l'ambiance dans cette période
où les affaires  communales sont  si compliquées .
Le  maire doit savoir à l'image
de Cyrano de Bergerac
que  les élus quinocéens  diront avec dignité
NON merci à tous  ses chausse-trappes.
Et qu'en  toutes circonstances, ils ne céderont pas à ses opérations d'intimidation. 




Moi JOUNENT maire adjoint, je dis et redis
NON merci  à cette  gestion municipale
malade  de son maire ...

jeudi 27 décembre 2012

sur les brèves de comptoir 27/12/2012

AVANT DE TIRER LE RIDEAU SUR LA FIN DE L'ANNÉE 2012 ,
quelques informations pêle-mêle
et en vrac ....pour les nuls.


Le port d'Armor en eau profonde est départemental depuis sa création.
Le syndicat mixte du port a pris la suite de la SNP , consortium d'entreprises qui avait financé la construction du port de plaisance.
Le syndicat mixte, c'est pour 55% le département et 45% la commune.
Le port de pêche pour sa construction a reçu des subventions européennes, de l'état et de la région et il a contracté des emprunts garantis par la CCI 22 , le département 22 et la commune de Saint Quay Portrieux; ils sont devenus " les avances remboursables".
Le syndicat mixte a mis en place une régie autonome pour gérer la plaisance et il a sous-concédé le port de pêche et la criée à la CCI 22 .
La criée est un service public qui met en rapport les pécheurs et les mareyeurs.
A ce jour, le Conseil Général du 22 a abandonné ses avances remboursables pour un montant de 5 624 475.32 € et la CCI 22 en a fait de même pour 1 923 892.00 €.
La sous concession, pêche et criée, malgré des résultats encourageants entre 1989 et 2012, n'est jamais parvenu à dégager des excédents suffisants pour rembourser les avances .
Les terre-pleins du nouveau port sont restés longtemps en l'état d'abandon suite aux recours administratifs d'associations soi disant "défenderesses" de la nature.
Ces terre-pleins sont inclus dans le PLU de la commune et tout permis de construire sur ce lieu est soumis à l'autorisation du maire.
Le port départemental d'échouage est concédé à la commune, sauf l'ancienne jetée et un espace adjacent dans le port, cette situation changera fin 2013.
L'aire de carénage est propriété de la commune.
Si demain, pour des raisons qui m'échappent , la commune ne devait pas rejoindre les choix du CG 22 et de la CCI 22 sur l'abandon des avances remboursables, le port de Saint Quay se retrouverait de facto hors de la nouvelle délégation de service publique gérant l'ensemble des ports de commerce , de pêche et les criées du département 22.
Chacun sait qu'il faut entretenir et investir pour un fonctionnement optimum dans la criée et dans les installations portuaires, elles sont en activité depuis de 25 années et méritent de sérieuses remises à niveau.
La ville devenant alors propriétaire de l'ensemble des installations rattachées à la mer serait bien incapable de les gérer et de les financer .
Déjà qu'elle a un cinéma largement déficitaire sur le bras , on imagine sans problème ce qu'il adviendrait aux finances locales d'avoir en charge un si important secteur d'activité.
Toutes les informations sur la construction , sur le financement , sur le fonctionnement de la criée, des ports et sur l'avenir de la pêche sont accessibles à tout un chacun, il suffit de s'en donner la peine pour  y accéder.
C'est bien regrettable de constater que le LEQ, premier blog ayant servi à ouvrir les yeux sur la réalité quinocéenne et sur les agissements de M Blanc soit tombé si bas dans la diffusion de fausses informations, de racontars et de propos dignes du comptoir d'un bistrot sur le sujet des avances remboursables.
Sur l'activité du conseil municipal, sur le dur combat que mêne la majorité pour se faire entendre, le LEQ et son président actuel ont pris des positions déplorables vis à vis de ceux qui résistent au pouvoir personnel de M Blanc.
J'ai toujours en ma possession l'article de la Presse d'Armor ou M Barbey justifiait sa démission du conseil municipal et disait tout le mal qu'il pensait de M Blanc.!!!
Faudra t-il que je remette sur mon blog cet interview de mars 2009 pour rafraîchir la mémoire de l'opportuniste Barbey, éternel quinocéen en mal de reconnaissance???


