entre en action autour du futur champ des futures 62 éoliennes marines.
Les pécheurs annoncent des actions pour entraver le début des travaux fixés au 3 mai 2021.
Ce sera une bataille disproportionnée, d'une coté six bateaux écoles du type "Le guépard" de construction métallique de 43 mètres de long et déplaçant en pleine charge 470 tonnes.
Son équipage est de 15 hommes et il entraine ce bateau école 18 élèves supplémentaires à son bord.
Son armement comporte deux canons de 20 mm et de deux mitrailleuses de 12,7 mm .
et de l'autre une flottille rassemblant dans un premier temps beaucoup de bateaux de pêches en bois pour la plupart ne dépassant pas une douzaine de mètres de long et sans oublier que les bateaux speciaux et gigantesques de la société Iberdrola apparaitront rapidement sur ce lieu ce construction des éoliennes marines .
Ceux qui lancent et alimentent ce conflit prennent de sacrés risques humains et matériels, c'est à quelques jours du lancement de ce chantier sortant du commun, "un comme qui dirait début de Guerre civile" surtout quand on écoute certains slogans comme "on va leur rappeler qu'on est chez nous, on n'a pas le choix ,on va attaquer".
Sur ce conflit sévère qui s'annonce, on attend la réaction et le pont de vue de notre maire fervent partisan de 2014 à 2020 de l'installation de la base de maintenance au port d'Armor et qui depuis quelques temps imprégné de la pensée du co-fondateur de Médiapart se retranche dans le dubitatif et le silence de sa pensée .
Quand il n 'y a pas de photo de sa personne à prendre, il est aux abonnés absents notre premier magistrat.
JOUNENT Michel.
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