LES QUESTIONS QUI FACHENT :
Lors du dernier conseil municipal, quelques points auraient mérité une explication claire de la part du Maire et non des esquives en forme de fanfaronnade telle que : « la commune est bien gérée »
Vous avez dit « bien gérée » ? pas si
sûr ; la gestion n’est pas qu’une question de chiffres mais d’abord une
question de choix, et dans ce domaine on ne peut pas dire que le premier
magistrat soit bien inspiré...On y reviendra.
Comment peut on dire : » nous n’avons pas voulu faire de la publicité » ? Qui peut croire que lorsque l’on vend son bien, on ne veut pas que cela se sache ? Pourquoi cette discrétion ?
660 000 euros, c’est une belle somme , une « bonne vente» telle que décrite, mais si on ne l’ouvre pas à la concurrence, qui peut savoir si c’est le « juste prix » ?
L’estimation des domaines ? Une bonne blague quand on se
souvient que pour la librairie du port, la boutique avait été estimée à 100 000
euros au moment de son achat et 2 ans après, au moment de la revente 60
000 euros; une estimation très fiable indiscutablement..
Une demande a été faite concernant le projet du Gerbot d’avoine, certes ce projet est privé et le point n’était pas à l’ordre du jour ; mais était il utile de dire « je n’en dirai rien, vous étiez 5 sur votre liste à être contre ce projet » ? Monsieur Le Maire vous avez le devoir d’informer les quinocéens et le conseil municipal est le moment de le faire ; peu importe qui pose la question, c’est un élu, la pirouette méprisante n’est pas une réponse que les électeurs approuveront...
Une autre question qui mériterait une réponse : Pourquoi la demande de permis de construire sur l’îlot Jeanne d’arc n’a pas abouti ?
Autant de questions qui , manifestement, fâchent….
BREZELLEC Georges.
Commentaire de la Vigie 22410:
Merci Monsieur Brézellec d'attirer, malheureusement une fois encore, notre attention sur une situation anormale. Il est d'usage de parler de "députés godillots". Je me demande si cette antonomase ne pourrait pas s'appliquer à d'autres substantifs comme "conseillers municipaux" par exemple. Nous en sommes rendus, ici, à une obéissance aveugle, un soutien inconditionnel sans réflexion personnelle...Dommage pour la ville de Saint-Quay-Portrieux, dommage pour nous tous
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