JOUNENT Michel, adjoint au maire.

PS:les commentaires anonymes sur mon blog vont directement à la poubelle.
Dans notre commune à la vie sociale très compliquée, la confrontation des idées se fait à visage découvert et sans cela  il  n'y a  pas de démocratie véritable.

mercredi 26 décembre 2012

maintenant ou jamais 26/12/2012




LA GESTION DE LA COMMUNE DE SAINT QUAY
pose de nombreuses questions ou plutôt une , celle de l'exercice "du pouvoir personnel" de M Blanc.
Sur tous les aspects de la vie municipale, M le maire cadenasse la bonne marche d'une municipalité qui, au demeurant, ne manque pas de moyens financiers.
C'est justement parce qu'elle est "riche " de la manne que lui procure le casino que, sans augmenter les impôts, monsieur le gâte-sauce Dominique Blanc, devant l'indigence de sa gestion dite "Autrement", arrive encore à freiner la colère des quinocéens.
L'organigramme du conseil municipal témoigne de ce pouvoir personnel:
un maire ultra minoritaire qui oublie que pour rester à la tête de l'exécutif pendant la durée du mandat , il doit au minimum conserver une réelle majorité pendant cette même durée.
sur les six adjoints , cinq sont sans affectation précise, sans secteur de travail, évidemment sans délégations de signatures et sans aucun contact avec le maire.
sur les 9 commissions municipales, une seule n'est pas présidée par M Blanc, celle des affaires sociales.
le maire préside la commission d'appel d'offres.
le maire préside la commission " loi Sapin", choix d'un délégataire de service public "DSP".
le maire préside l'office de tourisme.
le maire préside la commission technique paritaire ,la "CTP".
les représentants de la ville au centre intercommunal d'action sociale, (CICAS ) ne sont pas clairement à ce jour régulièrement désignés, le maire a renoncé dans ce domaine à représenter la ville.
Heureusement que dans nombre d'instances, la majorité du conseil renforcée depuis le 9 septembre a mis le holà à la super présidentialisation de la commune par M Blanc.
Mais il n'en reste pas moins que même avec ce nombre de présidences réduites, le maire, par le faible temps qu'il passe à Saint Quay Portrieux, paralyse la vie communale.
Cette mandature est ratée, le déclin de la commune s'accélère et les objectifs annoncés par l'équipe "Autrement" ne seront pas atteints.
Avant de "plomber" durablement la commune et de "dégoûter" à tout coup les candidats à la relève pour 2014, il est urgent d'entendre et de lire pour cette fin d'année le seul voeu pour 2013 que peut nous faire M Blanc...celui de sa démission.


JOUNENT Michel, adjoint à l'inutile.

dimanche 23 décembre 2012

du côté du port 23/12/2012

SUR LES AVANCES REMBOURSABLES....







C'est un sujet complexe et délicat.
C'est un problème qui ne souffre pas d'explications fumeuses.
Il s'agit, pour faire simple, de l'avenir du port de pêche et de sa criée.
Il y a 90 bateaux de pêche dont une dizaine d'unités hauturières à Saint Quay Portrieux.
Il est malsain, dans cette situation, de voir relayer par deux blogs des informations erronées rédigées par les turlupins locaux et, pire, de lire les âneries provenant du "schpountz" de Beaurecueil (13 ).
Le maire, M Blanc, a proposé au conseil municipal de voter une délibération proposant de requalifier les avances remboursables en subvention, sous réserve d'une démarche identique du Conseil Général des Côtes d'Armor et de la Chambre de Commerce et d'Industrie des Côtes d'Armor.
le 20 septembre , la majorité des élus a demandé le report du vote de cet abandon de créances pour un supplément d'information.
le 31 octobre , après deux réunions d'information avec des représentants du CG 22 et de la CCI 22, le sujet est revenu à l'ordre du jour du conseil municipal au cours duquel les élus ont pu s'exprimer; il n'y a pas eu de vote sur ce point à l'ordre du jour.
le maire a, depuis et avant la date butoir du 31/12/2012 de l'opération, saisi le Préfet des Côtes d'Armor pour s'assurer de la légalité de cette opération comptable.
Le Préfet ayant répondu au questionnement du maire le 17 décembre , ce dernier a remis en urgence cette question à l'ordre du jour du conseil municipal du 19 décembre 2012; les élus, dans la première partie de cette assemblée, ont voté une DM en section investissement du montant de la créance abandonnée : 2 435 885.37 €, on connaît la suite... par la clôture inopinée du conseil , les élus n'ont pas eu l'occasion de ratifier cette délibération, si importante pour l'avenir de la commune.


