LA ROCAMBOLESQUE
activité de la majorité du conseil municipal.
Elle a voté la vente d'un bien municipal les yeux fermés avec une intelligence de mouton ou de bulot, au choix.
Ces élus, on peut continuer à les croiser dans nos rues et sans honte, ils continuent à ne pas savoir ce qu'ils ont voté.
On peut difficilement descendre plus bas dans la docilité à un premier magistrat.
Un couple de Quinocéens de son propre chef avait adressé un surprenant courrier au maire.
"Par courrier du 27/04/2021, Monsieur et Madame WEYDERT, domiciliés 6 bis place du centre, à SAINT-QUAYPORTRIEUX, ont adressé une proposition d'achat à la ville pour un montant de 660 000,00 € nets vendeur avec le projet d'y établir leur résidence principale. Cette offre répond parfaitement aux objectifs de la ville de sortir ce bien du patrimoine immobilier de la commune et de rationaliser la gestion de son parc immobilier. Le conseil municipal, après en avoir délibéré : Vu le code général de la propriété des personnes publiques, notamment les articles L 2141-1, L 3211-14 et L 3221-1 ; Vu le code général des collectivités locales, notamment les articles L2121-29, L 2122-21, L 2241-1 ; Considérant que le bien concerné appartient au domaine privé de la commune, et que les biens le constituant sont aliénables et prescriptibles ; Vu l'avis du Domaine sur la valeur vénale du bien en date du 17/12/2020 ; Décide par 20 voix contre 3 de céder ce bien aux dénommés M et Mme Weydert."
Un compromis de vente est établi au milieu du mois de juillet et dans les délais de rétractation (10 jours ) le couple décide ne plus acheter le presbytère. Surprenant.
Comme l'affaire avait été menée dans le plus grand secret et que cela a continué, il n'y a seulement que depuis quelques semaines que ce marché de gré à gré, ce naufrage est connu d'un grand nombre de Quinocéens.
En 2015, déjà M le maire avait trouvé un couple exceptionnel pour racheter la boutique de la presse du quai de la République en perdant au passage pas loin de 40 000 €, pour en faire une boutique de fringues et dans un élan dépassant le bon sens il avait acheté un local rue de Dol pour vendre des fringues aussi , malgré des modifications apportées à l'objet même de la vente de ces boutiques en faisant des locations ( vélos, planches à voile, paddle, restauration branchée et autres branchitudes) les commerces ont fini et cela rapidement par disparaitre; remplacés par une agence immobilière et un coworking .
La leçon à tirer de ces 2 fiascos est que le secret absolu n'était pas de mise dans ces affaires et que si le législateur a conduit à l'élection de 23 personnes pour conduire la politique de notre ville il est plus que nécessaire que tous les élus soient associés (majorité et minorité) aux décisions à prendre .
La dérive autoritaire de notre maire n'est plus de mise et surtout à la veille de la vente du terrain de l'ancien centre technique municipal qui abritait dans le temps un gazomètre : construction particulièrement polluante .
Le presbytère sera demain remis en vente évidemment dans la clarté mais en attendant, vide qu'il ne serve pas à accueillir des collabos d'afghans.
JOUNENT Michel.
Commentaire de Christian GUINAUDEAU
Pourriez-vous retirer le dernier paragraphe ? Déplacé, d'aucun intérêt et hors sujet. Cela détruit votre ( juste ) argumentation. Dommage, c’était ( très ) bien part..., réponse de l'auteur NON.
Commentaire de la Vigie 22410:
COMMUNE DE SAINT QUAY PORTRIEUX
COMPTE RENDU du CONSEIL MUNICIPAL du 29 JUIN 2020, Page 5 sur 22 -
Maire :
46,29 % 1 800,39 € brut / mois -
Adjoint :
16,14 % 627,75 € brut / mois -
conseiller
délégué : 4,54 % 176,58 € brut / mois
Il convient
de préciser que les peuvent bénéficier du versement de ces indemnités à compter
de l’exercice effectif de leurs fonctions.
Le conseil municipal, après en avoir délibéré,
Décide par
vingt (20) voix pour et trois (3) voix contre (M. GIRARD Bruno, Mme BERTRAND
Anne et M. HUC Hervé),
- de fixer les indemnités de base du Maire,
des adjoints et des conseillers délégués selon le barème proposé ci-dessus,
avec effet à compter du 24 mai 2020,
- de régler la dépense à l’aide des crédits
inscrits aux articles 6531 et 6533 du budget communal,
- de faire
figurer l’ensemble des indemnités attribuées aux membres de la Collectivité sur
un tableau annexé, conformément à la Loi n° 2002-276 du 27 février 2002.
Petite question : le contribuable quinocéen doit-il rétribuer l'absence d'activité des membres du conseil municipal, telle que décrite dans votre article ????? S'il ne s'agit que de lever la main pour donner son accord à n'importe quelle décision du Premier Magistrat, en quelques occasions au cours de l'année, peut-être faudrait-il s'interroger tant sur la pertinence de ces indemnités que sur leur montant ? On peut légitimement s'interroger aussi sur l'intérêt des réunions des différentes commissions, dès lors que, dans les faits, toutes les décisions ne sont prises que par une seule personne.
1 commentaire:
Pourriez-vous retirer le dernier paragraphe ? Déplacé, d'aucun intérêt et hors sujet. Cela détruit votre ( juste ) argumentation. Dommage, c’était ( très ) bien parti.
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