IL EST A CE JOUR ÉVIDENT
que rien n'arrêtera la construction du champ de 62 éoliennes marines au large de notre commune.
Que le combat des pêcheurs côtiers contre cette réalisation est perdu.
Que la position chancelante de notre maire sur cette gigantesque production d'énergie renouvelable (pendant 6 années il était pour et dernièrement il est devenu contre) n'est plus tenable , il est urgent pour notre municipalité de trouver des ressources financières compensatrices face à la gêne visuelle que provoqueront ces immenses moulins à vent.
En se battant avec "du mordant" nos élus devraient faire admettre que la limite à prendre en compte pour calculer la distance qui nous sépare des éoliennes commence aux iles de Saint Quay et non pas à la base des falaises qui bordent le littoral de la commune , à partir de là on devrait ne pas être très loin des 12 milles obligeant Iberdrola à verser annuellement une compensation financière pour gène visuelle .
Elle serait aussi juteuse que celle du Casino et surtout moins fluctuante que cette dernière car fixe durant pendant la concession accordée au trust espagnol.
Se battre chez nos élus n'est pas très courant pour un simple fait , c'est notre maire qui s'occupe de tout au niveau municipal , son autoritarisme n'est plus à démontrer après ses 8 années à la tête de la municipalité.
Mais une chose reste cependant dans les cordes de nos élus, ce serait de transformer sur le GR 34 le site permettant de se situer à partir d'une table d'orientation en lieu d'observation de la construction du champ d'éoliennes en y installant des jumelles bien sur payantes et pour plus tard voir leur fonctionnement.
Bref de l'argent à gagner d'un côté et de l'autre de rendre encore plus attractif le GR 34.
JOUNENT Michel.
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