Afin de permettre aux quinocéens avides d'informations d' y voir plus clair, je diffuse sans retenue le courrier de M le Préfet des Côtes d'Armor confirmant la légalité de la procédure de requalification des avances remboursables.
JOUNENT Michel , adjoint au maire , opiniâtre chercheur de la vraie vérité .
en cliquant sur  les  deux parties de la lettre  ,on obtient  une  meilleure  lecture des documents.

samedi 22 décembre 2012

17 plus fort que 6 22/12/2012

LA VIE MUNICIPALE
 POUR LES NULS!!!




Les 17 élus résolument opposés au maire forment la MAJORITÉ.
Les 6 autres élus dont le maire forment la MINORITÉ.
En France, on est dans une démocratie représentative et ce sont les majoritaires qui dirigent et impriment le cours des choses en politique nationale , régionale , départementale et locale.
A Saint Quay Portrieux et ailleurs, les minoritaires sont par définition l'opposition.
Des futurs candidats aux prochaines municipales ont vraiment  besoin de prendre des cours de rattrapage pour comprendre le fonctionnement d'une municipalité.
Les majoritaires ne sont jamais l'opposition.
Les 7 derniers élus ne sont en rien responsables des divisions qui lézarde, depuis sa prise de fonction , cette équipe "Autrement".
Sur les deux légitimités, le maire d'un côté et, de l'autre, un groupe d'élus formant une large majorité résolument hostile à M Blanc, la conciliation est définitivement impossible.
Dans notre République française, jusqu'à preuve du contraire, ce sont aux minoritaires de s'effacer.
Le Maire doit reconnaître son échec et faire, comme dans la ville voisine , démissionner de son poste.
Ce n'est pas compliqué à comprendre; à tous les niveaux de l'organisation de la société française le dernier mot revient toujours à la majorité.
Le maire est élu par une majorité de conseillers le temps de la mandature; encore faut-il garder cette majorité pendant la même période.
Le dernier carré qui entoure le maire a quelque chose de pathétique.


J'attends avec une très grande curiosité la rédaction du procès verbal du conseil municipal du 19/12/2012 avec les raisons juridiques qui ont conduit le maire à clore l'assemblée municipale avant la discussion des cinq derniers points à l'ordre du jour.
Encore du travail pour M le Préfet.


JOUNENT Michel maire adjoint qui affirme sans complexe que 17, c'est plus fort que 6...

vendredi 21 décembre 2012

2012 ANNUS HORRIBILIS !!! 21/12/2012

POUR AVOIR PERDU EN 2012,


la confiance de son conseil municipal, M Blanc se retrouve sans chemise et sans pantalon en cette fin d'année 2012.
Il a perdu la quasi totalité de ses délégations de signatures; pour acheter une pochette de crayons, il doit demander une délibération à son conseil.
Il a perdu, " cerise sur le gâteau", l'élection complémentaire de septembre; même pour les plus sceptiques, cette élection a représenté un sondage grandeur nature de l'impopularité de M Blanc.
Il a perdu le droit de représenter la commune au sein de la Communauté de communes du Sudgoélo; l'ancien maire, R Allenou, le remplace...du jamais vu dans la région...
Il est dégagé maintenant du Syndicat mixte du Port d'Armor, il a cédé sa place de Vice président à G Brezellec.
Aujourd'hui, à part se claquemurer dans son bureau et consulter les horaires des trains en direction de la capitale , il ne lui reste plus beaucoup d'espace pour assurer son autorité.
Nous avons appris , nous les élus JOUNENT, MARTIN et MORICE dans un court échange avec M Blanc, que celui-ci n'était pas intéressé par l'argent.
On se demande encore pourquoi il a interrompu l'examen du budget de la ville où on devait discuter du montant de ses indemnités???
Après toutes ces déceptions M Blanc, arrêtez de vous faire du mal et annoncez pour l'an prochain votre renoncement à jouer les martyrs à la tête de la commune.
Nombre d'élus sont prêts à trouver pour vous une sortie honorable.
Cette opportunité est à saisir d'urgence car l'année 2013 s'annonce vraiment sous des mauvais auspices pour vous.


JOUNENT Michel adjoint au maire... un élu opprimé.

jeudi 20 décembre 2012

la fin ... de l'année 21/12/2012



MAJORITÉ-OPPOSITION
à Saint-Quay-Portrieux.









Au conseil municipal du 19/12/2012, la majorité a fait entendre sa voix, forte de 17 élus présents et représentés, elle a fait comprendre au maire qu'il n'avait plus "la main" pour diriger les affaires communales.
La minorité ou "l'opposition" entourant le maire est moribonde; l'égérie du maire, Mme Quéré, n'est même pas venue l'épauler dans ce combat perdu d'avance qui a été  le vote des budgets.
Ces budgets n'ont pas été préparés sérieusement contrairement aux affirmations de M Blanc.
Ces budgets sont incompréhensibles nous a dit R Allenou, l'ancien maire connu unanimement pour sa probité et sa gestion rigoureuse.
Il y a deux légitimités dans ce conseil : un maire élu par ses collègues en 2008 et une majorité forte de 17 élus sur 23 depuis l'élection complémentaire de septembre 2012.
Le maire peut freiner voir bloquer les décisions prises contre son gré mais il ne peut rien entreprendre sans l'aval de la majorité
Il n'y en a qu'un qui détruit: le maire; et dix sept , les élus de la majorité, qui construisent.
La majorité ne veut plus de M Blanc comme maire , c'est évident ; et ce sentiment est aussi largement partagé par une majorité de quinocéens, voire les dernières élections de septembre.
M Blanc s'accroche contre vents et marées a son titre et à son bureau.
Dans la grande majorité des villes , grandes ou petites, où des situations semblables arrivent, le maire démissionne .
L'exemple de la ville voisine et  mitoyenne  est là pour témoigner que c'est la seule solution quand un maire n'a plus la confiance de son conseil.
A Saint Quay Portrieux, la situation politique de la ville devient un cas d'espèce.
Hier soir au conseil , le maire a provoqué une situation inédite; il a préféré arrêter le conseil municipal plutôt que respecter la volonté de la majorité.
"Celle de voter le budget principal par chapitre voire article par article" selon l'article L 2312-2 du CGCT.
Pour une raison que j'ignore , le maire a cru bon semer la confusion en levant la séance .
Résultat :
Les votes sur les différents budgets n'ont pas eu lieu et nous ne savons pas comment sera repris ce conseil municipal inachevé.
La délibération conduisant à l'abandon des avances remboursables est remise aux calendes grecques , tout en sachant qu'il y avait une date butoir pour cette opération (le 31/12/2012).
Les dégâts provoqués par l'attitude du maire sont d'ores et déjà considérables et l'addition sera lourde pour notre commune.
Le maire a été contacté par trois élus pour qu'il nous instruise sur la suite à venir, il nous a indiqué qu'il rentrait dans une profonde réflexion. OUF!!!
L'année se termine , le maire est de plus en plus isolé et ses problèmes municipaux sont de plus en plus lourds à porter.
Au moment de lui souhaiter une bonne année, celle qui lui permettra de vaquer à d'autres choses que d'essayer de gérer la commune de Saint Quay .
Qu'il sache que dans l'adversité , il a un fameux supporter en ville.
C'est un espèce de guichetier des impôts qui a pratiqué du côté de Lanvollon.
Il possède une boule de cristal et il a réponse à tout.
A l'envie, il explique qu'il faut respecter un maire ultra minoritaire .
Avec un pareil conseiller M Blanc est presque sorti d'affaire .
Au prochaine municipale ce nouveau Galilée de la comptabilité analytique sera un candidat sérieux pour sauver la ville des sales garnements qui la dirigent actuellement
En attendant , à la sortie de la salle du conseil j'ai croisé cet excité qui expliquait à R Allenou les secrets de la gestion d'une commune!!!
Hier , je prenais ce personnage courtelinesque pour un rigolo , maintenant j'en suis sûr.


JOUNENT Michel, maire adjoint détesté avec 4 autres élus par M Blanc.

mercredi 19 décembre 2012

cela suffit 20/12/2012





L'ATTITUDE RÉVOLTANTE DU PREMIER MAGISTRAT.


Une nouvelle fois, au mépris de la démocratie la plus élémentaire, M Blanc a suspendu ce mercredi 19 décembre les travaux du conseil municipal.
M Blanc ne veut toujours pas écouter la majorité de son conseil, il a poussé ce soir jusqu'à l'absurde son autoritarisme.
En refusant aux élus la possibilité de discuter du contenu des chapitres du compte primitif 2013 concernant le fonctionnement "du budget ville", le maire a une nouvelle fois mis le feu aux poudres.
Trop c'est trop, les majoritaires réclament le respect de leur mandat d'élu et la considération que l'on doit à des bénévoles.
La gestion de la commune appartient à ses seuls élus, elle n'est pas la chose ou le joujou du maire si grand soit son talent .
Il va bien falloir que M Blanc prenne la mesure de son isolement au sein de l'Hôtel de ville.
Au lendemain de l'élection complémentaire de septembre M Blanc avait encore la possibilité d'une sortie honorable.
Ce ne sera plus le cas après ce scandaleux et brutal arrêt du conseil municipal.
Depuis trois mois, enfermé dans ses certitudes, le maire pratique l'épreuve de force en refusant de réorganiser la municipalité et en privant -adjoints et conseillers- d'un secteur précis de travail.
La violence et le mépris du maire envers l'un de ces prédécesseurs R Allenou sont de plus insupportables.
Au soir du 9 septembre 2012, M Blanc déclarait avec morgue à l'issue du scrutin électoral perdu " les quinocéens veulent la guerre" et bien ce n'était pas seulement un mouvement de mauvaise humeur, il est bien entré en conflit contre les représentants de la population .
Depuis trois mois les élus de Saint Quay sont témoins des agissements "suicidaires" de M Blanc pour la commune.
Il est grand temps que l'opinion quinocéenne prenne conscience du désastre qui s'annonce pour notre commune.
J'avais annoncé mon refus de voter ce budget primitif 2013, au mieux j'espérai son report pour qu'au moins les élus puissent faire leur travail.
Le maire par son entêtement est allé au-delà de toutes mes espérances.
Bref, il reste trois mois pour voter ce budget primitif après une pareil sort fait à l'assemblée municipale, on peut s'attendre au pire .
Le pire, c'est la mise sous tutelle de la commune à moins qu'enfin un éclair de lucidité traverse M Blanc et le pousse à démissionner de son poste de maire .


JOUNENT Michel, adjoint épris de démocratie .

Le scandale continue...

Lors du CM du 19 décembre, le maire a refusé que le vote du budget se fasse par article comme la majorité le demandait.
Il a levé la séance alors que les élus se levaient pour montrer leur désapprobation .
Le vote par chapitre n'est pas anodin pour le maire:
Sachant que l'objectif était de lui réduire ses indemnités précisées dans un article inclus dans un chapitre, il savait parfaitement ce qu'il faisait...
Il a délibérément ignoré la loi qui stipule:
Article L2312-2 du Code Général des Collectivités Territoriales
Version en vigueur au 19 décembre 2012, depuis le 24 février 1996
Créé par Loi 96-142 1996-02-21 jorf 24 février 1996
"Les crédits sont votés par chapitre et, si le conseil municipal en décide ainsi, par article".
La démocratie est encore bafouée par le premier magistrat. Chaque jour qui passe voit le vrai visage d'un maire qui n'a que faire des élus, des lois et des règlements.
Il faudra bien qu'un jour cela s'arrête. Si la loi donne d'énormes pouvoirs au maire, elle en réserve quelques uns au conseil municipal, en particulier en matière de vote du budget.
J'en appelle à l'Etat (et son représentant) pour nous aider à faire respecter la loi.
Nous avons atteint les limites du supportable pour des élus du peuple dont la seule ambition est de servir au mieux les intérêts de notre commune et de ses habitants.
Vous prendrez attache avec les personnes présentes au conseil et visionnerez avec attention la vidéo de LEQ qui prouve ce que votre serviteur écrit.
Peut-être qu'un jour les Quinocéens nous aiderons à faire respecter le droit ?


MARTIN Jacques, conseiller municipal bénévole au service des Quinocéens.

le père noel n'existe pas 19/12/2012


L'HABIT,
PAS PLUS QUE LA MINE,
NE FAIT LE MOINE!!!




Sous couvert d'une rondeur de bon aloi, le factotum de M Blanc, le matois P Bergaud appelle à une ouverture d'esprit et au dialogue entre les blogs locaux.
Comme moi, il réfute l'état de guerre à l'intérieur de la commune et il a raison.
Comme moi, il souhaite une saine émulation entre les différents protagonistes intéressés par l'avenir de la commune et, là aussi, il a raison.
Mais à l'inverse de moi, il joue les "Ponce-Pilate" quand il s'agit de regarder en face la réalité de la vie communale.
M Bergaud a tiré à boulets rouges sur l'attitude du maire au lendemain de son échec à l'élection complémentaire.
M Bergaud écrivait pour mémoire, dans une tribune libre, qu'au nom de la démocratie, le maire devait "se soumettre ou se démettre", vue sa situation  ultra minoritaire au sein du conseil municipal.
M Bergaud, toujours avec bonhomie, appelle les autre blogs à moins de chicaneries entre eux.
M Bergaud est un peu partout depuis quelques temps mais il est surtout sur ce nouveau blog le publicitaire de la gestion à la petite semaine du maire de Saint Quay.
Sur ce blog dont la propriété demeure anonyme, l'objectivité des propos rapportés est loin d'être une évidence.
Les titres des articles publiés sur ce blog prétendu d'un nouveau genre en disent long sur les intentions des rédacteurs: quelques exemples.
les décisions absurdes: de P Bergaud.
le conseil de la honte: de JF Villeneuve.
bon appétit!!!messieurs*: de P Bergaud.
cinéma Arletty, un anniversaire raté : de P Bergaud.
arrêtons les hostilités: de l'équipe soutenant le maire suivi d'un commentaire fielleux de JF Villeneuve.
On peut varier dans la vie, on peut évoluer et on peut même avoir de nouveaux amis parmi d'anciennes inimitiés mais chez Villeneuve ces derniers temps, cela tourne à la comédie de boulevard.
En 2010, Mme Quéré et M Blanc portent plainte contre Villeneuve pour avoir répandu, entre autre, des fausses informations sur les titres universitaires du maire .
Ensuite, Villeneuve a dû subir les foudres du maire, ce dernier considérant que l'association LEQ était devenue un syndicat politique???
Villeneuve a organisé avec réussite une pétition de 750 signatures puis une manif pour s'opposer à la destruction du minigolf; et bien, quand les nouveaux élus prennent pour première décision le sauvetage du minigolf, il adresse ce quinocéen tourmenté, une bordée d'injures aux nouveaux conseillers.
Il est difficile de comprendre ce nouveau chevalier blanc surtout quand on relit tous les articles qu'il a écrit dans la première version du LEQ à l'adresse du maire et de Mme Quéré.
Bientôt, il y aura de nouvelles élections municipales et chez nombre de quinocéens, germe l'idée qu'il faut remplacer ce maire et la plupart des élus.
C'est bien normal au regard de cette calamiteuse mandature.
La liste "Autrement " dirigée par son actuel maire a ridiculisé le rôle des élus .
Cette gestion hors norme va laisser de sérieux problèmes à ceux qui auront le courage ou l'inconscience de prendre la suite.
Celui ou celle qui aura la capacité de réunir un équipe autour de lui ou d'elle  pour sortir la ville de sa situation de déclin absolu est à coup sûr un "kamikase".
Au bout de trois mois d'errance dans les couloirs de la mairie, la situation et le fonctionnement du conseil municipal dépassent pour moi l'entendement.
Un maire présent au mieux 2 à 3 journées par semaine est inacceptable pour une commune comme la nôtre soumise à tant de problèmes.
Il n'y a pas aujourd'hui de travail collectif dans cette municipalité mais une suite de conflits hérités de la liste "Autrement".
Le budget primitif 2013 en cours d'examen, son élaboration restera pour moi un grand moment du triomphe de l'incompétence et du ridicule, rien n'est préparé par les adjoints, les commissions sont des parodies et les élus, après avoir subi le bon vouloir du maire et de son DGS, n'auront été que finalement des spectateurs de l'acte annuel le plus important de la vie de la commune.
Peu de choses changeront d'ici la fin de cette infernale mandature et je souhaite bien du plaisir à ceux qui veulent soi disant agir pour l'avenir pour notre ville .
Avec Mme Quéré , spécialiste en lancer de chaussettes , ce n'est pas gagné M Bergaud!!!!


JOUNENT Michel qui ne croit plus au Père NOEL.

*petit rappel .... seul deux élus reçoivent des  indemnités.

lundi 17 décembre 2012

les annonces du maire 17/12/2012


LES ANNONCES DU MAIRE
en  janvier 2011.


Côté nautisme comme côté pêche, le port d’Armor tient la première place en Côtes d’Armor.
“Pour que la richesse apporté par la plaisance ait davantage d’impact sur l’activité touristique et économique tout au long de l’année, il faut néanmoins finir ce port” avance Michel Brémont, le président du syndicat mixte de gestion du port réunissant le conseil général et la ville.
Le maire de Saint-Quay-Portrieux, Dominique Blanc, y voit “un pari”.
Celui de transformer le port d’Armor en “espace de vie et d’animation” intégré à la ville, notamment au quartier du Portrieux.

C’est l’ambition du plan d’aménagement des terre-pleins élaboré par le cabinet d’urbanisme Architectes et Associés à la demande du Syndicat mixte de gestion du port.
Ses orientations ont été détaillées lors d’une réunion publique, la deuxième, organisée le 14 décembre 2010 dernier salle Yéyé.
« Pas question de bétonner »
Le projet envisage tout d’abord une revalorisation de l’espace commercial actuel et de la capitainerie, complétée par la construction, à proximité, d’un ensemble susceptible d’accueillir la coopérative maritime ainsi qu’une résidence de services.
Construit sur trois niveaux, ce bâtiment servirait de point d’entrée tout en masquant la vue sur la partie industrielle du port.
La refonte des stationnements “sans suppression de places”, accompagnerait par ailleurs la création, au départ du Quai de la Douane, de cheminements piétons longeant les môles Nord et Sud, au bout desquels seraient respectivement créés des kiosques-échoppes ainsi qu’un espace dédié au nautisme à proximité du bassin de la plaisance.
Au niveau architectural, «pas question de bétonner», mais plutôt de créer de petits ensembles capables «de rythmer et d’animer la promenade» tout en s’intégrant au Portrieux.
Des travaux dès 2011....
Dès 2011, le Port d’Armor commencera à changer d’allure. La démolition de la friche de l’hôtel devrait intervenir en février pour permettre à la coopérative maritime d’investir dans un nouveau bâtiment à construire.
En avril, seraient engagés les travaux de réfection du parking des plaisanciers côté môle Sud. Le syndicat du port souhaite profiter de ce chantier pour revoir les stationnements tout ouvrant d’avantage le quai Gourvelot aux promeneurs.

Article repris du "Blog officiel de la ville", en date du 10/1/2011 sous  la rédaction de  M Blanc, maire et vice  Président du syndicat mixte du port d'Armor en réponse aux élucubrations de Mme Quéré  sur  le commerce  local.

mardi 11 décembre 2012

l'ensablement 11/12/2012



LA COHABITATION
OU
L'ARLÉSIENNE???






La cohabitation est au centre de l'intrigue communale, on en parle tout le temps mais, comme dans le vaudeville provençale, elle n'apparaît jamais!!!
Est-il encore besoin de rappeler la signification du scrutin de septembre 2012 ???
En élisant une liste au complet dès le premier tour, les électeurs quinocéens ont dit avec vigueur "NON" aux méthodes de gestion de la commune par M Blanc.
Cette liste, hormis Robert Allenou, premier magistrat de St QUAY entre 1997 et 2001, était composée d'inconnus ou de personnes très peu connues.
L'exaspération de voir encore sans opposition sérieuse M Blanc aux affaires communales a conduit un grand nombre de quinocéens à se prononcer lors de cette partielle.
Exaspération si forte qu'une chèvre ou un guéridon candidat sur cette liste aurait été élu.
Le Préfet est d'une prudence de sioux en ce qui secoue Saint Quay Portrieux et en appelant à une cohabitation à minima, il ne fait que glisser les scories de cette pénible situation municipale sous le tapis.
Un Préfet par nature est assis sur un siège éjectable.
Le bazar qui préside depuis des années la vie communale n'a pas engendré, chez au moins trois Préfets, le goût à s'aventurer dans les affaires de notre commune.
Le Préfet en place doit sa nomination à l'ancienne majorité , dix énarques lorgnent sa place à son moindre faux pas; aussi, en se répandant dans la presse en formant le souhait une cohabitation minimale au sein du conseil , il ne pouvait guère aller plus loin et il a, par là même, assuré sa tranquillité.
J'ai demandé au maire par courrier , puisqu'il est impossible de le rencontrer pendant les trois jours par semaine qu'il passe à l'hôtel de ville, son concept de la cohabitation.


M Blanc Dominique
Maire de St Quay Portrieux
Hôtel de ville
52 bd Foch
22 410 St Quay Portrieux


St Quay, le 19 novembre 2012


Objet : La cohabitation au sein de la direction municipale.


Monsieur le Maire,


Depuis des mois la municipalité est au point mort, tous les services sont à l'arrêt ou en attente d'avoir comme référent des adjoints au maire.
Vous avez déclaré à de multiples reprises que vous ne vouliez pas travailler avec un bon nombre d'élus de la majorité de votre conseil municipal
Plus de deux mois après l'élection que vous avez demandée de vos voeux à Monsieur le Préfet des Côtes d'Armor, il apparaît de plus en plus que votre retrait de la vie municipale tire notre commune vers le bas.
Je vous ai entendu parler à plusieurs reprises d'une cohabitation ponctuelle voire fructueuse avec des élus.
Le Préfet appelle depuis quelques jours à une cohabitation minimale pour relancer la machine municipale.
Par ce courrier , je vous demande de préciser le cadre et les limites d'un pareil fonctionnement de la municipalité.
De plus, je vous demande de préciser les élus avec lesquels vous voudriez cohabiter.
Il est urgent M le maire que sur ce sujet si important qu'est le fonctionnement normal d'une municipalité , vous fassiez la clarté sur vos intentions.
Dans l'attente de vous lire, je vous présente monsieur le maire mes salutations distinguées.


Signé ...JOUNENT Michel


Trois semaines plus tard , pas la moindre réponse....le maire préfère se répandre sur son blog en libelles assassins contre ses ex amis.
Cela est relativement facile à comprendre. qui dit cohabitation dit compromis; et dans le rapport des forces, 17 contre 6 sur le tapis, cela n'offre que très peu d'espace à concéder pour M le maire.
Et puis des deux côtés, les soi-disantes coalitions ne sont pas figées; le maire le sait et en salive déjà.
Un peu partout, comme en ville, les retournements de veste sont prêts à se multiplier.
Dans la minorité autour du maire déjà une personne organise un replis stratégique pour jouer les vestales aux prochaines municipales.
Du côté de la majorité, encore quelques mois à attendre pour que la population se rende compte que cette élection partielle n'a servi à rien ou presque .
A rien non car, dans un résultat inverse, M Blanc, imperméable à toutes critiques, pourrait à ce jour prétendre ou se préparer pour un second mandat.

JOUNENT Michel , spectateur bien placé pour suivre le naufrage de la station balnéaire de Saint-Quay-Portrieux


PS : l'association des commerçants "seul maître d'oeuvre" a renoncé cette année à organiser un "Marché de Noël"